La Fête De La Musique
Cette histoire remonte à plus de dix ans, mais je men souviens comme si cétait hier. Cétait le soir de la fête de la musique, en 2009.
A cette époque, jallais prendre mes 21 ans, et jétais avec Léo, un homme plus vieux que moi de près dune dizaine dannées, que javais rencontré chez des amis. Je sortais alors dune aventure avec un garçon de mon âge, qui mavait laissé un très mauvais souvenir.
Dragueur invétéré, Léo était aussi un coureur automobile très connu dans la région. Plein de filles était attirées par le prestige que cela lui conférait, dautant plus que cétait vraiment un «beau mec», et que sa réputation au lit navait rien dexagérée.
Javais été flattée quand il sétait intéressé à moi, et je ne lui ai pas résisté longtemps (plus exactement, pas du tout
). Il me fit vite oublier mes déboires avec son prédécesseur, et je lui dois la découverte du plaisir anal.
Avant Léo, quelques garçons avaient tenté de me sodomiser. Ce furent des fiascos : ils sy prenaient mal, voulaient aller trop vite, et lorsquils cherchaient à me pénétrer, cétait très douloureux. Je me contractais, et nous renoncions.
Léo sut vaincre mes réticences liées à ces expériences pénibles, et me convaincre de le laisser tenter sa chance. Il mavait promis quil ne chercherait pas à senfoncer dans mon anus, tant que je ne le lui demanderais pas. Mais je nétais pas optimiste sur la réussite de sa tentative, dautant plus que la nature lavait doté dun sexe long et surtout épais !
Cétait sans compter sur son expérience et sa patience ; déflorer mon petit cul le motivait
Un soir, il commença par membrasser et me caresser longuement, partout. Ses doigts allaient et venaient, entre mes tétons dardés, mon clito sorti de son étui, ma fente, ma rosette, sans chercher à me pénétrer. Je mouillais comme une fontaine, et je gémissais, oubliant presque le projet de Léo.
- Tu veux mes doigts dans ta chatte ?, me demanda-t-il dune voix suave, quand il fut évident que je nattendais que ça.
- Oui, vas-y, fouille bien mon minou, il en a besoin, avouai-je.
Il plongea directement trois doigts entre mes petites lèvres, marrachant un cri de plaisir, et il se mit à les faire coulisser, tout en malaxant mes fesses de sa main libre. Je me tordais littéralement sur mon lit, ivre de plaisir, tout en le branlant presque rageusement. Javais trop envie de sa bite ! Et je finis par le supplier moi-même de me baiser.
- Avant que je te prenne, je veux que tu te masturbes dabord, en me regardant dans les yeux, exigea-t-il. Ensuite, tu glisseras un des tes doigts plein de cyprine dans ton petit trou, pendant que je remplirai ta chatte.
Subjuguée, je lui obéis. Agenouillée en levrette, je me cambrais pour exposer mes fesses et ma chatte. Léo me laissa longtemps me caresser seule. Ma main sactivait dans ma fente, autour de mon petit bouton érigé et sensible, et je regardais Léo avec une expression de chatte en chaleur.
Il se plaça derrière moi, et écarta ma main de mon abricot pour la remplacer par la sienne, et positionna mes doigts couverts dune épaisse couche de cyprine luisante, dans le sillon de mes fesses. Je ressentais un désir trouble, et je fis tourner quelques secondes mon majeur autour de ma rosette, avant de ly enfoncer lentement.
Je ressentis comme une décharge, mais en même temps, Léo pénétrait dun ample mouvement de reins mon minou en feu. Les mouvements de son gland dans mon intimité, au même rythme que ceux de mon doigt dans mon petit cul, décuplèrent mon excitation.
Il me tringla longtemps dans cette position, attendant que, de ma propre initiative, mon index, puis mon annulaire, viennent rejoindre le premier doigt coulissant toujours dans mon anus. Cétaient maintenant de véritables hurlements de plaisir que je lançais.
Mais je ne lui avais pas encore demandé de planter son énorme pieu dans mon petit trou. Il déplaça ma main pour la remplacer par la sienne, et ses doigts senfoncèrent encore plus profondément entre mes fesses, quil écartelait, et il commença à les faire tourner, vrillant mon illet de plus en plus dilaté. Cette fois, jétais prête à lui offrir tout ce quil voulait
- Vas-y, je te veux, gémis-je.
- Quest ce que tu veux ?, me demanda-t-il, sadique.
- Salaud ! Tu tiens à me lentendre dire
Je veux que tu mencules !!!
Alors seulement, il ôta ses doigts, se retira de ma chatte quil avait continué de pilonner, et remonta son gland dans le sillon séparant les deux globes de mes fesses. Il les écarta au maximum, et son sexe commença à pousser, de plus en plus fort, contre lentrée de mon cul. Lentement, ma rosette souvrit, et il me pénétra progressivement, millimètre par millimètre, sans aucune brutalité.
Je poussais des petits cris inarticulés, en découvrant des sensations inconnues. Après limpression un peu désagréable que mon petit trou allait exploser, la progression de lénorme gland excitant mes terminaisons nerveuses devenait agréable. Le plaisir montait, inexorable.
Léo sest enfoncé en moi, de plus en plus profondément. Il me semblait quil remplissait mon ventre, et je contractais instinctivement mes muscles autour de sa longue tige coulissant dans mon étroit fourreau.
Lorsque son pubis toucha mes fesses, il marqua une pause, attendant que je manifeste mon désir en ondulant des hanches, puis il se retira à demi, avant de me pénétrer de nouveau de toute la longueur de son membre. Je poussai un long cri de plaisir, et il se mit à aller et venir, dabord doucement, puis de plus en plus vite.
Il saccordait à la montée de ma jouissance, avec lart consommé dun expert, jusquà ce quun orgasme memporte, mon premier orgasme anal.
Il se contrôlait, et après avoir ralenti pour me laisser récupérer, il a recommencé à me défoncer le cul, cette fois encore plus profondément. Et jai joui à nouveau, encore plus fort et encore plus bruyamment. Cette fois, il se lâcha, inondant mon petit trou et mes fesses de longues giclées de sa semence.
Ensuite, nous avons renouvelé lexpérience, mais Léo avait envie de mentraîner encore plus loin. Il ne voulait pas me brusquer, et loccasion sest présentée lors de la fête de la musique.
Nous avions prévu daller tous les deux écouter de la musique dans les bars de la ville. Quand Léo vint me chercher, il mannonça quun de ses copains, Anthony, lui avait proposé que nous nous joignions à lui. Cétait un fan de jazz, et nous nous sommes retrouvés dans un bar, où plusieurs petites formations se produisaient. Javoue que jai trouvé Anthony très séduisant
Il faisait chaud en ce mois de juin, et jétais vêtue légèrement. Cest mon habitude, et de plus, Léo voulait toujours que je mhabille très sexy quand nous sortions ensemble. Javais donc mis une minijupe en jean, sarrêtant juste sous mes fesses, mon string le plus minuscule, et un vieux gilet sans manches, en jean aussi, qui datait de mon adolescence, alors que je navais presque pas de seins. Maintenant, ma poitrine était à létroit, et je ne parvenais pas à fermer les boutons du haut. Et je ne portais pas de soutien-gorge
Le bar était sympa, lambiance chaleureuse, et la clientèle était surtout composée de trentenaires et de quadras. Je devais être la plus jeune dans la salle. Léo et Anthony commandaient des boissons, chacun leur tour, et je marchais au planteur.
Les groupes se sont succédés, avec des répertoires plutôt blues ou funky, et quelques couples dansaient parfois sur la musique. Léo ma invité. Jai remarqué à un moment quil soulevait ma jupe, quand nous passions devant Anthony. Jai protesté
mollement, car jappréciais la compagnie des deux hommes, qui étaient pleins dattentions pour moi.
Jen étais à mon troisième planteur, et Léo membrassait sans la moindre discrétion. Sa main remontait parfois haut sur mes cuisses, et je réalise maintenant quAnthony et quelques autres consommateurs devaient se rincer lil, vu la taille de mon string.
Il était déjà tard quand nous sommes sortis du bar. Anthony nous a invité à venir boire un dernier verre chez lui, et nous avons attaqué une bouteille de vodka. Jai bu assez peu, car je ne voulais pas être ivre, mais jai quand même accepté de fumer un joint.
Au bout dune heure, la conversation est venue sur moi, sur mon physique, et Léo a commencé à raconter que jaimais mexhiber. Javais découvert lexhib bien avant de le connaître, mais il appréciait, et me poussait plutôt dans cette voie !
Cest alors quil a montré des photos où on me voyait nue. Certaines étaient prises chez lui, mais sur dautres, jétais sur la plage, et on sapercevait même sur une photo quil ne sagissait pas dune plage nudiste
Malgré mes protestations, il continuait de faire voir mes photos à Anthony, qui appréciait. On me voyait aussi dans des poses très sensuelles, en train de me caresser et, sur la dernière je faisais lamour avec Léo, qui me prenait en levrette.
Lambiance, dans lappartement était devenue électrique.
- Tu ne veux pas nous faire un strip ?, ma demandé Anthony.
- Tes dingue, répondis-je. Dailleurs, Léo ne serait pas daccord.
- Mais si, pourquoi pas, renchérit Léo.
- Tu es fou ! Quest ce qui te prend ? Vous avez trop bu ?
- Ne me dis pas que ça te gêne, je suis bien placé pour savoir que tu adores te faire mater.
- Ninsiste pas
- Si, allez, fais-nous plaisir, ajouta Léo, de sa voix la plus suave.
Jétais incapable de lui dire non, jai cédé, et je me suis même prise au jeu.
Anthony avait mis un CD de musique au rythme lourd et lent, sensuel, et les vibrations des basses se répercutaient dans le bas de mon ventre. Jai fini de déboutonner mon gilet, et jai joué à louvrir et à le refermer sur mes seins nus. Les deux garçons me regardaient, en caressant leurs sexes à travers leurs jeans, et ils mont lancé des cris dencouragement, lorsque jai envoyé valser mon gilet sur le parquet.
Jai continué le même jeu avec ma minijupe, la retroussant et la rabaissant plusieurs fois, avant de la dégrafer, et de la faire glisser très lentement sur mes hanches. Je navais plus maintenant que mon tout petit string, et je suppose que je devais les exciter à mort, juchée sur des talons aiguilles.
Léo sest levé, il est venu derrière moi, et il a baissé mon string, face à Anthony. Jétais à poil. Il a commencé à me caresser et, lalcool et le joint produisant leurs effets, je me suis laissée faire, en soupirant de plaisir. Inconsciemment, le regard dAnthony posé sur mon corps augmentait mon désir.
Léo a ouvert son pantalon pour que je le caresse. Nous nous sommes assis, et jai extrait sa queue gonflée du boxer prêt à éclater. Je me suis mise à le branler à mon tour, jetant de temps en temps un coup doeil à Anthony.
- Suce-moi, ma demandé Léo en se déshabillant entièrement.
Je nai pas répondu, mais je lai pris dans ma bouche, en décalottant son gland. Javais conscience de mexhiber, et cela me procurait, comme toujours, un plaisir indicible. Il ma laissé plusieurs minutes le lécher et le sucer, avant de me demander:
- Jai envie de te faire lamour, là, tout de suite. Tu veux bien ?
- Mmm, jai envie aussi, ai-je répondu à voix basse. On va dans la chambre ?
- Non, on va faire ça ici. Anthony adorerait te voir jouir.
- Ca va pas ? Tu es fou !!
- Pourquoi pas ? Ose me dire que lidée ne texcite pas !
- Quand même, faire lamour devant ton copain
- Mais cest justement, voyons, insista Léo. Cest mon meilleur pote, et tu ne peux pas savoir à quel point il en a envie. Surtout quil te trouve très très belle.
- Tu me ferais vraiment faire nimporte quoi
- Sil te plait, Chloé, jaimerais tant, renchérit Anthony.
Jai protesté encore un peu, pour la forme, mais jétais vaincue.
Léo ma allongée sur la table basse du salon, et il sest agenouillé entre mes cuisses écartées. Il a débuté avec de longues caresses sur ma chatte, écartant mes lèvres pour dévoiler ma fente. Jétais sur un petit nuage, et je massais mes seins gonflés, en regardant Anthony dans les yeux.
Je sentais sous mes doigts les pointes qui se dressaient, et je tirais dessus doucement, pour les faire saillir encore plus, pendant quAnthony se déshabillait. Les lèvres de Léo se sont posées sur mon minou, lembrassant tendrement, jusquà ce que mon souffle devienne plus court, et sa langue a débusqué mon clito. Je sentais mon amant le lécher, le sucer, le mordiller doucement, puis ses doigts se sont enfoncés dans ma grotte, marrachant un premier cri de plaisir. Je mouillais de plus en plus, et ma sève coulait sur sa main.
Jétais lancée, et Léo savait que, à partir de là, il pouvait quasiment tout me demander. Il sinstalla entre mes cuisses, et je vis sa queue se diriger vers ma fente. Je lai ouverte moi-même de mes doigts, pour faciliter la pénétration de son énorme gland, tout en caressant mon petit bouton, et jai poussé une longue plainte, quand il ma pénétrée.
Anthony, nu comme un ver, était maintenant tout près de moi et, tout en se branlant, contemplait la bite de son ami qui allait et venait dans mon abricot tout lisse et gonflé. Sans réfléchir, jai attrapé la verge dressée dAnthony, pour la masser au rythme des pénétrations de Léo. Javais renoncé à me raisonner pour laisser le champ libre à ma libido. Lorgasme approchait, et jai pris le gland dAnthony dans ma bouche.
- Oh
putain
Ooooh, oui
Je jouis, criai-je dune voix hachée par le sexe qui métouffait à moitié.
Les deux hommes attendirent que mon plaisir retombe, mais ni Léo, ni son copain, navaient éjaculé. La sueur ruisselait sur mon visage et sur mon corps, et Anthony proposa que nous nous installions dans sa chambre, sur le lit, pour plus de confort. Sans méfiance, je les suivis.
Jai été un peu surprise de voir quAnthony sallongeait le premier, en travers du matelas. Sa queue était dressée à la verticale, impressionnante, et je nai pas pu mempêcher de la détailler dun il gourmand.
- Tu sais ce qui me ferait plaisir ?, me demanda Léo dune voix enjôleuse. Jai toujours rêvé de te voir faire lamour avec un autre homme
Anthony a très envie de toi
Cest loccasion, non ?
- Cest ta dernière idée ?, répondis-je. Tu moffres à ton ami ?
- Tu as tout compris ! Quest ce quil y a ? Il ne te plait pas ?
- Si, avouai-je. Vous êtes deux vrais obsédés, tous les deux.
- Cest pour ça que tu maimes, conclut Léo en riant.
Il me guida pour que je vienne chevaucher Anthony. Je me suis emmanchée sur son chibre en feulant de bonheur, et jai marqué une pause quand mes fesses sont rentrées en contact avec le haut de ces cuisses. Comme il me remplissait bien, lui aussi ! Comme cétait excitant de mexhiber ainsi devant mon amant !
Anthony empoigna mes hanches, pour me soulever et me laisser mempaler encore. Mais après deux ou trois mouvements, je pris moi-même linitiative, et je me suis lancée dans une chevauchée furieuse, en gémissant.
Ce coït fut interrompu soudain par Léo, qui sétait agenouillé derrière moi. Il a commencé à caresser mon petit cul, sa main sest invitée entre mes fesses, et jai senti un doigt se glisser dans mon petit trou. Lorsque je le vis prendre un flacon de lubrifiant dans la table de nuit, jai deviné en un éclair ses intentions.
- Quest ce que tu fais ?, minquiétai-je, toujours emmanchée sur Anthony. Pas comme ça, pas dans mon cul.
- Je te rappelle que je tai déjà prise de ce côté-là, et que tu as sacrément joui.
- Oui, mais là
Vous êtes deux, minquiétai-je.
- Et alors ? Ce sera deux fois plus de plaisir !
Fugitivement, jéprouvai des sentiments contradictoires : jétais partagée entre appréhension et désir. Je ne métais jamais fait prendre en sandwich ; je métais déjà offerte à deux garçons, lun derrière lautre, mais cétait ma première double pénétration.
- Si tu y vas doucement
, dis-je en me penchant un peu en avant, vaincue, et heureuse de ma défaite.
Léo enduisit soigneusement ma rosette avec le lubrifiant et sa salive, avant dy introduire deux doigts , puis un troisième, qui vrillèrent mon anus. Jai commencé à ressentir un plaisir qui me faisait remuer mes hanches, mon mouvement se répercutant dans ma chatte toujours remplie par le sexe dAnthony. Javais maintenant une envie folle que Léo me sodomise, mais il a fait durer le plaisir, attendant que je lui demande de menculer, en me cambrant.
Alors, son gland se glissa entre mes fesses, et appuya contre mon illet tout plissé, qui souvrit pour lui laisser le passage. Je sentis le dard progresser lentement entre mes reins, pendant que lautre verge palpitait imperceptiblement dans ma chatte.
Quand Léo eut investi complètement mon cul, il se mit à aller et venir avec de petits mouvements de reins, qui saccélèrent bientôt. A chaque fois, mon sexe décollait du pubis dAnthony, pour être pénétré plus fort en retombant. Cétait délicieux, je navais jamais éprouvé de telles sensations, et je me suis mise à crier à chaque coup de boutoir.
Mes cris excitaient les deux mâles, qui se mirent à me défoncer avec force, par mes deux orifices. Javais limpression que mon minou et mon cul allaient exploser, que la mince paroi qui les séparait allait se déchirer, mais cétait trop bon. Je me suis mise à hurler, et jai joui une nouvelle fois, giclant comme une fontaine.
Mes hurlements, les mouvements de mon bassin pour chercher un maximum de sensations, et la cyprine qui dégoulinait de ma fente, excitaient mes deux partenaires. Ils me défonçaient comme des taureaux en rut, et leurs assauts furieux me procurèrent un dernier orgasme, le meilleur, qui me dévasta.
Jétais à bout de forces, des larmes de bonheur coulaient sur mes joues, et je suis restée encore quelques secondes, ballottée par leurs coups de reins, avant quils ne succombent eux aussi au plaisir. Ils se sont retirés, me laissant étendue entre eux sur le lit, les bras en croix. Et le sperme jaillit de leurs deux bites, rougies de mavoir tringlée si fort. Ce furent de longs jets dune semence épaisse, crémeuse et tiède, qui ont aspergé mon ventre, mes seins, mon visage. Jétais couverte de foutre.
Je suis restée un long moment dans cette position, caressant tendrement les deux priapes qui venaient de me donner tant de plaisir. Et nous avons passé le reste de la nuit, endormis tous les trois sur le lit dAnthony.
Le lendemain matin, en méveillant, javais limpression davoir rêvé, mais ma chatte et mon petit trou encore sensibles me confirmèrent la réalité: je venais de connaître ma première double pénétration
A quand la prochaine, ai-je pensé ? Et avec qui ?
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