Fin De Job Étudiant Au Sauna
Cette histoire remonte à une dizaine dannées.
Je terminais mes études, et je travaillais pendant les vacances dans une entreprise de bâtiment, au secrétariat. Un job de trois semaines, que javais trouvé au dernier moment.
Jaidais Clotilde, la femme du patron, dans les tâches administratives. Rien de réjouissant. Nos contacts étaient agréables, sans plus. Elle ne souhaitait apparemment pas que je profite de relations trop familières, pour me laisser aller, car il y avait beaucoup de retard à rattr, avant que lentreprise ne ferme au mois daoût, comme souvent dans le bâtiment.
Cest pendant les derniers jours que son attitude a changé. Elle est devenue plus proche, plus complice.
Il faisait chaud en cette fin juillet, et comme à mon habitude, je mhabillais légèrement. Mes jupes étaient hyper courtes, et je ne mettais quasiment jamais de soutien-gorge, comme le laissaient deviner mes tee-shirts en coton, très fins, marqués par les petites pointes sombres de mes seins.
Le vendredi, Clotilde me proposa de laccompagner avec Tony, son mari, pour une soirée dans un sauna « un peu particulier ». Vu le nom de létablissement, connu dans la ville, je devinai ce quil avait de particulier... Mais pour éviter toute ambiguïté, Clotilde me précisa que cétait un lieu de rencontre libertin.
Elle mavoua quelle avait flashé sur moi son mari aussi et que, à travers certaines conversations, elle supposait que jétais bisexuelle, et du genre "libéré"...
Ils sont venus me chercher chez moi, vers 21h. La tenue de Clotilde était dans le genre sexy bcbg, sans plus, et j'ai compris plus tard que ça n'avait guère d'importance, là où nous allions.
C'était Tony qui conduisait, et nous avons traversé la ville, pour arriver dans un quartier tranquille et tout à fait banal, à côté d'un cimetière. Rien à voir avec un quartier chaud.
Le sauna se trouvait en rez-de-chaussée d'un grand immeuble d'habitation.
Tony a sonné, et nous sommes rentrés dans un petit hall d'accueil. Il a réglé un droit d'entrée pour Clotilde et lui, et j'ai bénéficié d'une entrée gratuite pour les femmes seules. A priori, je crois que jétais une de leurs plus jeunes clientes, du moins ce soir là, et ils ont insisté pour m'inviter à revenir, "je serais toujours la bienvenue", etc... Nous avons eu droit à une serviette chacun, et à un paréo translucide pour les femmes.
Puis nous sommes passés par le vestiaire. Un local avec des casiers, comme on en trouve dans les piscines. Nous nous sommes mis nus, tous les trois, et j'ai vu que Clotilde portait des bijoux de seins et une petite chaîne autour de la taille. Très sexy, sur une jolie femme à poil! Depuis, je lai imitée bien des fois. Nous avons drapé nos paréos au niveau de nos hanches (mais ils ne cachaient pas grand chose), et Tony avait noué sa serviette autour de taille.
Elle m'a fait faire le tour de l'établissement. Beaucoup plus grand que je l'imaginais vu de l'extérieur, car il se répartissait sur deux niveaux. Il y avait un bar, une grande pièce où se trouvaient une petite piscine et un jacuzzi, un sauna, et des sortes de cabines équipées de grands matelas, pour se... détendre.
Il y avait une bonne quinzaine de clients : des couples, plusieurs hommes célibataires. J'étais l'unique fille seule, et j'ai remarqué les regards qui s'attardaient sur moi... "Une nouvelle, très jeune, toute seule, jolie fille en plus... Tu en intéresses plus d'un, et plus d'une", m'a dit Clotilde à l'oreille.
Nous avons commencé par boire un cocktail au bar. Clotilde et Tony parlaient avec le barman comme de vieilles connaissances; un beau métis... mais j'ai vite compris qu'il était gay. Dommage! J'ai su plus tard que le sauna était exclusivement "masculin", plusieurs soirées par semaine.
Puis Clotilde m'a prise par la main, pour m'entraîner dans le jacuzzi, avec Tony.
Un autre couple était déjà dans l'eau, et la femme s'est approchée pour nous faire la bise. Elle connaissait manifestement bien Clotilde, qui lui a glissé quelques mots à voix basse en me regardant, après m'avoir présentée.
C'était une belle brune, une petite quarantaine, prénommée Sonia. Elle s'est installée près de moi, adossée au rebord du jacuzzi, et a commencé par me poser quelques questions: mon âge, quelles études je suivais, etc... Et très vite, elle m'a demandé de lui confirmer que j'étais bi, et si elle me plaisait.
Une fois "rassurée", elle a passé un bras autour de mon épaule, en laissant pendre sa main sur un de mes petits nichons, pendant que son autre main se promenait à la naissance de mes cuisses. Pour l'encourager, je me suis inclinée vers elle, et j'ai approché mes lèvres de sa bouche, en parcourant les pointes de ses seins du bout des doigts. J'ai du passer pour une petite cochonne qui n'a pas froid aux yeux!
Nous nous sommes embrassées, légèrement au début, puis de façon plus appuyée, et à pleine bouche pour finir, pendant que nos caresses se faisaient plus précises. Elle jouait avec mes tétons, elle passait un doigt le long de ma fente, et je n'étais pas en reste. Ses seins étaient incroyablement durs, mais je me suis aperçue après qu'ils étaient "refaits"...
Son mari nous regardait. Clotilde et Tony, ainsi qu'un autre homme, aussi.
Tout en massant mon petit bouton sous leau, Sonia ma proposé que nous allions dans une "cabine", pour être plus à laise
Elle mavait dit ça au creux de loreille, dune voix rauque qui avait fait naître en moi un frisson, remontant du creux de mes reins, tout au long de mon dos jusquà ma nuque, et mes seins sont devenus durs comme du bois.
Nous sommes sorties de leau, et nous nous sommes essuyées mutuellement. Ses gestes étaient doux, plein de sensualité, et ajoutés aux regards que je sentais rivés sur mon corps, ils me faisaient déjà mouiller.
Sonia ma entraînée dans une cabine. Elle ma demandé si jaimais quon me regarde jouir, et comme je lui ai répondu que oui, elle a laissé la porte grande ouverte. Son mari, Clotilde, Tony et lautre homme nous avait suivies, et ils se sont placés pour nous mater, Clotilde sasseyant carrément sur le lit kingsize à côté de nous.
Sonia ma fait mallonger sur le lit, et elle ma embrassée de nouveau. Jaimais beaucoup la façon dont elle se servait de sa langue. Sa main sest posée sur un de mes seins, elle a tourné la pointe entre ses doigts, puis sa bouche sest déplacée vers mon oreille, quelle a mordillé doucement. Elle est descendue dans mon cou, pendant que je caressais sa poitrine. Et elle est descendue encore. Elle a léché mon téton, elle la mordu tendrement, pendant que sa main écartait maintenant mes cuisses.
Ses gestes étaient doux. Rien à voir avec les images des vidéos de partouzes. Je lai laissée ouvrir mon petit coquillage, et jai même écarté moi-même mes grandes lèvres, pour que nos voyeurs puissent admirer mon intimité.
Elle sest installée à genoux entre mes jambes, son joli cul relevé et bien cambré, et elle a commencé à bouffer mon petit abricot. Oh putain, cétait bon, elle faisait ça super bien ! Jai fermé les yeux pour savourer son cunni, et jai appuyé sur sa nuque pour lencourager.
Clotilde est venue se blottir contre moi, et elle sest mise à jouer avec mes seins, en me roulant des pelles. Deux nanas pour moi toute seule, un rêve ! Tout en feulant sous les coups de langue de Sonia, je martyrisais la poitrine de Clotilde, en tirant sur les bijoux qui pinçaient ses mamelons et en les tournant. Elle a poussé un petit cri, et j’ai eu un moment dhésitation, mais elle ma encouragée.
- Continue, Chloé. Jadore ce que tu me faisais, je mouille
Jai repris avec dautant plus dardeur que Sonia enfonçait ses doigts dans ma chatte. Trois du premier coup, quelle se mit à faire aller et venir, en suçant et en mordillant mon clito.
Je navais plus aucune pudeur, aucun tabou, et je me laissais complètement emporter par les sensations agréables qui me submergeaient.
Puis Clotilde est venue chevaucher mon visage. Jai découvert son minou dégoulinant de cyprine en gros plan, il sest rapproché de ma bouche, et jai entouré ses cuisses de mes bras pour lattirer sur mes lèvres. Waouh ! Sa mouille qui coulait dans ma bouche
Un délice.
Sonia a soulevé mes reins. Jai senti sa main descendre entre mes fesses, ses doigts pleins de ma sève forcer lentrée de mon petit trou. Sa langue a vrillé ma fente. Mon cul sest ouvert. Je sentais que jallais bientôt jouir
Jai voulu faire durer lattente le plus longtemps possible, mais quand Clotilde a giclé sur mon visage, je me suis abandonnée à lorgasme, en criant des mots crus.
Je nai pas eu le temps de récupérer. Sonia voulait sa part de plaisir.
Elle ma écartée pour prendre ma place, et ça a été à mon tour de lui bouffer la chatte.
Mais javais à peine commencé à la doigter que jai senti des mains empoigner fermement mes hanches. Cétait le mari de Sonia. Je me sentais complètement salope. Une vraie pute. Jai passé une main entre mes cuisses, et jai guidé son gland pour quil me pénètre.
Dévorer le bel abricot juteux de Sonia, pendant que la bite de son mari me défonçait la chatte. Ohlala !
Javais du mal à moccuper de Sonia, ébranlée par les coups de reins de son mari. Dautant plus quelle suçait lhomme qui nous matait depuis le début. Mais heureusement, elle avait empoigné mes cheveux, et elle arrivait à maintenir mon visage dans la fourche de ses cuisses.
Nos cris et nos gémissements avaient attiré dautres voyeurs, qui remplissaient la petite cabine. Cétait terriblement excitant, de se faire mater comme ça, sans aucun risque.
Lhomme que suçait Sonia empoigna ses chevilles, et ramena ses jambes en arrière, soulevant ses reins. Jen ai profité pour lécher son petit illet plissé, et pour y enfoncer le bout de ma langue, tout en triturant son clito entre mes doigts.
Sonia a joui à deux reprises, presque coup sur coup, et je suis partie aussi, une nouvelle fois. Sonia et moi prononcions des mots crus (quune jeune fille ne peut pas répéter
). Son mari continuait de me baiser, infatigable, et mon fourreau était en feu. Jai eu encore un orgasme, et il sest retiré.
Il a enlevé son préservatif, et il a approché sa queue de ma bouche. Il na rien eu à me demander. Je lai prise dans ma main, et je lai branlée, tout en le suçant. Quelques secondes après, il a éjaculé. Un vrai torrent de sperme, qui a rempli ma bouche, et dautres giclées sont venues maculer mon visage. Jen avais même dans les cheveux et dans les yeux
Je me suis relevée, et jai regardé autour de moi. Clotilde et Tony nétaient plus là. Le mec que suçait Sonia avait joui aussi dans sa bouche.
Javais besoin dun peu de répit, et je suis allée prendre une douche. Après mêtre essuyée, je me suis dirigée vers le bar, où le beau métis ma servi un autre cocktail. Manifestement, cétait open bar pour moi
Jadorais me balader nue partout, et cétait devenu naturel pour moi.
Pendant que je sirotais mon verre, deux autres hommes mont rejointe. Nous avons commencé à parler. Ils étaient sympa, juste un peu machos, mais pleins dhumour.
Nous avons poursuivi notre conversation dans le jacuzzi tous les trois. Puis ils mont proposé daller dans une cabine
Ils mont prise, lun après lautre. Jaurais aimé quils me baisent en double, mais ce nétait pas dans leurs intentions. Ce fut tout de même un "bon moment" que je passais avec eux, pour mon plus grand plaisir, et pour ceux de quelques voyeurs, dont un a joui en se masturbant près de nous.
Re-douche pour moi. Cette fois, jy ai retrouvé Tony, avec une autre femme.
Cétait une nana dune trentaine dannées, qui sappelait Julie. Cheveux courts, châtain avec des mèches blondes, un joli corps de femme , avec des seins presque plus petits que les miens.
Julie était une habituée de létablissement. Tony avait déjà eu manifestement loccasion de baiser avec elle, et pendant quelle se douchait, il ma expliqué à voix basse, en restant vague, un "truc quelle aimait particulièrement". Tony appréciait aussi, même sil ne me la pas dit. Il ma demandé si jétais partante, et je lui ai répondu oui (je sais, vous allez dire que je suis une fille facile, prête à tout pour senvoyer en lair).
Tony a glissé quelques mots à loreille de Julie, dont le visage sest illuminé, et qui ma souri en madressant un clin dil complice. Elle sest éclipsée rapidement pour aller au vestiaire, et elle nous a rejoints, Tony et moi, dans le couloir daccès aux cabines. Un superbe gode ceinture à la main
Nous sommes rentrés dans une cabine, que nous avons laissée ouverte la majorité des client(e)s font comme ça dans ce club, semble-t-il. Cest elle qui a ajusté la ceinture autour de ma taille, et je me suis retrouvée avec le gros priape de silicone noir dressé à la fourche de mes cuisses.
Julie sest agenouillée devant moi, et la sucé, comme si elle faisait une fellation à un mec, pendant que Tony caressait ses seins. Cette situation inédite pour moi, et imaginer ce que nous allions faire tous les trois, mexcitait. Mes nichons pointaient, et je mouillais.
Puis elle est montée sur le lit, et sest mise à quatre pattes. Je suis venue derrière elle, jai massé sa chatte. Je lai trouvée trempée, déjà entrouverte, et jai présenté lextrémité du gode à lentrée de sa fente. Tout en branlant son clito, jai enfoncé le gland doucement dans son fourreau damour, et elle sest mise à gémir.
Jai empoigné ses hanches, et jai commencé à la tringler. Cest là que Tony est venu derrière moi, et ma pénétrée à mon tour, sans autre préliminaire.
Jai poussé un cri de plaisir, en sentant son gland qui me remplissait, et je lai laissé me remplir, sans bouger. Cest Tony qui a donné le signal du départ, en commençant à aller et venir dans mon intimité.
Chacun de ses coups de boutoirs se répercutait dans le gode, qui coulissait dans mon minou. En quelques secondes, Julie et moi nous nous mîmes à sonoriser les lieux avec nos cris et nos gémissements, nous excitant mutuellement de notre abandon au plaisir. Et chaque fois que le gland de Tony touchait mon point G, je hurlais.
Le corps de Julie ruisselait de sueur. Elle était obligée de prendre appui contre le mur, tant nous baisions violemment. Et cest elle qui ma réclamé, entre deux cris :
- Encule moi, Chloé ! Fourre moi ton gode dans mon petit trou
Vas-y, explose mon cul !
Jai pris la peine de dilater son petit orifice avec mes doigts, et il sest dilaté très vite. Cest Julie qui ma repoussée pour que je me retire de sa chatte, et qui a empoigné le gode gluant de sa mouille, pour le guider entre ses fesses.
- Putain ! Vas-y, Chloé ! Quest ce que tattends ? Encule moi !
Jai donné un coup de reins, et le gland sombre a sa rosette. Jai oublié toute retenue, et en poussant de toute la force de mes hanches, jai enfoncé le gode presque entièrement entre ses jolies fesses, sans arriver à savoir si Julie criait de plaisir ou de douleur.
Mais je nai pas tardé à partager son sort. Tony sétait retiré de ma chatte. Et maintenant, il écartait mes fesses de ses mains puissantes. Là, cétait sa bite qui ouvrait mon petit trou serré. Il a mon passage. Je ne voulais pas protester, et je me mordais les lèvres. Des larmes coulaient au coin de mes yeux, et je me cambrais rendre les choses plus faciles et moins douloureuses.
Et puis, je me suis détendue. Tony en a profité pour faire aller et venir son pieu dans mon petit cul, et je sentais que je mouvrais encore plus à chaque fois que son gland senfonçait, de plus en plus profondément.
Cest à peine si jen avais conscience, mais chacun de ses mouvements déclenchait une réplique, et mon gode ceinture les imitait dans lanus déjà ouvert de Julie. Ses cris de plaisir mont ramenée à la réalité. Javais envie de faire subir à Julie ce que je subissais (avec un plaisir grandissant). Je malaxais les seins de Julie, comme Tony le faisait avec les miens. Il se mit à masséner de grandes claques sur les fesses, et celles de Julie sont devenues toutes rouges, avec les marques de mes doigts.
Même si mon cul était maintenant bien dilaté, javais limpression quil allait se déchirer sous les coups de boutoir de Tony. Mais cétait bon. Le plaisir montait en moi, et je nétais même plus en mesure de contrôler quoi que ce soit.
Julie a joui la première. Je lai suivie. Mais Tony menculait de plus belle. Pour le plus grand bonheur de Julie
Je sentais les couilles de Tony frapper mes fesses à chaque pénétration, et je voyais la longue tige sombre du gode émerger du petit cul de Julie, pour mieux y replonger aussitôt. Ma rondelle me brûlait
Et un nouvel orgasme ma terrassée. Interminable. Jétais secouée de spasmes, tétanisée, au bord de lévanouissement. Je hurlais. Et Julie ma suivie. Avant que nous nous écroulions sur le lit.
Tony sest retiré. Il a enlevé son préservatif. Et il est venu jouir sur nos deux visages. Julie ma regardée, et nous avons échangé un long baiser. Sperme et salives mélangés
Jai pris une troisième douche, avec Julie seule cette fois. Nous restions silencieuses, trop épuisées, et lesprit encore occupé par ce dernier trio.
Il était presque deux heures du matin, heure de la fermeture du club. Nous avons retrouvé Clotilde au bar, pour un dernier verre. Elle semblait être, elle aussi, comblée par sa soirée, à bout de forces. Puis Tony nous a rejointes, et nous sommes allées nous rhabiller à regret pour ma part.
Ils mont ramenée chez moi, et jai dormi comme un bébé.
Je nai jamais eu loccasion de travailler dans cette entreprise, et je le regrette. Pas pour le boulot, bien sur
Mais je suis retournée plusieurs fois dans ce sauna !
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