Jocelyn En Prend Plein L'Arriere Train
Jocelyn c'était le frère de mon patron, un garçon très timide, très réservé, lorsqu'on a travaillé ensemble, il était à l'atelier et moi au bureau, il avait 25 ans moi 30, c'était le genre de type à ne pas parler fort, toujours bien habillé le coco avec une petite frimousse mignonne, on ne l'entendait pas beaucoup, il restait un peu dans sa coquille sauf avec moi qui essayais de le dérider un peu, j'ai toujours été piplette et très ouvert, je suis comme ça, je n'y peux rien et lorsqu'on se voyait le matin je lui disais :
- Salut joce, tu vas bien, la branlette a été bonne ?
Là il ne savait plus où se fourrer en rougissant il me faisait de grands signes voulant dire "tais-toi, rooh !Joce était très discret mais quand il dégoisait enfin une phrase c'était pour nous parler de filles, il avait beau se cacher derrière ça mais moi je savais qu'il en avait rien à foutre, un jour où il me raccompagnait en voiture un midi (ouais sinon je prenais le bus) je lui ai proposé de monter boire un verre, il m'a tout de suite dit oui, quand il est entré dans mon appart il a été un peu ébloui, il m'a dit :
- Wouah c'est bien chez toi, c'est beau et c'est grand.
Pourtant ce n'était qu'un F 2 mais c'est vrai que c'était grand ma chambre était aussi grande que mon séjour et j'avais un balcon de 12 mètres de longueur qui partait du séjour jusqu'à ma chambre.
- Et t'as pas vu ma chambre on pourrait y mettre 2 lits !
justement joce regardait mon plumard, un grand lit rond où je l'ai poussé pour qu'il tombe dedans :
- Oh qu'est-ce que tu fais, m'a-t-il dit tout écarlate
Là devant son étonnement je me suis trouvé un peu con :
- Bah rien c'est marrant, te voilà dans mon pieu.
Puis j'ai été le rejoindre et je lui ai dit :
- Tu sais quand tu me parles des filles, je ne te crois pas
- Ah bon et pourquoi ça ?
- Parce que je suis sur que tu es comme moi
- C'est à dire ?
- Que tu es homo
- Ah non
- Menteur
- Ca se voit tant que ça ?
- Non mais moi je le sais, je connais les mecs, mais détends-toi, on s'en fout, si je t'embrasse tu dis quoi, tu réponds à mon baiser ou tu essaies de me mettre un pain ?
Jocelyn ne savait plus où se foutre que j'ai découvert ce qui était enfoui à triple tour au fond de lui puis il prit sur lui en rassemblant tout son courage et me sortit :
- Essaie, tu verras bien
Je me suis penché sur lui et je lui ai roulé la galoche du siècle, il a enroulé sa langue sur la mienne et j'ai vu son sexe se dresser dans son froc puis il s'est ressaisit :
- Oh, qu'est-ce qu'on fait ?
- On se roule une pelle mon p'tit joce et maintenant ouvre ton jeans, ça va exploser
Le gars m'a laissé faire, j'ai débouclé sa ceinture et j'ai baissé son froc et son slip et une belle bite m'a sauté à la vue :
- T'es beau tu sais et tu as une belle queue, allez pas de chichi entre nous, laisse-moi te sucer, là je ne sais pas si c'était la première fois avec un garçon pour lui mais tous ses apprioris ont volé en éclats, il m'a mis à nu à son tour et on s'est sucé dans un bon 69, il m'a tellement pompé que je n'ai pas pu me retenir de jouir, il n'a pas arrêté pour autant et a tout avalé puis relâchant le morceau il m'a dit :
- Qu'elle queue, t'es bien monté mon salaud !
Lui sa bite faisait 17 environ avec un bon gland tout bien décalotté, je l'ai fait jouir en lui mettant des doigts dans le cul, à partir de ce moment il s'est complètement abandonné et je lui ai retiré son t.
- Yanno, tu veux me prendre, là j'ai très envie d'être enculé !
Pas besoin de me le dire, sa mouille au bout de son gland parlait pour lui, je l'ai donc empalé en lui faisant des caresses et en le branlant de temps en temps, le chouchou s'est laissé emboîter dans plein de positions et m'a de nouveau sucé à la finale, pour un timide on a fait mieux.
Après quand on se voyait au boulot il me regardait d'un oeil complice, plus après on baisait souvent dans sa voiture, on allait au bois dans un coin ou personne ne pouvait nous voir et le petit jocelyn en prenait plein l'arrière train mais c'est chez moi qu'on était le mieux, j'ai adoré respirer sa peau à ce garçon là, tout en le sodomisant c'est qu'il y avait pris goût à ma bézette, il ne me lâchait plus, un jour de repos j'ai dû l'emboîter au moins quatre fois dans la journée, son cul était si bon, on en était devenu de vrais cochons à faire les pires cochonneries, j'enculais jocelyn et jocelyn m'enculait à la suite on se déballait sur la tronche, dans la bouche et sur les couilles, le petit timide était devenu un sex-boy que je prenais dans tous les coins, j'ai adoré cette époque, elle était super.
Si j'ai tout écrit au passé c'est qu'il s'est tué dans un accident de voiture le cher amour que j'ai longtemps pleuré, hé oui, j'ai connu des trucs comme ça, des trucs plein de bonheur et plein de tristesse aussi, je regarde souvent sa photo et je lui fait un gros béco.
yanno (histoire vraie)
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