Marteau Piqueur

Marteau Piqueur

Après les six semaines de prolongation de mon séjour à Ibiza, dont je vous raconterais peut-être le détail dans un autre récit (Suite de Voyage et Découvertes), je suis allé passé quelques jours chez mes grands-parents, que j’adorais, dans notre village de l’arrière-pays niçois.

Tout le monde se connaissait, avec des grands sourires, souvent de façade, mais chacun des habitants possédait un bout de jardin, plus ou moins grand, pour y faire pousser des légumes, des vergers, et aussi, pour bricoler, la plupart y avait une grange, une barraque ou une vieille maison inhabitée, tenant par miracle.

C’était quand même assez haut dans la montagne, donc les terrains étaient en « planche », comme on disait chez nous, à savoir en espalier, et assez discrets les uns des autres.
Je m’y baladais assez souvent, d’abord pour me promener, mais aussi pour chaparder quelques fruits, cerises, poires ou pommes. J’avais ce qu’il fallait chez moi, mais c’est tellement meilleur quand c’est « volé » … !!! On nous laissait faire de manière bienveillante, sous réserve que nous prenions attention aux arbres, sans casser les branches. Souvent, les hommes nous criaient dessus, mais c’était davantage pour la forme et montrer leur surveillance pour qu’on ne détruise rien.

Ma préférence était un poirier avec des fruits hyper juteux, sucrés et savoureux, sur le champ de Jeannot, situé pas mal à l’écart des autres avec une vieille bâtisse dans laquelle il travaillait souvent. Le fameux Jeannot, dit, le « Marteau Piqueur ».
Très jeune, j’avais été fasciné par sa virilité, ses poils sortant de partout et son énorme bosse entre les jambes dont je ne pouvais pas savoir encore, ce qu’elle représentait. On était devenu de quasi-copains tous les deux, où, quand je venais le voir, il me donnait de ces fameuses poires que j’aimais tant, mais aussi des framboises ou autres fruits, et il nous arrivait souvent de partager un café qu’il préparait sur son poêle, il était presque toujours tout seul, s’évadant d’un couple mal assorti avec sa femme.



Vers ma majorité sexuelle, après mes16 ans, il s’est montré un peu plus tendre avec moi, avec quelques câlins, petites caresses sur mon dos et mes fesses, petits bisous, sans jamais aller plus loin. Mais je sentais, à chaque fois qu’il se rapprochait de moi, que le pieu qu’il avait entre ses cuisses, devenait une véritable poutre de bois.

Même si je n’avais connu le « Loup » que bien plus tard, à Ibiza, je connaissais la vie, et j’avais très bien compris ce que cela signifiait, je prenais plaisir à prendre ce gros morceau en mains pour le branler et le faire jouir dans sa salopette, sans jamais aller plus loin.
Mais cette année-là, mes 18 ans étaient arrivés, mon cul avait été ravagé à Ibiza, et finalement, j’avais bien envie de goûter à « Marteau-Piqueur », je n’avais pas été perforé depuis plus d’une semaine et ça commençait à me manquer, surtout que depuis mon plus jeune âge, je savais que c’était du très lourd pour l’avoir vu pisser et l’avoir déjà branlé. !!!

Du coup, presque tous les matins, j’allais prendre le café avec lui dans sa grange, le félicitant de plus en plus pour son extrême virilité, caressant ses poils, surtout qu’il laissait sa salopette bien ouverte, son énorme touffe dépassait de son slip « Kangourou » ainsi qu’une bonne moitié de son membre, gonflé à bloc.
« Jeannot, je commence à comprendre pourquoi on t’appelle Marteau Piqueur ! »
« Et encore, tu vois que le bout »
« C’est si gros que ça ? »
« Regarde ! »
Il a baissé sa salopette et son slip laissant apparaitre, devant mes yeux, un truc monstrueux qui ne bandait même pas totalement, avec les couilles en rapport. J’avais l’impression d’avoir Medhi devant moi, et même davantage.
« Tu veux toucher, touche… !!! »
Je ne me suis pas fait prier pour le prendre des deux mains, lui faisant atteindre sa taille maximale, et commencé à lui téter le gland. Il sentait fort, l’homme, ce qui me manquait tant depuis mon retour.
J’ai réussi à en ingurgiter quand même le quart, pendant ses doigts s’inséraient dans mon short, sans slip évidemment, et qui ont pu constater l’ouverture facile de ma vulve.
« On dirait qu’il y a déjà pas mal eu de bites passées par là, non ? »
« Oui… J’aime trop ça… !!! »

Sans aucune façon, il m’a courbé sur son établi, ôté mon short qui entravait mes jambes et a frotté son énorme gland sur ma fente. Il a compris quand même que cela n’allait pas être si facile que ça, et a vite chopé un tube de je ne sais quelle crème qu’il utilisait en cas de blessures, pour me tartiner la chatte et son pieu monstrueux.
Je me savais totalement propre, tous les matins je me faisais un lavement profond, dans l’attente que ce moment arrive et il est arrivé. Jeannot s’était enfin introduit dans moi, malgré la douleur horrible de son gland proéminent, le reste a suivi, en totalité, jusqu’à ce que je sente ses couilles me battre les fesses.

Il m’a baisé relativement doucement au début, puis il s’est déchainé quand il a constaté que mon conduit l’encaissait sans problème, ses mains me crochetant les hanches pour aller le plus loin possible, son torse velu épousant mon dos.

Même si cet accouplement était hors normes, j’avais l’impression d’être ouvert en deux, le plaisir était hyper intense et partagé. Il s’est déversé en quantités phénoménales de sperme dont je ressentais chacune des puissances de ses jets. Il est resté en moi, quasiment sans débander, et il a recommencé à me posséder, se vidant à nouveau de son merveilleux nectar.

Son regard sur moi restait ambigu. A la fois celui de l’homme trop heureux de s’être vidé les couilles, mais aussi la gêne de m’avoir possédé, en totalité, avec autant de force et d’une manière quasi-bestiale. Jeannot était un homme rustre, mais profondément gentil que j’avais toujours apprécié depuis mon plus jeune âge.
En me resservant un café, il s’est un peu lâché et nous avons pu parler, se doutant, que ni lui, ni moi, allions ébruiter ce qui venait de se passer.

« Marc… Je n’ai plus fait l’amour depuis si longtemps. D’abord, Fifine (sa femme), n’aime pas ça, en plus elle pleure à chaque fois que je la pénètre, et encore, qu’en partie, j’ai l’impression de baiser un bout de bois »
« D’accord Jeannot, mais il n’y a pas qu’elle dans le village, non ? »
« C’est vrai, mais ici, tout ce sait très vite, en plus, elle a sournoisement fait comprendre aux femmes que coucher avec moi était un véritable enfer, décrivant ses soi-disant souffrances à mots couverts, suffisamment explicites. »
« Pourtant, d’après les on-dit, tu as une solide réputation de Marteau Piqueur, non ? »
« C’est là le problème… Ca génère beaucoup plus la peur que le désir. »
« Quelles connes…. C’était super bon pourtant… !!! »
« Je peux te poser une question, Marc ? Mais tu n’es pas obligé de me répondre. »
« Vas-y… »
« Comment tu as pu supporter ma bite en entier, aussi fort et aussi profond ? »
J’ai hésité un instant, et je lui ai raconté mon séjour à Ibiza, pas en totalité bien sûr, lui expliquant que l’homme qui avait pris mon pucelage avait un sexe comparable au sien, un peu moins gros quand même, et qu’il avait ouvert mon ouverture en totalité, perforant aussi le deuxième passage.
« Mais tu as dû hurler de douleur… !!! »
« Horrible… Du moins au début, mais quel plaisir après, surtout que ça a duré presque deux mois. »
« Je comprends mieux maintenant notre jouissance, et que même si c’était pas facile, j’arrivais à te pénétrer. »

Je ne sais pas si c’était notre dialogue ou son manque depuis une éternité, mais son monstre avait repris toute sa vigueur, ses mains ont écarté mes cuisses, et après quelques frottements sur ma vulve, il s’est à nouveau introduit en moi d’un trait, de toute sa longueur. Enfin, Jeannot avait pu baiser autant qu’il en avait envie.

C’étaient les vacances pour lui aussi, qu’il prenait en septembre, raison pour laquelle il bricolait tous les jours dans sa barraque et dans son champ.
Je devais rester encore deux semaines au village avant de redescendre à Nice pour aller à la Fac.

Ma grand-mère savait que j’étais assez solitaire, n’aimant pas trop mes ex-« copains » de mon école primaire, suite à de méchantes moqueries sur ma famille pendant mon enfance, et que je préférais me promener tout seul ou aller souvent jouer aux cartes avec mes grands-tantes, dans l’après-midi.

Tous les matins, j’allais le voir pour le café et me donner à lui, rien ne me faisait plus plaisir que de sentir son énorme rostre me défoncer l’opercule. Il m’arrivait même d’écourter les visites à mes tantes pour aller me faire remettre un coup de bite.

Ce qui me faisait marrer le plus, c’est que le soir, quand j’aller chercher mon grand-père au bistrot, il buvait souvent un verre avec lui… S’il avait su que son pote m’avait défoncé la chatte juste avant, cela aurait été vraiment, grotesque, surtout que Papy sentait Jeannot plus épanoui et moins triste… Grâce au cul de son petit-fils.
Ces deux merveilleuses semaines m’ont permis de réaliser mon rêve… Me faire défoncer par Marteau-Piqueur, qui, je le confirme, méritait bien sa réputation… Putain de bite… !!!

Toutes les bonnes choses ayant une fin, j’ai commencé les cours à la Fac en Octobre, en me disant que je devais aller rendre visite à mes grands-parents beaucoup plus souvent.


Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!