Une Exhibition Torride Et Rafraîchissante
En regardant des photos prises il y a quelques années et à ne pas mettre entre toutes les mains je me suis remémorée lexpérience que jai vécue, durant un séjour à la montagne. Et je nai pas résisté à la tentation de la raconter.
Certain(e)s diront que jai le don de me mettre dans des situations impossibles
Dautres estimeront que mon goût du risque me coûtera cher un jour
Mais je ne sais pas être raisonnable, lorsque loccasion de vivre mes fantasmes se présente.
Cétait donc pendant les congés de février. Jétais partie faire du ski, en compagnie de mon amie Carine. Des vacances entre copines. Nous avions loué un studio, dans une station de sport dhiver, en Haute Savoie.
Nous étions bien décidées à profiter de cette semaine pour nous éclater. Dans tous les sens du terme, et nous avons collectionné les conquêtes, ensemble ou séparément.
Nous étions à la moitié de notre séjour, et javais flashé sur ma monitrice de ski, pour me changer des partenaires masculins. Une jolie femme dune trentaine dannées, sportive comme il se doit, avec des cheveux châtain, bouclés, quelle laissait ébouriffés. Elle sappelait Virginie, et jétais quasiment sure quelle était, elle aussi, attirée par les filles.
Après le cours, je lai invitée à prendre un verre, dans un bar au pied des pistes, pour pouvoir la draguer plus facilement quen présence du groupe délèves. Les choses se passaient à peu près comme je lespérais, lorsque jai aperçu Carine, à qui jai proposé de se joindre à nous.
Nous discutions et plaisantions toutes les trois, et Carine a surpris mon regard sattardant sur les cartes postales vendues au bar. Plus particulièrement une série de cartes comme on en voit dans toutes les stations de sports dhiver pour lesquelles des filles plus ou moins dénudées avaient posé, dans des décors de montagne.
- Ça te donne des idées, Chloé, me demanda-t-elle, narquoise ?
- Pourquoi pas. Ce doit être très excitant de se balader et de skier, nue dans la neige.
- Cest bien toi, ça. Tu ne le sais sans doute pas encore, Virginie, mais ton élève est portée sur lexhibition.
- Cest vrai, me demanda ma monitrice, incrédule ?
- Disons que ce nest pas faux, répondis-je en minaudant.
- Allez, sois franche, Chloé, insista Carine. Tu ne las pas encore fait, et ces photos te donnent envie.
- Tu voudrais réellement descendre une piste de ski, à poil, renchérit Virginie, qui commençait à se rendre compte que jétais sérieuse.
- Ça te choque, lui demandai-je ?
- Non, répondit-elle en hésitant un peu. Je ne suis pas coincée.
- Je sens que tu vas le faire, lança Carine.
Notre conversation dériva vers dautres sujets, et nous nen reparlâmes pas ce soir-là. Et comble de malchance, Virginie étant invitée à dîner, elle ne pouvait pas rester avec moi.
Mais elle navait pas oublié le fantasme que javais confessé, et le lendemain, pendant une pause au milieu du cours, elle mentraîna à lécart du groupe.
- Tu ne plaisantais pas hier, au bar, me demanda-t-elle ?
- A quel sujet, répondis-je en jouant létonnement.
- Descendre une piste de ski, nue.
- Pourquoi ? Tu as une idée ?
- Eh bien
jai pensé
(Virginie hésitait) Jai pensé que tu pourrais le faire ce soir, à la fermeture des pistes. Il y a du soleil, et il ne fait pas trop froid aujourdhui.
- Tu maccompagnerais, pour assurer ma sécurité ?
- Avec plaisir. Jhabite au pied des pistes, un petit chalet un peu à lécart, et je rentre chez moi, skis aux pieds. Je mettrai tes affaires dans mon sac à dos, et tu pourras te rhabiller chez moi.
- Il faudra aussi sans doute que tu me réchauffes, dis-je avec un clin dil coquin.
- Tout ce que tu voudras. Je suis libre ce soir.
La proposition de Virginie menchantait. Sa dernière phrase, encore plus. La journée me sembla longue, et lheure avançait trop lentement à mon goût sur le cadran de ma montre, même si je mappliquais à suivre les consignes de ma monitrice.
Le moment où le groupe se séparait arriva enfin. Les élèves partirent un à un, chacun de leur côté, et jattendais un peu à lécart le moment où Virginie serait seule. Lorsque la dernière élève, une jeune femme ronde, eut fini déchanger des considérations sur ses progrès, jallai rejoindre ma monitrice.
- Toujours décidée, me demanda-t-elle ?
- Plus que jamais !
- Alors, on prend la télécabine, et en attendant la fermeture des pistes, je toffre un verre au chalet daltitude. Pour te donner du courage.
Je me sentais terriblement excitée. Une excitation que je connaissais bien, et qui précédait chacune de mes expériences extrêmes. Je bus un Spritz, sur la terrasse du chalet, pendant que les derniers skieurs sélançaient sur la piste.
Lorsque les cabines sarrêtèrent, nous nous levâmes toutes les deux, et nous chaussâmes nos skis.
- Si tu veux, on descend jusquaux sapins, et tu te déshabilleras sous les arbres, me proposa Virginie. Ce sera plus discret, par rapport au personnel du chalet.
Elle avait pensé à tout. Je poussai sur mes bâtons, et je me laissai glisser jusquau petit bois.
Là, je déchaussai mes skis. Jenlevai mon blouson, et je létalai au sol, pour ne pas mouiller mes chaussettes pendant que je me déshabillais. Mon cur se mit à battre un peu plus vite. Sous le regard amusé de Virginie, jextirpai mes pieds des chaussures de ski. La corvée de la journée
Puis, débout sur mon blouson, jôtai mon pantalon, que je lui tendis.
Le reste suivit. Mon pull. Mon soutien-gorge. Et enfin, ma petite culotte.
Même si je my attendais, la fraîcheur de lair en cette fin de journée me surprit. Mes petits seins se mirent à durcir, mes tétons à se dresser. La chair de poule piqua ma peau. Et déjà, lérotisme de la situation me faisait mouiller.
Virginie rangeait tant bien que mal mes vêtements dans son sac à dos, tandis que je calais à nouveau mes pieds dans mes chaussures, et que je les bloquais dans les sécurités de mes skis. Bien campée sur mes spatules, je lançai un regard victorieux à Virginie, qui me contemplait en souriant.
- Tu es belle à damner un saint. Ou une sainte, me dit-elle. On y va ? Jespère quon va croiser quelques retardataires.
- La prochaine fois, ce sera toi qui feras la descente à poil !
- Avec mon boulot, je ne peux pas.
- Oui, cest une excuse. Tu te dégonfles
Bon, tu me prends en photo avec mon téléphone, pendant la descente ?
Virginie sortit mon smartphone de son sac à dos, et me photographia, pendant que je me préparai à repartir. Un coup dil vers le sommet me permit dapercevoir deux serveurs du chalet daltitude, qui regardaient dans notre direction. Même sils nétaient pas tout près, ils devaient se régaler.
Était-ce Virginie, qui les avait mis dans la confidence ? Je ne devais jamais avoir la réponse à cette question. Et ce nétait pas grave. Après tout, mon but était bien de mexhiber
Je poussai sur mes bâtons, pour traverser une coulée de neige profonde qui nous séparait de la piste damée, et je me lançai dans la descente, seulement vêtue de mes gants, et dun bandeau protégeant mes oreilles.
La sensation était incroyable, difficile à décrire. Le vent froid créé par ma propre vitesse enveloppait mon corps, le massait presque. Ma poitrine, mon ventre, mes cuisses éprouvaient particulièrement les effets de la température, qui chutait avec la fin du jour.
Je prenais mon temps. Je skiais prudemment, en slalomant, et en faisant attention à ne pas chuter. Je savourais chaque instant de cette expérience inoubliable. Alors que dhabitude, le froid est sensé calmer la libido, il me faisait mouiller, et javais limpression que ma cyprine était en train de geler entre les lèvres de mon minou excité. Même mon petit bouton était tout dur, pointant hors de son étui.
Virginie me suivait, et revenait parfois à ma hauteur. Elle me mitraillait avec mon téléphone. Elle prenait des vidéos de ma "performance". Jaurai des souvenirs de cette descente
Juste après avoir négocié une grosse bosse, les battements de mon cur semballèrent. Sur le côté de la piste, un petit groupe de vacanciers retardataires était en train de discuter. Leur conversation sarrêta net, lorsquils maperçurent.
Je passai devant eux, sans ralentir, et juste au moment où je me trouvai à leur hauteur, une femme se mit à mapplaudir, bientôt imitée par ses compagnons. Javais peut-être suscité une vocation !
La pente devint ensuite plus raide. Cétait ce tronçon qui valait à cette descente dêtre classée en piste rouge. Et le froid se fit plus mordant. Je me contractais, en voulant éviter de commettre une faute, et je sentais mes muscles se raidir. Je claquais des dents. La chair de poule piquetait ma peau. Mes petits seins se transformaient en morceaux de glace.
Mais était-ce par masochisme ? Malgré tout, mon excitation redoublait, et je mouillais de plus belle. Surtout lorsque Virginie, qui mavait dépassée, sarrêta pour mattendre, me photographier une dernière fois, et lorsque je vis la lueur du désir dans ses yeux. Vivement que nous arrivions à son chalet !
Quelques centaines de mètres plus bas, les constructions de la station apparurent, et il était évident que des gens allaient bientôt se rendre compte de ma nudité.
Cest alors que Virginie me fit signe de quitter la piste, et me guida dans une neige poudreuse, immaculée, à travers les arbres. Son chalet se trouvait en lisière de ce petit bois de sapins et de mélèzes, un peu en retrait du village.
Nous nous immobilisâmes, après un superbe chassé en dérapage.
Je tremblais, je claquais des dents. Mais jétais fière davoir osé mexhiber dans ces conditions. Tous mes muscles étaient tétanisés, et cest Virginie qui fit sauter les sécurités de mes skis, de la pointe dun de ses bâtons. Elle dut me soutenir, pour que je finisse de déchausser mes spatules, et pour me conduire jusquà la porte de son chalet.
Nous entrâmes. Jétais blottie contre elle, en la tenant par la taille, mais je continuais de grelotter, sans pouvoir me contrôler, malgré la douce chaleur à lintérieur de la bâtisse en bois du pays.
Virginie mabandonna un court instant, pour gratter une allumette, et mettre le feu aux bûches de la cheminée. Puis elle revint vers moi, et avant même de se déshabiller, elle menleva mes chaussures, et me frictionna avec une serviette de bain.
- Tu las fait ! Je nen reviens pas, me dit-elle.
- Oh putain, ce que ça ma excitée ! Tu devrais essayer.
- Je te lai dit, je ne peux pas. En tout cas, pas dans cette station. Mais jai un autre fantasme
ajouta-t-elle, mystérieuse.
- Lequel ?
- Je te le dirai plus tard. Si tu es sage.
Et elle partit dans un grand éclat de rire, sonore, avant de me proposer de finir de me réchauffer, sous une douche.
Elle enleva à son tour sa combinaison de ski, puis son pull. Son corps était superbe, ferme, musclé, avec une peau claire pas de bronzage intégral, avec ce climat. Je la pris dans mes bras.
- Pour que nous soyons à égalité, lui murmurai-je à loreille, en faisant sauter lagrafe de son soutien-gorge, et en baissant sa petite culotte.
Elle avait des seins superbes, en poire, avec de larges aréoles à peine marquées, et des tétons saillants. Sa toison sombre, en triangle, était coupée court. Ma main se posa sur ses fesses, pendant que je lui tendais mes lèvres, et nous échangeâmes notre premier baiser.
Sans nous désunir, nous passâmes dans la salle de bains. Nous ôtâmes nos grandes chaussettes, et Virginie ouvrit le robinet de lune immense douche à litalienne.
Nous nous savonnâmes mutuellement, et nos massages tenaient surtout de la caresse, tant nous insistions sur les parties les plus sensibles de nos corps. Jétais réchauffée, et mes sens étaient maintenant en ébullition. Ceux de Virginie aussi
Après nous être à peine essuyées, elle me poussa sur le canapé, face à la cheminée. Sa tête plongea entre mes cuisses, et sa langue partit à lexploration de mon petit abricot. Je caressais ses cheveux. Elle massait mes seins, et commença à doigter ma fente trempée.
Nous tombâmes enlacées sur la grande peau de vache qui servait de tapis. Mon exhibition mavait mise dans un tel état que je jouis très vite. Virginie était comme folle, et je nétais pas rassasiée. Je me jetai sur elle, et nous avons fait lamour, en 69. Longtemps. Nous avons échangé nos positions. Nous avons eu plusieurs orgasmes, dévastateurs. Elle était autant fontaine que moi, et nous avons inondé de nos sèves le malheureux tapis.
Puis Virginie a servi lapéritif, pour nous redonner des forces. Tout en sirotant nos whiskies, nous avons visionné les photos et les vidéos, prises pendant ma descente. Cétait terriblement érotique. Surtout une vidéo où on voyait mes muscles travailler, mon petit cul se déhancher au rythme des virages, et qui se terminait sur le groupe qui mavait matée
Nous décidâmes de commander une pizza. Je voulais que Virginie accueille le livreur à poil, mais elle na pas osé. Au final, cest elle qui a eu gain de cause, et jai réceptionné notre sicilienne, seulement vêtue dune grande chemise à carreaux que jai laissée ouverte
Pendant notre dîner, jai harcelé Virginie de questions, concernant le fantasme auquel elle avait fait allusion, à notre arrivée au chalet. Après quelques hésitations, elle ma avoué quelle rêvait de faire lamour, nue, dans la neige.
Je nai rien dit sur le moment. Mais après notre repas, et pendant que nous dégustions un genépi, je me suis levée, et je me suis débarrassée de ma chemise. Jai pris Virginie par la main, je lui ai enlevé son peignoir, et je lai entraînée dehors. Elle a vite réalisé ce que javais en tête.
La nuit était très noire, piquée de quelques étoiles, et la neige avait des reflets bleutés. Nous nous sommes embrassées, et nous nous sommes laissées tomber sur le sol. Virginie a poussé un petit cri, au contact de la neige froide contre son dos et ses fesses, mais elle sest abandonnée, lorsque jai écarté ses cuisses.
Nous avons fait lamour, en nous roulant dans la neige, qui a gardé les traces des jets de mouille accompagnant notre plaisir. Cétait délicieux. Nous ne souffrions même pas de la température, tant la montée de nos orgasmes nous rendait insensible à tout le reste.
Puis nous sommes rentrées dans le chalet, épuisées, comblées. Et jai passé la nuit avec Virginie.
Un merveilleux souvenir, qui humidifie ma petite chatte, chaque fois que jy repense et que je regarde mes photos.
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