Initiation D'Une Sainte Nitouche 6

Ça fait un moment que je ne vous ai pas raconté les aventures de la Sainte Nitouche (qui l’est de moins de moins).
Résumé des épisodes précédents : Le mari de la dame m’a fortement suggéré sous peine de je ne sais quelles représailles de guider son épouse (qui est au courant) sur le chemin périlleux et sulfureux de la soumission.
Il faut dire que la dame montre des prédispositions encourageantes qui parfois me dépassent. (Désolé je ne suis pas un Maitre professionnel).
Après une visite de repérage dans un club SM parisien, je renonçais pour l’instant à conduire la petite épouse dans ce lieu de perdition où je m’étais emmerdé comme jamais.
Je cherchais donc une idée pour satisfaire notre couple de petits bourgeois en mal de sensations fortes. La plus évidente fut de s’inscrire sur un site de rencontres libertines et de voir ce que cela donnerait.
Je vous passe les détails de l’inscription, du profil à remplir, etc.…
Une fois la chose faite il ne restait plus qu’à attendre et ce ne fut pas très long.
Dire que je fus submergé de proposition est un doux euphémisme, il allait falloir faire le tri.
- Premier critère : l’éloignement géographique, c’est étonnant comme la distance ne refroidit pas les affamés.
- Deuxième critère : Élimination des messages et profils joliment agrémentés de clichés de sexe masculin plus ou moins en érection, non pas que cette partie du corps masculin soit dépourvue d’intérêt, mais imaginer le mec en train de prendre une photo de son pénis et de l’afficher sur le web ne laisse rien augurer de bon sur la santé mentale du propriétaire du dit membre. De plus si j’étais une femme (on a tous un côté féminin) je ne suis pas certain que cela m’encouragera à entrer en contact (Remember Benjamin Griveau).
- Troisième critère et non des moindres, les tarés, les Maitres de pacotilles, qui croient que la grossièreté et les ordres sont un signe de leur intelligence je passe sur les contrats d’appartenance.

Les mecs on se détend tout ça n’est qu’un jeu.
Bon une fois qu’on a éliminé tous ces gens il ne reste plus grand monde.
Mon attention se porta sur deux garçons qui avaient l’air à peu près normaux (tant est que l’on puisse l’être dans ce genre de truc).
La quarantaine, pas trop loin de chez moi et surtout des gars assez quelconques.
Et là vous allez me dire, pourquoi quelconques ?
Tout d’abord la raison officielle, il me semble que le côté humiliant de la chose pour la dame sera ren si elle doit se plier aux caprices non pas des dieux mais d’hommes qu’elles n’aurait pas envisagé en temps normal.
La seconde raison moins avouable, est que je ne suis pas fou et que je ne me berce pas d’illusion sur mon physique, si je lui trouve des apollons elle va vite faire la comparaison et je ne suis pas certain que se sera à mon avantage.
Donc je trouve deux mecs qui semblent faire l’affaire, après quelques échanges épistolaires (vous ne trouvez pas que mon style s’est un peu ampoulé avec le temps ?) nous convenons d’un rendez vous dans un café, histoire de voir si ça pouvait le faire.
(Note pour les futures soumises en mal de rencontre, soyez prudentes, toujours un premier rdv dans un lieu neutre si possible loin de chez vous, c’est le premier conseil de papa LIPA)
Nos deux amis furent ponctuels et je dois dire qu’ils comblèrent mes espérances.
Le premier avait tout du VRP de base (je vais encore recevoir des commentaires injurieux) non pas que je méprise cette respectable profession, il faut bien que tout le monde mange mais il cochait toutes les cases.
Petit, râblais avec un ventre qui fleurait bon les plats en sauces trop riches et un costard informe qui avait vu du pays, le tout agrémenté d’un visage couperosé surplombé d’un crane astucieusement dégarni. (Bref un champion du monde)
Le second était le type même du vieux garçon, plus grand, dégingandé, binoclard, chemise douteuse mise avantageusement en valeur par un débardeur décoré de losanges multicolores.

Je me dis que j’avais tapé dans le mille et la conversation qui suivie fut à la hauteur du reste.
Le point positif est qu’ils étaient sympas et motivés et quand je leur montrai deux ou trois photos de Clara je me dit que l’affaire était pliée.
Il ne restait plus qu’à organiser la rencontre, je pris les numéros de téléphone de mes nouveaux copains et promettait de les recontacter rapidement.
Je contactai donc notre couple et dire que le mari était enthousiasmé par l’idée est en dessous de la vérité. La seule condition étant qu’il voulait être présent pour pouvoir profiter discrètement de la scène en se cachant dans la chambre. Ce que je trouvais rassurant quelque part car si cela tournait mal on ne serait pas trop de deux.
Le jour convenu, le banquier et sa femme arrivèrent en avance. Elle avait l’air un peu inquiète (ça se comprend) mais elle était en beauté, ses longs cheveux tombant sur ces épaules, elle portait une robe noire moulante assez courte et des escarpins vertigineux (gare à la scoliose) bref elle était canon. Je vous épargnerai la description du monsieur parce que je sais qu’à ce stade du récit vous vous en foutez et que vous vous dites quand est ce qu’il va entrer dans le vif du sujet (au sens figuré bien entendu).
Détail intéressant, le mari n’était pas venu les mains vides, en plus de son épouse il déposa sur la table basse (non il n’a pas déposé son épouse sur la table basse) quelques accessoires amusants tels qu’un plug anal, des pinces à sein, une cravache, …
J’allais donc chercher mes deux compères en laissant notre petit couple dans l’appartement.
Ils étaient fidèles au rendez-vous, ma première constatation fut que visiblement ils ne dépensaient pas leur argent dans les fringues puisqu’ils étaient vêtus comme lors de notre première rencontre. Par contre le VRP avait dû se renverser un flacon de parfum sur le corps et avait habilement plaqué ses rares cheveux sur son crane avec tellement de gel qu’on aurait cru qu’il venait de faire la vidange de sa voiture.
L’autre n’avait pas perdu de temps avec ces bêtises si ce n’est que ses chaussettes étaient en harmonie avec son débardeur ce qui dénote quand même d’un effort de coquetterie.
Cerise sur le gâteau le VRP avait apporté une bouteille (c’est à ça que l’on reconnait les gens bien élevés) et même si cela se révéla être un mousseux tiède, l’intention était louable.
Je ne sais plus qui a dit que le moment le plus excitant était la montée de l’escalier mais mes deux copains avaient l’air passablement énervés lorsque j’ouvris la porte.
Il faut dire que le spectacle avait de quoi réveiller un mort.
La petite dame était complètement nue n’ayant gardé que ses chaussures, face au mur, les mains sur la tête et les jambes écartées.
J’ai cru qu’ils allaient se jeter sur elle tel le loup de Tex Avery mais un sursaut de savoir vivre les fit s’assoir sur le canapé en ne quittant pas des yeux leur future victime.
Dans ce genre de situation il y a toujours un moment de flottement à savoir comment démarrer les hostilités.
Je décidai donc de faire le maitre de cérémonie ordonnant à la jolie soumise de mettre ses bras en l’air et de les appuyer sur le mur et surtout de se cambrer pour faire ressortir son délicieux postérieur.
Mes deux potes étaient au bord de l’apoplexie devant tant de docilité. Je me levais et me plaçant derrière la soumise je commençais à la branler tout en lui donnant quelques claques bien senties sur le cul. (Enfin ça démarre !!!).
Elle ondulait telle la tôle du même nom (tôle ondulée, je sais c’est pitoyable mais je n’ai pas pu m’en empêcher) et poussait de petits cris.
Je fis signe à mes collègues d’approcher et les encourageais du regard à participer.
Ils étaient devenus tout timides et c’est tout juste s’ils osaient mettre leurs mains sur ce corps offert.
J’invitais le VRP à claquer le cul de Clara et là encore il hésita donnant de petites claques. C’est bien ma veine j’étais tombé sur des débutants.

Un coup d’œil vers la chambre me confirma que le mari était comme moi un peu déçu de la tournure des évènements.
Mais c’était sans compter sur la perversité de votre auteur préféré (je sais que ce n’est pas vrai mais si je ne me tresse pas des louanges qui va le faire).
Je reconduisis mes deux potes sur le canapé et j’interpelais la dame.
- Bon salope, tu vas montrer à mes amis que tu es une bonne chienne tu vas aller dans la cuisine à quatre pattes et nous rapporter la bouteille qui est au frigo avec des verres.
Et devant mes invités éberlués, elle se retourna leur montrant son visage et se mit docilement en position pour aller chercher la bouteille.
Elle revint assez vite, posa les verres sur la table devant les deux gars qui commençaient à baver.
- Sers-nous et ensuite tu vas te mettre à genoux devant nous et lécher les chaussures de mes amis.
Là encore la belle s’exécuta sans rechigner.
- Mouilles bien les pompes je veux que ça brille et je ponctuais ma phrase d’un coup de cravache sur les fesses tendues de la cireuse.
Les deux gars commençaient à avoir chaud, je remarquai que le VRP avait une fâcheuse tendance à passer sa main sur son entrejambe.
Comme j’ai horreur du gâchis, je l’arrêtais d’un geste.
- Ouvre le pantalon du monsieur et tu sais ce que tu dois faire.
Je dois dire que la vision de Clara nue à genoux entre les jambes du VRP en train de lui tailler la pipe du siècle commençait à m’échauffer moi aussi.
L’autre gars se décida enfin à passer à l’action et il se plaça derrière la dame et commença à lui claquer le cul en la traitant de salope, de pute, enfin de tous les petits noms affectueux que vous imaginez.
Le VRP ne tarda pas à jouir dans la bouche de Clara et il s’enfonça dans le fauteuil d’un air satisfait.
L’autre en profita pour tirer les cheveux de la banquière et la fit mettre à genoux devant lui.
- Suce moi sale pute.
D’accord le vocabulaire semble quelque peu limité mais au moins c’est clair. D’ailleurs elle avait compris ce qu’il attendait et elle engouffra la bite du monsieur telle une avaleuse de sabre (celle-là aussi vous ne l’avez pas vu venir).
Moi je n’y tenais plus et je fis mettre la salope en position pour pouvoir la baiser pendant qu’elle pompait.
Visiblement elle avait l’air d’aimer avoir deux bites pour elle toutes seule car elle bougeait son cul en cadence et devenait une championne de la gorge profonde.
Ce qui eut pour effet de faire jouir notre ami qui lui inonda le visage.
Moi aussi je ne tenu pas longtemps et lui balançait mon jus à la face lui ordonnant de nettoyer ma queue avec sa langue, ce qu’elle fit avec application, elle nous surprit même en léchant les quelques gouttes tombées sur le sol.
Il était temps de reprendre des forces et je fis mettre la soumise à quatre pattes devant nous tête baissée pendant que je resservais à boire à tout ce petit monde.
(A suivre)

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