Je Me Donne - La Transition 5

Ce jeudi soir, je suis sortie avec mon amie Sylvie. Petite restaurant entre fille. Sylvie me fait découvrir un restaurant américain en centre-ville. Nous buvons deux apéritifs avant de commander. A un moment, je remarque un homme seul à une table qui ne cesse de me fixer en souriant. Je le fixe, lui ne cesse de me regarder et de me sourire. Au milieu du repas, une envie pressante me prend, je me lève de table et me dirige vers les toilettes au sous-sol. En passant devant la table de l’homme je le regarde et souris. Au sous-sol, je découvre les toilettes et pénètre dans un des box. Au moment de fermer la porte, une main pousse la porte et je découvre l’homme qui me fixait.
-mais que faite-vous ?
-je crois que tu m’attendais, non, je me trompe ?
-euh ! pourquoi vous me regarder comme ça ?
Il entre dans la toilette, ferme la porte, me plaque contre le mur. Ses mains commencent à me caresser à travers mes vêtements, je ne le repousse même pas, je me laisse faire. Rapidement, ses mains viennent en contact direct avec mes seins qu’il empoigne de chaque main. Je me rends compte qu’avoir de petits seins finalement ne dérange pas les hommes, je faisais une fixation dessus, pour rien. Après m’avoir bien pressé les seins, ses mains descendent sur mes fesses, elles descendent mon pantalon et je me retrouve en petite culotte. Un doigt entre dans mon intimité.
-tu es toute humide, c’est parfait.
Ma culotte est écartée et je sens le membre se présenter. Il est recouvert d’un préservatif, il entre en moi et les vas et vient commence. Là je suis baisée, je le reconnais, mais quelle sensation d’être prise dans une telle situation. Nous entendons le va et vient dans les toilettes, les femmes qui rigolent, alors que je suis prise et que je dois rester silencieuse. Quelle excitation, l’homme me prend rapidement, je tente d’accélérer son plaisir en contractant mon intimité. Il se blottit contre mes fesses, il se libère dans la capote.

Nous nous réajustons rapidement. Lui part devant, je le suis de loin.
-bah alors ma chérie, tu en a mis du temps.
-je me suis perdue et il y avait du monde.
-ah bon, ok, alors nous en étions ou, ah oui…….
Mon regard croise celui de l’homme. A ce moment, je repense aux plaisirs ressentis dans les toilettes, non pas le plaisir de la jouissance, mais cette sensation du risque d’être vue, découverte, d’entendre des voix derrière la porte, de ne pas connaitre cet homme, de se donner à un inconnu dans cette situation. En y pensant, je sens mon entrejambe réagir. L’homme quitte le restaurant, me laissant là, dans mes pensées. A un moment je me reprends et tente de raccrocher l’histoire que mon amie partage avec moi.
A partir de ce jour, j’ai décidé d’essayer de me retrouver dans des situations aussi particulières. J’ai mis un certain temps avant de faire le pas et de trouver comment faire pour me retrouver dans des situations similaires. J’ai hésité, puis finalement je veux revivre le moment du restaurant. C’est mon mari qui a accepté de m’aider, sans lui poser de question, je me suis laissée porté par lui, sur ce sujet uniquement bien sûr.
Ce soir-là, je rentre du travail et dépose ma voiture au sous-sol. Je prends la direction des escaliers, quand un homme sort de nulle part. Je suis surprise et j’ai eu peur. Pour me rassurer, il dit le nom de code, code que nous avions mis en place avec Anthony par sécurité. Ouf ! je suis rassurée. L’homme est plutôt mignon, environ 35 ans, un visage barbu, pas mal ouais. Il me prend par la main et me dirige au fond du parking, derrière un double poteau. Je suis plaqué contre ces morceaux de béton et rapidement, il relève mon pull et libère mes seins. Sa bouche puis sa langue viennent me titiller les tétons. Des voitures passent, phares allumés, mais ne nous voient pas. A n’importe quel moment les deux voitures garées de chaque côté peuvent partir… Ses mains viennent me forcer à m’accroupir, l’homme sort son membre à demi bandé. J’hésite à le prendre en bouche, mais ce dernier m’oblige à le gober. Je m’applique à bien le sucer, le lécher. Comme d’habitude, je sens mon sexe stimuler et couler dans ma culotte.
-suce le bien salope, tu veux jouer il parait, alors avale bien à fond.
Il me force à prendre son sexe entier en bouche, j’ai du mal, j’ai des hauts le cœur, mais il continu à m’obliger à le prendre entièrement en bouche. Je salive tellement que je bave abondamment.
-allez bouffe ma queue ma belle, bouffe, oui c’est bien, tu vois que tu y arrives.
Encore quelques minutes de ce traitement et il retire son membre de ma bouche pour me relever. Il me penche sur une des voitures, relève ma jupe, descend mon leggins, ma petite culotte et vient pointer son membre à l’entrée de mon intimité. Il force le passage et son membre me pénètre.
-protège toi, protège-toi
-t’inquiète je suis clean
Il me pénètre de tout son membre et commence à labourer mon entrejambe. La sensation connue au restaurant est de retour. Nous entendons les pas d’une femme avec des talon qui claque sur le sol, ces pas se rapproche de nous. L’homme ne s’arrête pas, son sexe me taraude l’intimité, sortant entièrement pour mieux me remplir. Des portes claques, une voiture démarre, ce doit être cette femme. Un long silence se fait entendre dans le parking.
-oh t’es bonne putain, ooohhh
Je me retiens pour ne rien dire, moi aussi c’est bon, ment, cet homme me prend super bien. Je mords ma main pour ne pas m’exprimer, personne ne doit savoir que nous sommes là. L’homme m’utilise à son gré, je lui suis toute obéissante. Il n’hésite pas à me claquer les fesses avec son pubis, le claquement résonne dans le sous-sol. Mon intimité est vide, l’homme se retire et vient placer son membre dans le sillon de mes fesses, je sens un liquide chaud se répandre sur ma peau. Il s’est à peine vidé, que son membre reprend le passage de mon intimité et je suis de nouveau labouré. Plus calmement, mais plus profondément encore. Il entre son pouce dans mon cul, aidé par le jus dont il s’est libéré. Je craque.
-han ! han ! han ! haaaannnnnnnn
J’étouffe au maximum mon plaisir, mais je ne peux me retenir de ces quelques sons. Je suis rapidement remise sur mes pieds, obligée de me mettre accroupie. Le membre se présente de nouveau à ma bouche pour se faire nettoyer.
-aller nettoie moi bien tout ça
Ma langue lèche de haut en bas, je le prends en bouche pour le nettoyer.
-c’est bon, je dois y aller, si tu me revoir, demande à ton mari de me contacter.
Je suis laissée là, à moitié nue. Je me dépêche de me réajuster et rentre à l’appartement.
-ah ma chérie te voilà.
-oui, c’est toi le mec du parking ?
-bah oui, je t’ai dit que je m’occupais de tout, pourquoi il y a un problème.
-non, non, je voulais juste savoir, non s’était parfait.
-à te voir je pense oui.
-tu peux le garder mon chéri.
Je prends la tête d’Anthony avec les mains et lui donne un long baisé. Au passage je pose ma main sur son sexe. A travers le pantalon je sens un début d’érection.
-oui tu as mérité un cadeau.
Je pousse Anthony dans le canapé, lui retire ses vêtements du bas et avale son membre. Je lui fais une fellation aussi douce que possible pour qu’il résiste un peu. Ses mains parcourent ma chevelure, enfin mes cheveux court, que mon mari me tond toutes les deux semaines. Il semble être heureux de ce petit cadeau. Ça fait quelques semaines que je ne l’ai pas sucé. Je sens son jus se répandre dans ma bouche, voilà la petite récompense.
Vous allez peut-être me juger, qu’importe, j’aime ces moments où je me donne dans un lieu public avec le risque de se faire découvrir. Mon chéri m’encourage, il veut me voir bien et j’essaie de lui rendre avec mes cadeaux.