La Villa De L'Alpha

Nous étions partis pour des vacances tranquilles en bord de mer. 900 bornes jusqu’à notre location pour 3 semaines de repos bien méritées. Juste elle, moi et l’eau à perte de vue. Mais tout ne devait pas se passer comme prévu. Arrivés à destination, des inondations avaient eu raison dans la nuit de notre coin de paradis. On nous propose un dédommagement mais pas de solution de rechange. Tous les logements sont occupés. Après un petit moment de panique, on se pose en terrasse pour réfléchir à un plan de secours. Ma femme ne décollait pas de son portable depuis plus d’un quart d’heure avant de faire sauter sa chaise dans un mouvement d’exultation sans prévenir. Je n’eus pas le temps de me demander ce qui lui prenait qu’elle me mitraillait d’infos. Une de ses copines logeait dans la villa de son mec à quelques bornes et nous proposait de la rejoindre pour les vacances. Piscine, jacuzzi, espace, multiples chambres, cadre de rêve etc… tout y est et elle me vendait le truc comme si elle voulait l’acheter. Je ne connaissais pas cette « copine » et je trouvais tout cela bien trop beau pour être vrai. « Elle ne nous demande rien ! » anticipait-t ’elle à mes interrogations « Mais elle m’a prévenu que… » Cette pause soudaine dans son flot de paroles ininterrompues n’augurait rien de bon. « Que ? » relançai-je. « Qu’on ne serait pas seuls et que l’ambiance était un peu libertine. Mais… rien de méchant hein! » Ce « rien de méchant » puait à 2 mètres et j’aurais dû écouter mon instinct qui faisait résonner l’alerte dans tout mon corps mais le regard suppliant de ma femme et l’idée de faire 900 bornes retour direction Paris devaient avoir raison de ma réticence. « Allez ! Ça va être bien et puis on n’aura rien à dépenser ! On va bien s’amuser ! Je la connais. Elle est super sympa tu verras ! » Ma femme n’arrêta pas tout le long des quelques kilomètres qui nous séparaient de cette fameuse villa que sa copine lui avait vendu. Et en engageant la voiture dans l’allée, je dû bien reconnaître que sa fameuse copine ne s’était effectivement pas foutu de notre gueule.

Le domaine, vaste et magnifiquement arborée, était surplombé par une immense propriété aux murs couleur de rouille. Je stoppais à peine notre véhicule que ma femme bondissait de la voiture pour rejoindre sa copine venue à notre rencontre. Une fois qu’elles eurent terminé leur étreinte de retrouvailles, je pu admirer la belle blonde qui se tenait en face de moi. Dans son maillot de bain noir, je ne ratais rien de sa belle plastique. Les présentations d’usage faîtes, « Hélène » donc nous invita à la suivre et nous fit la visite. Elle n’avait pas menti. La vue était époustouflante et le cadre idéal. Jacuzzi XXL, piscine quasi olympique et j’en passe. Tout y était ! J’attendais au fond de moi de voir le loup maintenant. « C’est quoi le hic ? » me répétai-je ? Après nous avoir montré notre chambre (elle aussi spacieuse), nous étions conviés le soir à un dîner d’accueil pour tous ceux qui résideraient ici pour les vacances. Ma femme ne cessait de sauter de joie. Elle était aux anges et n’arrêtait pas de me demander de sourire et de cesser de faire le rabat-joie. Tant et si bien que je finis moi aussi par m’abandonner à sa bonne humeur contagieuse. Surtout que nous passions un bon moment en bonne compagnie. Hormis ma femme et moi, cinq autres couples étaient présents. Il y avait notamment Hélène et son mec, notre hôte, Christian. La cinquantaine fringante, le teint halé, les cheveux et la barbe argentée et une musculature athlétique, il trônait en bout de table, peu loquace, faisant tourner son regard sur chacun comme si le monde lui appartenait. Je n’aurais su l’expliquer sur le moment bien que je compris après coup ce qui en était l’objet. Cela ne me dérangeait pas outre mesure jusqu’à ce qu’il porte son regard de manière insistante sur ma femme. A tel point que j’en fus gêné et mal à l’aise. Ma femme, elle, ne semblait pas le remarquer (ou faisait semblant). Ma voisine de table détourna mon attention en venant poser sa main sur ma cuisse. Mina, c’était son nom, était une brune aux cheveux courts d’une trentaine d’années.
Elle était accompagné de son mec qui semblait aux abonnés absents tellement il apparaissait éteint. Ses bras étaient recouverts de tatouage. C’est mon métier me confirma-t’elle en engageant une délicieuse discussion qui dura toute la soirée sans que jamais elle ne retire sa main de ma cuisse. Comme nous, elle était arrivée aujourd’hui et était venue sur invitation. Elle précisa que c’était le cas de tout le monde autour de la table. Je la quittais, un peu à regret, pour regagner notre chambre, remarquant que notre « hôte » avait d’ores et déjà quitté la table sans prévenir. La nuit fût douce et on se réveilla avec un soleil radieux perçant à travers les lames des stores. Regonflé par une bonne nuit de repos, je me disais qu’on n’avait pas perdu au change et que ces vacances s’annonçaient finalement sous les meilleurs auspices. Je gagnais suivi de ma femme la cuisine pour prendre notre petit déjeuner. Il y avait là déjà plusieurs personnes présentes s’affairant autour de l’halo central où certains étaient déjà attablés. Le moins que je pouvais remarquer, c’était que la tenue légère, voire très légère était de rigueur ici visiblement. Si les mecs étaient plus ou moins « habillés » au minima d’un short, toutes les femmes étaient sans aucun bas. Petit gilet, nuisette, t-shirt ou soutien-gorge sur leur haut mais nulle culotte à l’horizon. Toutes étaient nues en dessous de la ceinture. Ma femme, qui s’était installée sur un tabouret en attendant que je lui serve son café, ne sembla pas le remarquer. Elle était pourtant la seule à porter une culotte ! Hélène fit son entrée, nue elle aussi, suivie de son mec toujours aussi monolithique que mutique. Elle jeta immédiatement un regard évocateur sur la culotte de ma femme et s’approcha d’elle pour la prendre dans ses bras comme on prend une personne qu’on veut rassurer. Elle prit la parole.
- « Je vois que tout le monde a suivi les instructions et je vous en remercie. » scanda-t’elle. « Enfin… presque ! » ajouta-t’elle en riant et en jetant un regard à ma femme.
Tous les autres se mirent également à rire sans que je comprenne pourquoi. « Je suis désolé ma chérie, je n’ai pas pris le temps de t’expliquer les règles de ce séjour mais je vais en profiter pour faire un rappel général. Cela ne fera pas de mal. » Elle prit ma femme par l’épaule qui ne semblait pas plus que moi comprendre de quoi il s’agissait. « Comme vous le savez, Christian nous invite ici généreusement dans sa superbe propriété. Vous pouvez profiter pleinement de la villa et de ces loisirs sans compter. En contrepartie, il demande à jouir de certains privilèges sur vous. Enfin surtout sur vous mesdames ! » Elle ria encore en cœur avec les personnes présentes mais cette fois, je notais que les mecs riaient moins de bon cœur. « Christian fait partie d’un club très select. L’Alpha Club ! Un club qui suit un code très rigoureux et au nom duquel, il exige tout pouvoir sur les femelles présentes sous son toit. En l’occurrence moi ainsi que vous, mesdames. Vous pouvez bien évidemment vous accoupler comme bon vous semble avec qui vous voulez ici présent mais sachez que seul Christian est en droit de nous féconder. Il est interdit de nous remplir de vos semences messieurs ! C’est en signe de soumission que nous ne portons pas de culotte afin que Christian sache qu’il peut nous prendre à loisir quand il le souhaite et autant qu’il le désire. C’est le maître de maison, il a priorité sur nous toutes ! Vous avez tous accepté ces conditions et je vous en remercie alors il ne me reste plus qu’à vous souhaiter un excellent séjour. Je suis sûr que nous allons follement nous amuser tous ensemble ! »
Un brouhaha de discussions s’ensuivi. Je regardais ma femme qui parlait avec Hélène. Elle lui caressait l’épaule comme si elle voulait y appliquer une pommade. Je ne savais pas quoi penser de tout ça et je restais là, interdit, mon café à la main. Christian se présenta derrière ma femme et la scruta de haut en bas comme on détaille une nouvelle acquisition. Ma femme tourna son regard vers lui.
Ils se regardèrent un moment avant que je ne le vois bouger les lèvres. Je ne sais pas ce qu’il lui avait dit mais ma femme se tourna vers moi et je pus lire un « désolé » suppliant sur ses lèvres et ses yeux. Elle descendit du tabouret pour retirer sa culotte avant de se réinstaller immédiatement sur son tabouret, tournant toujours le dos à Christian. Celui-ci ne se fit pas attendre et commença à caresser la croupe de ma femme qui le dévisageait. Une belle bosse commençait à déformer son short. Il semblait immense par rapport à ma femme si petite et menue. Il l’invita à se cambrer d’une main en dégageant son sexe de l’autre. Sa queue était pour le moins impressionnante. Aussi épaisse que longue, elle semblait peser lourdement dans sa main. Hélène, qui n’avait pas quitté ma femme d’une semelle, n’en ratait pas une miette semblant se délecter du spectacle. Elle caressait les cheveux de ma femme tout en lui parlant. Christian présenta sa queue devant le sexe de ma femme et s’y engagea sans plus de cérémonie. Je vis sur son visage qu’elle encaissait le coup et pourtant il était à peine rentrer. Il fallut plusieurs coups de rein, progressant au fur et à mesure, pour enfiler la totalité de son chibre dans le vagin de ma femme. Le moins qu’on puisse dire, c’est que ce n’était pas un doux romantique. Prenant fermement ma femme par les hanches, il la ramonait sévèrement sous les regards fascinés des autres convives. Au milieu de tout cela, j’étais totalement invisible et impuissant. Sous le choc de ma femme qui se soumettait aux assauts de ce Christian. Je n’avais pas tout de suite remarqué la présence de Mina qui était la seule à ne pas assister au spectacle. Non, elle me regardait moi et lorsque je l’eu remarqué, elle m’adressa un franc sourire. Mais je ne pouvais détacher mes yeux de ma femme, cambrée sur son tabouret, le cul offert à notre « hôte » qui la besognait sans vergogne. J’étais subjugué par cette énorme queue qui allait et venait en elle, lui arrachant des hurlements de plaisir. Par ses énormes mains qui l’empoignaient comme si elle était un simple jouet. Une poupée à remplir ! Je décidais de me rapprocher pour manifester ma présence. Je pouvais entendre Hélène parler tandis qu’elle continuait à caresser doucement les cheveux de ma femme. « Savoure ma belle ! Elle est un peu raide à encaisser la première fois mais tu vas te régaler. Tu pourras plus t’en passer ! » Je ne sais pas si ma femme l’entendait tellement elle semblait totalement en transe. Elle ne gémissait pas. Elle hurlait de plaisir ! Hélène se mit à lui passer la main sur le ventre. « Tu te rends compte ? Tu es la première qu’il a choisi ! Tu vas avoir l’honneur d’être fécondé la première ! Tu vas adorer cette sensation de te sentir bien remplie par son foutre. Ça aussi tu ne pourras plus t’en passer ! » Je pouvais voir la chatte de ma femme inondant le tabouret de son abondante cyprine. Christian la ramonait bestialement. A chaque coup de rein, il faisait claquer ses couilles sur le cul de ma femme. Ses mains fermement plantées dans son cul. Je ne pouvais rien faire d’autre que regarder. Incapable de réagir ou de penser. Je crois bien même que le spectacle me plaisait. Je ne sais pas combien de temps il la baisa mais cela me sembla une éternité avant qu’il finisse par accélérer la cadence et à éjaculer dans un râle bestial. Une manière j’imagine de bien signifier à son audience qu’il avait ensemencé sa proie. Il resta quelques instants encore planté dans le cul de ma femme qui reprenait doucement ses esprits et son souffle. Il haletait également tel un animal. Son corps ruisselant soulignant ses muscles bandés à l’extrême. Hélène lui caressait le torse telle une groupie admirant son idole mais il n’avait nul regard pour elle. Il était fixé sur ma femme qui était tournée vers lui, le visage suppliant et il l’embrassa à pleine bouche. Elle lui suça langoureusement la langue en retour alors qu’il avait encore sa queue plantée en elle. Il finit par se retirer doucement, admirant le généreux filet de sperme qui s’échappa de ma femme. Il était satisfait et triomphant. Il lui murmura quelque chose puis partit sans un regard pour personne. Surtout pas moi. Hélène vint me rejoindre en mettant ses bras autour de mon cou. « Alors ? Fier de sa chérie ? Tu vas voir ! Tu vas adorer ces vacances ! » Puis jetant un regard vers ma femme, elle ajouta : « Elle les adore déjà ! ». Elle déposa un smack sur ma joue et elle disparut à la suite de son Christian. Durant tout ce temps, ma femme ne m’avait toujours pas jeté un seul regard. Elle m’évitait. Je remontais dans notre chambre, ne sachant pas si j’étais en colère ou juste déçu ou pire… humilié. Elle me suivit sans rien dire. Pas un mot alors qu’elle se dirigeait vers la douche. Ce n’est qu’en sortant qu’elle me prit la parole pour me dire que tout ceci lui plaisait bien, que c’était une occasion de s’amuser et qu’il ne fallait pas en faire tout un plat. Elle tenta encore de me vendre la villa, ces vacances luxueuses (et gratuites) et cette occasion unique à ne pas rater. On s’engueula avant qu’elle ne vienne sur mes genoux pour tenter de m’adoucir. Ce n’était qu’un jeu et elle me jurait n’aimer que moi. « Et puis… » conclua-t’elle « J’ai bien vu que tu ne laissais pas cette brune indifférente. Hélène aussi m’a dit qu’elle te trouvait à son goût d’ailleurs. Alors amuse-toi ! »

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