Maxime Et Anaïs
Cette histoire est la suite de "ma prof" je vous recommande donc de la lire avant de lire celle-ci
Vendredi 10 juillet
Cela fait donc maintenant deux jours que je discute avec Anaïs et je comprends pourquoi Alice a voulu me la présenter. Même si elle ne connaît encore rien aux relations charnelle et qu'elle est issue d'un milieu qui se veut prude d'apparence, Anaïs a vraiment l'air de vouloir découvrir encore plus la jouissance que son corps peut ressentir. Nous avons réussi à organiser un dîner chez moi le soir même. Ayant obtenu de bonnes note aux épreuves anticipées du bac de français elle avait réussi à convaincre ses parents de la laisser aller à une pyjama party. Moi de mon côté mon train ne partant que demain après-midi pour rejoindre mes parents j'avais tout loisir de préparer quelques choses. Je réfléchis pour trouver quelque chose d'aussi raffinée tout en étant facile à faire que ce qu'Alice m'avais servie
J'opte pour une salade composée en entré. En plat ma spécialité, des ufs Rossini avec une recette modifiée (que je pourrais mettre si vous le désirez) et des mousses au chocolat. Nécessitant d'être au frigo assez longtemps pour être bonne je décide de commencer par ces derniers. Après avoir fait les calculs pour diviser les proportions par cinq je me lance dans la préparation. Une fois mon menu digne d'un restaurant cinq étoiles près ainsi qu'un chef propre je n'avais plus qu'à attendre ma belle. Elle ne fut d'ailleurs pas très longue, car à 19heures précises j'entends que l'on frappe à la porte. J'ouvre et fut saisi par sa beauté. Magnifique aurait été une insulte pour la décrire. Elle portait une robe patineuse noire, ainsi que je pensais être un collant (qui se révéla être des bas) d'un noir légèrement transparent ainsi que des escarpins eux aussi noir. Quant à son visage angélique une légère touche de rouge à lèvres mettait en valeur son timide sourire tandis que c'est magnifique cheveux blonds étaient retenus dans une tresse.
-Tu es magnifique
-M..merci
-Tu sais on n'est pas obligé de le faire si tu ne veux pas
Je lui dis ceci, car elle tremblait légèrement et cela n'avait rien avec la température vu que nous étions presque en alerte canicule.
-Si j'ai envie c'est juste que sans Alice pour me guider je ne sais pas trop ce qu'il faut que je fasse.
-Tu n'a qu'une chose à faire, c'est prendre du plaisir.
-Ne t'inquiètes pas, ton plaisir me donne du plaisir.
Je m'approche alors de ses lèvres et l'embrasse avec fougue. Elle répond à mes baisers et bientôt je sens sa langue qui veut s'inviter dans ma bouche. Au bout de quelques minutes je la conduite dans ma chambre que j'avais rangée. Je l'installe sur le lit et commence à lécher sa chatte a travers sa culotte le tissu est tellement fin qu'en quels minuit elle est trempée de ma salive et de son nectar. J'entreprends donc de lui enlever, mais à peine arrivé à mi-cuisse la culotte ne veut plus ce baissé. Je constate alors que c'est les rubans qui relient le port jarretelle au bas. Je suis donc obligé de défaire ces rubans pour lui enlever son string. Mais n'ayant pas l'habitude de ce genre d'opération. Cela me prend une trentaine de second. Lapse de temps importants durant lequel Anaïs perd un peu de son excitation. Elle décide donc que c'est à moi de prendre du plaisir. Elle commence à déboutonner mon short et à me sucer.
-Et bas au moins on est sûr qu'on a ce qu'il faut.
-Oui c'est juste que... je ne savais pas quelle taille prendre.
En disant cela elle avait à nouveau rougie ce qui m'amusa. Je pris alors mon short qui était à mes pieds et sorti les préparatifs de ma poche.
-Ceux-là je suis sûr qu'ils ont la bonne taille
J'enlève donc ma chemise et place le préservatif sur mon sexe. Elle vient alors ce placé au-dessus de mon sexe et s'empale dessus comme elle avait vu Alice le faire. Mais n'ayant pas une telle expérience que leurs initiatrice cela lui fit pousser un cri de surprise et une légère douleur quand elle sentit le gland atteindre le fond de son vagin. Puis après quel que second d'acclimatation elle se mit à monter et à descendre. D'abord lentement puis de plus en plus vite. Mais n'ayant pas l'habitude de telles positions le rythme commençai a baisser aussi rapidement qu'il avait augmenté. Maxime prit donc la décision d'agir. Après avoir relevé le buste et déposée un baiser sur les lèvres d'Anaïs il l'a pris dans les bras et la retourna tous en douceur. Ainsi ils se retrouvèrent en missionnaire classique. Anaïs ayant déjà fait tout le travail Maxime était au bord de la jouissance, mais il se retient pour procurer aussi un orgasme à sa reine. N'ayant plus besoin de fournir un effort physique cette dernière arriva presque à l'orgasme. Maxime réussit donc à coordonner leur orgasme. Puis ils se blottirent ensuite l'un contre l'autre
-Je crois que je t'aime
Maxime qui était sur le point de s'endormir fut secoué de toute torpeur en entendant cet aveu.
-Tu crois ?
-Et bas en fait je n'ai jamais ressenti ça pour aucun autre garçon. Je pense que c'est l'amour, mais je n'en suis pas totalement sur.
-Bon écoute je ne voudrais pas que tu te trompes sur les sentiments que tu as à mon égard alors je te propose un marché.
-Quel genre de marcher ?
-Pendant les vacances on a le droit de coucher avec qui on veut.
- D'accord
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