Didier Mon Banquier Cochonou

Mon banquier cochonou n'est pas "mon" banquier mais un banquier quand même, didier je l'ai connu il y a un bout de temps on a même vécu un peu ensemble quelque temps, moi j'avais 35 ans, lui aussi et on avait été attiré l'un vers l'autre, c'était après mon divorce, lui il n'y avait pas de danger qu'il tombe amoureux d'une fille car il détestait tout ce qui était féminin, il y a des mecs comme ça, moi non, ce n'est pas parce que je suis homo que je déteste les femmes, pas du tout, perso je ne couche pas avec elles car je n'aime pas les chattes et les nibards ne m'attirent pas du tout mais je reconnaîs qu'il y a de belles nanas puis je le dis tout le temps une femme c'est intuitive, ça ne réfléchit pas comme nous, ça a un côté plus doux, c'est normal c'est une femelle qui donne la vie, c'est vrai que dans le lot il y a aussi de sacrées garces, de vraies salopes qui n'hésitent pas à nous en faire chier mais en fait une femme reste le sexe faible, enfin c'est ce qu'on dit, faible mes couilles, elles sont bien plus robustes que nous d'ailleurs elles vivent plus longtemps que nous.

Comme didier était toujours fourré chez moi pour se faire "fourrer" un jour je l'ai vu venir avec ses pantoufles et de ce jour il a prit pension, ça ne me déplaisait pas même si j'avais également un régulier en même temps à qui ça ne plaisait pas trop mais ce type était marié avec une femme et ne venait qu'épisodement chez moi, après tout j'étais libre et je faisais ce qui me plaisait donc didier était là, lorsqu'il rentrait le soir, il n'avait qu'une hâte, m'embrasser, enfin il ne m'embrassait pas il me bouffait carrément la gueule en me disant tout le temps :
- Qu'est-ce que j'aime embrasser un mec, j'adore ça puis toi tu embrasses bien, putain je bande à fond.

On passait un temps fou à se rouler des galoches et quand je sentais ma sève monter dans ma queue je lui disais :
- Didier, je vais te gicler dans la bouche, là il était fou il ouvrait son four tout tremblotant en me masturbant la queue jusqu'à ce qu'elle envoie sa purée qui lui attérissait sur la langue et il me pompait jusqu'à essorage complet de ma bite, évidemment qu'après on se roulait encore des pelles mais cette fois-ci au foutre puis ça me donnait envie de l'enculer ce mec, on était souvent sur un canapé alors comment je le défroquais vite fait et paf, je lui plantais direct ma queue dans le cul, didier a toujours été fou de mon sexe il l'absorbait en entier en me disant :
- Vas-y, bourre-moi bien, j'adore quand tu m'encules, ta bite est bonne et tu me remplis bien si tu fais des va et vient je vais jouir, je ne peux plus me contrôler.


Et plus souvent qu'à son tour de sa grande quéquette jaillissait un bon paquet de sperme qui noyait tout son corps pris dans de soubressauts tant il jouissait.

Le matin au petit déjeuner il prenait un café noir sans sucre ou il trempait un bout de pain sans rien dessus, je me suis toujours demandé comment il pouvait avaler une telle mixture, déjà que moi le café je n'aime pas alors sans sucre, berkkk, enfin si lui il aimait ça après tout je n'allais pas le dégoûter le julot, où j'aimais bien l'emmerder c'était quand il s'apprêtait à partir au boulot dans son beau costume, là je le pelotais tellement qu'il rebandait sec, je le défroquais et je l'enculais rien que pour qu'il me dise :
- Yanno je vais être à la bourre mais je ne peux rien te refuser à toi, vas-y baise-moi, tu es mon mec !

Puis un jour je l'ai fait pleurer parce que mon mec marié venait de divorcer et qu'il voulait habiter avec moi, là j'ai dit à didier que je ne pouvais plus continuer avec lui, ouais j'ai été le roi des pourris et je m'en suis terriblement voulu mais des deux je préfèrais l'autre, enfin il fallait que je choisisse, je ne pouvais pas vivre avec 36 mecs surtout qu'un autre m'avait aussi demandé de partagé mon appart avec lui, ah tous ces mâles, putain mais qu'est-ce qu'ils me voulaient tous ? enfin par la suite j'ai regretté didier, je ne peux pas dire que je l'ai aimé d'amour, l'amour ça ne se commande pas puis mon autre copain faisait plus mec, ce que je recherchais toujours mais j'aimais bien être avec mon petit banquier surtout qu'il n'était pas méchant pour deux ronds ce type, il m'a dit que j'avais été dégueu avec lui de le larguer et c'est vrai, qu'elle enflure j'ai été mais comment faire autrement ? plus tard j'ai appris que didier était parti à paris avec un copain ce qui m'a consolé un peu même s'il m'écrit toujours ses regrets de ne plus être avec moi... le reverrai-je un jour si c'est oui je recoucherai avec lui et si c'est non ce sera bien fait pour ma gueule, on ne joue pas avec les sentiments des gens mais ça .
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yanno


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