Je Découvre La Salope Qui Est En Moi
Partie 1
Dans une comédie que j'avais vu dans ma jeunesse, j'avais été très troublée par une scène où le patron d'une entreprise administre une fessée à son employée secrétaire. J'ai souvent demandé à mon mari de bien vouloir me donner la fessée pendant que nous faisions l'amour, mais il était bien trop respectueux des femmes pour accepter une telle demande. Il a une fois essayé de me donner une petite fessée mais je voyais bien que le cur n'y étais pas, et du coup ça ne m'a pas du tout excité, juste embarrassé. Je trouvais la situation ridicule, sans doute parce que lui aussi la trouvait ridicule. J'aime mon mari, mais c'est une personne qui n'a pas beaucoup de besoins sexuels. Il s'intéresse à beaucoup d'autres choses, comme l'informatique et la biologie, dont il est passionné. C'est par ailleurs un homme gentil et il veut toujours que je sois heureuse. Voyant qu'il n'arrivait pas tout à fait à me combler sexuellement, il me dit un jour:
- Ecoute chérie, les fessées ce n'est pas tellement mon truc. Tu vois bien comment je suis. Je ne ferais pas de mal à une mouche.
Ca c'était vrai, il est vraiment très gentil. Mais malgré moi, une pensée plus cruelle me vint a l'esprit: il est aussi un peu insignifiant. C'est une lavette cette homme. Incapable de satisfaire une femme réellement.
- D'un autre côté je vois que ça te fait souffrir. Alors voilà ce que je te propose: si tu trouves un homme qui veut bien s'en occuper, vas-y. Amuse-toi, et tu n'as rien besoin demander. Je préfère que ça reste ton jardin secret.
- C'est très gentil mon chéri, je garde ta proposition en tête. Mais je ne pense pas que j'aurais besoin de ça. Je suis heureuse avec toi
Je ne fus pas tellement surpris par cette proposition. Il n'avait jamais vraiment montré de jalousie, ce qui était cohérent avec ses instincts sexuels endormis. Je lui étais reconnaissante de cette proposition bien intentionnée, mais à la fois ne pouvait m'empêcher de le mépriser un peu.
Partie 2
Nous étions assis à la table de réunion avec mes collègues, sur le point de commencer un meeting sur un dossier important. Mon collègue de droite dit d'un ton blagueur:
- Bon il arrive ce café?
Mais quel connard ce type. Le café devait être apportée par une jeune assistante qui venait de commencer la semaine dernière. Elle n'était pas dans la salle à ce moment-là, et il en profitait lamentablement pour faire une blague, qui fit rire ses collègues masculins autour de la table. En plus de ses mauvaises blagues, ce collègue se comportait de manière totalement sexiste au travail. Je l'avais déjà remarqué. Il inspectait très peu discrètement les jambes de toutes mes collègues, y compris moi. Une fois, en me retournant dans le couloir, je le surpris à mater ostensiblement mes fesses. Il ne m'avais jamais harcelé, mais son comportement laissait toujours transparaitre son intérêt pour les femmes et pour le sexe. Je déteste ce type d'homme.
- Non mais ça ne va pas! Lui répondis-je, le rose aux joues.
Il me fixa un instant sans rien dire, puis répondit lentement:
- Excuse-moi, c'est une référence au personnage machiste de OSS117. Je comprends que ca te dérange, et je ne referais plus ce genre de blague à l'avenir.
Sa voix était sincère et posée. Sa réponse me prit au dépourvu. C'était la première fois que je lui faisais une remarque, et il avait répondu de manière professionnelle, et même plutôt empathique. Je l'avais peut-être jugé un peu trop vite, il avait l'air plus intelligent que je ne le pensais. C'est alors que je m'aperçus que j'étais un peu excitée, ce qui est inhabituel pour moi dans un cadre professionnel de réunion.
Partie 3
C'était bientôt la fête de Halloween, et le bureau nous avait invité dans un luxueux bar d'hôtel pour l'occasion, situé dans un quartier branché de la ville. Ce soir-là, je décidais de passer à l'action avec ce type. Je m'habillais de manière sexy, avec une courte jupe noire, de longue bottes noires en cuir brillant, un petit décolleté noir laissant apparaitre mon soutien-gorge, et un serre-tête avec des oreilles pointues de chats. Je complétais le déguisement en me maquillant les joues avec des moustaches noires, le bout du nez avec une truffe, et une bonne d'ose d'eyeliner pour faire ressortir mes yeux. En quoi m'étais-je déguisée? En chatte-salope, tout simplement.
Partie 4
Le voilà qui boit une coupe de champagne, entouré de collègues masculins. Tout le monde est un peu éméché, la soirée bat son plein, et je me déplace à la rencontre du petit groupe, qui au moment où j'arrive est hilare d'une plaisanterie qu'il vient de faire.
- Qu'est qui vous fait tant rire?
Les regards se tournent vers moi, et je me sens désirable et désirée par ces hommes, dans mon petit déguisement.
- Ca ne va pas te faire rire, je pense, me répond-il. Je faisais une blague un peu vulgaire.
Je le fixe dans les yeux avec un regard de défiance.
- Ben non, vas-y, puisque c'est si drôle. J'ai bien le droit de rire aussi.
Il explique qu'il se faisait simplement la réflexion que beaucoup de femmes profitent des fêtes déguisées pour se déguiser de manière sexy, d'une manière ou d'une autre. Tout en me disant ça, il ne peut s'empêcher d'observer à la dérobée mes seins qui sont très visibles dans ce décolleté et attirent le regard. Je rougis en riant et dit:
- C'est bien le mot que tu as employé avant que j'arrive: sexy? Ou bien tu disais plutôt "salope"?
Tout le monde rigole. Je suis tombée juste et c'est à lui de rougir en regardant parterre. Plus tard dans la soirée nous nous retrouvons tous les deux à commander au bar. Il me dit en se penchant à mon oreille, pour que je puisse l'entendre dans la cacophonie ambiante:
- Je suis désolé pour tout à l'heure.
Je le regarde dans les yeux d'une manière insolente et lui répond, l'alcool aidant:
- Ca dépend. Est-ce que c'est juste un genre que tu te donnes, ou sais-tu vraiment t'occuper des femmes de cette manière-là?
Il me dévisage surpris. Pas sur d'avoir bien entendu, il me demande de répéter. Je répète:
- Est-ce que tu sais traiter les femmes comme des salopes au lit? Ou est-ce que tu sais juste faire le malin devant tes collègues?
Cette fois-ci il a compris. Il se penche vers mon oreille, très lentement comme si il allait m'embrasser, et il pose une main sur ma hanche, qu'il déplace lentement vers mes fesses en disant:
- Si c'est ce que tu veux, je peux te traiter comme une petite salope ce soir. Je saurais très bien m'occuper de toi.
Sa main sur mes fesses commence à me tripoter de façon insistante et je me laisse faire. Je ressens du désir et accepte sa proposition.
Partie 5
Nous nous retrouvons rapidement dans une belle chambre d'hôtel au-dessus du bar. Nous nous sommes embrassés dans l'ascenseur, et il n'y a plus vraiment de doute que nous allons faire l'amour. Je suis excitée et anxieuse, car j'ai peur que ça ne se passe pas conformément à mes fantasmes.
Il me dit:
- Déshabille-toi.
Je retire mon petit costume de chatte pendant qu'il m'observe. J'enlevé mon petit string noir et je suis toute nue devant lui. Je le regarde avec défiance. Lui reste habillé, et lorgne mon corps comme un pervers, sans aucun gène apparent.
- Maintenant tu vas te mettre à quatre pattes sur le lit.
Obtempérant à sa demande, je me mets en position de levrette sur le lit, de façon à lui présenter mes fesses. L'expression "à quatre pattes" m'excite car elle laisse à penser qu'il me considère comme un animal. Je me dis qu'il a bien compris ce dont j'avais envie.
Il s'approche de mes fesses, debout contre le lit, libère son sexe de son pantalon, et le colle contre mes fesses. Il me fait remarquer que je suis déjà toute mouillée, et effectivement je sens que son sexe glisse contre la raie de mes fesses sans frottement. Il dit:
- Tu es très mouillée, tu avais visiblement très envie de ma queue. Je ne pense pas que tu aies besoin de plus de préliminaires. Je vais donc te prendre directement comme ça, à quatre pattes. Es-tu d'accord?
J'acquiesce de la tête. Il enfonce alors son sexe dans mon intimité avec méthode, très lentement et sans interruption, jusqu'à la garde. Il saisit ensuite mes hanches avec ses deux mains et commence des va-et-vient fermes, en maintenant fermement mes fesses en place. Il ressort plutôt lentement mais rentre très fermement en moi et à chaque fois jusquau bout, comme pour m'indiquer que je lui appartiens. Comme je l'encourage par mes gémissements, il accélère la cadence et me défonce maintenant littéralement. Le mouvement fait vibrer tout mon corps et je sens mes seins qui bondissent à chaque va-et-vient. J'entends le clapotis obscène de mes fesses qui rebondissent contre ses hanches. Je sens ses testicules battre contre mon bas-ventre car il s'enfonce bien jusqu'à la garde dans mon sexe. Je suis très excitée car je me sens enfin vraiment possédée, par un vrai homme. Je pense un instant à mon mari et ces timides va-et-vient lorsque nous faisons l'amour. Il n'a vraiment pas en lui ce dont une femme a besoin.
Sans prévenir, il me lance un claque sonore sur les fesses.
- Active toi sur ma bite, petite salope. Montre-moi que tu en as envie.
Je suis surprise qu'il ait pris l'initiative de me fesser sans me demander. Mes fesses brûlent un peu sous l'effet de cette claque. Je me rappelle cependant ce que je lui ai dis dans le bar, que je voulais être traitée comme une salope, et me dis que je lui avais tout de même vraiment suggérer que ce type de comportement serait apprécié. En signe d'assentiment, j'active donc mon bassin pour faire rentrer et sortir son pénis de mon intimité. Il m'inflige de nouvelles claques, alternativement sur chaque fesse. A chaque fessée, j'accélère le rythme de mon bassin pour lui montrer qu'il peut continuer de me traiter de cette manière.
- Tu en redemandes, je vois. Tu aimes bien être fessée. J'aurais du deviner que tu étais ce genre de femme, tu as ce regard de salope au bureau. Et tes petites tenues de salopes qui te moulent bien le cul.
Il me saisit ensuite les bras et me maintiens les deux poignées d'une main ferme derrière le dos. Déséquilibrée, ma tête se retrouve contre le matelas et je me replace dans une position plus confortable, mes jambes pliées sous le corps et mon visage tout près des genoux. Il rassemble alors mes cheveux et les saisit délicatement mais d'une prise ferme au niveau de mon cuir chevelu. Il m'enfonce doucement mais fermement le visage dans le matelas. Je suis ainsi complètement à sa disposition, dans cette position, contrainte de toute part. Il continue de me pilonner sans ménagement.
- Maintenant tu vas me sucer.
Au lieu de se déplacer, il me saisit à bras le corps et me retourne comme une plume. Je me sens a nouveau comme un jouet à sa disposition, objectifiée.
Son gland est violacé et gonflé. Il pulse dangereusement à chaque nouvelle arrivée de sang, comme un champignon obscène prêt à exploser. Je m'aperçois que son sexe est imposant, bien plus que celui auquel mon mari m'avait habitué. Je suis sidérée qu'il existe de telles différences anatomiques entre les hommes, et je me demande si je vais arriver à mettre en bouche un sexe aussi gros. J'ai envie de mettre son gland dans ma bouche, et le laisser pulser doucement contre mon palet et ma langue. Mais alors que j'avance mon visage vers son gland, il me retient doucement en me saisissant la chevelure comme auparavant. Il m'immobilise et me dit:
- Je sais que ton instinct de petite chienne te pousse à sucer ma bite directement. Mais avant ça, tu dois la mériter... Je veux que tu t'occupes de mes couilles.
Mon attention se porte alors vers le paquet sombre à la base de son membre. C'est un sac fripé, velu de poils noirs, avec deux légères protubérances là où doivent se trouver ses testicules. Le sac se meut lentement d'une façon hypnotisante, comme animé d'une vie propre. Voilà une chose que je n'avais jamais faite à mon mari, me dis-je. J'avais toujours été répugnée par cette partie de l'anatomie des hommes. Mais ce soir-là, le désir de me soumettre à la volonté de cet homme est le plus fort. De sa main libre, il saisit son paquet de manière à faire ressortir ses testicules et lisser la peau autour d'elles. Sans plus de discussion, il colle doucement mon visage contre ses testicules et je les aspire avec ma bouche, l'une après l'autre. Ma bouche salive d'une manière surprenante, comme si j'étais en train de manger une glace.
- Voilà où est ta place, petite salope. Aspire-moi bien les couilles. Tu es une petite trainée, un vide-couille, tu comprends? Lécher les couilles d'un homme, c'est ta spécialité.
Il se met à se masturber maladroitement tandis que je continue à le lécher. Il me colle parfois son sexe contre les joues, écrase parfois légèrement mon nez, son gland frotte contre mon front, il montre décidemment peu de considération pour moi.
- Cambre-toi mieux, petite pute, je veux une belle vue sur ton cul pendant que tu t'occupes de mes couilles.
Je me cambre afin de faire ressortir mes fesses, qui se trouvent au-dessus de mon visage dans cette position. Il en profite alors pour malaxer mes fesses à pleines mains, tout en leur imposant une légère pression afin que mon visage soit encore un peu plus collé contre son bas-ventre. Il tripote mes fesses fermement comme un obsédé. Au bout d'un moment, il introduit quelques doigts dans ma chatte qui est toujours détrempée:
- Tu es détrempée, petite salope, ca t'excite bien de t'occuper de moi comme ca.
Il ressort ses doigts mouillés, et sans prévenir, insère un index mouillé dans mon anus. J'ai un mouvement de recul mais il ne s'en préoccupe pas et enfonce son index encore plus loin dans mes fesses. La sensation n'est pas très agréable, mais c'est surtout l'humiliation de cette nouvelle initiative qui me met dans l'embarras.
- Hmmm, tu as un petit trou du cul bien serré. C'est bien, je vois que tu n'as pas trop de pudeur, tu me laisses explorer ton petit trou du cul de salope.
Je suis enragée par cette dernière phrase: je ne l'avais pas autorisé à visiter cette partie de mon corps. Mais soudain, mon imagination me laisse voir clairement l'image qu'il doit avoir de moi en ce moment, et elle m'excite au plus au point: une belle petite salope, toute occupée et dévouée à lui lécher et à lui aspirer les couilles, lui présentant un cul merveilleux et bien mis en valeur par ma posture cambrée, et complétement offerte à ses explorations obscènes. Je me liquéfie d'excitation et de désir.
Il cesse bientôt de tripoter mes fesses, reprend doucement prise sur mes cheveux et éloigne mon visage de son paquet. Sans besoin de me parler, il dirige lentement ma bouche vers son sexe. Il laisse pulser son gland à l'orée de mes lèvres quelques instants. Ensuite il maintint fermement ma tête dans cette position et enfonce lentement et sans interruption son sexe dans ma bouche, jusqu'à l'entrée de ma gorge. Je salive plus que jamais et ma bouche est si glissante qu'elle n'offre aucune résistance à ce sexe chaud et énorme qui l'envahit. Il fait une pause une fois bien au fond de ma gorge et pousse un grognement de plaisir. Ensuite il intime à ma tête un lent mouvement de va-et-vient. Une fois de plus, il m'utilise comme objet dans lequel il se serait masturbé. Une fois de plus, je suis extrêmement excitée d'être objectifiée de cette façon par un homme. Il m'encourage:
- Tu es une bonne chienne... tu fais ça à merveille... tu es vraiment très bien dressée.
Encore cette comparaison dégradante a un animal. Il sait me parler comme je le mérite, me dis-je pour m'exciter. Je me sens très excitée et j'ai envie de me masturber mais j'ai peur qu'il n'apprécie pas mon initiative si il s'en s'aperçois. Dans le doute, je m'abstiens. Il continue ses va-et-vient.
- Bouffe encore un peu ma bite, tu vas bientôt recevoir ma semence. Tu vas tout avaler bien sûr.
Il s'enfonçait maintenait très profondément dans ma bouche, ce qui faisait un bruit de clapotis étrange, et j'avais peur qu'il éjacule au fond de ma gorge.
Mais quelques va-et-vient plus tard, il retire quasiment complètement son sexe de ma bouche, laissant seulement son gland à l'intérieur, et il ne fait plus le moindre mouvement. Son gland se met alors à pulser à un rythme rapide dans ma bouche, et je reconnais les contractions de l'éjaculation. Je sens bientôt une quantité de sperme importante envahir ma bouche, en plusieurs salves. C'est chaud, avec une consistance gluante et un gout très acre. En un mot, répugnant.
- Voici ta récompense, petite putain. Mon liquide séminal dans ta petite bouche de salope. Avale-tout comme la bonne trainée que tu es. Oui, avale-tout ma petite garce.
Je m'exécute, dans un état second. Je me sens excitée comme je ne l'ai jamais été. Je ressens une envie furieuse de me masturber et commence à toucher mon clitoris, ce qui m'envoie immédiatement de petite décharges de plaisir électrique. Il a maintenant retiré son sexe de ma bouche, d'abord propre, mais rapidement coulant à nouveau de sperme.
- Nettoie ca, petite pute. Montre-moi que tu es une bonne chienne.
Je me jette sur sa queue pour lécher les dernières gouttes de sperme. Je me comporte comme si j'étais affamée de ce liquide qui quelques instant plus tôt me dégoutait. Je tète maintenait littéralement son sexe, tout en me masturbant frénétiquement. Il s'en aperçoit et dit:
- Tu te masturbes je vois, petite salope. Tu as raison, tu l'as bien mérité. C'est normal d'être excitée après s'être comportée comme tu t'es comportée. C'est-à-dire comme une trainée des bas-fonds. Tu as tété ma queue sans aucune pudeur, jusqu'à la dernière goutte. Maintenant elle est toute propre. Je vais aller me laver, j'aime prendre une bonne douche après m'être occupé d'une petite dépravée comme toi.
Il referme le zip de son pantalon et part sans dire un mot de plus.
Partie 6
Je répètais intérieurement ses dernières paroles en boucle en me masturbant. Il avait raison, j'étais une petite dépravée. Une petite salope soumise, simplement bonne à assouvir le désire des hommes. Un "vide-couille". Une chienne. Je ressentis bientôt la mécanique de mon orgasme se déclencher, mais pas encore de sensations, ce qui était inhabituel. Je ne perçus tout d'abord aucun plaisir, mais seulement l'impression qu'une puissante vague approchait, et qu'elle allait bientôt me frapper. J'arrêtais de me masturber. La vague approchait, lentement, de façon totalement inévitable. Immense. Elle me jeta hors de mon corps. Je me sentis totalement bouleversée, et à la fois submergée de plaisir. Je mis de longues secondes à émerger de cette jouissance. Des larmes se mirent à secouer mon corps. Quelle intensité incroyable! Je repris peu à peu mes esprits. D'habitude, les orgasmes me laissent toujours vide et embarrassée de la scène de sexe qui vient de se produire. Mais cette fois cétait différent. Je venais de découvrir une chose à propos de moi, qui était comme un immense trésor. Je suis une femme, féministe, et je me considère comme une personne honorable, rien de ceci n'avait changé. Mais je découvrais que j'aimais être avilie par un homme; soumise à ses désirs, traitée comme une putain. Ce jeu éveillait en moi des trésors d'excitation, de plaisir et de jouissances. J'allais pouvoir continuer l'exploration de cet immense terrain de jeu secret, avec cet homme et surement avec d'autres. J'allais devenir plus audacieuse. Une vraie petite salope.
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