Nadia, Ma Belle-Mère Ou La Mère De Virginie
Je ne pensais pas écrire cette histoire sur Nadia parce que je voulais la garder pour moi. Virginie nen a jamais rien su (jusquà ce jour !!). Pourtant, il y a bien une histoire, une seule histoire avec Nadia, la mère de Virginie. Mes lecteurs se souviendront sans doute du jour où je lai surprise dans son bain, entièrement nue, et puis, en ce temps-là, étant particulièrement timide, je nai pas osé aller beaucoup plus loin et sans doute si javais osé, je me serais pris une gifle sur la figure.
Ce qui sest passé sest donc déroulé bien plus tard où jai eu plus dassurance. Je nai jamais cherché à draguer Nadia. Au mieux, jai pu fantasmer sur elle une fois ou deux mais de loin cest bien Virginie que je préférais. Pour si les choses et pour ceux qui nauraient pas lu mes précédents récits, je vais rappeler brièvement qui est Nadia.
Voilà, depuis quelques temps, je suis en couple avec Virginie. Nous sommes étudiants. Moi en fac, et Virginie qui termine un BTS de commerce. Nous avons dans les 22/23 ans. Nadia est la mère de Virginie. Une bien belle femme, un sourire ravageur, une silhouette de femme mûre et
un magnifique tour de poitrine !
Nadia vit toute seule depuis plusieurs années. En fait, depuis son divorce davec le père de Virginie. Virginie vit avec sa mère. Les deux femmes partagent une maison pour elles seules, parfois avec quelques rivalités entre elles. Nadia na jamais eu de vue sur moi jusquau jour où, ne sachant trop ni comment ni pourquoi, elle me dragua un jour ouvertement où je métais retrouvé seule avec elle sans sa fille. Nadia me demanda naturellement comment cela se passait avec sa fille et quelles étaient mes intentions. Je fus extrêmement surpris par sa question puis je compris quelle avait envie de moi. La belle (Nadia) sattachait à me faire savoir que ce nétait pas pour me tester vis-à-vis de mes sentiments pour sa fille. Mais, elle mavoua avoir rencontré très récemment un homme, même âge quelle, avec qui elle voulait concrétiser.
Dans la cuisine, Nadia saccrocha à moi, magrippant par le cou. La belle gémissait de plaisir. Je navais jamais vu cela chez une femme. Elle mouillait abondamment. Soudain, jai eu envie de la retourner et de la prendre en levrette sur le plan de travail. La belle ne se fit pas prier. Cétait chaud. Elle était chaude. En la baisant sur le plan de travail, avant la levrette, je pouvais sucer et lécher ses seins. Quils étaient magnifiques et bien plus gros que ceux de Virginie. Je pense à un 95D ou quelque chose comme ça.
En levrette, Nadia se cramponnait aux meubles et écartait tantôt ses fesses de ses mains. Je laurais bien sodomisé mais non, la dame ne voulait pas. Elle mavoua ne lavoir jamais fait. En levrette, mon sexe faisait des allers-retours à toute allure. La belle jouissait comme je ne lavais jamais vu, et pour cause. Sa chatte était luisante de mouille. Puis je lui ai dit : « maintenant, il va falloir me sucer ! ».
Je nen revenais pas davoir dit cela. Moi dire ça à la mère que ma copine, cétait un truc de dingue. Parfois, dans le feu de laction, on ne sait plus ce que lon fait. Nadia sest retournée vers moi et sest mis à genoux. Le carrelage était trop froid et trop dur.
Après la branlette entre ses seins. Putain quelle était belle à me branler comme ça ! Je vis Nadia me chevaucher et qui me disait : « je te veux en moi ! Je te veux en moi encore ! » A lentendre, jeu limpression quelle avait vraiment envie de moi depuis longtemps, et que sa rencontre et son baratin sur son divorce nétaient quun prétexte. La belle prit mon sexe et se lintroduisit elle-même dans sa fente. Dune main, elle gardait mon sexe, de lautre elle venait et repartait sur mon sexe en sens inverse. Jeus mal tellement le désir et le plaisir furent intenses. Ma queue chauffait. Elle était rouge comme je ne lavais jamais vu. Devant tant dexcitation, il ny avait plus quune seule issue : en poussant Nadia sur le côté, je la retournais à quatre pattes sur le canapé. Je lui écartais à nouveau les jambes et lai prise encore une fois en levrette. Jembrassais ses fesses. La belle en voulait encore. Jai introduit mon dard dans sa chatte (putain, trois fois déjà !). La belle était secouée et fut un instant plus belle que ma chérie. Jai joui en elle, sur ses fesses et jen ai mis partout.
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