Sasha 2

A 18h30, le dernier client et ma secrétaire partis, je me retrouvai seul dans mon bureau. J’étais un peu fébrile, ne sâchant pas vraiment où j’allais, si ce qui allait se passer, mais en même temps, mon cul palpitait à l’idée de se faire prendre à nouveau, et je bandai. Je me dépêchai de me laver le fion et à le doser d’un peu de gel, puis me déshabillai entièrement. J’avais très envie de me branler, mais sans me toucher, ni la queue ni le cul, j’enfilai mon jockstrap. Je sentais la fraicheur de l’air sur ma rondelle, qui serait bientôt défoncée.
J’étais un peu en avance sur l’horaire, et l’angoisse mêlée au désir montait.
A 19 h 55, j’étais en place, à 4 pattes sur le divan dans mon bureau. Très excité, mais également angoissé, je faisais des efforts pour me détendre. J’avais laissé la porte entrouverte, comme il me l’avait demandé. A 19 h 00 : texto : « j’arrive ma petite pute, tiens-toi prête. »
Je sentai mon cœur palpiter.
Mais soudain, j’entendit la porte s’ouvrir, et il apparut après quelques instants.
« Alors ma salope, dit-il, prêt pour la saillie ? » et il commença à passer sa main sur mon corps, mes fesses, s’attardant sur ma rosette palpitante, claquant une fesse, puis l’autre.
Puis il me mit sur la tête une cagoule dont le seul orifice était au niveau de la bouche.
Aveuglé, je sentis sa main de nouveau se promener sur mon corps, s’attarder sur ma rosette, sans vraiment la pénétrer, bien qu’elle palpitât… puis les doigts dans ma bouche… je suçai avidement… puis sa queue me pénétra la bouche, bien a fond à venir buter au fond de la gorge, et aussitôt, il se mit à faire des va et viens forcenés, me baisant la bouche à fond.
En même temps, je senti sa main me caresser le dos, puis les fesses, puis la rondelle. Mais d’autres mains me caressaient… je tentais sans succès de voir combien ils étaient… bientôt, une queue se présenta devant mon petit œillet, et sans désemparer le força en puissance… j’essayai de gémir sans succès la aussi à cause de la grosse queue dans la bouche.

. les deux vits, l’un derrière l’autre devant se synchronisèrent pour me baiser en cœur, d’autres mains me maintenaient en place, caressaient ma queue et mes boules à travers le tissu du jock.
Plus tard, les deux queues s’arrêtèrent sans avoir joui, et échangèrent leurs places, continuèrent à me baiser en cœur, l’une la bouche, l’autre le cul. Après un moment, le rythme s’accéléra, et elles finirent par larguer leurs jets de sperme simultanément dans ma bouche et dans mon cul, en râlant.
Alors, des mains me firent mettre sur le dos, et mes jambes furent relevées, puis attachées avec mes chevilles, et maintenues en l’air, par je ne sais quel procédé.
Ce que je savais, en revanche, c’est que mon petit œillet, déjà ouvert, était largement exposé. Effectivement, je sentis tout d’abord quelque chose de chaud que j’identifiai comme une langue, qui vint le caresser, doucement d’abord, puis rapidement et fermement ensuite. Elle s’insinuait en moi, ouvrait ma rondelle la forçait puis allait lécher alentour.
En même temps, une main dégagea ma queue du jock, et la caressa. Je senti alors qu’on collait quelque chose dessus (mais quoi ?). Plus tard, quelque chose de froid et dur pénétra mon bouton d’amour, tout doucement mais fermement, commença quelques va et viens lents. Un god sans doute ?
La première décharge me surprit totalement : une brûlure intense qui partait de ma queue et sortait par mon cul, je hurlais une première fois, mais la décharge revint. Avec la douleur, un sentiment étrange me pénétra, de plénitude et de plaisir intense. Je me rendis compte que je bandais et que mon sphincter était contracté autour du god. J’aurais aimé que celui-ci pénètre plus en profondeur, mais les décharges se poursuivaient, moins intenses et plus régulières. Les sensations étaient intenses, je bandai comme jamais, j’espérai que ça ne s’arrêterait jamais.
« Je suis un peu électrique ce soir ! ma petite salope apprécie on dirait » me glissa Sasha à l’oreille.
Puis les décharges cessèrent et le petit god électrique fut remplacé par un autre, plus traditionnel moins froid et métallique, mais d’un diamètre conséquent. Il progressa lentement mais sûrement. J’avais l’impression d’être déchiré. Chaque mouvement me procurait un plaisir intense. Le god s’immobilisa un moment, au fond de moi, et une queue se présenta devant ma bouche, força l’entrée. Je reconnu la bite de Sacha. Il s’enfonça au plus profond de ma gorge, j’avais des hauts le cœur et du mal à respirer.
« suce ma salope, suce bien »
Puis, on retira le god de mon cul, et Sacha sa bite de ma bouche. On me tartina l’œillet de gel, et Sacha vint me prendre le cul. Il enfila sa queue en une seule fois, je sentis ses couilles battre contre mes fesses. On m’enleva la cagoule, et commença une baise sauvage. Il allait et venait, déculait, reprenait de l’élan pour rentrer dans mes fesses avec vigueur, avec force et profondeur, non sans appliquer quelques claques cuisantes et sonores sur mes fesses. Je finis par jouir avec de long jets de sperme qui s’étalèrent sur mon ventre, et Sacha se libéra dans mon fondement en râlant. Sa semence chaude m’inonda.
Alors, il revint m’amener sa queue à sucer
« Nettoie bien ma salope. Tu vois comme je m’occupe bien de toi, ma petite pute ! »
« ne t’inquiète pas, il y aura une suite… »
On me libéra alors. Je pus constater que Sasha était accompagné de deux amis, sans doute ceux qui m’avaient baisé au départ.
Ils me laissèrent alors, tout à mes nouvelles sensations...