Fantasme 2
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
CHAPITRE 2 : Mes fantasmes me font disjoncter
Seule au bord de la rivière, Claire rêve au prince charmant qui la surprendrait comme elle est actuellement : nue, le vagin trempé
et affamée. La faim la ramenant la réalité, elle se met à rire : « avec ma chance du moment, mon prince va être vieux laid poilu et puer du bec ».
Je nai plus de petit copain. Celui que je prenais pour un peut-être futur fiancé, viens de se transformer en un petit con insensible. Quand je pense que jallais lui offrir ma virginité pour quil me revienne, cest moi qui suis trop conne. Ma robe nest toujours pas sèche, je me relève, et avance prudemment vers lentrée de ma cachette, jai encore envie dexhibition. Appuyée à un arbre jentends les voix des gens qui passent à côté de moi. Je me mets à 4 pattes, et furtivement javance au niveau des buissons opaques. Jaime le risque dêtre surprise. Japparais à moins dun mètre du chemin, personne en vue. Je tends loreille, rien. Javance jusquau chemin et je regarde à droite, à gauche, rien. Je me relève. Je vois devant moi, caché entre 2 arbres dun bosquet de lautre côté du sentier, à moins de 2 mètres de moi, un couple. Il me semble quils ne sont visibles que par ma direction. Debout, une jeune femme blonde a son chemisier descendu le long de ses bras, dans son dos, une ravissante poitrine que malaxe consciencieusement lhomme dune main, la mini-jupe troussée jusquà la taille, la culotte au genou, le sexe de lhomme planté dans son minou. Le monsieur sactive avec beaucoup dardeur pour finir sa petite affaire avant que narrivent des voyeurs.
Interdite, je ne bouge pas, je les regarde avec envie. Je pourrai presque les toucher. La femme gémie de plaisir, tourne la tête dun côté à lautre, et ses yeux me voient à côté delle, en train de mater comme une curieuse. Elle se met à trembler, ouvre la bouche pour hurler de peur.
- « cela vous dérange si je vous regarde ? Je nai vu lamour que dans des films pornos, et cela me parait plus beau avec vous ! » lhomme regarde la jeune femme qui me répond doucement
- « Vous regardez, mais vous ne touchez pas sil vous plait
vous avez quel âge ? »
- « 18 ans depuis 1 mois, mais (jhésite un peu en regardant lhomme) je suis encore vierge. Jaime mexhiber, jai peur daller au bout avec un garçon» Rassurant, lhomme me répond alors
- « Prenez votre temps, Mademoiselle, vous êtes très belle, vous nêtes pas pressée. Sil vous aime, il attendra que vous soyez prête. »
Je le regarde allonger sa compagne, il lui retire sa jupe et sa culotte, (elle avait déjà retiré son chemisier qui lui bloquait les bras en arrière) il sagenouille entre ses cuisses ouvertes, lui soulève les hanches et enfonce de nouveau sa verge au fond du vagin humide. Commence alors une danse savante où la jeune femme, soffre, se tord de plaisir et gémie. Il la retourne, elle se met en position les reins cambrés, les genoux écartés, elle pose ses mains entre ses fesses et tire. Son anus sarrondit, sa fente souvre largement. Lhomme présente son membre devant la fente sy plonge voluptueusement, ressort, remonte et appuie son gland luisant sur la rondelle entre ouverte.
- « Claire ? cest cela ? » un mouvement de tête confirme « viens plus près »
Jhésite, me rapproche. La jeune femme prend ma main et la pose sur le membre de son amant. Je masse doucement la verge qui reprend de la vigueur. Je suis perdue, je me méprends et dis : « je peux ? » La jeune femme répond en riant « non, mais tu peux continuer à la caresser. » et elle me pose un baiser sur les lèvres. Lhomme met une main sur ma hanche, me sert contre lui et me baise le front. Paisible, je continue de caresser le membre de lhomme
La femme me demande alors « tu me la rends maintenant ? Je pense quil est prêt pour le 2ème round.
Je lâche le membre, rougissante et att ma robe sur le buisson, elle est encore humide mais tant pis. Je dis :
« Merci beaucoup, cétait parfait, merci, jai hâte daimer un homme et de me donner totalement à lui ». Lhomme a repris position entre les cuisses de la femme.
Je sors des buissons, et arrive au bord du chemin. Je ne suis toujours pas rhabillée, je men fiche. Je prends la direction de la maison en coinçant ma robe dans mon sac. Javance en trottinant pendant un quart dheure sans rencontrer âme qui vive. Encore 200 mètres et jarriverai près de ma maison, je devrais faire attention. Lentrée du lotissement est là, appuyée contre un arbre je ne vois personne alors je décide de prendre le risque. Posément je reste nue, traverse la rue et me dirige vers la porte dentrée. Je tourne la poignée, rien ne se passe, la porte est fermée à clef. Je panique, jai oublié, hier, je suis sortie par la porte de derrière, je nai pas la clef. Je maccroupie, et regarde frénétiquement si quelquun peut me voir. Je me relève et fais le tour. Une voiture apparait au moment où je vais être hors de vue. Je continue calmement, jusquà la petite porte, Jentre, je suis sauvée. Plus personne ne peut me voir.
Je me dirige vers la cuisine, et me prépare à manger. Je reste nue. Je viens de prendre une décision folle. Je resterai nue tant que je le pourrai. A partir de maintenant, pas de sous-vêtement : ce sera plus rapide pour se mettre nue : je serai bientôt la reine de lexhib. Je remonte dans ma chambre avec les sandwichs, commence à rechercher sur Internet des endroits où je pourrai mexhiber sans tomber sur des gens que je peux connaitre. Je répertorie une dizaine de sites proches que je note sur mon smartphone avec les itinéraires. Je pense que je vais bien mamuser. Excitée, je vais sur des sites pornos voir des gens sexhiber dans la rue. Je nentends pas mes parents rentrer. Heureusement lalarme de mon téléphone me prévient quils ne vont pas tarder.
- « Vous êtes déjà là ? »
Mon père biologique sest tiré quand javais un an. Je ne men rappelle plus. Ma mère a épousé Claude, mon beau-père quand javais 10 ans. Je ladore, depuis 8 ans, il a toujours été parfait avec moi, il a comblé le vide laissé par mon vrai père.
Il narrive pas à détourner le regard de ma plastique parfaite, et surtout de mon sexe épilé où seule une petite touffe de poil reste sur son mont de vénus. Une bosse révélatrice gonfle son short.
Je la regarde, relève les yeux. Je me dis admirative « Wha ! Quel engin, il est bien équipé mon beau-papa, elle a de la chance maman» Pour la première fois de ma vie, je ne le vois plus comme mon père, mais comme le mari de maman. Je me rends compte de ma bêtise, rougie fortement. Je me rappelle alors ma nudité, je me jette dans ses bras pour cacher mon corps. Je lembrasse sur les joues et dis
- « Pardon, je voulais juste aller à la douche »
Sentant la bosse contre mon ventre, je mécarte, laissant voir à nouveau mon intimité. Je me retourne et file sous la douche au bout du couloir.
Claude suit le corps nu qui séloigne. Il pose la valise dans la chambre quil partage avec son épouse, et sassoit sur le lit, il entend Claire chanter sous la douche, il se dit quelle sest réconciliée avec Luca. Il secoue la tête, et se dit « il ne sest rien passé, je nai rien vu
il faut que je parle ma femme, Julie saura quoi faire »
A la porte de la chambre, stupeur, il voit quil est coincé : Claire a mal fermé la porte de la salle de bains, la porte sest ouverte seule. Il sait que sil passe, il la verra à travers du rideau de douche transparent. Il panique. Il avance doucement, honteux, et regarde le superbe corps en train de se laver. Il ne peut plus bouger. A son tour, limage se trouble, Claire est la fille de sa femme, pas la sienne. Alors il ladmire, son sexe lui fait mal. En se lavant, Claire aperçoit Claude du coin de lil.
Jai du mal à y croire. Mon père, enfin mon beau-père si parfait en train de me regarder nue. Je nose pas me retourner
jai fini de me laver. Alors jéteins le robinet en me disant : « dès que je coupe leau il va senfuir, je lui parlerai plus tard, cest de ma faute, on parlera quand maman ne sera pas là » Je me retourne, tire le rideau. Il est toujours là à me regarder. Je suis troublée. Je nai pas envie quil parte, pourtant je laime comme mon père. Le fait davoir été abandonnée peu après ma naissance mavait dispensée du complexe ddipes, mais là je ne sais plus. Il nest pas mon père. Il nest que le mari de ma mère, un homme comme les autres. Javance et lui dis :
- « Tu peux me passer la serviette à côté de toi ? »
Je suis face à lui, il ne réagit pas, mon trouble grandit. Jatt la serviette, le regarde. Il a relevé les yeux. Je perds les pédales, je lui tends la serviette et dis en me retournant « Tu peux maider à messuyer ? » Je le drague dune façon honteuse. Il att la serviette, commence à messuyer le dos, il se baisse et messuie les fesses les jambes et les pieds.
Il remonte machinalement pour sattarder sur le postérieur rond, il aperçoit les lèvres de son sexe à la jointure des cuisses de Claire.
Jai peur de ce que je vais faire mais tant pis
je me retourne et lui fais face. Il reste une seconde avec la serviette en suspension au niveau de ma fente, sa main remonte et essuie mes mamelons. Il reste à genou devant moi, et ne bouge plus. Je mets ma main sur la sienne et pose la serviette sur mon sexe. Il essuie mon sexe. Je le regarde, les jambes écartées légèrement. Il lâche la serviette, sa main passe sur ma fente humide, et remonte sur mon bouton qui pointe légèrement. Je gémie, mes mains de part et dautre de son visage. Il prend le bouton entre ses doigts et tourne en pinçant : je ne peux que dire
- « Oui, cest bon, encore, continue, cest bon ».
Claire avance le bassin pour recevoir des caresses. Claude a envie de lécher le sexe de Claire. Au moment où il va lui mettre la langue dans la fente, il se rend compte de linsanité de la chose, se relève brutalement, en se disant mais quest-ce que je fais? Il fuit vers le rez-de-chaussée et sa femme. Claire reste frustrée au milieu de son plaisir, elle se dit « je devrais avoir honte je viens de lallumer comme la dernière des salopes. Que doit-il penser de moi »
Je retourne dans ma chambre, massois sur mon lit, face à la porte, mes larmes coulent doucement. Je ne sais pas si cest de bonheur, de peur, de frustration, de colère. Je me masturbe brutalement jusquà lorgasme. Je dois parler à maman, mais que lui dire. Il na rien fait, cest moi
Après 5 ou six minutes, jentends ma mère appeler de la cuisine, « dépêchez-vous tous les deux, cest bientôt prêt ».
Claire prend la serviette, la pose sur ses seins. La serviette la cache si peu, à peine son entre-jambes quelle dévoile à chaque pas.
Je descends à la cuisine, ma mère me voit arriver aux trois-quarts nue, étonnée. Je me jette dans ses bras, et lui dit :
- « Maman, il faut que je te parle, cest important. » Claire lâche la serviette pour serrer sa mère dans ses bras. « Ne lui en veut pas, il ny est pour rien, cest moi qui lai allumé comme une salope, il na rien fait »
- « Claude vient ici tout de suite » dit ma mère en colère. « Quest-ce que tu as fait ? » Claire lui coupe la parole, en larmes et dit :
- « Il na rien fait, maman, jai eu deux très mauvais jours en votre absence, il ma surprise nue, et javais besoin de câlin. Cela a un peu dépassé la limite du câlin, mais cest ce que je désirais. Il ne pouvait pas faire autrement. Il a eu la force de partir, moi jaurai été jusquà lui faire une fellation sil était resté. Pardonne moi maman, laisse-moi te raconter » Claire pleure sans discontinuer.
Claire raconte alors son enfer, les quinze derniers jours avec Luca, quil voulait faire lamour et pas elle, elle raconte leur sexualité publique, ses exhibitions, quil la larguée pour une pouffe. Elle ose raconter lépisode de sa nuit attachée nue au bord de leau. Les questions des parents fusent, et pourquoi et comment, etc
Claire répond à tout. Elle lâche les vannes. Elle pleure, parle de sa sexualité sans détour, pleine de honte quand elle insiste sur son exhibitionniste chronique. Le plus dure pour elle est de dire son plaisir infini à faire des fellations, à avaler le sperme de Luca, mais aussi quelle a déjà offert sa bouche à des inconnus pour le gout de son sperme, de ce désir permanent qui la pousse presque à demander à des inconnus sils ne veulent pas quelle leur fasse une fellation là, dans la rue, séance tenante, quel que soit le lieu, quelques soient les risques. Ce besoin qui vient de faire quelle avait dépassé les limites avec Claude.
Les parents sont atterrés mais veulent se rassurer un peu quand leur fille continue. Elle leur parle de ce beau couple qui a fait lamour devant elle, de la beauté de cet acte qui lui a semblé si parfait, si loin de sa sexualité débridée. Ils serrent leur fille dans leur bras sans se soucier quelle soit toujours nue. Seul le père en serrant un doux mamelon dans sa main, sécarte un peu en sentant son sexe gonfler à nouveau. Claire en le sentant séloigner comprends et lui dit « Pardon papa je ne recommencerai pas, je te le jure, passe-moi la serviette sil te plait ». Il lui tend la serviette, elle senroule pour cacher au mieux sa nudité.
- « Maman, je sais que quand vous vous êtes connus Claude et toi, vous avez eu une sexualité un peu olé olé. (La mère rougie dun coup, mais ne dit rien) Cest mamie, un jour de colère qui a lâché le morceau. Jai besoin daide, mais je ne sais pas trop comment mexpliquer. Je ne veux pas voir de psy, jai peur de ces gens, je ne suis pas folle, juste déboussolée. Je pense que vous pouvez maider le temps que ma sexualité redevienne plus raisonnable. »
- « Que peut-on faire ? »
- « Je ne sais pas trop, jai des fantasmes que je veux impérativement réaliser. Je sens que je les ferai quelques soient les risques avec ou sans votre aide. Jen ai 3 pour tout dire qui me troublent, ils me font peurs, ils me font honte. Les autres ne sont pas réalistes, je sais quils resteront du domaine du fantasme. Ce qui est difficile pour moi, cest pour cela que jai besoin de votre aide, cest que je suis toujours vierge, et je veux le rester, jai peur dêtre violée en réalisant ces fantasmes si je ne prends pas de précautions. »
Les parents se rendent compte que bien que Claire soit très perturbée, elle nest pas totalement déconnectée de la réalité. Elle a un besoin de sexualité que Luca ne veut plus lui donner, et ils ne savent pas vraiment quoi faire.
- « Claire, tu me fais confiance ? Je vais appeler le docteur Lebreuil, tu ne le connais pas, il vient de sinstaller, il était interne en psychiatrie à lhôpital Pompidou à Paris, il a décidé de reprendre un cabinet en province. Il parait quil est génial. On va lui parler, et on verra ce quil dira »
- « ce nest pas une bonne idée, Maman, il va vouloir menfermer quand il saura ce que jai dans la tête. »
- « Laisse-moi faire »
Je suis désespérée, jentends le docteur arriver, devant la panique de ma mère il est venu de suite. Je ne veux pas rester seule avec lui, que mes parents sortent, je veux quils restent. Le docteur veux mausculter, je nai toujours que ma serviette pour tout vêtement, mais je ne veux pas quils partent, je tiens la main de mère, je refuse de la lâcher. Mon père veut sortir, je refuse, proche de la crise de nerf. Il revient se mettre sur une chaise en me tournant le dos. « Allez-y docteur, je suis retourné».
Le docteur mausculte des pieds à la tête : voyant les marques sur mes bras et mes chevilles, il cherche des traces suspectes, autour de mon sexe, puis sur le reste de mon corps. Ma mère parle de mon auto-bondage qui a duré toute la nuit. Il continue ses examens, ne trouve rien, hormis de la tension, mais vu mon état de nerf, cest normal. Il me fait boire un léger calmant, et me parle dune voix douce. « Raconte-moi
»
Sous cette voix apaisante, Claire recommence lhistoire de son enfer. Les quinze derniers jours avec Luca sont manifestement le déclencheur de son traumatisme. Elle raconte sa sexualité publique avec ses excès, lépisode de sa nuit où elle sest auto-attachée nue au bord de leau, de son attente seule dans le noir, offerte. Au fur et à mesure, le tableau clinique se complète, Claire énonce ses besoins sexuels, emmêlés de ses fantasmes. Le docteur ne parle que pour relancer le monologue, quelle recommence à parler delle et de ses besoins, de ses peurs, de ses désirs. Claire dit tout. Elle lâche prise, cela lui fait un bien fou. Elle pleure, insiste sur sa sexualité, sans détour, pleine de honte. Reviens sur son besoin irrépressible dexhibitionniste. Le plus difficile pour Claire a été de parler son besoin de faire des fellations, davaler le sperme dinconnus juste pour le gout dans sa bouche, et pour la honte. Le docteur pense avoir le lien : la honte. Ce sera peut-être plus facile que prévu.
- « Dis-nous, ce que tu attends de nous, Claire, comment pouvons-nous taider daprès toi» dit le docteur
Jentends ma mère expliquer ce que jai fait à Claude. Jai peur, je reste silencieuse, jai peur quils ne me croient folle. Je nai besoin que de sexe. Celui de Luca bien sûr, à défaut je men fiche, surtout plus celui de Claude, je ne veux plus faire de mal à mes parents.
Après tout, je suis plutôt mignonne, ce ne devrait pas être un déshonneur pour un mec que de me baiser. Je me décide à parler
Je parle de mes fantasmes. Uniquement des moins réalisables dabord, les plus horribles, je précise que ceux-là me font peurs, que je ne prendrai pas le risque. Le docteur me parle de tout et de rien, et reviens sur mes pulsions afin que je parle de ce qui me bloque, et puis
je me lâche enfin
- « Mon premier fantasme concerne les fellations. Je voudrai une liberté totale de sucer un homme. Je voudrai sucer sans limite, des jeunes des vieux des beaux des laids, je men fiche, juste avoir leur sperme dans ma bouche. Je voudrai être vue quand je suce un homme dans la voiture, dans la rue, dans les toilettes publiques, je ne sais pas, je veux quon me voit telle que je suis, une salope, je veux avoir honte de moi, montrer à tous que javale le sperme de tous ceux qui passent. »
Ma mère ouvre des yeux ronds et pâlis. Le docteur me demande juste de continuer
- « Mon deuxième fantasme concerne lexhibitionniste. Jadore cela. Jaime être nue, que les gens regardent mes parties intimes. Je peux avoir un orgasme uniquement en étant regardée. Cela mest arrivée, je montrais mon sexe à un homme, on parlait de sexe, je me sentais mouiller, jai fini par avoir un orgasme devant lui. Cela fait longtemps que je pense à ce problème. Quand Luca mexhibait, jétais heureuse de me montrer, je veux être nue la plupart du temps, à la maison, dans le lotissement, quand je me promène à proximité. Je sais que je ne peux pas traverser la ville en montrant mon sexe à tous les habitants de la ville. Mais ce que jaime cest par exemple, ce que jai fait le mois dernier, juste un imper raz les fesses, rien dautre, je suis allé au cinéma. Dans le noir, jai enlevé mon imper, et je me suis masturbée. Là il se trouve quun mec ma vue, cest encore mieux, il sest assis près de moi, et ma caressé partout, jai jouis une partie du film totalement ouverte à ses caresses et à son regard. Je lai sucé. Jespérai même que dautres hommes allaient venir, jai été déçue, il a été le seul. Je suis sortie 5 minutes avant la fin du film dans le noir, je ne lai jamais revu. »
Le docteur dit que cela cest assez facile à organiser pour minimiser les risques.
- « Vous ne comprenez pas, je veux les risques dêtre vue, je veux choquer, je veux être honteuse de mon attitude. Le fantasme 3 est encore plus
scabreux, je veux apparaitre comme une vraie salope devant les gens, quils me considèrent comme telle. Non, pire, je voudrais être traitée comme une chienne, une chienne en chaleur serait encore mieux. Je voudrais être une salope, une salope un peu classe, pas vulgaire, ni pétasse, mais que ceux que je naime pas me considère bien comme une salope. Que jai la honte. Jaimerai pouvoir ne plus porter de vêtement à la maison même si on reçoit des visiteurs. Jai retrouvé mes vieilles genouillères de roller, je vais les porter pour me protéger les genoux, car je resterai le plus souvent possible à 4 pattes, le cul bien cambré, même dehors, dans le lotissement et quand vous irez chez des amis, vous memmènerez chez vos amis, je serai tenue en laisse comme une vraie chienne. Jai pensé aussi que si vous avez des invités à diner, je pourrai faire le service, à poil évidemment, et après avoir amené les plats sur la table je pourrai passer dessous pour soulager certains. En résumé, je voudrais apparaitre comme une salope, une vraie chienne en chaleur. »
Tous sont stupéfaits, je sais ce que je veux, mais il est impossible de réaliser cela sans provoquer une émeute, et surtout lintervention de la police. Cest un délit de se promener nu en public. Claude, mon beau-père dit
- « On pourrait expliquer aux voisins, on les connait depuis près de 10 ans, ils sont bien, tolérants. Si vous, docteur, vous pensez que cela lui ferait du bien et éviter des soins
plus lourds, il faut essayer » le docteur se demande où il a mis les pieds, il pense queffectivement la réalisation de ses fantasmes lui fera du bien, mais les risques sont énormes. Il demande
- « Hugo, je connais un Hugo. Il a un rapport avec le fils du commissaire ? » je réponds
- « oui cest lui »
- « Alors on peut peut-être essayer : je mexplique, je vais en parler au commissaire, compte tenu que son fils est mêlé à cette histoire, il sera ment plus compréhensif, plus accommodant. »
Le docteur me fait une ordonnance avec des calmants légers, et nous dit quil va revenir dans la journée.
Seule avec mes parents, je définis mieux certains de me besoins. Pour diminuer les risques, sida et autres, jaimerai me limiter à des relations sexuelles avec des gens de mon entourage, enfin plutôt de leur entourage : leurs amis, les voisins. Ma mère, septique, et surtout cherchant des objections, dit
- « Certains voisins sont moins coincés que dautres, ce serait possible. Mais je te rappelle quils ont des s qui sont au lycée avec toi »
- « Jy ai pensé, lannée scolaire est finie, ce sont les vacances puis je vais en fac. Je saurai me tenir en fac, il ne reste que les weekends et certaines soirées ici. Ce sera facile. Je vais aussi essayer de limiter mon exhibitionniste à mon fantasme chienne, donc proche de la maison. Il marrivera bien sûr de me promener nue dans certains endroits plus éloignés que jai repérés, mais ce sera plus rare. Il me faudrait aussi quelques objets au sexshop de la ville dà côté, accessoirement, je nai jamais été prise par le cul, sil existe un plug anal très petit avec une queue danimal en poil, suffisamment petit pour que je ne me déforme pas trop mon petit cul : je préfère prendre des précautions tant que je naurai pas eu une bonne bite dans le cul, excusez-moi, je mexcite, je deviens grossière. Par contre impératif, il me faut une culotte de chasteté (étonnement général) quand jaurai mes règles, si je sors dans la rue, je vais être suivie par tous les chiens du quartier. Jaurais la honte au max quand jaurai 2 ou 3 chiens qui me suivent en me reniflant le cul. Ma zoophilie sarrête là, uniquement me faire renifler le cul, comme une petite fille qui se néglige dont lodeur attire les toutous du quartier. Je frissonne, la zoophilie, beurk. Je suis une chienne, Ok, mais mes mâles à moi nont que 2 pattes et me demanderont toujours lautorisation avant de menfiler.
Enfin bref, je deviens votre chienne et vous vous memmenez chez vos amis quand vous sortez. Vous croyez que cest possible ? »
Je regarde mes parents abasourdis. Ma mère est gênée pour me dire non, je sais quelle sest déguisée en toutou lors dune soirée étudiante où mon vrai père lui avait volé sa culotte, pour lobliger à se promener cul nu. Etant très éméchée, elle lavait fait toute la soirée et avait même montré son postérieur, et le reste à certains de ses profs. Ambiance, ambiance! Mais de là à traiter sa fille en chienne en chaleur, il y a un monde. Ma mère me dit quil faut quils réfléchissent avec le docteur, mais, mon père lui coupe la parole et me rassure
- « On va essayer. On va prévenir nos amis, si cest possible on le fera»
Claire se dit génial. Je vais enfin mamuser sans trop de risque, assumer ma sexualité. Elle regarde sa mère et lui dit
- « Tu disais que cétait presque prêt pour manger, ce doit être froid, mais cétait quoi ? »
Je me mets à 4 pattes, et me dirige vers le canapé où mon beau-père est avachi, je passe devant lui en mexhibant et vais mallonger sur le tapis devant la TV. Ma mère me regarde, elle rougit, et retourne dans la cuisine, réchauffer le repas. Une vingtaine de minutes plus tard, nous passons à table tous les trois, ma mère a déjà tout mis sur la table. Je lui dis
- « Si tu le permets maman, ce sera mon dernier repas en tant que Claire ta fille, le prochain je deviendrai votre chienne, je me contenterai de manger les restes dans la vieille gamelle du chien, je resterai à genou près de la table si vous avez besoin de quelque chose. Si jai été gentille, vous me donnerez un morceau pris dans votre assiette. Merci »
Deux heures plus tard, le docteur appelle, « le commissaire a été assez facile à convaincre quand il a eu les éléments en main, enfin limplication de son fils » Le médecin passera me voir tous les deux jours pour un suivi médical.
(à suivre)
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