De Trois Nous Sommes Passé A Deux. Elle Et Moi.
Deux semaine plus tard de notre première nuit à trois, un froid après midi de la fin de lhiver, je reçois un coup de fils de la part de Doris. Elle, nous invite a passer un WE dans sa maison en bord de mer, je lui répond que je parlerais avec Vincent, quand il rentrera de son travail.
Pendant le diner, je transmet linvitation de Doris à Vincent. Un fois passé son euphorie, me fais une proposition inespérée; « répond a Doris que je doit travailler mais que tu es libre ».
Au premier abord, ma réponse fut négative, mais pendant quon se déployée aux taches ménagères, ma réponse est devenu « peut être ». La même nuit, une fois que nous Avon éteins la lumière, Vincent sapproche derrière moi et me susurre a loreille droite; ¿tu va y aller en WE avec Doris?, et sans même réfléchir, je lui répond avec un grand, ouiiiiii.
Samedi matin, vers 10 heures, Doris passe me chercher avec sa puissante voiture. Je met ma valise a larrière de la voiture, et, nous voila partis pour un WE avec pleins de doutes dans ma tete.
Avant darriver au village près dou se trouve la maison de Doris, nous avons fait un halte pour acheter de quoi nous nourrir et faire quelques emplettes. Nous avons avons parcourue les salles du marche en souriant. Doris voulez me faire plaisir en achetant de fruits, de poisons
Jétais au ciel dans sa compagnie, de fois javais envie de la prendre par la main, de lui faire un furtif bisous, mais, la présence des gens marrêté tout de suite.
Nous avons visite deux ou trois boutique, dailleurs, les seules ouverte, a cet période de lannée, dans tout ce petit village touristique. Je redouté le moment de nous retrouver en tete à tete pour la première fois avec Doris, mais, je me disais au même temps, quil fallé aller jusquau bout.
Nous avons arrivés a la maison vers 13 heures sous un ciel dégagé avec des timides rayons de soleil, Doris sen charge de descendre nos denrées quon viens dacheter et moi je prends nos valise.
Quand je descendais les escaliers derrière Doris, je réalise que elle navais fait aucune mention a lhabitation quelle mavait asigné, ce que je pouvait interpréter quelle avait prévu quon dormirais ensemble. Quand je réalise cet « oubli » un picotement entre mes cuisses ma obligé a fermer mes yeux, dans en effort pour ne rien dévoiler de mes ressentis.
Nous avons prepare les repas ensemble, nos avons bu du vin blanc pour accompagner les délicieuses soles du marché. Apres nous avoir reposé quelques minutes sur la terrasse, nous préparons pour faire une promenade au bord de mer.
Une légère brise saline caressé nos visages, le soleil du debut du printemps accompagnée nos pas sur le sable humide. Nous avions fais quelque mètres sur la plage, quand je sens sa main que frôle la mienne. Je ressenti que mon sang faisais un tour dans ma tete, comme si javais reçu une petite décharge électrique.
Je tends ma main en regardant Doris, elle pose la sienne sur la mienne, nous croisons nos doigts, et, nous continuons notre marche dans un relatif silence. Quelque mètres plus loin, Doris minvite a la suivre dans une crique quelle a lhabitude daller prendre de bains de soleil.
Nous avons continue joyeuses notre marche sur le sable, toujours nos mains enlacé, Nous arrivons a devant un mure de roches que la dernière tempête avait déposée sur la plage, nous devons escalader quelques roches, nous avons rit a la gorge déployée. entre nos éclats de rire et encouragement mutuelles, nous avançons lune derrière lautre, Un fois que nous avons traversés lobstacle rocheux, nous avons retrouve une charmante petite plage abrité du vents entre nos rires joyaux, je lui tend mes bras, et Doris viens vers moi en glissants ses mains sur ma taille et me serre délicatement contre elle, nous nous regardons tendrement et on sembrasse pendant un temps indéfini.
Nous cherchons un endroit ensoleillé pour nous assoir, en on enlevé nos parkas quon pose sur le sablé. Nous parlons de tout et de rien, nous avons rigolé comme de vielles copines, sans nous lâcher des mains.
Au bout dun moment, Doris sallonge sur son dos face au soleil. Je regarde son jolie visage, et une pulsion sans freins, memmène a lembrasser. Doris menlace avec son bras gauche, me serre contre elle. Un irresistible émotion ma parcouru sur tout mon corps, moi aussi je la serre, jembrasse son visage, ses yeux, je sens se mains que e serrent fort mon dos.
Comme tout les WE en bord de mer, il y a de touristes que se promènent comme nous sommes en train de le faire, alors nous nous avons assagis, en nous avons reste allonges lune a cote de lautre, nos mains enlacé, et sans arrêter un seul instant de nous regarder.
De retour a la maison, nous avons bu un chocolat chaud, assise face a la mer. Apres nous avons trainé dans la maison écoutant de la musique, jaidé a Doris faire quelques arrangements, nous avons passé laspirateur et a la fin, nous avons monte a létage pour mettre les draps a son lit et préparer la chambre.
Doris sort de larmoire de la chambre, un jeu de draps bleu. Elle me demande avec une air coquin, « ¿de quel coté du lit tu préfère?, je lui répond sans réfléchir, peu importe si tu est a mes cotes.
Ensuite me demande si jaimé les voles ouvert ou fermés. Je lui affirme que jadore pouvoir la regarder, alors je les préfère ouverts. Toutes les questions de Doris je les interpretes du coté coquin, mais comme une façon de me dire quelle voulez connaitre plus sur moi.
Le soir, même si la température était supportable, Doris allume un petit feu de cheminée. Tout de suite le salon dégage de tres jolies lumières et les arômes du bois brulée. Nous avons remis de la musique, Doris a ouvert une bouteille de Moet et Chandon, quelle sert cette fois, dans de tres jolies coupes.
Nous buvons, nous dansons comme de jeunes filles en boite de nuit, nous mangeons les petits fours que nous avons achetés au marché. Nous nous embrassons, on se regarse avec pleins de questions dans nos yeux.
La température du salon étais suffisamment pour que je menlève la petite laine que je portée, je reste avec une blouse rose, boutonne par devant et javais pris soin de libérer le premier bouton laissant entre voir le debut de mes seins.
Je me assois a cote de la cheminée avec ma coupe de champagne à la main, Doris viens sassoir dans le canapé, face à la cheminée. Nous buvons pour notre soirée, nous chantons, on se racontes des anecdote, nos souvenirs.
Doris me raconte sa premier fois avec Vincent, ce quelle a aime dans sa façon de faire lamour, ses mains que la prennent avec autorités. Etrangement, a aucun moment je me suis senti jalouse, au contraire, Vincent mavais raconte tout les détailles de ses rencontres amoureuses.
Moi, je lui fais part des épisodes de notre vie de couple, je lui ai raconte la première fois que Vincent ma fait jouir, quand a eu lieu, comme il ma prise, ce que javais ressenti, et pleins dautres petits détaillés.
Nous navons pas vus passer le temps, notre seul repère étais la bouteille de champagne que peu a peu se vide. Doris, se leve pour alimenter le feu de la cheminée, quand elle retourne sassoir sur le canapé et profitant dun breve silence, en me regardant, tapote le canapé, me signalant de vienne massoir a ses cotés.
Je me leve mais avant de la rejoindrais, jéteint la lampe quéclaire le salon, et nous restons seulement avec la lumière titillante de la cheminée. Je prend place près de Doris, et écarte un bras pour que je me reposo sur son épaule.
Je reste quelque instant inamovible regardant les flammes envoutantes de la cheminée, quand je sens la main de Doris que prend délicatement mon visage, le tourne ver le sien, et membrasse tendrement et pendant de longs minutes.
La passion rapidement a pris possession de nos caresses, nos mains, maladroitement caressent nos corps habilles. Doris commence a déboutonner mon chemisier, moi, je fais de même, toutes les deux on dévoile nos seins presque au même temps.
Je doit enlever le soutien gorge de Doris, par contre, mais, je navais pas mis. Elle me caresse les seins, mordille mes teton, caresses mes cuisses. Je repose ma tete dur le dossier du canapé, et je mabandonne aux caresses de Doris.
Nous nous caressons avec passion, je lui dis que « jadore ses seins, sa bouche, sa peau », Doris me répond avec un soupire et me serre fort contre elle. Sentir ses seins contre les miens, me procure un joie indéfinissable.
Je me leve, je me met debout devant elle, et je déboutonne ma jupe, ensuite je descends la fermeture éclair, elle savance, prend ma jupe, et commence a la descendre. Je ne porte pas de culotte non plus, alors je reste toute nue devant Doris.
Je sens son regard sur tout mon corps, la pomme de ses mains quefflore mes seins, mon ventre, descend doucement entre mes jambes, je sens le rose de ses doigts sur ma fente. Je ferme mes yeux et je me laisse porter par les sensations que le suis en trains de vivre. Nous nous regardons sans rien nous dire, sont nos regards que parlent.
Je me met a genou entre ses jambes, je la pousse délicatement en arrière, et je enlève sa jupe, sa petite et transparente culotte noir, laisse entrevoir le trésor quil y a entre ses jambes. Doris, dun geste léger, soulève ses fesses, et je glisse sa culotte jusque a libérer complètement delle. Nous sommes toute nues en nous embrassant, le plaisir que je ressens est incomparable avec celui que ressens avec Vincent.
Doris continue assise sur le canapé et moi a genou entre ses cuisses. Je suce ses seins, elle écarte de jambes pour mieux sentir la peau de mon ventre. Je descends avec ma bouche grande ouverte, léchant son ventre, le contour de son sexe, je passe ma langue par le haut de cuisses, mes mains glissent tout long de sen corps.
Les gémissements de Doris, son corps que bouge sensiblement quand mes mains sapprochent de son sexe, tout mes sens sont en éveille.Doris a un regard de feu, me regarde con insistance au même temps quécartes ses jambes encore plus, comme une invitation a que je la caresse.
Je regarde son sexe, ouvert, de couleur rose, complètement mouille, la caprine continue a couler, doucement, par les parois de son sexe. Je caresse son vagin avec la pomme de ma main droite, ensuite avec le doigts majeur je fait le contour de ses lèvres, je fini par glisser mon doigt doucement dans sa petite chatte.
Jai senti un petit spasme au même moment que je la pénétré avec mon doigt majeur, son corps sest contraint et Doris a retenue la respiration. Jexulte a regarder le plaisir que je lui provoqué, je introduit encore plus profond mon doigt dans son vagin, et je lenlève délicatement, pour le sucer en regardant Doris.
Quand je me mes doigts dans ma bouche, Doris ferme les yeux, serre ses dents et soulève ses fesses en signal dapprobation. Prend ma main et la mène lentement sur sa bouche pour sucer mes doigts imbibe du jus de son sexe.
Mon excitation étais a son comble, je voulez dévorer Doris, alors je prend les lèvres de son sexe avec mes mains, je les écartes, et je caresse, doucement,
son sexe avec le bout de ma langue, du bas en haut. Je répète la même caresse plusieurs fois et chaque coup de langue, me procure un plaisir jusquici inconnu.
Les mouvement de Doris sur le canapé, son corps éclairé pour les flammes du feu de la cheminée, ses gémissements, ses mains que dirigent ma tete pour rendre mes câlins encore plus précis, me mettent dans un état second, une fièvre soudaine envahi mes corps et mes pensées.
Jallonge Doris sur le canapé, Jobserve son corps voluptueux, elle dune beauté que me fait fondre quand je suis près delle. Ses seins sont ronds, avec ses mamelles roses, sa peau blanche et délicate, ses yeux couleur ciel, sa bouche charnue source de passion, ses cheveux blonds comme le blés mure. Je me sens comme si mes pieds ne touchent pas la terre.
Nous nous embrassons follement, nos mains se confondent en caresses, tantôt assises, tantôt allongées, on se serre tres fort lune contre lautre. nous nous disons, tout le bien quon ressent au contacte de nos corps nus, avec de mot doux et enflâmes à la fois.
Le bulles du champagne, commencent a monte dans nos tetes, Doris se leve du canapé, prend ma main gauche et minvite a regagner sa chambre. Doris toute nu prend la bouteille de champagne, moi les coupes et avec précipitation nous montons lescalier. Je regarde ses fesses que se balancent quand elle monte les marche, elle sens mon regard, se retourne et avec une voix coquine me dis; « vient, jenvie de te prendre », jaccélère le pas et dun saut, je me retrouve au milieu de son lit avec mes bras ouvert, en signal dinvitation, pour que Doris vienne prendre possession de mon corps.
La chambre est illuminée par une petite bougie que Doris avait pris soin dallumer, elle sallonge sur mon bras, sa jambe gauche la pose sur les miennes et avec une de ses main caresse mes seins. Elle monte sur moi, ses lèvres gonfles se collent au miens, son corps gigote éffusivement, sa cuisse gauche la glisse entre les mienne

Je sens que mon excitation est au paroxysme, je frotte mon sexe contre sa cuisse, ma mouille es de plus en plus conséquente. La délicate bouche de Doris, leche mes seins, les suces, pince mes tétons.
Je sens ses mains sur mon corps que me serrent avec frénésie, sa bouche que descend par mon ventre, se cheveux que chatouillent ma peau. Quand je sens sa langue caresser lintérieur de mes cuisses, je murmure un gémissement de plaisir et a la fin je retiens ma respiration quand je sens sa bouche que sapodere de mon sexe bien mouillé.
Sa langue experte parcourait mon intimité, et elle menfonça deux doigts dun coup bien profond, je ne pus mempêcher démettre un cri dextase, et me trouvais comme emportée par le plaisir que me procurer Doris.

Je me sentais complément défoncé, je regarde dans la pénombre, sa main et sa langue si pointilleuse sur mon clitoris. Doris me demande de me mettre à quatre pattes, jaccede aussitôt a son désir, je me cambrer suffisamment, pour quelle puisse bien voir ma chatte bien épilée.
Je sens ses mains que caressent mes fesses, Doris hume mon sexe, mon petit trou. Elle sempresse pour m introduire ses doigts dans mon vagin et passe sa langue coquine sur son petit trou. Mes gémissements étaient de plus en plus bruyants .

Lintensité de sa pénétration me faisait gémir fort et j essayait d mes cris dans loreiller, Elle écarta mes lèvres et lécha de haut en bas mon sexe, je lentendais aspirer ma mouille dans sa bouche, quelle sensation, jai adoré !
Doris a continué son agréable besogne. Ma petite chatte toute épilée et toute mouillée excitée tellement Doris, sa langue devenais plus précise dans son ardor pour me faire jouir. Je soulève me fesses et jécarte mon sexe avec mes mains pour que Doris prenne mon clitoris avec sa bouche.
Et elle me retourna dun geste autoritaire, je lobéisse sans tarder, Doris me plaquer contre le matelas et frotta sa petite chatte contre la mienne, humm quel plaisir divin de la sentir transpirante de désir contre moi !

Je sentais nos clitoris se frottaient, le plaisirs était intensément bon, ses seins contre les miens onduler, sa langue titiller la mienne, et disparaissait dans sa bouche lorsquelle me laspirait.

On se tortillait lune contre lautre de plus en plus vite, les gémissements se font de plus en plus forts et intenses !Nos bras sagrippaient lune à lautre, quand soudain le plaisirs divin intense de la jouissance nous envahir ! 

Je me sentis comme soulager, comme une certaine légèreté, limpression de planer de tout oublier ce qui se passait autour de nous. Elle me sourit, membrassa , se repose sur mes seins et menlace avec sa main droite. Ce moment la, fut quelque chose de magique.
Sentir autant de plaisir partager autant de caresses, de délicatesse, me faisant sentir de choses véritablement nouvelles, même si javais reçu de câlins similaire de la part de Vincent, mais, le fait que soit une femme, si délicieuse que Doris, me remplissait de bonheur.
Nous avons restes entrelace longtemps, nous avons parles de pleins de sujets de nos vie. Nos corps, un tant fatigués , transpirés, dégageants des agréables aromes de nos sexes, nous sommes reste serrés lune cotre lautre, seulement le sommeil, nous a séparée.
Le lendemain, sont le rayons de soleil que quarrivants jusquau lit, que nous a réveillées. ¿Tu as bien dormi? Me demande Doris avec une fine voix. Je me suis approche delle et avec un doux bisous, je lui répond; « Cet nuit fut unique, elle restera en moi pour toujours ». Doris souris, et a son tour me fais aussi un bisous.
Nous avons descendu pour prendre nos petit déjeuner sur la terrasse, il cale profiter de premiers soleil du printemps. Ensemble nous avons preparé le cafe, le pains grillé assises face à la mer, vêtus seulement avec nos peignoirs, je porte un peignoir de Doris quelle mavais prêté.
Nous avons reste long temps à table, nous avons continue a nous raconter, on se prenne par les mains, on se regarde langoureusement. Doris se leve et avec a aire provocateur, me dis; « Je monte pour prende ma douche » et lentement disparais dans le salon.
Je suis reste assise sur la terrasse perdu dans mes pensés, je me suis senti une femme comblé, je découvre un autre aspect de ma sexualité, des nouveau plaisir et une attirance grandissant pour Doris.
Comme conduite par un désire irresistible, je rejoins Doris dans la salle de bains. Je que leau coule sur le corps nu de Doris, jenlève le peignoir et je prend la main que me tend Doris, en on se serre tres fort sous le jets deau de la douche.
Doris, passa sa main entre mes cuisses qui les écarta légèrement, l'air de rien, afin de glisser un doigt dans ma fente, je plaqué mon dos contre la paroi de la douche, elle sentait mon clitoris, mais elle préféra menfoncer directement un doigt dans le vagin mouillé, il est vrai que je n'attendait que ça.
Le regard de Doris étais pleins de determination, alors je me laissé aller a ses désirs. Doris prends mes seins, les malaxes, elle met mes seins dans sa bouche, l'un après l'autre en les mordillant doucement mes tétons. Nous nous embrassons plein bouches, serrées l'une contre l'autre, se caressant toutes les parties de leurs corps que nous pouvons nous toucher.
Doris, à nouveau me pénétré deux doigts dans mon vagin et commence, dans un va et vient délicieux. Je prend sa main pour quelle arrête, je la prend de derrière la tete, et je la pousse dans mon entre jambes.
Je bien écartes mes jambes pour que Doris puis arriver facilement a ma chatte, qu'elle me lèchera entièrement. Elle mécarter mes lèvres secrets avec ses doigts. Là, elle commença à absorber le liquide qui coulait en flux encore léger, et accéléra ses mouvements autour du clitoris.
Je me suis accroche ou jai pu pour éviter de tomber, mes jambes tremblent. Doris à genoux entre mes cuisses tournait sa langue de plus en plus vite. Je pris sa tête entre mes mains, je sentais lorgasme venir, arrivée trop vite, cette sensation brûlante ma parcouru le bas-ventre, les bouts de mes seins et ma tête, une fois de plus, explose,
Doris membrasse, sa bouche est savoureuse et me dis a loreille ; « Tu me feras jouir, mais, la prochaine fois
). Une émotion inédite menvahit et je sens mon cur battre la chamade.
Nous nous habillons entre rires et commentaires anodins, on descend pour faire le ménage, nous rassemblions à une vraie couple damoureuses, que, soccupent de taches quotidiennes. Vers 13 heures, nous étions prêtés à partir, lavais un petit pincement au cur que le WE se finisse, et au même temps contente de retrouver Vincent.
Nous avons mangés dans un restaurant du village. Bien sûr, au bord de mer on mange de fruits de mer. Nous avons partagé les crustacés, nous lavons accompagnés du vin blanc sans nous quitter des yeux.
Les adieux dans la voiture, ont étais de moment inoubliables. Doris me regarde avec une extreme tendresse, membrasse doucement, me regarde encore, et me demande; ¿tu regrets. Je prend son visage et lembrasse a mon tour, ensuite je lui répond; ¡ni aujourdhui, ni demain, ni jamais!. Elle démarre sa voiture, en partant, menvoi a travers la vitre, un bisous avec sa main.
Je reste a regarder quand la voiture que séloigne, avec le sentiment profond, que notre vécu de ce WE, ne peut pas se terminer ici. La sincérité et la passion que nous avons mise dans notre rencontre, ne sont pas les résultât dune simple expérience sexuel, nos ressentis ont bien étais plus profond, que par moment, me provoquent une certaine inquiétude.
Quand je traverse luntel de la porte dentrée de notre appartement, Vincent me reçois avec un grand sourire et me tends ses bras pour me serrer contre lui. Nous sommes mis daccord avant mon départ en WE, que nous, ne nous téléphonerions pas, alors Vicent ignore tout de ce que jai vécu avec Doris.
La seul question que me pose Vincent quand il mavais entre ses bras;
« ¿ tu es contente de ton WE ?. Je lui ai répondu avec une voix méconnaissable ; « vraiment, j'ai vécu un WE merveilleux, plein de découvertes », et je le serre fort à mon tour.
Même si ma réponse lui avait mis leau à la bouche à Vincent, nous avons repris le cours de la journée avec les taches habituelles et les préparatifs pour la reprise du travail du lendemain.
Nous sommes couchés à lheure habituelle, je nai pas pris de douche, je voulais conserver sur moi le parfum de Doris. Je souhaitais que Vincent puis le sentir, tel que moi, je sentis son parfum sur le corps de Vincent quand il revenu a mes cotes après avoir fait lamour à Doris.
Seulement quelques instants, lui a fallu à Vincent pour reconnaître les arômes de Doris. Les arômes sucrés et persistantes que font partis de la peau de notre « amant-e », réveillent la libido de Vincent.
Nous sommes mis de côté, lun en face de lautre, et je commence pour lui raconter notre arrivée à la maison, notre promenade sur la plage, la soirée et tous les petits détaillés de la nuit passe entre les bras de Doris.
Le regard de Vincent est devenu fiévreux, avec sa main droite, il caresse sa queue raide et grosse, sans perdre un mot de mon récit. Quand je suis en train de lui raconter lscène de la douche, jentends la respiration de Vincent saccélérer, son corps tout entier tremblé perceptiblement, et, un liquide chaud, gluant glissé sur mes cuisses.
Nous sommes mis de côté, lun en face de lautre, et commence pour lui raconter notre arrivée à la maison, notre promenade sur la plage, la soirée et tous les petits détaillés de la nuit passe entre les bras de Doris.
Le regard de Vincent est devenu fiévreux, avec sa main droite, il caresse sa queue raide et grosse, sans perdre un mot de mon récit. Quand je suis en train de lui raconter lscène de la douche, jentends la respiration de Vincent saccélérer, son corps tout entier tremble perceptiblement, et, un liquide chaud, gluant glisse sur mes cuisses.
Japproche mon visage du sien, et je continue à lui raconter la fin de la scène, avec une voix suave et sensuelle. Moi, je souhaitais, transmettre à Vincent, tout le plaisir que je ressenti auprès de Doris, ma jouissance, et chose bizarre, je ne lui pas dis toutes mes émotions.
Nous sommes restées long temps collés par le foutre que Vincent avait mis sur mon bas-ventre. Je suis tombé dans un profond sommeil avec un sourire inédit.
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