La Vie Est Belle...

Bonjour,
Les histoires que je vais vous raconter sont totalement réelle et en rien exagérée. Voici l'histoire de ma vie, ma vie sexuelle.
Pourquoi venir ici et raconter cela, simplement pour vider mon sac, me suis bien assez vidé les couilles donc ca fait un grand sac a vider.

J'ai aujourd'hui 42ans, je vais passer mes petites histoires de jeunesse pour passer a l'essentiel, ma première histoire d 'amour sincère et durable.
Cette fameuse putain de première histoire d'amour qui détruira probablement une partie de votre vie.
Cette fameuse putain de première histoire qui aura un impact sérieux sur vos déviances sexuelles futures.
J'espère que cela n'a pas été le cas pour vous, moi, elle m'a emmenée dans le plus profond état désespérant et glauque mais je ne jette la pierre a personne, j'aurais du faire mieux, simplement.

Elle était cool cette fille, j'avais 20 ans, elle 18. Blonde, un peu ronde, gros cul, gros seins, elle était vierge et me faisait bander comme un malade, jusque la, tout est normal.
Elle était amoureuse de moi, j'étais raide dingue d 'elle. J'étais dans un état ou j'aurais fait n'importe quoi pour la satisfaire sur tout les points. Bien sur elle vivait encore chez ses parents, elle était encore aux études.
Parents du genre sévère, on ne se voyait pas beaucoup, en cachette de temps en temps a la sortie de son école. Au début, nous ne faisions que nous embrasser, je l'aurais embrasser des heures entières. Petit a petit, mes mains passaient sur ses seins.
De manière hésitante au début et devant l'acceptation de mes doigts en terrains privés, je me laissait aller très vite a des gestes plus brusques, plus chaud.
Elle venait parfois avec une petite jupe en jeans, je m'en souviens encore !
Il ne me fallait pas longtemps pour glisser ma main entres ses cuisses et lui caresser sa petite chatte encore toute serrée. Les petits gémissements qu'elle poussait dans mon oreille me rendait dingue.


Les semaines passaient et on allait de plus en plus loin, debout contre un mur de sa chambre un jour ou ses parents n'étaient pas la, j'ôtais son sweet et dégrafais son soutient gorge, laissant tomber ses deux gros seins.
Je les prenaient pleine mains, les léchaient, elle caressait ma queue, on se retrouvais au sol, je baissais son pantalon pour aller lécher son vagin trempé. Elle jouissait dans de nombreux spasmes.
Elle se redressa et sans rien dire, prit ma queue pour la première fois en bouche. Elle ne l'avait jamais fait a personne, je kiffais de regarder son visage et ma queue dans sa bouche. Elle ne suçait pas bien mais je jouissais en 2 minutes tellement j'étais chaud.
Je retirais alors sa tête de ma queue et je giclais sur ses seins. Quel plaisir de voir mon sperme s'étaler sur ses deux grosses mamelles qu'elle tenait a deux mains.

Il fallut plus d 'un an pour que je la baise totalement, après a voir fait nos préliminaires dont on avait maintenant l'habitude, j'enfonçais ma queue doucement en elle. Pas encore de positions, juste un missionnaire banal.
Le temps passait et nos ébats progressait en tout point. Elle était maintenant totalement libérée, nous étions depuis deux ans ensemble.
Elle me demandait de passer a son école pour que je la saute dans les toilettes vite fait, elle avait besoin de sexe presque plus souvent que moi.
Elle me pompait assise sur le pot puis je m'asseyais a mon tour et elle venait sur moi après l'avoir fait jouir avec mes doigts ou ma langue.
On baisait partout, dans les toilettes d'un fast Food, dans une salle de cinéma, dans un bois lors d 'une ballade, dans le creux d 'une dune.

Quand j'allais le dimanche chez ses parents, stricte comme ils étaient, je me demandais s'il savait a quel point je baisais leur chère fille qui a leurs yeux, était la pudeur incarnée.
Son père était un gars hyper sérieux, pas très comique. La mère un peu moins sérieuse, ronde comme sa fille, elle m'excitais aussi, je me surprenais souvent a mater ses mamelles dans son décolleté.

Je me souviens qu'elle portait un jour un soutif' jaune qui m'avait fait beaucoup d 'effet.
Un autre jour, alors que ma copine avait ses soutiens tous a la machine, elle me dit qu'elle en avait prit un a sa mère, justement ce fameux jaune. Je me suis retenu quelques temps avant de venir près d 'elle et de la baiser.
Ce soutient me rendait fou, cette après midi la, j'ai baisé ma copine comme un sauvage, sans jamais enlever se soutient.
J'ai relevé ses jambes sur mes épaules et je n'ai pas quitté des yeux ses seins qui balançaient dans ce jaune maléfique.
L'odeur du tissu me transcendait, j'enfonçais ma tête entre ses seins et je jouissais comme jamais.
Elle m'avait fait la remarque sur ma sauvagerie, disant que je l'avais jamais baisé comme ca et qu'elle avait aimé.
Si elle avait su a ce moment la que pour ma part, j'étais occupé dans mes rêves a défoncer sa mère...

Les choses continuaient a évoluer dans le même sens, encore quelques années d'études puis une vie a deux, le bonheur en apparence.
Depuis quelques semaines, j'étais parti de chez mes parents, je m'entendais plus avec mon père, il était temps de partir. J'avais prit un petit appartement avec un pote. Cela ne plaisait pas des masses a ma copine. Elle y voyait occasion de faire la fête, sortir, draguer, tromper.
Elle commençait a être obsédée par ca.
De mon côté, rien n'avait changé, je ne sortais pas , je bossais en intérim et je la voyais tt les we.
Elle commençait a se plaindre de plus en plus souvent du fait que je trouvais pas un job stable, que je n'achetais pas de nouvelle voiture. Que je n'étais pas trop intéressé par ses soirées étudiantes dans lesquelles je ne me retrouvais pas beaucoup.
De temps en temps, on sortait en boite avec ses amis de l'université, j'étais content d'être avec elle mais je ne passais pas de très bonne soirée. Ses amis étaient des fils a papa dans de belles voitures et moi j'avais ma vieille opel d 'occasion toute pourrie.

Tout doucement, je sentais que le temps de l'innocence s'en allait. Fût un temps, elle aurait voulu que je la baise dans les chiottes de la boite, maintenant, elle voulait juste danser avec ses copines et ses potes sans trop se soucier de moi, j'étais limite de trop dans cet univers qui m'excluait de lui même.

Un jour, j'allais la chercher comme toujours a son école, elle me dit alors que je ne pouvais pas rester, que ses parents arrivaient pour aller au resto.
Normalement, je passais la nuit avec elle chez sa grand mère qui était en vacances.
J'avais un mauvais présentiment.
Elle me rassura en me disant que j'étais l'homme de sa vie, que j'allais lui manquer cette nuit. Qu'on se voyait le lendemain a 17h chez la grand mère.

Le lendemain 17h, je sonnais, content et inquiet en même temps.
Elle m'annonça qu'elle n'était pas avec ses parents la veille, qu'elle était avec un gars, un de ses potes que je connaissais. Qu'ils avaient été au resto et qu'ils avaient passé la nuit ensemble, ici.
Le choc.
J'en revenais pas, j'avais les nerfs, j'avais envie de la .
Elle m'avait dit que j'étais l'homme de sa vie, que j'allais lui manquer cette nuit juste pour que je m'en aille sans trop poser de questions, après 3 ans passé de relation.
Je ne représentais plus rien. Je devais m'en aller, ne plus jamais l'appeler, la laisser tranquille vivre sa vie avec son nouveau mec.
Je partais totalement dépité, anéanti, déjà en totale dépression. La souffrance mentale était horrible, je l'imaginais avec l'autre. Je l'imaginais gémir, J'imaginais le gars se vider les couilles en elle.
Je n'avais qu'a me suicider, c'était mon unique échappatoire, je ne voyais aucunes autre solutions.

Je n'allais plus bosser, j'envoyais 1000 textos a ma copine qui me répondait de la laisser, d'aller chier.
Je restais dans cet appartement minable, sans bouger, je trouvais alors une boite de médoc, sans hésiter j'avalais la boite.

Black out.

Je me réveillais a l'hôpital, le lendemain. Mal au crâne, mal au ventre, seul dans ma chambre.
Je restais une semaine, la copine de mon colloc' m'avait trouvé et appelé une ambulance. Dans la foulée, il passait m'annoncer qu'il allait vivre avec elle, que je devais m'en aller, que ca craignais trop de vivre avec un suicidaire.
J'aurais pu contester, j'avais signé aussi pour l'appart' mais j'en avais rien a foutre.
Le jour de ma sortie de l'hôpital, j'étais sur le trottoir et je n'avais nulle part ou aller. Je n'avais que les vêtements que je portais en arrivant. Plus de job, plus d 'argent.
J'avais des vêtements a mon ancien appart' mais je ne voulais plus rien savoir de personne, en deux semaines, j'étais passé de futur mari heureux a grosse merde suicidaire.
Je disparaissais de la circulation, j'errais dans les rues, je passais mes nuits a marcher. Le jour, je dormais dans les toilettes de l'hôpital. Je crevais de faim, je faisais les poubelles. Je puais.
Un jour, un mec vint me parler, il avait la cinquantaine, se demandant pourquoi j'étais dans un état pareil.
Il me proposa d 'aller chez lui, manger, me doucher. L'hiver arrivait, il faisait froid, j'acceptais.
Je prenais une douche, il me donnait des vêtements propre. Je mangeais un vrai repas. Je me doutais bien que ca ne pouvais être gratuit.
j'étais devenu un vraie zombie, son prix serait le miens.
Il devait le savoir, sans rien dire, il alla vers son fauteuil, ôta son pantalon et s 'installa dedans, me regardant, sa queue toute raide.
Je n'avais jamais été dans une situation ou un homme me regarde en bandant.
Il me demanda de venir payer le gîte et le couvert.
Je m'approchais de lui, me mit a genoux.
Il me demanda d'ouvrir la bouche et de payer.
Je commençais directement en gobant sa queue. J'avais honte. Je fîs des vas et viens rapide sur sa bite avec ma bouche.
Il me tenait par les cheveux, me demandant de lécher ses couilles, je m'exécutais. Il frappait sa queue sur mon visage, me traitait de pute, de salope, m'enfonçait sa queue entière au fond de la gorge. Je m'étouffais , il en riait.
Je me demandais s'il allait m'enculer mais il se fini a la main, pour éjaculer sur mon front.
Va te rincer, et dors dans le canapé, demain je bosse a 8 heures, tu t 'en va aussi, tu reviens a 18h si tu veux. Tu te douches , tu manges mais cette fois ma queue ira dans ton cul , me précisa t'il.
Il alla dans sa chambre sans plus rien dire.
Je m'endormais très vite, malgré ce que venait de se passer, j'étais trop crevé pour penser.
Le lendemain il me réveillait et me faisait partir en même temps que lui, J'avais froid, je ne savais pas comment faire passer ma journée.
J'avais l'air encore plus clodo que la veille avec les vêtements qu'il m'avait donné. Au moins ils étaient propre.
Allais je revenir le soir ? prendre dans le cul ?? Surement que oui, on verra.


A suivre






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