Je Ne Couche Jamais Avec La Mère De Mes Élèves
Lannée est bien entamée et mes jeunes élèves sont complètement conquis. À la fin des cours cest la ruée sur moi, pour me raconter leurs histoires et me dire au revoir. Je plaisante avec eux en les guidant vers lextérieur du tatamis, où leurs parents les attendent tout sourire. Parmi eux, je remarque Aïsha, la mère de Salim-le turbulent. Mère célibataire dorigine marocaine, elle a du mal à garder son regard neutre lorsquelle me regarde. Jai petit à petit décelé les signes denvies. Je me fais un point dorgue de ne jamais fréquenter mes élèves et encore moi leur mère. Je reste donc froid mais cordiale lors de nos échanges. Alors que je me crois seul et que je plie mes affaires, Salim réapparaît en courant.
« Yvan ! Yvan ! Je voulais vous inviter à dîner demain soir pour fêter la fin du ramadan. Cest ma maman qui cuisine ! »
Bien embêté et touché en même temps par linvitation, jaccepte, sachant que Salim serait présent.
Au coucher du soleil je sonne à la porte de leur appartement. Salim mouvre avec un grand sourire et minvite à entrer. Par politesse, jai acheté un petit bouquet de fleures. Mon cur rate un battement lorsque Aïsha apparaît de la cuisine, les mains chargées de plateaux garnis de nourriture. Non pas que je sois gourmand, mais Aïsha est super sexy dans sa robe légère, qui sarrêtait à mi-cuisse. De petite taille, on peut dire que ses formes sont pléthoriques. Sa robe, bien cintré à la taille, lui moule ses larges hanches et ses grosses fesses rondes. Ses seins plantureux sont moulés dans un sensuel cache-cur au travers duquel, on discerne lauréole de ses mamelons. Ses longs cheveux noirs sont attachés en un chignon, qui dégage son cou fin et délicat. Elle est légèrement maquillée et son sourire est ravageur. Je sens mon sexe se contracter à une vitesse grand V. Elle maccueille en me posant en sage baiser sur la joue et, ce faisant, effleure mon bras avec sa poitrine opulente. Ils minstallent sur le canapé et Salim maccapare de ses histoires.
« Cest papa ! Oui ? Oui ! Okay, je demande à maman ! »
Il se tourne vers nous lair embêté et excité en même temps.
« Cest papa, il voudrait que je les rejoigne pour la fête à la maison. »
Aïsha souffle puis lui concède lautorisation. Salim est fou de joie et répond à son père quil arrivait. À Peine a-t-il raccroché, il sexcuse et fonce dans sa chambre, prendre ses affaires. Lorsquil réapparaît, je me suis levé.
« Bien. Merci beaucoup mademoiselle Shaïb. Je ne vais pas mimposer plus longtemps. »
Je vois clairement la profonde déception sur son doux et joli minois.
« Attends Salim, je taccompagne. »
« Salut maman à demain ! »
Je referme rapidement la porte et accompagne Salim jusquen bas de limmeuble de son père. Je retourne à ma voiture, minstalle au volant et le visage de Aïsha, lorsque javais fermé cette porte, me revient en mémoire. Elle avait les larmes aux yeux.
Non, tu ne couches pas avec la mère de tes élèves ! Ha, mais putain elle est seule le soir de la fin du ramadan ! Tu nas pas de cur ! Oui, mais si jy vais elle risque de souffrir plus que daimer ! Parce que, si je remonte, je la défonce sans vergogne ! Je suis trop en manque, moi !
Lorsquelle ouvre la porte, elle a essayé dessuyer ses larmes. Jai juste annoncé mon prénom à linterphone et elle ma ouvert la porte immédiatement. Le temps que je monte, elle est tellement excitée que ses tétons pointent déjà au travers de sa robe. Bon je ne suis pas fan des femmes fortes, mais javoue que son corps est particulièrement bandant.
« Vous voulez bien me baiser comme un sauvage sur la table du salon ? »
Je la remercie lorsquelle me tend fébrilement mon verre de coca. Elle a le souffle court et sa poitrine se soulève outrageusement. Je minstalle dans le canapé et lorsquelle veut sasseoir je le lui interdis dun geste de la main. Elle reste incrédule au milieu de la pièce. Je bois une gorgée et pose calmement mon verre sur la table basse. Je minstalle confortablement, les bras en croix, posés sur le dossier du canapé. Elle est hésitante et quelque peu gênée par mon regard insistant.
« Aïsha
Je sais ce que vous voulez ! »
Elle hoquette dappréhension, se frottant les mains, que jimaginais moites dexcitation.
« Je ne couche JAMAIS avec la mère de mes élèves. »
Cest comme une douche froide et je vois la profonde tristesse réapparaître sur son visage.
Oh oui, mon salaud, tu la tiens au creux de ta main. Elle va en chialer !
Les larmes lui montent aux yeux et elle essaye des les chasser en montant les yeux au ciel et en soufflant fort.
« Dites-moi ce que vous voulez de moi ? Pourquoi mavez-vous invité chez vous ? Pourquoi vous être habillée comme une vulgaire pute ?
Elle fondit en larmes cachant son visage dans ses mains, joliment couvertes de henné. Son corps voluptueux est secoué pas ses sanglots.
Putain, que ses seins sont beaux ! Et ces hanches ! Hum ! Je veux lui péter le cul à cette chienne en chaleur !
« Alors ! Aïsha ! Jattends ! »
Elle se reprend et marmonne entre ses dents.
« Pardon ? Aïsha, vous allez me regarder et me dire ce que vous voulez de moi ! »
« Je veux
Je veux que vous me fassiez lamour... »
« Non ! »
Elle hoquette à nouveau et lâche un sanglot. Je me lève et mapproche delle.
« Vous voulez que je vous baise ! »
Elle regarde par terre.
« Dites-moi que vous voulez que je vous baise comme une chienne ! »
Elle ravale difficilement un sanglot et je la sens vibrer dexcitation au bout de mes doigts. Je dois rester concentré car son doux parfum vient délicieusement agresser mes narines.
« Dites-moi que vous voulez que je vous prenne sauvagement, que je vous ravage, que je vous défonce la rondelle, que je vous pète le cul ! »
« Je
Je veux que... »
« Allez un petit effort et tu seras comblée ! »
Ce dernier argument la fit céder pour de bon.
« Je veux que vous me preniez comme une chienne, que vous me défonciez mon gros cul ! Je veux être votre salope en chaleur. Oh oui ! Ravagez-moi ! »
Tout son corps vibre, ne pouvant attendre le premier contact.
« Voilà ! Ce nest pas si difficile ! »
Je retourne minstaller sur le canapé.
« Tout dabord débarrasse moi de tout ça. »
Dun geste de la main je lui montre les plateaux sur la table basse. En bonne femme docile, elle se précipite. Lorsque tout est rangé, je lui indique la table basse. Elle lécarte et revient au milieu de la pièce, les mains dans le dos, droite comme un i, ses énormes seins au garde à vous.
« A genou. Approche-toi et occupe-toi de ma queue. »
Elle obtempère avec grâce et volupté et sapproche de moi en roulant son magnifique postérieur. Ses yeux ont perdu leur côté larmoyant et sont brillants dardeur. Elle ouvre mon pantalon et plonge sa main dans mon caleçon. Je sens ses petits doigts chauds enserrer mon membre turgescent.
Ha ouai ! Quelle belle sensation !
Elle le ressort et commence à le masturber de ses mains expertes.
Oh oui ! Elle sait y faire cette belle chiennasse !
Elle me fixe droit dans les yeux alors quelle commence à lécher mon gland brûlant. Elle semble en apprécier le goût, car elle gémit de gourmandise.
Mon odeur intime a lair de lui plaire aussi, cest cool.
Elle déposa un délicat baiser dans le fin espace entre mes bourses et mes cuisses. Je renverse la tête et gémit de plaisir. Elle me gobe une couille après lautre en les aspirant gentiment et jouant avec sa langue exquisement adroite.
Putain quelle est douée la salope !
Ça doit faire cinq bonnes minutes et elle ne ma toujours pas avaler. Elle se décide enfin et menfonce dans sa bouche chaude, humide et étroite. Sa main vient remplacer ses lèvres sur mes couilles et elle les fait rouler sur sa paume et entre ses doigts.
Oh la vache ! Elle le fait super bien !
Elle me pompe le zguègue comme pour le vider de sa substance. Mes grognements semblent lexciter, car elle accélère la cadence. Je la vois se toucher le sein et se pincer le téton. Alors quelle me suce, je lui fais enlever mes chaussures et mes chaussettes. Elle sexécute avec zèle et je lui glisse le pied jusquà son entre jambe. Elle écarte ses larges cuisses et sesclaffe lorsque mon gros orteil lui touche la vulve au travers de sa petite culotte en soie. Ses vocalises sont étouffées par ma queue, profondément enfoncé dans sa gorge. Je sens sa mouille sur mon orteil.
Elle est déjà trempée la salope !
Un petit jeu sinstaure entre nous, elle essaye de continuer sa fellation divine et moi jessaye de len empêcher en la faisant réagir à mes caresses. Je me sens monter de plus en plus et elle ma complètement avalé, son nez écrasé contre mon pubis et mes couilles sur son menton. Je me redresse du canapé et je lui prends les seins, les lui masse, les pétris, les presse et les pince. Elle extirpe mon membre de sa bouche baveuse et dun geste fébrile, elle ouvre sa robe, libère ses seins massifs, ronds et pesants. Elle les prend à pleine mains et les porte vers mon sexe. Je le remets bien droit et elle lenserre avec sa poitrine et le branle amplement, faisant claquer ses seins sur mes cuisses. Je gémis de plaisir. Je la sens surexcité et en joie de mes réactions. Elle gémit à son tour, se mordant les lèvres et fermant les yeux.
« Oh que jaime sentir ta queue contre moi ! Hum ! Elle est superbe ! »
Sexclame-t-elle. Elle sactive de plus belle et sans la prévenir, je lui éjacule dessus. Mon membre est si comprimé, entre ses seins, que les premières giclées sont puissantes et lui explosent dans le cou et sur sa fine mâchoire. De surprise elle sarrête et se recule brusquement. Je saisis ma queue et me masturbe comme un fou et je finis de lui exploser au visage et sur les seins. Après la surprise, je la vois récolter ma semence du bout des doigts et, dun geste sensuel, les amener à ses lèvres pulpeuses. Elle les lèche avec volupté. Dès quelle a avalé la première gorgée, je vois, dans son regard, le plaisir et la gourmandise. Elle sessuie le visage, le cou puis sa plantureuse poitrine et ingurgite gaiement tout mon foutre. Lorsque je lui montre mon mat maculé, elle se précipite avec régale et le nettoie complètement avec des hum appréciateurs.
« Dis, tu aimes mon foutre ma belle salope ! »
« Hum
Oh oui ! Jadore ! Hum
! Il est délicieux ! Corsé comme jaime ! »
Je pose alors mes orteils sur sa poitrine et je joue avec. Elle sappuya dessus pour men donner encore plus et elle en gémit et soupire de plaisir. Elle me regarde avec lasciveté en se mordant la lèvre et révulsant ses yeux de braise. Elle me prend le deuxième pied et le posa sur son second seins et elle se les malaxa en ronronnant comme une petite chatte. Se gardant un de mes pieds pressé contre sa poitrine chaude et douce, elle amena mes orteils à sa bouche et les suça lun après lautre.
Oh Putain ! Ça cest une première ! Oh la vache cest géant !
Je lencourage à continuer et elle poursuivit avec plus dentrain.
Okay elle nest pas la seule à en prendre pour son grade. Fare enough !
Mon sexe reprend des forces et je reprends la main. Je me relève et laide à se remettre sur pied. Je la serre contre moi et lembrasse goulûment. Elle saccrocha à mon coup et sappuya de tout son poids sur moi. Sa poitrine sécrase voluptueusement sur mon torse, son ventre se colle au mien et elle se pressa contre ma cuisse. Je lui glisse à loreille de me déshabiller et elle sy employa avec empressement. Elle me déboutonna ma chemise et la retira. Elle couvrit mon torse de baisers sonores et sensuels. Elle finit de menlever mon pantalon et sempressa de se recoller contre moi.
Oh putain que sa peau est douce et satinée ! Tout son corps me caresse et cest purement divin !
Je lamène vers la table du salon. Je marrache à notre baiser vorace et la retourne pour la coucher dessus deux. Elle sesclaffe de surprise et danticipation.
« Écarte-moi ses belles fesses ma belle ! »
Elle sexécute et écarte ses belles joues charnues et me présente librement sa vulve gonflée et son petit trou plissé. Je découvre, avec surprise, un ravissant et discret petit piercing sur le chapeau de son clitoris. Elle tremble danticipation, le souffle court. Je magenouille et lui lèche la vulve du bout de la langue. Le premier contact la fait crier et je mécrase la bouche sur son minous humide et si accueillant, que jaspire tout à coup. Elle crie à nouveau et rapidement ses jambes tremblent de façon incontrôlable. Ses talons aiguilles tambourinèrent sur le parquet.
« Ho !! Ha ! Hum !! Houf !! Hoooo ! Rooooh ! »
Entre deux léchouilles je lui glisse :
« Tu aimes ça, ma belle salope ? »
Il nen fallut pas plus pour quelle réponde à profusion :
« Oh Oui ! Jadore ! Hum ! Ho ! Oui comme ça ! Cest trop bon ! Haa ! Ouiiii ! Encore ! Hooo ! Non ! Non !! Nooonnn ! Oh punaise ! Tu es doué mon salaud ! »
Elle a le souffle court. Je sens les battements de son cur jusque sur son sexe. Elle est proche dexploser, enfin je crois. Cest si difficile à jauger, mais jai encore des cordes à mon arc. Délicatement jeffleure son clitoris avec la pulpe de mon pouce, jouant également avec les boules de son piercing. La sensation est si fine et exquise quelle en perd la tête et je continue. Elle narticule plus rien et ne sexprime que par des onomatopées, gémissements, sanglots, exclamations, hoquets et même des éclats de rires. À peine mon indexe simmisce en elle, quelle explose, minondant le visage et la main dun flot ininterrompu de cyprine divinement délicieuse. Je la bois à grandes lampées en en dégustant chacune comme dune succulente crème pâtissière.
Oh quelle est bonne !
Elle frappe du poing sur la table, son corps parcouru de spasmes violents. Elle hurle son orgasme et halète, à bout de souffle, mais je continue. Elle se redresse et menvoie des regards implorants. Je lui souris, mes lèvres encore sur sa vulve palpitante et je lui enfonce un second doigt. Je vois ses yeux se révulser et sa tête retombe sur la table.
« Oh mon dieu ! Je jouis si fort ! Cest fou ! Cest trop bon ! Cest trop fort ! Arrête ! »
Je nentends rien et presse lentement son clitoris entre mon pouce et mes doigts dans son vagin. Je joue délicatement avec lui, le branle, le presse, le frotte doucement, vigoureusement, le caresse, le cajole. Jajoute délicatement son bijou à mon jeu.
« Oh putain ! Yvan ! Tu as des doigts de fée! Tu me rends folle ! Cest fort ! Cest bon ! Oh la vache ! »
Elle expulse encore une giclée de cyprine, que je mempresse de boire voracement et je glisse ma langue de ses lèvres jusquà son petit trou. Elle se raidit tout à coup, le souffle coupé. Dans ce moment de pur plaisir, je scotche sur un magnifique petit grain de beauté, posé là, juste à côté de sa rosette qui frétille. La vision est étrange et ravissante à la fois. Jembrasse délicatement son joli nævus et moccupe de son mignon petit fion. Je le lui lèche, tantôt langoureusement, tantôt vivement. Peu importe la façon, elle kiffe comme une folle. Je lui y glisse alors mon index détrempé de cyprine, qui entra quasiment sans résistance. Elle hoquette et gémit, puis se met à ronronner. Je fais des petits cercles pour répandre son lubrifiant naturelle sur toutes les parois et lui en glisse un second.
« Oh ! Oh ! Ooooh ! Oui ! Comme ça ! Hum ! Ho putain !! Oh que tu fais ça bien ! Raaaah ! Oh ! Ouuuu ! Ouiii !»
Avec mon indexe et mon majeur, bien enfoncés, mon pouce lui pénètre le vagin. Je me redresse, prends appui sur ses belles fesses et la masturbe vigoureusement. Le changement de rythme la surprend et lui coupe le souffle à nouveau. Elle se tend comme un arc, la tête relevée, les yeux révulsés, la langue sortie et tendue au maximum, bavant à profusion. Elle explose à nouveau. Jai limpression que tout limmeuble entend ses vagissements dextase. Elle ne retient rien, elle ne peut pas ! Elle hurle, crie, beugle, braille. Lorsque je marrête elle saffaisse complètement, ses jambes ne la soutenant plus. Ses talons continuent de trépigner de façon incontrôlable. Elle est à bout de souffle. Sa poitrine, compressée sur la table, senflait outrageusement sur les côtés.
« Oh putain ! Putain ! Hum.. Hoo !! Ouf ! »
Putain quelle est belle comme ça !
Je fais glisser mes mains le long de ses côtes, sa taille fine, pour finir sur ses hanche et ses fesses. Je kiffe la vision de son corps, dont les courbes généreuses me rappellent ceux dun magnifique violoncelle Stradivarius.
Je me présente contre son petit trou.
« Non ! Yvan ! Attends ! Pas tout de suite ! Jen peux plus, là ! Att
. Ho ! Ho ! Ho ! Doucemennnt
Oh merde ! Merde ! Merde ! Ohhhhhhhhhhhhhh ! »
Mon gland vient de disparaître dans son anus dilaté. Je sens mon gland se faire au niveau de la collerette.
Elle est étroite ! Putain quel pied ! »
Je reste là, quelques secondes et je la la vois respirer profondément pour se détendre. Elle se redresse sur les coudes et respire à fond. Je ne résiste pas à la vision de ses seins qui se décolle de la table ainsi. Je me penche et les lui saisit. Je sens ses doux mamelons au creux de mes paumes et je fais rouler ses tétons durcis entre mes doigts.
« Oh, mais merde ! Cest trop bon ! Oh oui prend moi les seins, mon salopard ! Pétris-les moi ! Malaxe-les moi ! Ils sont à toi ! Oh ! Oui ! Comme ça ! Tarrête pas ! Surtout tarrête pas ! Hoooooooo ! Ouiiiii ! Han ! Han !»
Mes doigts les pressent, les massent, les triturent, les étirent, les compressent, les frottent, les agitent, pour les presser à nouveau. Je continue à presser mon entrée dans son cul serré et je sens mon dard pénétrer centimètre par centimètre. Lorsque jai la divine sensation dêtre complètement en elle, je mimmobilise et attends que sa respiration se calme un peu et que son tréfond se détende légèrement. Alors, je lui claque les mains sur ses grosses fesses, lui agrippe fermement les hanches. Elle sesclaffe et madresse un regard emplit de débauche et de lubricité. Dans un réflexe et un signal daccords, elle saccroche aux rebords de la table, écarte un peu plus les jambes et sapprête. Je me déchaîne comme un gros porc sans aucune retenue. Je grogne, râle, souffle, crie sous leffort de pénétrer son cul bien étroit pour mon calibre. Ses fesses gigotent magnifiquement à chaque fessée de mon bas ventre. Elle hurle de douleur à chaque pénétration et hoquette à chaque fois que mes couilles lui percutaient son petit bouton érigé à vif et son piercing.
« Ha ! Ha ! Tu me fais mal ! Yvan ! Plus doucement ! Haaa ! »
« Prends ça ma belle salope ! Tu voulais que je te pète la rondelle non ? »
« Oh oui ! Ha ! Vas-y ! Mon belle étalon ! Déchaîne-toi ! Ha ! Putain ! Ha ! »
« Il est a qui se joli cul ? «
« À toi ! À TOI ! À TOIIII ! »
« Tu en veux encore ? »
« Ho ! Ouiiiii ! Comme
ça !! En...core ! ENCORE !! CONTINUE !!!»
Je suis en nage, mes poumons brûlent et jai la bite en feu. Je suis hors dhaleine. Je la sens exploser à nouveau dun nouvel orgasme dévastateur, son cul se contractant sur mon pieu. Elle en hurle de douleur et dextase ! Ma queue se fait littéralement broyer par son cul et leffet et si fort que jéjacule directement. Je crie de douleur et de jouissance débridée, alors que je lui remplis son beau petit fion de mon foutre chaud et visqueux. Je nen peux plus.
Putain, je manque de pratique ! Elle est où mon endurance dil y a 10 ans ? Bon OK : 15 Ans ?
Je marrête et mallonge sur elle. Nous essayons de reprendre notre souffle. Ça me rassure elle est dans le même état que moi. Je me retire lentement et je lentends geindre et rouspéter, trémoussant son cul et contractant son anus pour que je ne sorte pas. Nous recevons une décharge, qui nous secoue, au moment où mon gland sextirpe de ses entrailles. Je maffale sur le canapé. Elle ne bouge pas, à moitié allongée sur la table. Elle se passe une main sur son cul et tressaille de douleur. Elle parvient tout de même à se redresser. Elle essaye de retrouver un peu de prestance. Son regard est empli de volupté et de sensualité. Je mallonge et lui tends les bras. Elle vint sy blottir avec lasciveté.
Jadore sentir sa peau contre la mienne, sa poitrine se presser contre moi. Chaque centimètre carré de sa peau est une caresse. Elle posa sa joue contre ma poitrine après lavoir embrassé. Je lui caressais ses doux cheveux au parfum enivrant, pendant quelle meffleure les pectoraux de la pulpe de ses doigts, me griffant délicatement de temps en temps. Nous restons là pendant de longues minutes, je crois bien mêtre assoupi un peu. Lorsque je reviens à moi, mon sexe est de nouveau raide et elle la plaqué contre son haine. Elle continue à me caresser langoureusement quand je lui prends la main et lui amène les doigts à mes lèvres. Elle les caresse du goût de lindexe que je chope et aspire. Elle Glousse. Je joue avec ma langue et le lui pompa en même temps. Leffet fut buf, elle sen mordit la lèvre après avoir articulé un Oh de surprise et de contentement. Je la sens monter dun cran. Elle commence à bouger son bassin pour masser mon sexe entre nos corps. Elle se place alors à cheval au niveau de ma taille et saccroupit au-dessus de mon chibre. Elle prend appui sur ma poitrine dune main, alors que lautre me place contre sa vulve. Elle sempale alors lentement et suavement sur mon pieu. Ses yeux se révulsèrent et elle ouvre grand la bouche pour exhaler un soupir langoureux. Une fois entièrement empalée, elle se redresse et redescend le long de ma hampe brûlante. Son sexe est si chaud et humide, chaque pénétration émets des sons moites. Elle pose alors les deux mains sur mes abdominaux et sactive sur moi. Ses énormes seins sont outrageusement comprimés entre ses bras. Je vois ses larges haches monter et descendre et mon sexe se faire dévorer pas ses lèvres suintantes. Je lui prends les seins à pleine mains et elle bascule la tête en arrière pour râler et gémir sans retenue. Je laccompagne de grognements et linvective, ce qui lallume encore plus.
« Allez ma salope en chaleur ! Montre moi ce que tu sais faire ! Plus vite ! Plus fort ! Allez active-toi bordel ! »
Elle accélère, se démène et fut bientôt en nage, son corps recouvert de sueur. Son front sue à grosses gouttes, sa chatte est détrempée, ses fesses claques sur mes cuisses, laissaient des mares de sueurs. Elle halète grogne sous leffort et simmobilise finalement, hors dhaleine. Elle me regarda en attendant mon approbation, un petit sourire aux lèvres. Je la saisie par la taille et commence à la pilonner, avec de brusques et amples mouvements du bassin. Elle tomba à genou, pose ses mains sur mes pectoraux, pour se maintenir. Ouvre grand les yeux et la bouche, le souffle à nouveau coupé par la surprise et les sensations fulgurantes qui lui parcourent le corps. Je lui pressure fort les seins et elle grimace de douleur et hoquette sous mes coups de boutoir. Elle remonte en flèche et explose en un temps record. Elle serre les cuisses contre ma taille, plante ses ongles dans ma poitrine et est secoué de spasmes frénétiques. Elle déverse une quantité incroyable de jute sur mes couilles et mes cuisses. Elle me regarde plein de reconnaissance et de gratitude, un peu honteuse. Je sens à mon tour que je vais exploser. Je me déchaîne et crie ma jouissance. Ma verge tressaute puissamment au fond delle et y crache ma semence chaude et épaisse. Elle sursaute aux premières giclées puis son visage rayonne de contentement en sentant le reste de mon foutre se déverser en elle. Elle membrasse en me caressant de ses seins. Je lui prends les fesses et les caresse affectueusement. Elle saffaisse sur moi et je sens son vagin se crisper de manière incontrôlée sur ma queue en feu. Jy réponds en le contractant, je lentends glousser au creux de mon coup et me lembrassa délicieusement. Je lui relève le visage et lembrasse. Elle me répond avec passion.
Putain ! Que cest bon !
« Hum ! Que cest bon ! Mon salaud ! »
Me dit-elle en sarrachant à notre baiser.
Après ce court intermède télépathique nous nous embrassons à nouveau avec délectation. Je sens mon sperme ressortir de son vagin et se répandre sur moi.
Elle respire profondément et émet des hum de contentement à chaque expiration. Je fais courir mes doigt de sa nuque à ses fesses, juste la pulpe de mes doigts, en des effleurements, qui lui arrachent des frissons langoureux. Jétouffe sous elle et son corps en ébullition. Je lui entoure la taille dun bras et commence à la retourner. Elle serre les cuisses sur ma taille et se cramponne à mon cou. Je la dépose le plus délicatement possible et me relève alors quelle geint et râle, à moitié endormie. Je me relève et la regarde, la tête tournée sur le côté, ses seins plantureux affaissés sur son torse, sa main fine posée négligemment sur son ventre juste au-dessus de sa toison, son tatouage au henné semblant indiquer suavement la direction, ses larges cuisses écartées, découvrant sa vulve gonflée et dégoulinante. Je résiste à lenvie de lui sauter dessus à nouveau, jai trop chaud.
Je rentre dans la douche et en pris une, bien glacée, pour me donner un coup de fouet. Je me savonne et me rince. Je minspecte dans la glace et regarde les traces que ses ongles ont laissées sur ma peau blanche, lorsque, tout à coup une forte odeur de sexe marrive aux narines et, immédiatement après, je sens deux divins seins chaud sécraser sur mon dos. Elle glisse ses mains bouillantes et matt les pectoraux, que je contracte fort. Elle gloussa et membrassa lépaule. Je vis juste ses deux yeux de braise apparaître au-dessus de mon épaule. Elle se dresse sur la pointe des pieds pour passer son visage par-dessus.
« Putain ! Quest-ce que tes musclé ! »
Je pouffe. Je me regarde à nouveau et ny vis quun corps fin sans vraiment de muscles proéminents.
« Tu rigoles, jai pas de muscles ! »
Elle fit glisser ses doigts sur mon torse.
« Tu nes que muscles et os ! Tu nas pas un poil de graisse ! Et je sais de quoi je parle ! »
Son visage est éclairé dun sourire moqueur. Je lui abats ma main sur sa fesse charnue. Elle grimace faussement de douleur et me gronde, pour tout de suite avoir un regard enjôleur et aguicheur. Elle se colle plus à moi, appréciant visiblement la fraîcheur de ma peau. Elle ne sarrête plus de ronronner. Moi qui pensais être arrivé au bout de mes capacités, voilà que mon sexe se raidit à nouveau et lorsquelle le sent, elle sempresse de le prendre en main de me masturber tendrement. Je me retourne et immédiatement elle se met à genou, en me le pompe divinement. Ma queue me brûle de lintérieur, je sens mon urètre à vif.
Putain je vais jongler si jéjacule encore !
Je la laisse sactiver expertement pendant quelques minutes. Je sens mon orgasme encore loin, cest parfait, je veux la finir en beauté et quelle me supplie darrêter.
Enfin si jen avais encore les ressources !
Je lui prends les tétons et les tirent pour lobliger à se lever. Elle grimace à nouveau et rapidement reprend sa moue volage. Je la guide par le téton et la plaque contre la baie vitrée du salon. Je la sens réticente.
« Oh oui, ma salope, toute la cité ta entendu te faire tringler et maintenant tu vas leur montrer le bouquet final ! »
« Oh non ! Pas ici Yvan ! »
Sa voix est à moitié sincère, tremblante dexcitation. Je fais bien en sorte que ses gros seins soient bien écrasés contre la vitre. Elle ne résiste pas et maide même, toute excité quelle est. Je plonge mon visage entre ses fesses.
« Oh mon dieu Oui ! Yvan ! Tu fais ça si Biennnnn ! »
Plus aucune résistance, elle gémit, hoquette, sesclaffe, rit, souffle, geint, râle, crie, hurle. Je me redresse et lubrifie mon pieu avec sa cyprine, qui coulait abondamment de son dernier orgasme.
Putain ! Cest une vraie fontaine !
Lorsque je me présente sur sa rosette, elle recule les fesses pour me donner un meilleur angle. Je magrippe à ses hanches et menfonce de toutes mes forces. Elle chante à nouveau, sentant ma hampe lui défourailler ses entrailles en feu. Je ny suis pas allé en douceur, je la défonce aussi fort que je pus, comme promis. Elle magrippe les poignets et jen profite pour les lui prendre et lui tendre les bras en arrière. Elle est maintenant pliée en deux, la joue écrasée sur la vitre, les bras tendus et la croupe marteler par mon corps. Je suis déjà en nage et hors dhaleine.
Putain, elle est endurante le salope.
Je serre les dents et continue. Elle chavire, tremble, convulse mais nabdique pas. Je lui relâche les mains, quelle appuie sur la vitre, embuée par son souffle et dégoulinante de bave. Je la vois, la langue tirée dextase. Je lui prends sèchement les cheveux à la base du crâne et elle roule de grand yeux de jouissance et lâche un râle rauque et libidineux. Elle se cambre davantage et je lui glisse deux doigts dans le chatte, tout en continuant mes va et viens brutaux. Elle est quasiment pliée en deux, le dos complètement cambré. Je ne joue plus, je suis au bord de l, je vais bientôt craquer. Il me faut le coup de grâce. Je lui glisse les deux autres doigts et lastique comme un sauvage. Elle perd complètement le contrôle.
« Oh! Yvan ! Oui ! Comme ça ! Défonce moi par tous les trous ! Oh mon dieu ! Cest trop bon ! Tu me rends folle ! Vas-y mon bel étalon ! Oh ! Oui ! Juste là ! Comme ça ! Merde ! Merde ! Ha PUTAINNN ! »
Sa voix est étranglée par sa gorge en complète extension. Jai réussi à lui glisser mon pouce et je force pour mintroduire jusquau poignet. Je sens ma main et mon sexe, séparés par la fine paroi de chaire, se compresser mutuellement.
Oh putain quelle sensation géniale !
Elle hurle, sesclaffe, vagit. Lorsque je sens tout son corps se crisper, je suis surpris de voir mon orgasme débouler si fort et de façon si imprévisible. Jessaye de le retenir. Elle craque enfin :
« Oh mon dieu Yvan, stop ! Arrête ! Jen peux plus ! Par pitié je vais mévanouir ! Ha ! Arrête ! Stop ! Je vais mourir ! YVAANNNNN ! STOOOOP ! »
À Mon tour, je lâche tout. Je crie de douleur, car mes giclées me brûlent comme de lacide et les muscles de ma verge sont tétanisés. Je lui remplis le fondement, accompagné de nos râles et nos cris. Une fois complètement vidé, les derniers soubresauts étant à vide, je retire vivement ma main et mon sexe et elle seffondre au sol, comme une poupée de chiffons, le cul encore dressé. Je vis ses orifices complètement dilatés se refermer par spasmes. Je suis à bout. Je me recule et madosse à la table, le cur battant à tout rompre. Mes oreilles bourdonnent, jai des étoiles devant les yeux, des fourmis sur les joues. Je ruisselle de sueur, narrivant pas à retrouver mon souffle.
Mon dieu quel coup ! Quel pied, sa mère !
Je titube jusquà la cuisine pour me servir un vers de coca bien frais et reviens dans le salon. Elle est sur le canapé, allongée sur le ventre, ses mains posées sur la raie de ses fesses plantureuses. Elle me regarde du coin de lil. Jy lis, concupiscence, désire, reconnaissance, mais aussi, fausse colère et réprimande. Jen ris derrière mon verre.
« Oh ! Cest pas drôle ! »
Boude-t-elle faussement outrée.
« Oh Yvan, tu mas défoncé comme personne ! Tu es un putain détalon ! Jai le cul en feu et la chatte éclatée ! Tu mas ravagé, écartelé, explosé les boyaux ! Et putain ! Jai adoré chaque instant ! »
Oh faut quelle arrête là, moi jen peux plus.
Je finis mon verre et retourne sous la douche. Lorsque je ressors, un quart dheure plus tard, complètement habillé, elle sest glissée dans un gros peignoir qui la camouflait entièrement. Je sens lespace-temps de la luxure se refermer sereinement. Elle regarde par la fenêtre, un café à la main. Elle se retourne vers moi et me sourit. Oui, il ny a plus trace denvie ni de séduction dans son regard, juste un profond sentiment de sérénité et de contentement. Cest cool. Ça mallait parfaitement.
On se dit au revoir et elle me pose un gentil baiser sur la joue, resserrant bien son peignoir pour ne laisser à ma vue aucun centimètre de peau. Elle me glisse à loreille :
« Cest le plus bon moment de ma vie. »
Je ne dis rien, trop ému. Jessaye de lui transmettre mes sentiments par mon regard et au vu de son sourire et de sa douce main posée sur ma joue, elle ma parfaitement comprise. Je méclipse de chez elle.
Une fois dans ma voiture, je repense à tout ce qui sest passé. Je rigole en repensant à mon modo :
Je ne couche JAMAIS avec la mère de mes élèves !
Ouais ! Et bien voilà une magistrale exception !
FIN.
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