Collection Zone Rouge. La Queue De Poisson (1/3)

Bénédicte et moi nous nous rendons à notre soirée hebdomadaire dans une boîte de la région quand cette aventure nous est survenue.
Pour commencer, loin de moi l’idée d’être pour ou contre le 80 kilomètre-heure, je suis très respectueux de toutes les règles qui touchent notre pays.
Je roule dans ma Porche Carrera gris métal à la bonne vitesse quand j’arrive au cul d’un gros camion fréquent sur notre route.
Personne en face, clignotant et je passe dans un secteur autorisé.
J’arrive en bout de ligne droite quand une voiture sort de nulle part.
Je l’avais vu garé, mais j’ignorais qu’elle reprendrait sa route.
Je viens juste d’atteindre le capot avant de ce monstre des routes.
Je me rabats lui faisant une queue de poisson.
Il me fait un appel de phares comme s’il me faisait les gros yeux avec toute la puissance de ses lampes.

Je continue ma route, un autre poids lourd se présente devant moi.
Pourquoi ai-je pris des risques inutiles nous allons bientôt arriver dans une zone à 110 où j’aurais pu doubler sans risque tout ce petit monde ?
Celui qui me précède va moins vite que nous, le camion que nous venons de doubler nous ratt.
Il me colle aux fesses, je le vois dans mon rétro, bête humaine avec sa carrure de déménageur et ses tatouages sur les bras, il a un micro à la main, il doit faire de la C.B.
Je vois qu’il met son clignotant vers la droite à plusieurs reprises et faisant des appels de phares.
Je suis bloqué entre ces deux monstres.
Bénédicte a peur, ma petite fiancée a peur, le sang me monte à la tête pourtant j’ai toujours évité de me bagarrer.
Il met et il arrête son clignotant faisant de grands gestes me montrant le côté droit.
Ai-je un pneu dégonflé et ce brave homme veut nous éviter un accident ?
Nous arrivons à l’aire de repos dite du tapioca ancien lieu où un ancien chauffeur tenait un restaurant pour les routiers leurs faisant manger ce produit gluant.


Je mets mon clignotant et dès que je le peux je m’arrête.
Une fraction de seconde j’ai l’impression d’être dans le film ou un camion fou s’en prenant à un conducteur lui ayant déplu.
C’est le cas pour nous, car le poids lourd a suivi et vient se mettre à notre côté.
Le balaise descend et vient à ma hauteur.
Je comprends qu’il veut me réprimer, mais la vision de la batte de baseball qu’il tient en main me fait voir que c’est plus grave que ça.
Je descends ma vitre.

• Alors parce qu’on a une grosse cylindrée on se donne le droit de risquer de un honnête conducteur polonais.

Pour un Polonais, il parle parfaitement le français !

• Excusez, un moment d’inattention, je m’excuse du désagrément que je vous ai causé.
Cher ami, c’est la voiture mal garée ayant redémarré qui est la cause de votre peur lorsque je me suis rabattu.
• Comment, il me cause celui-là ?
Ta peut être une grosse bagnole de sport et une jolie poulette à tes côtés pour essayer de nous impressionner, mais pour moi t’est qu’une merde !
Mademoiselle, au lit, il prend les mêmes pincettes pour vous sauter !
Êtes-vous sûr de prendre votre pied tous les jours ?
• Arrêter d’importuner ma fiancée, nous allons nous marier dans quelques semaines dès que mère aura réglé toutes les formalités.
Mademoiselle Bénédicte sort du meilleur pensionnat pour jeunes filles de Suisse.
• Une pucelle, descendez tous les deux.
• Pourquoi descendrais-je, je suis très bien dans ma voiture, les sièges sont confortables, ils sont chauffés.

Il prend sa batte et tape sur ma portière, j’entends un bruit de tôle qui se froisse.
Je regarde, ma portière à hauteur de ma fenêtre.
Elle est abimée, il va falloir la changer.
Prenant peur, j’arrête de discuter.
Il veut que je descende, j’exécute son ordre suivi par Bénédicte.
Le conducteur est descendu côté passager de son camion, laissant la portière ouverte.

Bénédicte me rejoint, contrairement à moi, elle semble à son aise.

• Aller monte poulette, cette fiote va comprendre ce que sont de vrais hommes.
Toi suis là.

Une nouvelle fois je devrais me révolter et lui foutre mon poing dans la gueule.
Hélas, je suis pleutre, j’ai toujours été une mauviette.
Je le regarde mettre sa main aux fesses de ma fiancée pour l’aider à grimper dans le camion.
Sa mini et ses cuissardes blanches l’aident
J’ai peur qu’il puisse penser que je suis un homo.
Je la suis prestement m’évitant de sentir sa main sur mes fesses.
Il referme la portière, je suis assis à côté de Bénédicte pour la première fois, nous sommes si serrés que je sens sa respiration très courte.

• Ducon, donne-moi ta carte d’identité, j’aime savoir qui j’invite dans mon camion.

Une carte d’identifiée, quel manque de goût, les papiers sont obligatoires dans notre pays, je sors mon passeport, il l’ouvre et le regarde.

• Hubert c. de France.
Que veut dire ce charabia ?
Hubert, aucun problème, le petit c que veut-il dire ?
• Comte, je suis comte.
• Merde, un aristo, alors tu vas être comtesse, vierge de surcroit, nous allons remédier à ce problème.
Putain, Hubert comte de France, quand je faisais mes études à Paris avant de retourner dans mon pays, on m’avait appris qu’ils avaient tous été pendus à la lanterne.
Je fais une photo, je connais ton adresse.
Je pense que quelques camions devant chez toi te feront revenir à la raison si quelquefois tu voulais te rebeller.
Ducon tire le rideau derrière toi, j’en fais de même de mon côté et devant ça fait boîte de nuit.
Regarde, j’ai installé des lampes de couleur qui clignote.

Quand je dis que je suis pleutre, il prend un portable sur le tableau de bord et photographie mon passeport, avant de reposer son portable sur le système mains libres.
J’essaye de ruser pour nous en sortir.


• Nous sommes attendus à la Caverne par des amis, ils vont prévenir la police qui va venir nous sauver.
• T’as un portable, t’as la gueule à avoir un portable, appels les et dis que mademoiselle Bénédicte est indisposée et qu’elle est dans l’incapacité de sortir ce soir.

Mince, ce type a réponse à tous, j’appelle Hugo, mon ami, refermant le piège sur nous.
C’est à ce moment que je comprends que nous avons affaire à un camion fou.

• Manu, tu les as coincés !

Le dénommé Manu prend son micro de C.B.

• Oui, Duga, je te donne en mille, un aristo, Ducon comte de mes couilles, sa poulette est vierge.
Tiens, je vais te faire un cadeau ma petite, fiche-toi à poil.
Non pas de sa Comte, la petite se déloque sinon c’est ton genou qui saute.
Duga, il veut se rebeller.
• Et Polo ?
• Il dort, il était crevé, je vais lui faire une surprise.
Je sens que tu t’éloignes on coupe, j’ai une vierge à dépuceler.

Manu repose le micro, je comprends à ce moment que derrière ce rideau, dort un autre homme.
Bénédicte commence à dégrafer son chemisier.
C’est idiot, moi qui ai été très respectueux de cette jeune fille, dans un rétro intérieur lui servant quand son camion est à l’arrêt, je vois pour la première fois sa poitrine plus développer que sa tenue en montrait.
Ces seins dépassant de son soutien-gorge pigeonnant rose avec une petite rose en plein centre les mettant en valeur.
Elle se soulève après avoir détaché un bouton de sa mini blanche.
Je vais de découverte en découverte, celle que je croyais si prude porte un string. Quand je baisse mes yeux, la ficelle entre ses lobes m’apparaît dans toute sa splendeur.

• C’est bien poulette, garde tes cuissardes, c’est plus bandant.
Une petite photo, vous formez un couple parfait, lui aristo et toi petite salope qui cache bien son jeu.

Il a repris son portable, le flash se déclenche avant qu’il le repose sur son socle.

Il tire le rideau derrière nous, nous montrant la couchette.
Une deuxième bête est là, le portrait du chauffeur.

• Je vous présente Polo, mon jumeau, nous avons créé cette société Polonaise d’où nous sommes originaires.
Nos père et mère sont venus travailler dans les mines.
Nous sommes retournés là-bas créer notre société, c’est plus facile, la législation est plus souple qu’ici.
Assez parlé, je vois que mon frère se réveille, va le sucer, après si tu le permets je te dépucèlerais.

Ou suis-je tombé, à ce moment de mon histoire, je prends conscience que celle que mère était allée chercher pour moi dans son école pour jeunes filles de bonne famille, est une salope ?
Prestement elle est sur la couchette, elle dégrafe le pantalon du frangin faisant sortir sa verge, je dois reconnaitre qu’il est bien monté comparé à moi.
Sa botte droite est à quelques centimètres de ma figure, c’est vrai qu’elle est bandante.

• Merce Manu, tu en as chopé une, et avec son mec en plus, merci du cadeau.

Quel cadeau ma fiancée à sa bouche sur la verge tendue du polonais le pompant comme si elle avait fait ça toute sa vie.
Qu’apprend-on aux jeunes filles dans les couvents des oiseaux en Suisse ?
Vous achetez de la première qualité et vous avez un morceau de barbaque faisandé !
Il est impossible que ce soit la première fois qu’elle pompe un mec, sa langue tournoi sur le gland deux fois plus gros que le mien.
Quand elle descend le long de cette verge, je vois qu’elle est capable d’avaler ses grosses couilles.
Je bande, voir ma fiancée se faire un autre que moi me fais bander.
Sans aucune menace, je sors ma verge et je commence à mastiquer comme je le fais depuis des années en cachette de mère.

• Polo regarde, il se branle en voyant Bénédicte te sucer, dépêche, d’éjaculé, je vais la sauter.

J’éjacule en même temps que Polo, ma fiancée me regardant sans en perdre une goutte, je gicle jusque sur le tableau de bord.

• Merde Polo tu vas devoir nettoyer le camion, il en a mis partout, descends, laisse-moi la place, Bénédicte à nous.

Je vois Polo descendre à mon côté, sa queue passant à quelques centimètres de mon visage.
Je suis à deux doigts de la saisir, mais qu’en ferais-je, je deviendrais homo.
Quand Manu le remplace enlevant son pantalon sans slip lui aussi, je vois qu’il est aussi bien armé que son frère.
Il grimpe dans la couchette, Bénédicte le regarde et leurs lèvres se soudent.
Avec moi, elle acceptait seulement de lui tenir la main.
Polo a pris la place de son frère, la batte est posée à porter de ma main, je pourrais faire un massacre, mais la verge de Polo m’obsède.

Une pensée me vient, depuis le début de notre mésaventure.
Bénédicte est toujours restée muette serrant ses lèvres sauf pour sucer Polo.
Sa bouche est restée aussi vierge de son que la vierge que je pensais épouser, pourtant elle parle.
Nous faisions des projets pour notre installation à l’étage du manoir sur le domaine viticole que je gère avec père avant d’en devenir le propriétaire.
Je pense que tout est remis en question.
Et tout ça à cause d’un con, qui est sorti de nulle part…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!