« Marie La Bourgeoise» : Se Transformera-T-Elle En Salope ? Partie 1/2
Je mappelle Marie, j ai aujourdhui 55 ans, daprès tous les hommes que je côtoie, jaurais un physique très agréable, ma coupe de cheveux, dun châtain très clair à la limite du blond est mi longue et soyeuse. Mon entourage saccorde à dire que je suis féminine, sensuelle, coquette et me liant facilement, très sympathique. Probablement légèrement enrobée, 60 kg pour 1m64 mais jai de jolies jambes bien galbées que jaime recouvrir de bas retenus par des porte-jarretelles ou nues en été lorsquil fait beau et chaud. Cest la raison pour laquelle, jaime porter des robes ou des jupes courtes et sexy. En haut, je porte souvent des chemisiers ou des bustiers avec un large décolleté mettant en valeur ma poitrine dense de femme mure. Pour mes seins un peu lourds mais néanmoins bien gonflés, je choisis des soutiens gorge en dentelle dun bonnet 95C. Le matin après ma douche, une fois maquillée, jaime me regarder dans la glace avec des sous-vêtements coquins avant de m'habiller pour la journée en espérant quun jour, je les montrerai à mon amant.
En effet, javais connu dans ma jeunesse lamour, je métais mariée trop jeune avec un homme bien plus âgé que moi avec lequel javais tout subit sexuellement, de la fellation en gorge profonde, à la pénétration vaginale dans toutes les positions et bien entendu, la sodomise. Néanmoins, après trois années, javais vite compris que je devais le quitter, il était très possessif et dune jalousie maladive. Il me frappait régulièrement car il mimaginait toujours avec dautres garçons, pourtant je ne lavais jamais trompé. Après mon divorce, je métais jurée de ne plus me marier, les hommes me faisaient peur. Pendant dix ans, je connus que quelques aventures sexuelles mais je ne trouvais aucun réel plaisir même si je laccorde, jaime faire lamour. À trente-trois ans, je vivais toujours seule et pourtant un jeudi soir, jétais sortie avec une amie en discothèque où javais rencontré Manuel.
Portugais dorigine, Manu était beau, grand costaud et très velu. Cétait un homme marié, un maçon travaillant sur un chantier en déplacement dans notre ville. Ce fut avec lui que je connus mon premier véritable orgasme. Il était divin, nous faisions lamour tous les soirs de la semaine. Malgré ces joutes sauvages, jappréciais de plus en plus dêtre sous sa domination. Pourtant il ne maimait pas, il avait trouvé en moi « une salope à baiser » comme il me le disait souvent mais je ladorais et jattendais avec impatience la fin de la journée afin quil vienne me retrouver chez-moi. Il me manquait les week-end et il mavait demandé de ne coucher avec personne dautre que lui. Malgré cela, je ne lai jamais trompé pendant une année complète, jétais tellement bien avec lui que je ne voulais pas le perdre. Néanmoins, une fois la construction de louvrage terminé, je nai jamais plus eu de ses nouvelles, jen ai pleuré pendant des semaines et au fil du temps tout sefface mais je le garderai toujours dans ma mémoire.
Par la suite, javais eu dautres aventures sexuelles sans lendemain, Manuel était dans mes pensées lorsque je faisais lamour avec mes partenaires dun soir. À aucun moment je pris autant de plaisir quavec lui, je rêvais de rencontrer quelquun comme lui qui saurait me faire prendre autant de jouissance. Malheureusement, cétait resté quun fantasme, car huit ans plus tard, je fis la connaissance de Régis, mon ainé de dix ans, un homme bedonnant, les cheveux précocement blancs mais très charmant et dune gentillesse sans faille. Javais à lépoque 42 ans, javais des sentiments pour lui dautant plus quil était temps que je me case, javais trouvé en lui une perle rare que beaucoup de femmes aurait voulu être à ma place car cétait un homme très câlin et sentimental. Javais appris à laimer, ce fut la raison pour laquelle, javais accepté quelques mois plus tard, sa demande en mariage.
Depuis notre union, javais renoncé à ma carrière professionnelle car Régis gagnait très bien sa vie et mavait convaincue darrêter de travailler pour moccuper de ma maison, jétais donc devenue "femme au foyer" comme on dit.
Pourtant, la seule ombre au tableau, cétait quil nétait pas un étalon côté sexuel. De surcroit, il nétait pas imaginatif du tout, nous faisions lamour en missionnaire et uniquement dans le lit conjugal. Cependant jadorais les soirées passées ensemble sur le canapé lorsquil me faisait des papouilles et des cajoleries avant de monter dans la chambre. Puis plus les années passaient, moins il était en forme, Régis nassumait plus et je sentais que cela le gênait, il avait honte lorsquà peine son sexe dans mon vagin, il éjaculait sans véritablement avoir eu une érection digne de ce nom. Je navais jamais voulu lui dire que jétais en manque sexuellement parlant, je me contentais de lui dire que je pouvais men passer.
Après quelques années de mariage, nos rapports sespaçaient de plus en plus, je fus contrainte de commander sur internet un sextoy que je choisis de la taille de mon ancien amant, mon maçon qui savait me satisfaire. Javais donc appelé mon jouet « Manu » bien entendu et lorsque jétais au lit à côté de Régis, après mêtre frottée sensuellement contre lui, épuisé par ses journées de travail mon cher et tendre sendormait. Je sortais alors, Manuel du tiroir et je prenais mon plaisir en fantasmant. Le fait est, que mon époux, travaillant malheureusement encore beaucoup, aujourdhui me délaisse quelque peu, mes amies ayant encore une activité salariale, je mennuie la semaine toute seule dans ma grande maison toute la journée.
Tous les soirs au lit je rêvais davoir un amant mais cela restait au niveau du fantasme.
Cet après-midi-là, au super marché où je faisais mes courses, un homme attendait au comptoir de la boucherie. Je nen croyais pas mes yeux, dès que je lai aperçu, je savais que cétait lui mon prochain amant. Je ne le fixais pas dans les yeux, je le regardais uniquement du coin de lil. Cet homme, la quarantaine passée, avait un physique de sportif : grand avec son 184 m, large dépaule, le ventre plat et musclé, les cheveux noirs, coupés très court. Habillé dun débardeur, je pouvais voir quil était très poilu, son corps devait être recouvert de poils bien noirs des bras aux épaules et sur le torse découvert. Il était velu comme jaimais et cela ne se voyait pas habillé, mais ses abdos et son dos jusquà la naissance de ses fesses, je le devinais. Le teint mat, les yeux dun bleu intense et son sourire me firent craquer immédiatement.
Cétait exactement lhomme que jespérais rencontrer, il était dans mes rêves les plus érotiques. À cet instant, jattendais quune chose, quil me courtise, quil me parle. Une fois servi, son paquet à la main, il me dévisagea de la tête au pied et je compris très vite quil me regardait avec envie, malheureusement il ne dit rien et disparut dans les rayons. Une dizaine de minutes plus tard, mes courses chargées dans mon coffre, je démarrai ma voiture et me dirigeant vers la sortie, japerçus ce fameux client de la boucherie debout devant son capot ouvert doù sortait une épaisse fumée blanche.
Vous avez sans doute besoin daide. Vous êtes en panne ? Puis-je faire quelque chose ?
Cest gentil vraiment mais je crains que ma voiture dorme ici. Le moteur à rendu lâme.
Désirez-vous que jappelle un ami, il est garagiste ?
Non merci, elle est foutue, je viendrai la remorquer demain avec mon pote. Par contre vous seriez très gentil si vous pouviez me déposer chez moi. Jhabite à Martinville et vous ?
Ce village nétait pas très éloigné de mon domicile, je ne devais faire quun petit détour, je voulais lui dire oui immédiatement mais au dernier moment, je fis la moue et dit un peu timidement :
Heu
Je suis de Jeancourt
cest-à-dire
Monter un inconnu dans ma voiture, ça ne se fait pas. Je ne prends jamais personne en auto-stop.
Vous habitez à côté, juste un tout petit détour. Tiens ! Prenez ma pièce didentité si vous voulez, je ne vous veux aucun mal, bien au contraire, vous avez lair si gentille et vous savez, vous êtes ravissante. Allez, sil vous plait, dites oui.
Je réfléchis un instant, je savais dans mon fond intérieur que si jaccepterais, cétait loccasion pour moi de faire sa connaissance. Mais jattendis un long moment sans répondre, il me regardait en prenant son plus beau sourire et jacceptai sa demande :
Bon daccord, chargez vos courses et allons y.
Je savais dès à présent que cet homme ne me voulait aucun mal et sa panne nétait pas du cinéma, au vu de la fumée qui sy échappait encore. Dans la voiture, nous avons fait un peu connaissance, il sappelait Cyprien était divorcé. Je lui donnai mon prénom, lui dis que jétais mariée, que mon homme travaillait encore, que javais donc le temps de faire ce petit détour. Arrivés à destination, Cyprien posa sa main sur la mienne, je nattendais que cela, quil fasse le premier pas et il le fit. Je ne retirai pas la mienne et lui sourit en le regardant. Il me dit alors :
Vous avez des doigts magnifiques, enfin rien nest à jeter chez-vous. Je serais ravi de vous offrir un verre à la maison et surtout ne refusez pas.
Heu
Je ne sais pas
si je dois
Marie ! Vous devez accepter. Dit-il dun ton suffisamment ferme, me fixant droit dans les yeux.
Ce quil avait pensé de moi, se vérifia. Jétais tombée sous son charme, je tremblotais de bonheur, je devais lui refuser car je savais que ce nétait pas que pour boire un café mais je nai pas pu lui refuser, je lui souris de nouveau et accepta linvitation en répondant timidement :
Daccord mais je ne reste pas longtemps, jai le diner à préparer.
Dès cet instant, la partie était gagnée, Cyprien savait désormais que je ne tarderais pas à succomber. Il navait pas attendu longtemps, après sêtre lavé les mains pendant que je minstallais dans le salon et après avoir trinqué devant un verre de blanc sec, il se resserra contre moi, me prit par les épaules et mattira à lui. Je me laissai emporter, cétait exactement ce que jétais venue chercher. Cet homme me rendait folle, tout me plaisait chez lui, son physique, sa voix, jusquà son odeur forte et sa lotion de toilette enivrante, jétais toute excitée dans ce baiser fougueux.
Joffris ma bouche et ma langue à mon partenaire qui me léchait, me laspirait et la mordillait. Nous restâmes un bon moment ainsi, soudés avant quil ne me prenne la jambe pour la passer au-dessus des siennes. Je me laissai faire et je métais retrouvée à califourchon sur lui. Notre baiser se poursuivait, bouches à demi ouvertes, nos dents sentrechoquaient, nos langues sagitaient, sentremêlaient, tournaient et retournaient pendant que je lui caressais la nuque et les épaules. Cyprien avait relevé ma jupe et me triturait les fesses rebondies. Nos pubis face à face, je ressentais son excitation, je faisais des mouvements de bassin en mimant lacte damour pendant quil passait ses doigts sous le tissu fin de mon string en sapercevant que jétais dans le même état dexcitation que lui :
Mais tu mouilles comme une ado. Dit-il en interrompant ce baiser passionné.
Il continua son doigté en titillant mon clito sorti de sa protection, cette caresse intime me fit couler encore un peu plus de cyprine, je ruisselais, laissant échapper ce liquide sur les doigts de mon amant qui jubilait davoir trouvé une bourgeoise en chaleur. Il comprit que jétais sienne, il me donna un nouvel ordre :
Marie ! Mets-toi devant moi que je tadmire.
Je me redressai, jexécutai sans discuter et me plaçai debout face à lui comme il me lindiqua. Cyprien mattira un peu plus près de lui et posa ses mains sur ma poitrine et commença un petit pelotage en bonne et due forme en insistant sur les mamelons imposants érigés par lexcitation. Tout en continuant le malaxage dun sein, il repassa lautre sous ma jupe et la glissa de nouveau dans son string. Jeus un nouveau frisson, cela allait beaucoup trop vite, je ne connaissais Cyprien que depuis une heure que déjà je moffrais à lui comme une salope et le comble, cétait que je ne le refusais pas. À ce moment précis, rien nempêchera Cyprien de me baiser comme une chienne, il en était persuadé :
Tu es ravissante, je veux te voir à poil. Montre-moi ton cul et tes gros nichons.
Jallais encore succomber à ses désirs, je voulais exécuter son ordre mais au dernier instant, je sus que jallais trop loin. À la pensée que jallais tromper lhomme que jaimais et que cela pouvait être irrévocable, je me forçai à refuser même si cela meut été difficile :
Non Cyprien, je ten prie, je dois partir.
Ce nest pas lenvie qui ten manque dis-moi. Pourquoi es-tu monté chez-moi ? Pour faire la vaisselle ou pour baiser avec moi ?
Bien sûr ! Jai très envie de toi mais cela va trop vite, je ne sais pas ce qui se passe mais
Il minterrompit brusquement, je vis dans son regard que je le décevais et dun ton sec, il rétorqua :
Tu nes quune petite allumeuse Marie
Avant quil finisse sa phrase, je vins me plaquer contre lui, cherchant sa bouche pour lui faire un bisou et jajoutai :
Il est trop tard Cyprien, mon mari doit être rentré, il va simpatienter et sinquiéter. Une autre fois, voilà mon numéro de portable, appelle-moi.
Il mattrapa par la taille et membrassa sensuellement, avant que je le quitte. Sil était déçu, jétais comme lui, jaurais bien voulu poursuivre la soirée avec lui mais je ne le pouvais vraiment pas. À la maison, après le dîner, installés dans le salon, toujours excitée par mon entrevue avec Cyprien, je collais Régis je frottais mon pubis contre sa cuisse, le caressais, lui faisant quelques bisous dans le cou mais étant trop absorbé par son thriller, il me dit dattendre la fin de son film.
Lorsque nous nous sommes couchés, Régis savait ce que je désirais, il mavait caressé et embrassé pendant que de mes mains jessayais en vain de lui donner une belle érection. Il menjamba et me pénétra de sa verge mi dure, il fut étonné de ne pas avoir eu à saliver, jétais suffisamment lubrifiée. Très vite il se vida dans ma chatte, sessuya, se retourna et sendormit après mavoir embrassée.
Comme à chaque fois, je sortis « Manu » et mamusai avec, pendant une bonne partie de la soirée en pensant à Cyprien, avant de mendormir à mon tour. Le lendemain matin au petit déjeuner, Régis était tout penaud, il mavait surprise en train de me masturber la veille et cela lavait perturbé. Il navait rien dit et fit semblant de continuer à dormir tout en me regardant prendre du plaisir avec mon sextoy. En baissant légèrement la tête, il mavoua quil était très gêné que jen arrive à cela :
Tu dois être malheureuse mon amour. Jai essayé les pilules du docteur mais je narrive pas. Me trompes-tu ?
Bien sûr que non Régis ! Que vas-tu imaginer ? Jai honte aussi tu sais dutiliser cet engin mais au moins il me fait du bien.
Je ne te demande quune seule chose ma chérie. Si un jour tu le fais avec un autre homme, je ne veux pas le savoir, ça me ferait trop de peine
Ne voulant pas poursuivre sur le sujet, je me levai de la table et vins lembrasser avant de lui dire dans loreille : « Je taime mon amour ». Les jours suivant, jétais très déçue, je navais plus de nouvelle de Cyprien, je pensais quil mavait déjà oublié et quil avait trouvé une femme plus jeune et plus jolie que moi. Tous les jours, je lui avais envoyé des textos et il ne donnait pas suite. Pourtant, quatre jours plus tard, il était 21 heures lorsque je reçus un SMS. Mon mari étant un peu sourd et avec le volume important de la télé, il navait pas perçu, le son de la sonnerie. Je métais levée et dit à mon homme que jallais me coucher, pressée de regarder mon message :
Appelle-moi dès que possible. Cyprien
Je savais que je devais faire très attention mais je ne voulais pas rater cette occasion. Jétais montée dans la salle de bain et après avoir fermé la porte, javais appelé immédiatement lhomme qui mavait fait craquer. Je vous raconterai la suite dans un autre récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, jaimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous.
Si comme Marie, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, avec votre aide, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!