Leslie Nr78 : Histoires Libertines - En Forêt

S Leslie NR78 – Nouveaux récits
Histoires libertines - En forêt

Même si elle est épanouie sexuellement en ayant des relations avec des amants ou des amantes, il y a bien longtemps qu’elle se livre à des jeux solitaires lorsque l’envie la prend.
Parfois se masturbant sur le lieu de son travail, entre deux clients ou parfois même entre deux relations juste en se souvenant du merveilleux moment passé et en se donnant du plaisir le soir seule n’ayant personne pour lui tenir compagnie.

Mais aujourd’hui elle a décidé de s’adonner à une de ses passions favorites qu’elle pratique depuis qu’elle a obtenu son permis de conduire, se donner un plaisir solitaire dans sa voiture dans un coin tranquille à l’abri des regards. Au début elle pratiquait à bord de sa petite Peugeot 206, mais aujourd’hui quand l’envie la prend elle part rouler sur les petites routes de campagne pour trouver un endroit calme, un peu retiré et se gare pou se donner son plaisir.
C’est au volant de son cabriolet Nissan 370 Z Roadster quelle est parti aujourd’hui pour passer une journée à se balader en voiture, il faisait beau en cet fin de mois de juin et elle avait décapoté pour rouler cheveux au vent

Elle aime ça et déambule en roulant dans la campagne en quête de l’endroit propice à ce jeu finalement bien innocent, en apparence.
Elle connaît très bien les différents lieux propices à cette activité qui entourent la ville où elle habite, que ce soit en forêt où en ras-campagne et elle pourrait s’y rendre les yeux fermés…
Mais aujourd’hui, elle a envie de changer, trouver un endroit inédit, un lieu inconnu pour attiser le désir en se laissant partir dans la jouissance en ne connaissant rien de cet endroit.
D’ordinaire, rendue sur le lieu, elle gare sa voiture dans un coin isolé, à l’abri supposé des regards et se déshabille pour se mettre nue, en prenant soin de ranger ses vêtements dans le coffre, ainsi s’il venait qu’elle soit surprise par un promeneur elle ne peut pas changer d’avis et se laisser aller sans savoir ce que donneront les instants suivants.

Cela pense-t-elle ne peut qu’ajouter du piment à l’événement…
Parfois en roulant, elle avance le moment de se retrouver nue et conduit seins nus, et aussi quelques fois sans culotte, mais en faisant attention à garder près d’elle de quoi se rhabiller vite fait au cas où…
Il lui est même arrivé, alors qu’elle n’avait plus de culotte, de se masturber en conduisant mais la concentration et l’attention nécessaire pour conduire lui avait enlevées du plaisir.
Mais une fois nue et installer, elle garde près d’elle, un petit sac contenant quelques accessoires importants, comme du gel, des préservatifs et son gode favori et s’allonge sur le siège avant qu’elle ait auparavant mis en position couchette, mais pas complètement afin de surveiller les alentours.
Afin de profiter pleinement de cette sensation de nudité totale, elle s’épile entièrement.

Enfin, pense-t-elle, elle trouve un chemin carrossable s’enfonçant dans la campagne avec au loin, en contre-bas un bosquet d’arbres, le coin idéal pour se livrer à son passe-temps.
Elle roule doucement sur ce petit chemin de terre en faisant attention car son cabriolet est relativement bas, arrivée près du bosquet elle ne peut aller, le chemin s’arrête là en formant une petite aire, où elle pourra se garer puis faire demi-tour, et un petit chemin creux, serpentant au gré des arbres et des buissons, entre dans le bosquet et descend vers un ruisseau. Tout semble calme et tranquille, elle fait les manœuvres nécessaires pour se garer et se positionne prête à partir en bordure des arbres qui lui font de l’ombre.
Face au chemin emprunté elle pourra voir tout mouvement suspect…
Elle se prépare comme à son habitude après avoir observé les alentours, personne en vue, donc elle se met nue en rangeant ses affaires dans le coffre et s’installe confortablement sur le siège conducteur, son petit sac sur le siège passager.
Elle commence à caresser son pubis de la main gauche tandis que la droite agace le bout de ses seins, bientôt une douce chaleur envahie son ventre et ses doigts sa porte sur sa vulve qui s’ouvre à ses caresses, le plaisir augmente au fur et à mesure que ses doigts deviennent plus précis sur ses parties intimes et ses doigts entrent tout naturellement en elle quand la jouissance la surprend…
Mais elle veut aller plus loin et ses doigts descendent le long de son scrotum et deux d’entre eux entrent dans son intimité anale, puis après quelques douces pénétrations, insatisfaite de la sensation qu’elle ressent, elle passe son bras par derrière ses fesses et entrer les deux doigts dans son anus, la pénétration est plus profonde et le ressenti est bien meilleur.

Sans se redresser, elle ralenti le va et vient de ses doigts en elle et regarde autour d’elle, et voit dans le rétroviseur extérieur un homme contre la porti-re arrière tenant son sexe à la main en train de se branler en le regardant, et elle entend :
- Continue salope !
L’entrée en matière est directe, mais à bien regarder le monsieur en possède une belle et elle pense que ce serait dommage de ne pas en profiter…
Alors elle se masturbe l’anus de plus belle pendant qu’elle voit l’homme se rapprocher pour finir près de sa portière. Il est pas mal, mais en cet instant peu importe le physique général, seul son membre compte. Un beau sexe comme elle les aime, n’ayant pas eu le temps de se goder, elle se dit que ce membre fera largement l’affaire même mieux…
Mais elle n’a pas le temps de réfléchir plus longtemps que sa portière s’ouvre, qu’elle se sent attr par les chevilles et tiré à l’extérieur.
Elle se retrouve rapidement debout contre sa portière, le ventre écrasé contre le métal et une queue dans le cul. Elle se fait sauvagement enculer ainsi, puis sur le capot, pour finir en levrette sur la banquette arrière. En l’enculant l’homme ne cesse de lui dire :
- Une vraie salope qui aime se faire enculer !
Après avoir jouit, il s’est rajusté en la laissant ainsi pantelante et ivre de jouissance en lui disant ;
- Je passe souvent par ici, alors si tu veux tu peux revenir !

Parfois, lors de ses confidences à son amie, elle raconte ses aventures solitaires, c’est comme cela qu’un jour, seules avec son amie, dans la pénombre de sa chambre, les volets juste entrouverts ne laissant passer que peu de lumière, elle lui a raconter une de ses journées.
Un jour pendant un récit, intéressée et captivée et certainement inconsciemment son amie posa sa main sur la cuisse de sa copine, puis remonta lentement pour constater qu’elle ne porte de culotte, étonnée son amie lui posa la question :
- Tu ne portes pas de culotte ?
- Quand je peux je n’en mets pas et surtout quand je vais me promener seule, c’est plus pratique pour me masturber, surtout quand je conduis.
Son sexe nu et glabre est bien visible, l’amie n’arrive pas à détacher son regard de ce sexe nu et offert, qui luit un peu des sécrétions qu’il laisse échapper.
- Et toi tu portes quoi ?
- Je mets des strings le plus souvent.
- Montre pour voir !
Son amie remonte doucement sa petite robe et montre son string qui est taché et laisse voir au travers de la transparence de la fine étoffe les lèvres fines de son sexe.
En le regardant, elle ne peut s’empêcher de passer la main sur son sexe, sous le regard de sa copine qui semble étonnée de son geste.
Mais troublée la copine n’hésite pas plus longtemps, elle retire son string pour dévoiler son pubis de petite brunette assorti à ses cheveux noirs coupés court. Même si elle prétend ne pas être aussi délurée qu’elle, celle-ci aussi prend soin elle aussi de sa toison consciencieusement taillée, les lèvres sont bien lisses et apparentes et sont surmontées d’un rectangle de poils courts coupés façon ticket de métro.
Tout en racontant, elle revit son histoire et n’hésite pas à se masturber en insistant sur son clitoris, sa copine de son côté, captivée par le récit, elle commence à son tour à parcourir négligemment sa fente du bout de ses doigts tout en l’écoutant avec intérêt.

Puis les deux jeunes filles cessent alors leur conversation et se concentrent mutuellement sur leur plaisir, continuant tranquillement à se caresser côte à côte. Aussi excitées l’une que l’autre, chacune observe avec curiosité comment sa voisine s’y prend pour se donner du plaisir. Leur désir monte de plus en plus. Mues par une même envie, elles jouent avec leur sexe luisant de plaisir, se masturbant, leurs doigts parcourent leur fente, jouent avec leur clitoris, pénètrent entre leurs lèvres avec frénésie.
N’y tenant plus, elle place sa main sur la vulve de sa copine et commence à la caresser. Les gémissements de cette dernière trahissent immédiatement le plaisir qu’elle procure. Elle place à son tour sa main sur la fente humide de sa partenaire pour lui rendre ses caresses. Très excitées, elles se masturbent mutuellement, chacune jouant avec le clitoris de l’autre. De leur main libre, elles défont quelques boutons de leur chemisier pour se caresser la poitrine, elles ne portent pas de soutien-gorge. Leurs gémissements sont de plus en plus forts, accompagnant le plaisir mutuel qu’elles ressentent, jusqu’à ce que dans un grand cri libérateur, elles expriment sans retenue leur jouissance brutale et soudaine.

Hébétées, elles restent de longues minutes allongées sur le lit, récupérant lentement du plaisir brutal qu’elles viennent de se donner. Elles se retrouveront souvent pour se donner du plaisir mais sans avoir comme prétexte une aventure à raconter.
Mais elle, de son côté, a continué ses plaisirs solitaires dans la nature…

A suivre…