L'Entretien D'Embauche.

Sarah, vingt cinq ans, est à la recherche d’un emploi. Elle épluche toutes les propositions, que ce soit sur internet, ou dans la presse.
Une annonce attire particulièrement son attention. Une place de secrétaire dans une grande société d’import, export. Ca à l’air sérieux, puisque l’annonce précise, que pour raison de sécurité, l’entretien sera filmé.

-Tu as vu cette annonce Rémi, c’est sérieux. Ils filment l’entretien d’embauche.
-A ouais...envoie un CV mon amour, on sait jamais.

Illico, Sarah envoie son CV.
Quelque jours plus tard, on sonne à la porte. Sarah absente, c’est Rémi qui ouvre.

-Un colis pour vous monsieur...signez ici.
-Merci, dit Rémi, après avoir validé.

Le colis contient une clé USB.
Il se met sur son ordi, et enclenche la clé.
En titre. « entretien d’embauche. »
C’était donc vrai, ils ont bien enregistre l’entretien.

Les premières images annoncent la couleur. Apparaît de dos, une femme vêtue d’un corset, d’un porte jarretière, maintenant des bas résilles. Le tout montés sur des escarpins de huit centimètres. Pas de culotte, pas de soutien gorge. Face à elle, installé dans un confortable fauteuil, un homme d’une cinquantaine d’années environ.
Il se lève, passe devant, s’appuie à son bureau. Il baisse son pantalon, extrait une queue assez conséquente, qui n’a pas l’air d’effrayer la femme outre mesure. Il fait signe à la jeune femme d’avancer. Elle s’approche, se penche, la croupe offerte à la caméra.
Caché par la femme, Rémi ne voit pas ce qui se passe, mais imagine la suite.
Il imagine la femme décalotter la bite, jouer de ses lèvres avec le gland, et l’aspirer entièrement. L’homme lui caresse les cheveux, ondule légèrement du bassin, puis se tend en avant. Il ferme les yeux, en poussant un grognement de plaisir.
Rémi avait bien vu. Entre les jambes en V de la femme, il voit le sperme couler sur le sol.

Puis elle se retourne, passe sa langue sur ses lèvres pour récupérer le reste de nectar.
Et là, c’est la stupeur. Rémi reconnaît sa copine Sarah. Il met sur pause, se prend la tête entre les mains.
«Mais comment a-t-elle pu accepter ça.»
Perdu dans ses pensées, il ne s’aperçoit même pas que Sarah est rentrée.
Elle s’assied à côté de lui, cale sa tête contre son épaule.

-Alors mon chéri, t’as passé une bonne journée.
J’ai connu mieux, répond Rémi. C’est quoi cette vidéo ?
-Ah, tu l’as reçu. Tu sais, au jour d’aujourd’hui, ils nous laissent pas trop le choix, il faut coucher. C’est comme ça que j’ai eu le job. Je sais que tu as du avoir mal.
-J’ai arrêté au bout d’un quart d’heure.
-A bon, t’as pas regardé jusqu’à la fin. Dommage. Tu veux qu’on la visionne ensemble.

A contre cœur, Rémi accepte, s’attendant au pire.
Sarah a disparu du champ de la caméra. Le directeur appuie sur un bouton. Une secrétaire, d’une rare beauté, apparaît.

-Bonjour, dit-il, il faudrait débarrasser le bureau, et dire à Sony, Fred et Mamadou de venir s’il vous plaît.
-Très bien, monsieur le directeur.
-Autre chose, que l’on nous dérange pas.

Dix minutes plus tard, se présente trois jeunes et beaux blacks. D’une porte, donnant accès à une salle de bains, apparaît Sarah, entièrement nue. Elle est d’une beauté à couper le souffle, sa chevelure blonde coulant sur ses épaules. Elle entreprend de déshabiller les trois mecs, sous le regard impassible du directeur.
Ils ont ce qu’il faut, ou il faut.
Sarah tombe à genoux, et tour à tour, prend leur énorme queue en bouche. Elle se lève, s’appuie contre le bureau, dans une position sans équivoque, les jambes légèrement écartées. Les trois hommes se regardent, puis agissent. Sony s’approche, prend Sarah par la taille, et l’assied sur le bureau. Il lui écarte entièrement les jambes, et plonge son visage entre les cuisses. Lentement, il fait courir sa langue sur la fente, jusqu’au clitoris. Un premier soupir s’échappe de la bouche de la jeune femme. Fred passe de l’autre côté du bureau. Il tire Sarah, jusqu’à ce que sa tête soit dans le vide. Calmement, il avance sa bite en érection, et l’enfonce dans la bouche. Sarah est à deux doigts de s’. Une fois bien en place, la grosse queue se meut entre les lèvres de la copine de Rémi.

-Alors mon chéri, interrompt Sarah, pas mal...qu’est-ce que t’en dis. T’as vu comme ils sont montés les mecs.
-Je t’en prie, fait Rémi, n’en rajoute pas.

L’ordi, toujours en marche, diffusent des scènes, ou Sarah s’offre totalement. Après avoir avalé la semence de Fred suite à une pipe d’enfer, ce sont les autres orifices qui sont pris d’assaut par les autres compères. Des doigts branlent la chatte, le petit trou, excite le clitoris.
Sony s’allonge sur le bureau, oblige à Sarah à s’empaler par le petit trou, sur sa queue, tandis que Mamadou pénètre la chatte, de son énorme calibre.

Rémi, scotché sur le canapé, ferme les yeux. Mais Sarah l’oblige à regarder, jusqu’au bout, jusqu’à ce qu’elle atteigne l’orgasme, dans un cri de plaisir.
Rémi en a assez entendu, et préfère boucher ses oreilles. Sarah lui demande de faire un effort.

C’est au tour de Mamadou de s’appuyer au bureau. Sarah se penche, et commence à lui tailler une turlute. Sony, son énorme bite en érection, se positionne. Il est clair qu’il veut la prendre en levrette. Vicieux, il joue avec sa queue. Il la prend en main, pénètre la chatte pleine de mouille, la sort, pénètre le petit trou, et ainsi de suite, jusqu’à ce que, la bouche pleine, elle le supplie de l’enculer.
Tout le groupe éclate de rire. Même Mamadou, qui pourtant, est entrain de vider ses grosses couilles, dans la bouche de la jeune femme. Les deux autres orifices sont honorés comme il se doit. Ils se font copieusement remplir, tandis que Sarah atteint un énième orgasme.

-Bande de salauds, souffle-t-elle, vous prenez plaisir à vous amuser avec moi..à me faire jouir... pendant que j’en suce un, l’autre me baise la chatte, et le troisième m’encule. Il va dire quoi mon copain quand il va voir ça.
-Il va dire que sa copine est une belle salope, dit Sony
-Qu’elle est prête à tout, pour obtenir le Job, ajoute Fred.
-Prête à sucer, se faire baiser et enculer par trois blacks.
-Ne vous inquiétez pas, sourit le directeur, je vous ferez un mot d’excuses. Le principal, c’est que vous soyez embauchée. Et si vous êtes gentille, il y a des promotions dans la société. Vous pourriez en profiter, vous en êtes capable. Bon, la récré est fini. Vous trois, retournez au boulot. Quand à vous, vous commencez lundi. Voici un formulaire concernant la tenue que vous devrez porter. Très sobre. Ma secrétaire s’occupera de vous.

Rémi est effondré. Il sait qu’il faut travailler, mais à quel prix. Aujourd’hui, Sarah a été obligé de faire la pute pour obtenir ce job. Voyant sa détresse, Sarah le prend dans ses bras.

-Ne le prends pas comme ça chéri, tu verras, je vais rapporter plein de sous. On pourra se marier. Et puis, ce ne sont que quelques coups de queues, et quelques pipes. Tu sais bien que je t’aime, que tu es l’homme de sa vie.
-T’aurais pu rentrer avant.
-Figures toi, qu’avant de venir, il a fallu que j’aille voir la secrétaire pour essayer ma tenue. Quelle vicieuse. Elle a promené ses doigts sur tout mon corps. Ma chatte, mon petit trou. Elle m’a fait jouir. Ca n’apparaît pas sur le film.
-C’est pas vrai...Et tu commences quand, demande Rémi.
-Lundi...mais samedi, je suis invité chez lui. Il organise une soirée entre amis. Il m’a dit, qu’il était inutile que tu m’attendes de tout le week-end. A oui, il m’a demandé qu’à cette occasion, je porte ma nouvelle tenue.

Rémi connaît du contrat, que ce qui concerna la toilette. Sarah omet volontairement de lui dire, que sur le formulaire, il est bien spécifié que la jeune femme doit venir à la soirée sans culotte, sans soutien gorge, et la chatte parfaitement épilée.

Le samedi après midi, Rémi ne lâche pas Sarah d’une semelle, jusqu’à la salle de bains. Il admire sa copine entièrement nue. Il la trouve sublime. Il est quand même surpris de voir Sarah s’épiler la chatte. Elle finit par mettre sa jupe, et son chemisier. Rien dessous, ni culotte, ni soutien gorge.

-Pourquoi tout ça. C’est quoi le deal cette fois.
-Je sais pas encore mon chérie, dit Sarah en lui caressant la joue, je te raconterai.

C’est avec un pincement au cœur, qu’il embrasse sa copine, quand elle quitte l’appartement.