Katia, Mon Initiatrice
Cétait peu de temps après mon emménagement, dans mon premier studio. Jhabitais une petite ville au bord de la Méditerranée, et jétais tout juste majeure.
Dans mon immeuble, quelques appartements servaient de résidences secondaires. Cétait le cas de celui situé à mon étage, propriété dun couple dune trentaine dannée.
Au début de lété, je vis une jolie blonde arriver : elle sappelait Katia, et elle voulait profiter de la plage sans attendre larrivée de son mari, qui nétait pas encore en vacances.
Nous nous croisâmes deux ou trois fois dans lescalier, échangeant quelques mots. Jaimais mhabiller dans un style sexy, mais BCBG, elle avait manifestement les mêmes goûts, et nous avons commencé à engager régulièrement la conversation en parlant fringues. Ce fut le prétexte pour quelle minvite à venir prendre un verre chez elle en soirée.
Lorsque je sonnai chez elle, vers 18h, elle vint mouvrir, vêtue dun chemisier sans manches, ouvert assez bas pour montrer quelle ne portait pas de soutien-gorge, et dun micro-short en jean. Je portais une robe très courte, à fine bretelles, avec juste un string en dessous, et jai remarqué son bronzage, couleur caramel.
Elle membrassa, sans cérémonie, et je sentis sa main se poser sur mon épaule nue, puis descendre furtivement sur mes fesses, en effleurant mes seins, mais je ny portai pas vraiment attention. Elle minvita à masseoir sur le canapé, et son regard devint un peu plus brillant, quand ma minirobe remonta jusquen haut de mes cuisses.
Elle me proposa de découvrir un cocktail, inventé par son mari, et me servit un grand verre du breuvage, fortement alcoolisé, avec un goût fruité délicieusement traître. Le cocktail me fit rapidement de leffet : javais chaud, mes joues avaient pris des couleurs, et je perdais ma réserve.
Katia me fit des confidences sur Alban, son mari, dans des termes très flatteurs.
Jen étais à mon deuxième verre, quand Katia mannonça que son mari la rejoignait pour le week-end. Il arrivait le lendemain matin, et ils projetaient daller à la plage. Elle me parla dune crique discrète quils fréquentaient, à une vingtaine de kilomètres, et elle me proposa de les accompagner. Je venais de me faire larguer par mon copain, et je navais pas de projet pour ce samedi. Jacceptai donc avec plaisir, et les yeux de Katia se mirent à briller.
- A la plage, Alban adore que je porte des maillots ultra sexy, et javoue que ça me plaît aussi, me dit-elle. Quest-ce que tu portes, dhabitude ?
- Des petits bikinis, répondis-je sans méfiance, et je bronze assez souvent seins nus. Ils sont aussi sexy que ça, tes maillots ?
- Viens, je vais te montrer. Si tu veux, je peux ten passer un, me proposa-t-elle en mentraînant vers sa chambre.
La pièce était spacieuse et lumineuse, avec une large porte-fenêtre, et un immense lit. Un grand placard avec des portes en miroir occupait tout un mur. Katia ouvrit lune de ces portes, et vida sur le lit un tiroir, rempli dune collection de maillots digne dun magasin.
- Ça, cest le micro-bikini préféré dAlban, dit-elle, en me montrant un minuscule deux pièces vert fluo.
- Mais il ne cache rien !, mexclamai-je. Tu te ballades avec sur la plage ? En public ?
- Attends, je vais te montrer, répondit-elle, en ôtant son chemisier et son short.
Nue, bronzée intégralement, elle était magnifique, avec de superbes seins en poires, une chute de reins à damner un saint, et de longues jambes. Même si je préférais les hommes, je nétais pas insensible au charme des filles.
- Je nai jamais rien vu daussi excitant, avouai-je.
- Tu vois ? Je vais ten trouver un, pour toi demain. Je suis certaine que lidée plaira à Alban, reprit-elle avec autorité, en fouillant dans sa collection. Tiens, cest celui que je cherchais ! Essaie-le, il a lair fait pour toi.
Subjuguée, et un peu ivre, je fis glisser la fermeture, dans le dos de ma robe, qui tomba sur le parquet. Katia admirait mes petits seins en pommes (pour ma part, jétais complexée par leur volume) sans marque de maillot. Puis je me débarrassai de mon string, dévoilant ma chatte épilée, comme celle de Katia, et je passai le bikini quelle me tendait.
Il se limitait à trois étroites bandes de tissu rouge vif, en forme de navettes, fixées sur des liens à chaque pointe. Deux masquaient à peine les aréoles, pourtant petites, de mes seins, la troisième servait de cache-sexe minimaliste. Katia ajusta les liens noués sur mes hanches, en les remontant très haut, et je découvris mon reflet dans le miroir. Javais peine à me reconnaître dans limage de cette fille, sex-symbol digne dune revue de charme.
- Tu es sublime, me complimenta Katia. Je ten fais cadeau, mets-le demain sous ta robe, pour aller à la plage.
- Merci, répondis-je, hésitant entre gêne et excitation. Tu crois vraiment que je peux me montrer comme ça ?
- Si je le fais, pourquoi pas toi ?
Tout en parlant, Katia sétait approchée de moi. Occupée à me regarder dans le miroir, je ne la vis pas enlever son maillot, mais je sentis bientôt ses mains se poser sur mes épaules, et les pointes de ses seins appuyer contre mon dos.
- Tu sais que tu es irrésistible ?, me demanda Katia, à loreille. Ton corps appelle des caresses.Tu as déjà fait lamour avec une femme ?
- Non
enfin
oui, confessai-je timidement, en repensant aux caresses que javais échangées avec quelques copines de lycée.
Je me mordis les lèvres davoir répondu si vite, et davoir exagéré mon expérience. Déjà, Katia déposait de petits baisers dans mon cou. Ses mains descendaient de mes épaules vers ma poitrine, dégageaient les aréoles du minuscule soutien-gorge, et elle se collait contre moi, mes fesses semboîtant dans le bas de son ventre.
- Je vois que tu aimes ça, dit-elle en faisant tourner les pointes dardées entre ses doigts, tes petits nichons sont tout durs.
Je ne pouvais pas nier que ses caresses éveillaient en moi un désir incontrôlable, et je fermai les yeux. Je sentis à peine quelle dénouait les liens qui retenaient mon soutien-gorge et mon string, et je me retrouvai entièrement nue. Sa main droite descendit alors vers mon sexe, son index se glissa entre mes petites lèvres, pour y trouver mon petit bouton gonflé et ma fente déjà humide.
Tous mes tabous volèrent en éclats, et je me retournai en ouvrant les yeux. Nous nous enlaçâmes, nos poitrines écrasées lune contre lautre, et Katia, radieuse, posa ses lèvres sur les miennes. Sa langue se glissa dans ma bouche, et nous avons échangé des baisers humides pendant plusieurs minutes, en nous caressant, sans prononcer une parole.
Tout est ensuite allé très vite. Katia mattira vers le lit, et nous sommes tombées dessus, sans nous désunir. Oubliant toute retenue et toute pudeur, je moffrais à ses mains et à sa bouche, tendant mes seins, écartant mes cuisses. Je nétais pas en reste, malaxant sa poitrine, fouillant fébrilement sa chatte, aussi inondée de cyprine que la mienne.
Nous remplissions la pièce de nos gémissements. Elle semblait deviner ce que mon corps désirait, et je fus secouée par un orgasme, aussi violent quinattendu.
Katia navait aucune envie den rester là, et elle plongea sa tête entre mes cuisses, avant que jaie repris mon souffle. Je sentis sa bouche se poser sur mon minou, et je mis instinctivement mes mains sur sa nuque pour lencourager. Sa langue était douce, un peu râpeuse comme celle dun félin, et elle commença à lécher mon clito, à sinsinuer dans ma fente.
Nous étions couchées lune contre lautre, tête-bêche, et je la pris par les hanches pour la faire venir sur moi. Je découvris son sexe entrouvert à quelques centimètres de mon visage. Ce fut mon premier 69 avec une femme, et je posai timidement mes lèvres sur la fente offerte.
Katia poussa un cri, quand ma langue se glissa dans son intimité. Ivre de plaisir, elle enfonça ses doigts dans ma chatte, et commença à les faire aller et venir, dans un bruit humide, tout en suçant et aspirant mon clito dardé.
Je lui rendais ses caresses, et nous roulions sur le lit en nous tordant de plaisir. Je ne sais pas combien de temps dura cette étreinte, mais nous avons finir par découvrir chacune nos points G, et nous avons joué à nous faire jouir, jusquà lépuisement.
A bout de forces, nous avons fini par nous séparer et nous relever, haletantes. Katia avait des choses à faire, dans la perspective de larrivée dAlban le lendemain matin, et nous avons dû nous quitter, après nous être rhabillées à regret.
- A demain, me dit-elle en membrassant. Nous sonnerons chez toi pour temmener à la plage après le déjeuner. Noublie pas de le mettre sous ta robe, ajouta-t-elle en me tendant la pochette contenant le micro-bikini quelle moffrait.
Le soir, je mangeai dun yaourt et de quelques fruits, en regardant la télé. Javoue que jai eu beaucoup de mal à mendormir, revivant dans ma tête mes étreintes avec Katia, et attendant avec impatience notre sortie à la plage.
La matinée du samedi me parut interminable, et enfin, vers 14h, la sonnette de mon studio retentit. Je me précipitai pour ouvrir. Katia était là, debout sur le palier, rayonnante, en mini-robe de plage, et elle me présenta Alban. Cétait un grand brun, extrêmement séduisant, avec un look de vedette de cinéma. Il portait un polo et un bermuda, et il me fit directement la bise.
- Je vois que tu as mis ton maillot, commenta Katia, en désignant le lien noué derrière mon cou qui dépassait du grand tee-shirt, me servant de robe de plage.
Le sourire dAlban me fit comprendre quelle avait dû tout raconter à son mari. Je ny pensai pas plus longtemps, et nous partîmes en voiture.
Nous avons roulé pendant près dune demi-heure, et Alban sengagea dans un chemin de terre. Au bout dune centaine de mètres, nous avons atteint un parking sauvage, dans la pinède. Il y avait beaucoup de véhicules, me laissant présager que la plage était beaucoup plus fréquentée que ce que Katia mavait laissée penser.
Mais je neus guère le temps de cogiter davantage. Nous sommes descendus de voiture et, aussitôt, Katia se débarrassa de sa robe, apparaissant seulement vêtue du maillot que javais découvert la veille. Déjà, Alban ôtait polo et bermuda, et prenait un sac de plage dans le coffre.
Il me restait à les imiter.
Jétais dautant plus intimidée, quune voiture sétait garée à côté de nous. Deux couples en descendirent, et regardaient Katia, ou plutôt son maillot. Ils semblaient attendre que jenlève mon tee-shirt
Je pris lourlet entre mes doigts, je respirai un grand coup, et je fis passer le vêtement par dessus ma tête.
- Katia ne mavait pas menti : ce bikini te va à ravir, me dit Alban, pendant que je devenais rouge comme une pivoine.
Je pris à mon tour mon sac de plage. Avec un sourire amusé, Katia remit en place mon soutien-gorge, qui avait laissé séchapper la pointe dun de mes seins, et nous nous sommes engagés dans un sentier sous les arbres. En chemin, nous avons rencontré quelques estivants, et je sentais leurs regards appuyés sur mon corps.
- Alors, finalement, tu trouves ça désagréable, de te faire mater ?, me demanda Katia.
- Non Je dois même avouer que je commence à trouver ça excitant, avouai-je.
Au bout dune centaine de mètres, nous avons atteint la plage. Ce nétait pas une crique à proprement parler, mais une partie de la grande plage publique, isolée par un amoncellement de rochers. Elle nétait pas naturiste, mais présentait lavantage de ne pas être surveillée.
Nous avons posé nos sacs, non loin du débouché du chemin, à la limite de la pinède. Je ne mattendais pas à ce quil y ait autant de monde. Ce nétait pas bondé, mais il y avait une vingtaine de couples, beaucoup dhommes seuls, et deux petits groupes de filles. Pas mal de maillots deux pièces assez sexy, plusieurs femmes seins nus, et quelques strings, mais aucune nudiste en vue
Alban a commencé à dérouler nos tapis, et Katia ma proposé daller nous baigner toutes les deux, avant de nous installer pour bronzer.
Nous sommes parties en courant et en chahutant vers la mer, et nous avons piqué une tête dans leau, avant de poursuivre notre chahut en riant. Mes seins narrêtaient pas de sortir du soutien-gorge et, au bout de quelques tentatives désespérées, je renonçai à le remettre en place. Après tout, quelques nanas étaient topless.
Pour Katia, si sa poitrine restait un tant soit peu couverte, létroit triangle de son string avait une fâcheuse tendance à disparaître entre les lèvres de son sexe. Cest dans cette tenue que nous sommes sorties de leau, passant entre les estivants étendus sur leurs serviettes, qui nous regardaient à travers leurs lunettes de soleil. Surtout les hommes, mais certaines femmes nétaient pas en reste.
Nous avons rejoint Alban qui, assis sur sa serviette, ne perdait pas une miette de notre numéro dexhib. A peine lavions nous rejoint que Katia arracha littéralement le haut de son maillot pour le jeter sur le sable, dévoilant ses tétons durs et dressés, et je mallongeai sur mon tapis.
- Veux-tu que je te passe de la crème solaire ?, me demanda Katia, avec une expression coquine.
Je me doutais quelle avait envie den profiter pour me peloter mais, après tout, cette perspective ne me déplaisait pas. Jétais étendue sur le ventre. Je me débarrassai de mon soutien-gorge, et je lui tendis mon flacon.
Elle sagenouilla à côté de moi, et commença à me masser, avec des gestes pleins de douceur et de sensualité. Après avoir enduit de crème mes épaules, ses mains descendirent le long de mon dos, au creux de mes reins, et je ronronnai de plaisir. Soudain, je sentis quon défaisait les nuds retenant mon string.
- Quest ce que tu fais ?, demandai-je à Katia, sans me retourner.
- Je dénoue ton string, pour ne pas tâcher les ficelles avec la crème solaire, dit-elle pour se justifier.
- Non, arrête!, protestai-je bientôt, sentant quelle menlevait mon string en tirant sur la ficelle lovée au creux de mes fesses.
- Tu nas pas envie de te mettre nue ?
- Tu as bien vu : personne nest nu sur cette plage.
- En es-tu si sûre ?
Elle mavait posé cette question dune voix suave, et je me redressai, en prenant appui sur un coude, pour regarder autour de moi. Devant mes yeux écarquillés, Alban dégrafait les attaches en plastique qui retenait le string de sa femme. Il le tira vers lui, dun geste sec, et elle se retrouva dans le plus simple appareil.
- Tu vois, tu nes pas la seule, conclut-elle.
Jétais vaincue. Je mabandonnai de nouveau à son massage, en espérant que personne autour de nous navait remarqué notre manège. Je me faisais des illusions ! Dautant que Katia, agenouillée, les cuisses largement écartées et les reins cambrés, exhibait fièrement la partie la plus intime de son anatomie, tout en sattardant sur mes fesses.
- Retourne-toi, je vais te passer aussi de la crème côté face, mordonna-t-elle.
Incapable de lui refuser, je me mis sur le dos. Je découvris alors que plusieurs hommes, et même un couple, sétaient approchés pour se rincer lil ouvertement. Lexcitation faisait pointer mes seins vers le ciel, et je constatai avec surprise que me savoir observée ne faisait pas retomber cette excitation, bien au contraire.
Katia mavait enduite de crème, et elle avait repris son massage, faisant en sorte que rien néchappe aux voyeurs. Après mes seins, ses mains descendirent sur mon ventre, mes hanches, le haut de mes cuisses, évitant soigneusement mon sexe. Je craignais et, en même temps, javais hâte quelle caresse mon minou, et mes soupirs trahissaient mon désir qui grimpait en flèche.
- Tu as envie de
?, me demanda-t-elle, laissant sa phrase en suspens.
- Oh, oui, oui, répondis-je.
- Alors, écarte grand tes cuisses.
Je repliai mes jambes, et les laissai retomber de chaque côté. Pour me faire languir, elle laissa errer ses doigts quelques instants à la naissance de mes cuisses, effleurant à peine mon coquillage. Et enfin, elle écarta mes petites lèvres. Je savais que les voyeurs autour de moi étaient en train de focaliser sur mon clito et sur ma fente entrouverte, et ça mexcitait.
Katia, répondant à mon désir, prit mon petit bouton entre ses doigts, le massa, le branla et, quand je me mis à pousser de petits cris, elle plongea son majeur dans ma grotte inondée de mouille. Depuis la veille, elle savait ce qui me faisait jouir. Elle se livra à un festival de caresses très intimes, ralentissant le mouvement quand jétais sur le point dexploser, puis reprenant plus vite, plus profond, jusquà ce quun orgasme dévastateur me submerge, mon premier orgasme en public.
Je repris doucement mes esprits. En plus des voyeurs, Alban avait profité de la scène, et son boxer était déformé par une érection spectaculaire. Javais du mal à détacher mon regard de lénorme bosse, ce qui amusait Katia.
- Tu ne trouves pas anormal que nous soyons à poil, et que mon mari ait encore son maillot ?, me demanda-t-elle.
- Si, bien sur, répondis-je, espérant bien voir enfin Alban nu.
- Je crois quil a aussi besoin quon lui passe de la crème solaire. Tu veux bien ten charger ?
- Je
je peux ?, balbutiai-je, prise de cours. Tu crois quil est daccord ?
- Plutôt deux fois quune !, sexclama Alban. Cest une merveilleuse façon de faire connaissance. Mais il faut que nous soyons à égalité.
En terminant sa phrase, Alban se débarrassa de son boxer. Sa queue dressée était encore plus imposante que ce que jimaginais, et je me dis que Katia devait être comblée avec un tel engin.
Je ne ladmirai pas longtemps, car Alban sallongea sur le ventre, en me tendant son flacon dhuile. Intimidée, je saisis le flacon dhuile, jen versai un peu dans ma main, et je commençai à létaler sur ses épaules. Petit à petit, mes gestes devinrent moins hésitants, et je descendis le long de son dos. Jhésitai une seconde avant de mattaquer à ses fesses, mais Katia mencouragea. Puis, Alban se retourna.
Son pieu dressé avait encore grossi. Je massai ses épaules, descendis sur son ventre Je nosais pas empoigner sa bite, mais je sentis les mains de Katia malaxer mes seins.
- Continue, chérie, me murmura-t-elle à loreille, jadore aussi le voir avec dautres filles.
Je fis couler encore un peu dhuile dans ma main, qui se posa sur la longue tige.
Instinctivement, je la serrai entre mes doigts, et je commençai des mouvements de va et vient. La queue continuait de grossir. Katia caressait toujours mes seins, et Alban glissa sa main entre mes cuisses. Son index délogea bien vite mon clito, trouva mon point sensible, et je me mis à le branler frénétiquement, les yeux mi-clos.
Katia me saisit par la taille. Elle me mit debout, mamena au-dessus de son mari, et je compris ce quelle voulait : Doucement, je me suis assise sur le membre érigé, pour mempaler.
Autour de nous, plusieurs voyeurs avaient baissé leurs maillots, et se branlaient en me regardant fixement. Dautres couples les avaient rejoints, et je vis un homme dénouer le slip de sa femme seins nus, pour la caresser. Cette vision décupla mon désir.
Je sentis le gland gonflé appuyer contre mes petites lèvres qui sécartaient, franchir lentrée de ma grotte trempée, senfoncer en moi, à mesure que je me laissais glisser sur le mât dressé à la verticale. Il était vraiment énorme, et je dus marquer une pause.
Pour mexciter, Alban bougeait imperceptiblement sa queue en la contractant. Et il y réussit. Le sentir remuer en moi me fit mouiller comme une fontaine, et je me laissai tomber dun seul coup sur sa bite en criant. Cétait délicieux, jétais remplie comme je ne lavais jamais été. Je me lançai dans une chevauchée folle, la tête renversée en arrière, contractant les muscles de mes cuisses et prenant appui sur les genoux dAlban pour mempaler.
Katia ne pouvait pas se contenter de rester spectatrice : elle se dirigea vers lun des voyeurs (je sus plus tard que cétait un habitué de la plage), et elle se mit à le sucer, avant quun autre mec se rapproche pour la peloter.
Voir sa femme à la merci dautres hommes agissait sur Alban comme un aphrodisiaque. Il mempoigna par les hanches, il me souleva comme une poupée de chiffon, et il donna un rythme effréné à ses allers et retours dans ma chatte, ressortant presque entièrement sa verge de mon minou, pour me laisser retomber avec plus de force à chaque fois. Je hurlais maintenant, incapable de me contrôler.
- Oui, oui !!! . Je vais jouir, cest bon ! Ouiiii !!, plus fort Oh, je jouis, ça y est, je jouis.
Je nétais pas la seule à prendre du plaisir. Katia se faisait prendre en levrette, tout en suçant lhomme qui lavait caressée. Ses gémissements inspirèrent Alban. Il me fit lever, mettre à quatre pattes, et il sagenouilla derrière moi. Jétais encore toute essoufflée mais, instinctivement, je me cambrai pour lui présenter mon abricot.
Il posa ses mains sur mes fesses, et me pénétra dun seul coup de reins, marrachant un long cri aigu. Il marqua un bref temps darrêt, pour aller jusquau fond de mon ventre, puis se mit à me pilonner la chatte avec une violence inouïe. Mes petits seins étaient secoués à chaque assaut, et javançais malgré moi, mon tapis glissant sur le sable.
Je ne saurais pas dire pendant combien de temps il ma baisée ainsi. Je sais que jai joui à deux reprises en moins dune minute. Puis, voyant Katia prise en sandwich par ses deux partenaires, il se releva et me souleva. Je passai mes bras autour de son cou, pour ne pas tomber, et il me guida avec ses mains posées sur mes fesses pour me pénétrer encore.
Cétait la première fois que je faisais lamour dans cette position, debout, et la présence dun public rendait ça encore plus excitant. Toujours en me tenant par les fesses, Alban senfonçait en moi, et javais limpression quil allait encore plus loin dans mon ventre. Le plaisir remontait de nouveau, malgré ma fatigue, et je me tordais littéralement dans ses bras.
Cette fois, il décida de ne plus se retenir davantage. Je le sentis se contracter, il poussa une série de grognements sourds, et sa semence gicla dans mon minou. Je me renversai en arrière, et je jouis une dernière fois, comblée.
Alban me reposa par terre, et nous avons regardé, enlacés, Katia jouir aussi, et se faire couvrir le visage et la poitrine par le sperme de ses deux amants. Elle se remit debout. Elle récupérait à une vitesse incroyable, et elle madressa un grand sourire.
- Alors, Chloé, cétait bon ?
- Oui ! Je naurais jamais cru prendre un pied pareil, admis-je.
- On va se baigner, pour se nettoyer un peu ?, me demanda-t-elle, en me tirant par la main.
- Attends ! Mon maillot !
Elle éclata de rire, et elle mentraîna, nue, au milieu des baigneurs, sans se soucier du foutre qui coulait sur ses seins et entre mes cuisses. Nous avons joué un moment à nous éclabousser, avant de rejoindre Alban. Jusquà notre départ, je suis restée à poil et nous avons été le point de mire de tous les regards : jétais convertie à lexhibitionnisme !
En revenant à notre immeuble, Katia et Alban minvitèrent à dîner chez eux, et jai passé la nuit
dans leur lit
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!