Maîtresse Patricia : Prémices
Bonjour je m'appelle James et j'ai trente cinq ans.
Je suis gynarchiste dans l'âme, enfin surtout au niveau sexuel,et un peu(beaucoup)fétichiste des pieds féminins.
D'aussi loin que je m'en souvienne j'ai toujours été attiré par les femmes "dominantes" et fasciné par leurs pieds.
Si je fouille dans ma mémoire je crois pouvoir dire que cette attirance s'est développée l'année de mes dix ans,ma mère qui suivait une formation rentrait tard le soir et avait demandé à Sylvie, une de mes cousines âgé de quinze ans à cette époque, de venir faire la babysitter,ma soeur allant chez mes grands parents en sortant de l'école.
Nous n'étions pas proches, je la connaissais à peine,au début elle m'ignorait un peu.
Un soir de la première semaine alors qu'elle finissait ses devoirs elle me dit qu'on va jouer au jeu de "la maîtresse et l'esclave".
"- c'est quoi? Lui demandai je alors.
- bah tu sais Cléopâtre elle avait des esclaves qui devaient faire tout ce qu'elle demandait, la on va dire que c'est moi Cléopâtre, c'est comme "Jacques a dit" t'as compris?
- Oui
-alors la je t'ordonne de me chercher un yaourt! aller !"me dit elle d'un ton directif et d'un geste du doigt désignant la cuisine.
en lui amenant le yaourt elle m'explique le reste des règles,quand elle vient je dois l'appeler "maîtresse"pour m'adresser à elle tandis qu'elle m'appellera "esclave".
Au bout de quelques jours de "services" elle instaure une nouvelle règle:après ses devoirs je devrais lui masser les pieds pendant qu'elle regarde la télé car ça fait partie des devoirs d'un esclave paraît il.
C'était le premier pas vers ma passion des pieds,je me rendais compte que j'aimais cette situation.
Si elle n'était pas contente du massage je devais renifler ses pieds de longues minutes, elle riait, se moquait de moi mais elle a du finir par comprendre que ça ne me déplaisais pas car un soir elle s'est mise pieds nus avant de faire ses devoirs et m'a dit que ce soir j'étais prisonnier, je devait rester sous la table à renifler ses pieds jusqu'à ce qu'elle a fini son travail.
J'y prenais vraiment goût, de temps en temps elle m'interpellai:"je n'entend pas renifler!"
Je respirait fort, elle riait tout en remuant ses pieds, cela c'est reproduit souvent,à force,quand je la voyais arriver, j'espérais être "prisonnier" ce jour la.
Cela dura jusqu'aux vacances de pâques ou elle est venue dormir quelques jours chez nous.
Ma soeur était la, on ne jouait plus à "maîtresse et esclave" et Sylvie se comportait comme si de rien n'était avec moi.
Je me suis rendu compte que "ça" me manquait, j'avais envie de sentir ses pieds.
Un matin, je monte dans la chambre de ma soeur ou elle dormait pour la réveiller à sa demande.
J'entre assez bruyamment mais ça ne la réveille pas,elle est allongée sous la couette, un de ses pieds dépasse.
Constatant qu'elle ronfle,j'ose! je me met doucement à genoux à côté du lit et commence à sentir son pied, puis, dans un excès de confiance, à l'embrasser en essayant de faire le moins de bruit et de mouvements possibles.
Je ne saurais jamais si elle dormait ou faisait semblant, quoi qu'il en soit, ma soeur n'a pas fait semblant d'entrer dans la chambre et de me surprendre.elle m'a engueulé, ma cousine aussi, le soir ma soeur l'a dit à mes parents et il ne s'est plus jamais rien passé avec ma cousine par la suite, elle n'est n'est pas revenue après les vacances car ma mère n'avait plus les mêmes horaires et pouvait rentrer plus tôt.
A partir de cette époque je regardais les pieds des femmes avec envie.
A l'adolescence, en vacances chez de la famille dans le var j'ai "flashé" sur Christine, une cousine de ma mère, elle se promenait souvent seins nus mais le reste du temps elle était toujours bien habillée de la tête aux pieds.
C'était d'ailleurs ces derniers qui retenaient le plus mon attention,de longs ongles vernis presque chaque jour d'une couleur différente et toujours sublimés dans d'innombrables paires de chaussures sexy, en tout cas à mes yeux.
Je crois que j'aurai été prêt à payer pour y poser mes lèvres, malheureusement je dû me contenter d'une paire de bas subtilisée dans son panier à linge le matin de notre départ,après que nous ayons passé,ma soeur et moi même,une soirée avec elle en boite de nuit.
de retour chez moi je les avaient reniflé en me masturbant pendant plusieurs jours.
Je devais avoir quinze ans,ça peut paraître pathétique mais moi je trouvais ça excitant.
Arrivé à l'âge adulte je n'ai pas trouvé de femme avec laquelle partager mes fantasmes, pourtant, grâce au porno et surtout grâce à Internet, ils s'étaient affinés.
Je rêvais d'une "vraie maîtresse", genre habillée de cuir,en talons haut,avec un fouet,une femme "cruelle" pour être son esclave sexuel,mais autant dire que ça ne court pas les rues.
A une époque j'avais une "sexfriend", nous étions tous les deux en couple de notre côté et étions amants,nous avions une sexualité assez débridée et je lui avait fait part de quelques fantasmes.
Malheureusement elle préférait nettement être dominée et nous n'étions pas très crédibles en essayant de combler les attentes de l'autre, pire, elle trouvait dégoûtant que je veuille lui sentir ou embrasser les pieds et d'ailleurs elle aimait pas qu'on les voient!
quel dommage, ils étaient tellement beaux!
Je pus assouvir mes envies sans son avis un soir ou on avait pas mal bu.
Elle était dans "le gaz", je l'avais déshabillée pour la coucher dans le lit de notre chambre d'hôtel et j'en avais alors profité pour sentir, embrasser,et même,lécher ses pieds, c'était super excitant!
Dommage que ça se soit passé dans ces conditions.
J'ai recommencé autant que faire se peut,à chaque soirée arrosée passée ensemble sans jamais oser lui dire
Un jour j'ai rencontré la future mère de ma fille et nous avons coupé les ponts.
Ma nouvelle compagne et moi avons d'abord été amis et avons appris à bien nous connaître avant de se mettre en couple.
Le hasard faisant parfois bien les choses, il se trouve qu'elle est très sensible des pieds et que le massage fait partie intégrante de nos préliminaires,plus besoin de me cacher pour embrasser et lécher des pieds, elle adore ça!
Malgré tout j'ai toujours envie de plus,envie d'une vraie relation dominatrice/soumis.
Les années passent,j'ai bientôt trente ans,j'arpente régulièrement les sites sado-maso et farfouille dans les petites annonces pour trouver une "maîtresse",j'échange par mail avec pas mal de femmes, parfois même des photos mais souvent se sont des amatrices qui cherchent juste à se faire de l'argent facile.
Quant à celles qui ont l'air "réelles", soit elles sont à l'autre bout de la France soit elles exigent des sommes astronomiques sans promesses de passer un bon moment.
Un jour où je discutais de mes envies avec d'autres personnes sur un forum dédié au SM,Rémi,un homme partageant me fantasmes,me dit qu'il connais une prostituée dans Paris qui pratique ce genre de choses.
Nous discutons alors en privé, il me dit qu'elle s'appelle Catherine, qu'elle est blonde, un peu forte et il m'explique ou et à quelle heure je peux la trouver.
Quelques semaines plus tard, profitant d'un rendez vous médical dans Paris, je me décide à aller la voir.
en sortant de mon rendez vous, je visite un peu,et tout en me dirigeant vers son arrondissement,je retire une somme d'argent assez conséquente ne sachant pas du tout ce que ça pourrait me coûter.
Arrivé au lieu et à l'heure indiqués je ne tarde pas à remarquer une femme correspondant plus ou moins à la description:blonde,pas très grande,plutôt forte,voire grosse par rapport à sa taille,environ la cinquantaine.
Je me dis que ça ne doit pas être elle vu son âge mais je me rappelle alors que l'homme du forum ne m'avait pas donné tant de précisions.
Je décide de passer une première fois devant elle, je la détaille:"c'est une belle femme,très maquillée,un genre de fourrure cachant un corset, une jupe très courte, des bas résilles et des chaussures à brides et talons hauts laissant entrevoir les orteils, comme je les aime.
si ce n'est pas elle, une chose est sûre,c'est qu'elle n'a pas l'air d'attendre ses s rentrants de l'école.
Je fais alors semblant de téléphoner pour repasser plusieurs fois devant elle afin de la regarder mieux,enfin surtout ses pieds je l'avoue.
Je n'ose pas lui parler, je n'ai jamais fait ça, la seule fois ou je suis allé voir une prostituée c'était avec un ami et c'était lui qui était allé la voir pour moi.
en plus les circonstances sont particulières, je ne sais pas comment lui demander ce pourquoi je suis venu.
Je repasse tellement devant elle en la regardant qu'elle finit par remarquer mon manège.arrivant pour la énième fois devant elle, toujours "au téléphone",elle me fait signe de son index de venir à elle.
Je me sens tout con, je fais semblant de raccrocher, je m'approche,timidement je lui demande:"que voulez vous?
-c'est plutôt toi qui veux quelque chose il me semble vu comment tu me tourne autour."
j'hésite une seconde avant de répondre, je ne sais pas comment m'y prendre,je lui dis: "vous êtes Catherine?c'est Rémi sur un forum SM qui m'a conseillé de venir vous voir."
Elle me regarde de la tête aux pieds avant de me dire en tout en machant son chewing-gum: "ok, je vois le genre,suis moi."
Sans un mot,nous passons sous une porte cochere déboulant sur une petite cour,de chaque côté des petits logements et des escaliers menant à d'autres logements à l'étage, on dirait un hôtel.
Je la suit dans l'escalier,je sens l'odeur de son parfum,elle "roule" ses grosses fesses en montant les marches,je commence à être excité.
Nous entrons dans une toute petite chambre, à peine la porte fermée elle m'interpelle d'un ton légèrement agacé: "bon alors c'est quoi ton truc?uro?scato?tu veux que je te"baffe"?que je te crache dessus?"
Autant abasourdi qu'excité,j'allais balbutier quelque chose quand elle poursuit:"non toi c'est les pieds qui te font bander mon cochon,t'as pas arrêté de me les mater dans la rue."
et avant que je ne dise quoi que ce soit, elle me désigne le sol devant ses pieds près du lit et m'intime d'un ton ferme:"mets toi à genoux!"
Je m'exécute,j'ai tellement rêvé d'entendre ces mots de la bouche d'une femme!
Elle enlève alors sa fourrure et la pose sur un fauteuil à côté du lit, elle rabat sa chevelure vers l'avant puis, tout en dégrafant son corset,elle me dit sèchement:"normalement je prend soixante euros pour une passe "normale" , pour ce prix la je te laisse t'éclater vingt minutes avec mes pieds et si tu veux plus faudra rajouter.
Et je veux l'argent maintenant!"
Pendant que je cherche l'argent dans mon portefeuille, elle enlève son corset, dévoilant ainsi une forte poitrine tombante sur un ventre "potelé".
Je ne crois pas m'être trompé sur son âge mais ça n'a aucune importance, elle m'excite.
tout en se baissant pour prendre l'argent que je lui tend, elle me crache au visage puis me gifle fortement,"ça c'est cadeau"me dit elle d'un air hautain! Je ne réplique pas,après tout c'est un peu ce que je suis venu chercher.
Me tournant le dos, elle descend sa jupe lentement en remuant les fesses découvrant un aussi gros que magnifique "cul" dans lequel se perd la ficelle de son string, je suis subjugué!
passant sur le côté du lit elle m'intime de ne pas bouger pendant qu'elle s'installe,elle place alors les oreillers de sorte à faire dépasser ses pieds du lit en s'allongeant,je les ai littéralement "sous le nez".
"Je te laisse enlever le reste" me dit elle en croisant les jambes et en farfouillant dans son sac à main pour en sortir son portable,puis d'ajouter d'un sourire moqueur:"a moins que tu sois de ceux qui veulent juste lécher les talons".
La situation est terriblement excitante, pourtant je ne sais pas trop comment commencer.
Timidement,à genoux au pied du lit,je lui embrasse les orteils d'un pied en lui caressant l'autre,je la regarde, elle s'occupe sur son portable en machant son chewing-gum.
sans daigner me regarder, elle me dit d'un ton sec: "t'es timide toi dis donc, enlève mes chaussures!"
voilà ce dont j'avais besoin:des ordres!
Je lui enlève ses chaussures l'une après l'autre avant de les poser délicatement au sol.
les jambes toujours croisées, elle remue lentement ses pieds et ses orteils toujours "enfermés" dans les bas résilles.
Je commence à embrasser le dessous de ses pieds, du talon jusqu'aux orteils tout en les reniflant, mais doucement, comme si par honte,je n'avais pas envie qu'elle s'en rende compte.
L'odeur de ses pieds m'enivre,les souvenirs avec ma cousine me reviennent mais la c'est bien plus excitant:je suis à genoux en train d'embrasser et sentir les pieds d'une inconnue, qui plus est que j'ai payé pour? C'est trop bon! J'ai une forte érection.
Sans me parler ni me regarder, elle descend chacun de ses bas au niveau des genoux, je ne me fais pas prier pour lui ôter doucement le premier,je prend soin de ne pas lui retourner comme une vulgaire chaussette,je découvre son premier pied,ses orteils sont vernis d'un violet foncé, ce que je ne voyais bien à travers les bas,c'est sexy.
Je dépose quelques baisers sur le dessus de son pied avant d'entreprendre d'enlever le deuxième bas.
Je le descend tout aussi lentement et minutieusement, ça y est,je me retrouve face à ses deux pieds nus, ils sont beaux!
elle recroise ses jambes tout en se replaçant bien dans les oreillers, toujours sans un regard vers moi.
De nouveau,j'embrasse ses pieds à tour de rôle du talon aux orteils tout reniflant doucement et en les caressant.
D'un coup elle bouge légèrement pour me coller son pied droit sur le visage,"tiens tu sentiras mieux comme ça" me lance t-elle en daignant me regarder.
Je me sentais un peu honteux qu'elle s'en soit aperçue.
"Allé renifle!"m'ordonne t-elle alors avant d'ajouter:"et t'oublieras pas l'autre pied".
Je suis aux anges! Avec sa "permission", je me délecte de l'odeur de ses pieds, je les couvre de baisers.
j'ai très envie de les lécher mais Je n'ose pas.
Je me permet un moment de lui masser,elle ferme un instant les yeux, j'ai l'impression qu'elle apprécie.
Comme pour me contredire elle m'interpelle:"encore cinq minutes!"
Je me dis: "merde déjà?"
Je me lance, je commence à lui lécher les orteils du bout de la langue, puis,comme pour les baisers, je lui lèche le talon en remontant le long d'un pied jusqu'aux orteils,et je fais de même sur l'autre.ils ont un goût légèrement salé,c'est agréable.
Je suis très excité,je prend ses orteils un à un en bouche pour les enrouler de ma langue.
Toute bonne chose ayant une fin, elle replie ses jambes sur le lit tout en me disant que si je veux plus il faut repasser à la caisse.elle me propose alors:"si tu veux pour vingt de plus je te branle pendant que tu lèche mes pieds, pour quarante je te suce en même temps où alors tu me redonne soixante pour une pipe,l'amour plus mes pieds!"
Je n'avais pas prévu de tromper ma compagne à proprement parler, mais a ce moment je suis trop excité.
"J'ai envie de vous!"lui répondis je tout en sortant soixante euros supplémentaires.
"Ok alors enlève ton froc et mets toi sur le lit tête-bêche"me dit elle tout en prenant les billets.
Je me déshabille rapidement et m'allonge sur le lit,la tête près de ses pieds.
tout en sortant un préservatif de son sac, elle pose ses pieds sans ménagement sur mon visage,enfile le préservatif sur mon sexe et commence à me sucer.
Quel bonheur!j'ai déjà fait ça souvent avec ma compagne mais c'est beaucoup plus excitant avec une inconnue.
Elle me frotte ses deux divins pieds sur le visage tout en me suçant, je me laisse faire, je les embrasse, les lèche, les sent!
Au bout de quelques minutes(?)elle se replace plus haut sur le lit et enlève son string,tout en écartant les jambes,elle se frotte le sexe quelques instant avant de me faire signe d'approcher de son index.
Approchant d'elle, je regarde cette femme qui pourrait être ma mère,ses gros seins pendants semblent comme écrasés par la gravité,je remarque une légère cicatrice de césarienne qui se perd dans une petite toison blonde en "ticket de métro",dommage que ce soit une prostituée car j'ai envie de me jeter à pleine bouche entre ses jambes!
Je me contente de commencer à la pénétrer à la façon du "missionnaire",elle ne cherche même pas à faire semblant d'apprécier, elle regarde ailleurs, la tête tournée tout en mâchant son chewing-gum.
Sa grosse poitrine ballotte à chacun de mes "assauts".
Soudain elle lève ses deux jambes, elle place son pied droit tout contre mon torse et me titille les têtons avec ses orteils tandis qu'elle amène son pied gauche à mon visage toujours sans me regarder.
pour moi c'est comme si elle m'avait dit:"tiens éclate toi",mais je pense qu'elle s'est surtout dit que de cette façon je "finirai" plus vite.
Quoi qu'il en soit,je prend son pied, je le maintiens contre mon visage et le déguste littéralement.
Très vite,l'excitation d'être en elle ajoutée à celle de ses pieds est trop forte et j'éjacule tout en "roulant des pelles" à ses orteils.
A peine ai je "terminé" qu'elle me demande de me retirer, de jeter le préservatif dans la poubelle,de réhabiller et de partir afin qu'elle se lave.
en remettant mes vêtements je lui dit que j'aimerais revenir la voir, tout en se coiffant elle s'allume une cigarette et me répond sèchement:"tant que t'as du fric moi je te pisse à la gueule même si ça te fais bander!"
j'avoue que ça me tente assez, néanmoins je ne répond pas, une fois habillé je me dirige vers la porte, elle me suit toujours toute nue,"bon bah merci et à bientôt" lui dis je en sortant, et elle de répondre nonchalamment: "ouais ok, à plus tard" avant de refermer la porte à clé derrière moi.
Sur le chemin du retour je repense à cette petite entrevue, je suis satisfait,et de la prestation,et de la personne.
J'ai aimé son indifférence, j'aurai même aimé qu'elle me "traite" plus mal que ça.
Je me dit qu'après tout ce n'est pas une "vraie maitresse", juste une prostituée s'adaptant aux fantasmes de ses clients, bref je ne suis pas déçu.
Par contre je me dit que ça va être compliqué de retourner la voir, tant pour trouver un créneau que pour le financement car, l'excitation redescendue,je me rend compte que cette petite folie vient de me coûter cent vingt euros,je ne pourrai pas me permettre ça souvent.
Arrivé chez moi, j'ai des remords vis à vis de ma compagne mais très vite je repense au plaisir ressenti plus tôt et les remords laissent place à l'envie de recommencer au plus vite.
Ne pouvant pas retourner sur Paris avant un bon moment, je me remet "en chasse" sur les sites spécialisés et les petites annonces.
Mes envies se sont encore un peu plus précisées, depuis ma rencontre avec Catherine,je fantasme sur les femmes fortes,je me met alors à regarder des pornos de dominatrices "bbw" et à rechercher des annonces comprenant ce mot clé.
Malheureusement,pas grand chose à part à l'étranger.
Quand un jour,au hasard d'une recherche sur un site de petites annonces, un intitulé attire mon attention:"femme forte, dominatrice à ses heures perdues,cherche homme à dresser".
Intéressé, je clique sur l'annonce, j'y découvre les photos d'une grande et forte femme brune,le visage flouté,toute de cuir vêtue, le fouet à la main, en plus de diverses photos de ses pieds,toutes plus belles les unes que les autres.
L'annonce en dessous des photos était dans ce style: "je suis une belle et grande femme aux formes généreuses,la quarantaine, je sais pertinemment ce que je veux:des hommes à mes pieds, au propre comme au figuré!
Je ne suis pas une dominatrice "professionnelle", néanmoins je sait être sévère et comment faire obéir un homme voire même une femme.
Je peux te dominer en réel comme en virtuel,alors si tu ressens un besoin de soumission à une femme supérieure, contactes moi esclave!
A très vite à mes pieds.
Maîtresse Patricia"
Voilà tout à fait le genre de femme que je recherche depuis tant d'années,le petit plus c'est qu'elle réside dans mon département.
Je la contacte donc immédiatement en me présentant de cette façon:"bonjour maitresse, je m'appelle James et j'ai trente ans.
Je reconnais la supériorité féminine,je rêve d'être sous le joug d'une maitresse sévère,d'être son esclave.les photos de votre annonces sont magnifiques et même si je ne vois pas votre visage j'ai déjà envie de me jeter à vos pieds.
quelles sont vos pratiques?"
c'est un peu maladroit mais j'envoie le mail comme ça tout de même.
Trois jours après elle me répond enfin: "salut à toi qui rêve de te jeter à mes pieds.
saches que je me fous de ton prénom car je ne t'appellerais jamais autrement que esclave.
Et si tu voulais vraiment une maîtresse sévère tu ne me demanderai mes"pratiques" car sache que la maîtresse dispose de son esclave comme elle l'entend.
Il va donc falloir changer de ton si tu espère ramper un jour à mes pieds!
A bon entendeur."
Rien que sa réponse m'excite, j'ai envie de garder le contact, je fais donc très attention à mes mots pour lui répondre.
Je lui écrit donc à nouveau:"bonjour maitresse, je vous prie de me pardonner ma maladresse,je ne m'étais jamais adressé à une dominatrice telle que vous.
Je suis bien conscient que l'esclave n'a rien à demander à sa maitresse, je ne sais pas ce qui m'a pris et j'espère sincèrement que vous me pardonnerez, je garde l'espoir que vous m'autorisiez un jour à me prosterner devant vous.
Je vous prie de croire, maîtresse, en ma totale soumission.
Esclave."
Ce à quoi elle me répond le lendemain:"je ne pardonne jamais mes esclaves, il paient leur dette à mon service!"
Nous échangerons par la suite pendant plusieurs semaines par mail ou elle finira par me raconter tout ce qu'elle me fera subir quand "j'aurai les couilles" de me déplacer.
Elle n'est pas vénale, elle aime simplement "humilier et asservir ses esclaves" comme elle me le dira au détour d'une conversation.
Je suis pressé de la rencontrer, reste à trouver le créneau.
À suivre...
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