L'Envoutement 1
Bonjour à tous,
Je suis Laetitia, métisse franco -camerounaise au yeux vert et à la peau caramel de 34 ans. Je mesure 1m72 avec des fesses africaines qui ne manquent jamais dattirer les regards des hommes tant elles sont daprès ce quils disent « parfaites », il faut dire que je mentretiens à coup d abonnement à la gym. Ah mes seins ? un 90 D naturel que jadore mettre en valeur avec des décolleté sexy.
Jules mon mari est un jeune et brillant homme politique de 40 ans. Ici au Cameroun, il représente la jeunesse. Nous sommes ensemble depuis 9 ans et mariés depuis 6, je ne lavais jamais trompé car jen étais éperdument amoureuse et quil mavait toujours combler en tous points.
L histoire que je viens vous raconter à commencer il y a 4 mois par un simple coup de fil de ma meilleure amie Sylvie qui minvitait sur une ile du Gabon appelée la Pointe-Denis afin de célébrer son anniversaire le temps dun week-end. Sylvie était depuis deux ans la maitresse dun ministre du pouvoir en place. Cétait dailleurs pour cette raison que mon mari et moi avions décidé que je devais la fréquenter le moins possible.
Cependant pour ses 35 ans danniversaire, elle insista fortement afin que je sois de la fête.
Je consultais mon époux à son arrivée du travail et lui expliquais que ce nétait que le temps dun weekend et que je ne tenais pas à perdre ma meilleure ami à cause de sa carrière politique et que de toutes façons il ne pouvait rien marriver. Après une grosse dispute, mon mari accepta de me laisser partir.
Deux jours plus tard, nous étions dans lavion pour Libreville, la capitale du Gabon . A bord, Sylvie, deux de ses copines dont je fis la connaissance dans lavion et moi.
Arrivées à Libreville, nous nous sommes rendu dans une marina où un magnifique bateau nous attendait afin de nous emmener sur lile.
Après une traversée qui dura 20 minutes pendant lesquelles le champagnes coulait à flots, nous accostâmes sur cette magnifique ile.
Alors que nous rentrons dans la propriété, et marchions dans cette immense jardin, de la musique venant de la maison sentendait de plus en plus clairement. Je demandais à mon amie si il y avait quelqu'un à lintérieur et elle me répondis avec un grand sourire que sétait une surprise. Une fois la porte dentrée passée, mon sang ne fit quun tour, en effet, assis là , je reconnu le petit ami de Sylvie ; il était affalé dans un fauteuil en train de boire et discuter avec un autre homme qui semblait il avait la cinquantaine, mince, noir et très laid et détonait avec le cadre tant il était habillé de manière bizarre et paraissait sal. Il était vêtu dun bas de survêtement, un débardeur blanc vieux et sale et avait une plume rouge dans les cheveux.
Par politesse, je fis comme les autres la bise à ces deux hommes et maperçus que cette homme nétait pas répugnant quen apparence, il sentait aussi extrêmement mauvais à croire quil navait pas pris de douche depuis très longtemps.
Jentrainais Sylvie sur la terrasse et lui reprochait de mavoir entrainer dans ce traquenard. Elle me fit comprendre que la villa appartenait à son amant et quelle navait pas eu le choix que daccepter sa présence mais étant donné quelle tenait à ce que sois présente, elle avait dû me le cacher.
Après je quelques minutes, je me résignait et pris la coupe de champagne que Sylvie mapporta en guise de pardon.
Les heures défilaient tout comme les coupes de champagnes, et je remarquais rapidement que le Maitre, cest comme ça que tout le monde lappelait me regardait de manière très insistante. Jappris de Sylvie quil était le féticheur de son amant. Cela expliquait son allure !
Autour de 22h je ne me sentais pas bien du tout, javais surement bu léquivalent de trois bouteilles de champagne. Je demandais discrètement à Sylvie de memmener dans la chambre que jallais occuper afin que je puisse dormir.
Tout à coup, jouvris les yeux car jai senti que lon me touchait. Quelle horreur ! Cétait Maitre, il était là tout nu et était en train de me passer une sorte dhuile sur le corps. Je voulu crier mais je ny arrivais pas. Il me regardait fixement avec un sourire diabolique et me dit « tu es à moi maintenant » !
Aussitôt dit, je sentais une onde puissante me parcourir le corps tout entier et un sentiment étrange sempara de moi. Jouvris les yeux et découvris Maitre qui se tenais à présent debout au pied du lit, le sexe fièrement dressé. Il avait le sexe le plus long et le plus gros que je navais jamais vu au moins 27 cm et je le voulais, lui et son sexe, je voulais être sienne. Je ressentais pour cet être abominable un désir tel que je nen avais jamais connu.
« Alors », me dit-il en venant sur moi, tu ne fais plus la farouche ? Tu vas devenir ma femme ! jeu à cet instant la force de lui dire que je suis déjà mariée et que jallais porter plainte si jamais il me touchait. Mais lorsque il posa sa main sur mon sein en me disant quil mavait désirer au premier regard, je senti que je me mis à mouiller comme jamais auparavant et que mon cur se mit à battre la chamade. Il sallongeait de tout son corps nu et musclé sur moi sans que je noppose aucune résistance. Son odeur était horrible cependant javais limpression à chaque inspiration quelle mexcitait de plus en plus. Je sentais son sexe à lentrée de mon vagin, jécartais mes jambes afin de lui en faciliter laccès
Pourtant il restait là à me faire languir « tu dois me le dire » me dit-il.. dire quoi ? lui dis-je dune voix tremblotante et implorante. Que tu mappartient.. Je ne sais pas comment mais ces mots sortirent tout seul de ma bouche. Je suis à toi lui dis-je dune voix sensuelle tout en prenant son sexe dans ma main et en le mettant dans ma chatte. Il me mis un coup de reins qui fit tomber les dernières barrières de mon esprits si il en restait et me donna un énorme orgasme qui manqua de me faire tomber dans les pommes.
Je narrivais pas à me détacher de lui, je ne voulais pas quil se détache de moi. Il minfligeait de longs vas et viens ce qui me fit jouir à nouveau tout mettant mes jambes autour de ses reins car je voulais le sentir au plus profond de moi pendant que je perdais le contrôle. Il me retourna et me mis à quatre patte, il joua avec mes fesses en leur mettant quelque claque et en me disant que javais le plus beau cul du monde. Puis il me pénétra cette fois ci avec violence et il se mis à me baiser comme une chienne. Il me rendait folle, je me sentais devenir son objet sexuel et cela mexcitait au plus haut point. Après 5 bonnes minutes de ce traitement je sentit quil allait jouir et je ne sais pas pourquoi mais je lai fixer avec tendresse et lui ai dit jouis en moi stp, je suis en période dovulation, je veux porter ton !! Il me déchargea en moi de long jets de sperme chaud et cette sensation ma totalement rendu folle car une fois quil avait jouis je me suis retirée et jetée sur sa bite comme une affamée, je voulais le remercier. Il navait pas débander, il était dur comme une barre de fer. Il a commencé à me titiller le petit trou avant de tout de suite y faire rentrer un doigt et constatant que jétais toute serrée, il me dit « ton mari ne ta jamais enculée ma petite femme. Je vais y remédier » je navais jamais été sodomisée mais le désir de lui prouver mon amour était plus fort alors je lui dis, « je suis à toi mon amour, je veux que tu sois le premier ».
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