Chapitre 17 : Réel Besoin De Se Faire Sodomiser Et...

Traversée du désert affectif et sexuel. (1/4)

Retour sur le chapitre 16, après ma rupture avec Martine, ma maîtresse, je vous rappelle que cette liaison a été suggérée et encouragée par mon épouse Marie en fin de vie, mais cela la rassurait, surtout pour l’avenir de notre fils et de moi-même…
Marie nous quitte le dernier jour d’octobre 1995…
Malgré que je fusse préparé, pendant ces seize mois de lente agonie, la terre s’écroule, je suis désespéré, je m’isole, je refuse bêtement l’aide de Gérard notre ex-amant, peut-être par respect pour Marie.
Heureusement, mon univers professionnel m’aide beaucoup, me soutient, mais les week-ends, je m’ennuie, je n’ai gout à rien, je repense souvent à nos « libertinages », notre complicité, à la joie de vivre de cette femme extraordinaire…
Et puis internet se développe, remplace le minitel, c’est plus facile pour les rencontres, après deux longues années d’abstinence totale, hormis le plaisir solitaire bien fade par rapport à ce que j’ai pu connaitre avec et grâce à Marie, je décide d’avoir des relations sexuelles lors de rencontres éphémères.
Lors de pulsions, j’éprouve un besoin…L’énergie de vie s’exprime, sa puissance est considérable et incontrôlable.
Ces pulsions sont une souffrance, vécue qui plus est dans la solitude.
Je découvre alors un aspect de la vie d’homme que je ne soupçonnais pas.
La pulsion sexuelle est complexe : quand l’énergie sexuelle de vie ne peut pas circuler librement, elle se manifeste par des envies subites, inopinées et irrépressibles de sexe, que j’ai beaucoup de mal à gérer. Les seuls moyens dont je dispose alors pour faire face à cela sont simples : faire l’amour à tout prix avec n’importe qui où se masturber…
C’est souvent la première solution que je choisis.
Je suis inscrit sur un site spécialisé, donc premier partenaire après la disparition de Marie.
Après un bref dialogue sur le site avec un homme un peu plus âgé que moi, rendez-vous discret en voiture, présentation rapide, il n’est pas très beau, semble rustre, vulgaire, mais il est actif, et j’ai un besoin urgent de me faire « enculer », je n’ai pas d’autre expression, tous les lecteurs qui connaissent cette situation, doivent me comprendre…
Je lui propose de trouver un endroit plus discret et moins passager, je l’emmène dans ma voiture, je trouve une forêt, je prends un petit chemin, mais finalement pas si éloigné de la route, mon envie de sexe est énorme, je lui déboucle très vite son ceinturon, déboutonne très vite son pantalon, j’accède très vite à son gros sexe, cela fait plus de trois années que je n’ai touché un sexe d’homme, cela me fait du bien de le caresser, l’homme, je ne me rappelle plus du prénom, apprécie, bande très fort, pousse des petits gémissements, lui aussi est en manque de sexe, je commence par le branler naturellement, puis je me suis mis à le lécher pour enfin mettre son sexe dans ma bouche, mais celui-ci a une très mauvaise odeur, pas très agréable, mais j'y vais de tout mon cœur, car j’ai une envie folle, et pour l’odeur je m’adapte.


Je le tiens avec ma main à la base et de mon autre main je lui caresse ses couilles, je m'amuse avec son gland, je m'amuse comme un fou avec sa bite, je le pompe…Puis, le mec devient très directif. J’obéis, je dois rester avec les lèvres bien ouvertes afin qu’il me baise la bouche.
Il va et vient. Puis il enfonce son membre au fond de ma gorge.
- Tu es une belle salope toi, on ne m’a jamais pompé comme ça !!! Tu aimes vraiment la bite !!!
- Oui. Ai-je réussi à lui répondre avec la bouche bien pleine.
Nous basculons les sièges en position couchette. Il me demande de me mettre à poil et de m’allonger sur le ventre. Là, il s'allonge sur moi, me domine, je ne résiste même pas. Il me donne des petits coups de bassin me laissant présager la suite, je sens sa chaleur contre moi, il prépare le « terrain », il passe du gel entre mes fesses, l’ami est peu délicat.
- Tu veux vraiment te faire enculer salope, tu mouilles comme une vraie pute !!!
Je me demande quand même à ce moment ce que je peux bien faire avec une telle personne, mais je suis en feu, je suis dans un état second, j’ai ce besoin irrépressible de sa bite ou d’une autre, mais je veux me faire défoncer, il peut faire ce qu’il veut de moi, je ne suis pas dans mon état normal.
- Tu ne vas pas être déçu… me dit-il.
Il commence à me pénétrer avec un gros doigt, mais peu délicatement, puis un deuxième avec encore moins de délicatesse, il est très brutal et violent. Mais j’ai une sensation extraordinaire malgré la douleur.
Il m'écarte encore plus les jambes brutalement, je suis à lui. Enfin, il me pénètre vigoureusement, je sens son gland entrer, mon anus s'ouvre, c'est très douloureux, pourtant il en a déjà accueilli de la bite et de la grosse…
Je respire fort, il est en moi, je ne peux bouger, m'écarte un peu plus les jambes avec les siennes et commence des va-et-vient plutôt virils, je suis pris, il accélère très vite sans délicatesse, il va de plus en plus fort, le plaisir vient quand même petit à petit, il me défonce sans ménagement, sans une caresse, sans un baiser, rien.

En position à quatre pattes, je me sens comme une chienne, c’est ma position préférée. Ses couilles tapent sur mes fesses, le rythme s’accélère, il me défonce littéralement, en me traitant de petite pute, de salope qui aime sa bite.
Il devient encore plus bestial, encore plus violent il me démonte le cul, il accélère de plus en plus, puis il commence les fessées, il m’inflige une magistrale fessée, il me fait mal, très mal, mais, je ne cesse de gémir, je m'abandonne totalement à ses coups de butoir, il ne s'arrête pas, il continue, je transpire, je suis en pleine extase, je ressens des spasmes dans le dos, je suis ailleurs.
Il me démonte toujours le cul, il accélère encore, il pousse des râles de plaisir, il gémit, je sens son jus chaud dans mon cul, plusieurs petits jets, et puis il se retire rapidement en m’ordonnant de lui lécher son sexe avec ma bouche, j'avale ce que je peux, toujours cette odeur désagréable et pas définissable d’un homme qui doit se négliger et on s'arrête là. Et malheureusement je ne me suis pas encore protégé, dans la précipitation et avec l’envie…
Après cette relation, disons peu glorieuse, il me faut environ six mois pour de nouveau faire une nouvelle recherche, même chose, nouveau partenaire, mais cette fois-ci, je réserve un hôtel en région Rouennaise, l’homme doit être actif, peu de dialogue, rencontre sur le parking de l’hôtel, cela va très vite, puis la douche, mais surprise, il aime se travestir…
Il revient habillé en femme, mais j’ai tellement envie de baiser, que je lui saute dessus, je l’embrasse goulument, très vite je le suce, le Monsieur à un sexe bien épais, bien membré, il tente de me calmer, il souhaite rapidement que je le sodomise, il se tartine la rondelle de gel, je mets enfin un préservatif, je le pénètre délicatement, puis les va-et-vient s’accélèrent, le mec semble apprécier, il gémit, mais je débande, sans comprendre…Je me retire…Nous, nous allongeons nus tous les deux, nous discutons, il me caresse, me branle, m’embrasse, mais pas de réaction de ma part, j’avais déjà ressenti des choses bizarres et similaires lors de ma précédente relation en voiture.

Il me parle de sa jeune compagne, me la montre en photo, me propose de la rencontrer avec lui, elle aime parait-il, particulièrement les trios, et vu mon physique, il pense qu’elle ne serait pas insensible, mais je ne bande toujours pas, et pourtant il me caresse l’anus comme j’aime d’habitude, mais rien…Donc nous arrêtons là.
J’observe encore une période d’abstinence, et pourtant mes deux précédents partenaires me relancent régulièrement. Et puis j’ai de nouveau une envie subite, même mode opératoire que les rencontres précédentes, un homme d’une soixantaine d’année qui me reçoit chez lui, mais encore un échec, l’homme me suce plutôt bien, il est très doué, me caresse bien, bon physiquement, ce n’est pas Alain Delon, mais très vite, alors que l’envie est bien présente, je débande très vite, je suis vide…Par respect pour cet homme, je fais semblant, je le suce quand même, et je me laisse sodomiser sans protection, car il préfère, il éjacule très vite en moi, il a pris son pieds, mais moi, je me suis laissé faire sans prendre de plaisir.
Nouvelle période de réflexion, je suis toujours aussi malheureux, Marie me manque terriblement, et puis de nouveau une pulsion subite, une envie inopinée, nouvelle recherche rapide, mais je change de sexe, je recherche une femme…
Bref dialogue…
Elle me propose de la retrouver chez elle à Rouen un vendredi à 13h00, c’est une pharmacienne, sa description semble correspondre à mon envie…Elle est divorcée, elle souhaite refaire sa vie, mais sa priorité, c’est un besoin de câlins et de sexe.
J’arrive chez elle, présentation rapide, elle a 47 ans, brune avec des cheveux mi- longs, elle est beaucoup plus petite que prévue, et surtout bien plus ronde, le physique n’est pas à mon gout non plus, en fait la présentation sur sa fiche et sa photo devaient remonter à quelques années.
Mais j’ai tellement envie de baiser, que je pense pouvoir m’arranger avec elle, elle est ravie, je semble lui convenir, elle est très sympathique, plutôt de compagnie agréable.

Nous passons donc à table et je m’installe à côté d’elle. Le repas est simple mais suffisant, je ne suis pas venu pour faire un repas gastronomique, nous déjeunons très rapidement,
Pendant le repas, elle me demande de passer une main entre ses cuisses, qu’elle écarte largement, pour que je puisse vérifier l’effet des boules de geisha (introduites dans son vagin avant mon arrivée), donc que je puisse vérifier leur effet sur son intimité, celle-ci ruisselle montrant qu’elle apprécie.
Christine, c’est son prénom, semble bien pressée, elle m’a reçu déjà dans une tenue plutôt légère laissant présager qu’elle avait un besoin très urgent.
Nous passons donc très rapidement dans sa chambre, se déshabille tout aussi rapidement pour prendre une douche, je l’imite donc, tout cela est peu glamour.
A la sortie de la douche, je la trouve nue allongée sur son lit, elle n’est pas grosse de partout mais elle a du ventre, elle n’est pas très sexy.
J’hésite, j’avais cette envie subite, mais Christine ne correspond pas du tout à mon type de femme, habillée cela pouvait encore me convenir, mais nue, c’est compliqué pour moi.
Mais Christine a une forte personnalité, elle plaisante sur ses rondeurs et ses kilos en trop, sur sa poitrine un peu trop volumineuse et détecte de suite ma gêne et mon trouble.
- Allez viens !!! ça fait plus de deux ans que j’attends, ça ne peut pas te faire de mal !!!
Pendant le déjeuner, je lui avais raconté ma vie, mon désespoir, ma solitude, mes angoisses, nous avions au moins cela en commun.
Je vais rejoindre Christine, pour lui faire plaisir, car je pense sincèrement que c’est une brave fille.
Elle me saute littéralement dessus, m’embrasse de suite, elle me roule des pelles, sa langue est experte et elle passe ses bras autours de mon cou, ses baisers me sont offert avec passion.
Elle me caresse, ses mains sont douces, puis elle se tourne de façon à me montrer son cul. Elle me demande de passer ma main. Sa peau est très douce, c’est très plaisant. Elle ondule des hanches pour montrer qu’elle apprécie. Elle me demande de lui donner la fessée, qu’elle apprécie d’être un peu violentée.
Je lui administre alors quelques claques bien senties sur son cul rebondi.
Elle continue de m’embrasser en me serrant plus fort contre elle, je comprends alors qu’elle n’est pas contre quelques traitements douloureux pour elle. Encore quelques claques très appuyées et elle se laisse aller. Je la félicite sur sa docilité ouvrant des perspectives intéressantes pour la suite.
Ses seins ont les pointes tendues par l’excitation. Je lui tords lentement les pointes pour voir comment elle réagit sous mes doigts et elle tend pour accen les torsions. Elle a de gros seins tombants mais doux sous la main et je peux les malaxer, il y a de la matière à travailler.
Je suis comme en mission, cette femme ne me plait pas du tout. Elle a la chair blanche, ses cuisses dodues et un gros ventre. Elle me demande de lui bander les yeux avec un loup noir, elle ne peut plus voir ce qui lui arrive et elle en est très excitée.

Elle ruisselle tellement que les boules sortent, son vagin ne se contracte plus pour les retenir.
Christine répond plus aux canons de la beauté du début du 20ème siècle où les femmes étaient pour la plupart bien en chair, bien rondes, pour ma part, j’aime les belles femmes, c’est compliqué pour moi, je ne bande pas.

Les yeux bandés, elle attend donc de savoir ce qui va lui arriver, je lui demande de se pencher et lui mets dans le sexe un plug de 5 ou 6 cm de diamètre que je fais aller et venir à plusieurs reprises dans sa chatte ruisselante. Je ne bande toujours pas, et pourtant je me branle de temps en temps, mais Christine ne m’excite pas.
Je lui présente alors l’objet devant ses lèvres et elle doit lécher sa propre mouille, elle le fait avec application, comme une bonne salope. Je lui rentre le plug dans toute sa longueur. Et elle accepte tout sans rechigner comme si il s’agissait de mon sexe.

Je lui demande alors de rester la bouche ouverte et de se pencher, j’approche l’instrument, ce gros plug bien nettoyé, de sa petite rosette et je commence à l’enfoncer, je le retire quand je sens une résistance trop forte, mais sans me presser, je parviens enfin à mes fins et Christine se retrouve sodomisée par cet objet en plastique de bon calibre, elle gémit de plaisir et peut être de douleur. Mais soyons honnête le passage avait dû déjà être pratiquée par différentes bites et différents objets, car son cul est plutôt bien dilaté, mais le plug est de belle taille quand même.
Je lui présente de nouveau l’objet devant ses lèvres et elle doit encore le lécher, elle le fait toujours avec application, comme une bonne chienne. Je lui rentre bien le plug dans sa bouche de salope, acceptant sans rechigner de lécher l’objet en plastique mêlant les odeurs de sa mouille et de son cul.
Devant ce spectacle, et son cul bien ouvert, me laissant apparaitre un trou béant, j’ai de nouveau une érection, je commence à bien bander, la salope est toujours à quatre pattes, les yeux bandés, et je vais enfin me faire plaisir, je vais lui défoncer le cul, je suis déchainé, et il y a bien longtemps que cela ne m’ai arrivé, je la brutalise, je l’encule sans ménagement, je viens claquer sur ses grosses fesses, elle gémit, elle hurle, mais elle se laisse faire, et pour une fois depuis longtemps, je suis endurant…La température monte, je me déchaine encore plus, je la malmène vraiment, je lui donne des fessées sur ses grosses fesses, je suis bestial, violent, je lui fait mal, je le sais, mais elle jouit comme une malade, elle a mal maintenant, mais elle ne peux réagir, et puis elle me demande d’arrêter, je lui fais trop mal.
- Alors salope, tu me demandes d’arrêter ?
- Oui, s’il te plait, Éric. Tu es trop violent…
- Tu veux te faire démonter le cul ? Où tu veux que j’arrête ?
- Oh, non démontes moi le cul…
Je la retourne sur le dos sèchement, j’att ses deux jambes, je lui écarte les jambes le plus possible, je lui écarte encore plus, mais elle est bien en chair… Et je l’empale de nouveau, ça rentre vraiment comme dans du beurre, son anus doit être bien douloureux, mais il absorbe facilement mon sexe de bonne taille.
- Tu vas voir salope, je pense que tu n’as jamais été pénétrer aussi profondément !!
Je ne me contrôle pas, elle cri, mais je ne m’arrête pas, plus elle cri, plus je me déchaine, je fini par exploser dans son cul dans râle animal.
La salope en veut encore plus, mais j’ai bien pris mon pied…
Elle me lèche, m’embrasse partout, je la regarde dans son délire, elle n’est vraiment pas du tout attirante…
Je décide d’aller prendre une douche, je sors de la chambre, puis la sonnette retentit, et la porte d’entrée s’ouvre presque immédiatement, je me retrouve à poil devant un inconnu, Christine surprise vient me rejoindre également à poil, c’est en fait un artisan qui vient finir des bricoles, disposant de la clé de la porte, il est rentré en pensant que Christine travaillait à la pharmacie.
Finalement, je repars très vite, pas très fier de moi, pas rassuré non plus sur mon état, sur mes problèmes d’érection, sur le plaisir prit, sur mes envies, sur mes pulsions, Marie me manque toujours terriblement, nous sommes fin septembre 1999, cela fait presque quatre ans qu’elle est partie, Christine est d’ailleurs la première femme que je rencontre depuis son départ.
Je vous invite à patienter pour connaitre la suite de cette traversée du désert avec le Chapitre 18.


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