Monique Prof D'Anglais - Chapitre 1
Fin des années 80. Monique C. enseigne l'anglais dans le lycée d'une petite ville paisible de l'est de la France. C'est une belle et fière femme brune de 35 ans mariée à un ingénieur et mère de deux jeunes s. De taille moyenne, cette femme de caractère ne laisse pas ses collègues indifférents, suscitant parfois l'envie voire une jalousie malsaine chez certaines femmes et souvent l'admiration sinon le désir parmi les enseignants masculins. Aucun d'eux n'est en effet insensible à la sensualité diffuse qui émane de ses postures et de ses tenues élaborées avec une féminité assumée. Monique est une fervente adepte des chemisiers au décolleté plus ou moins sage, des jupes étroites suffisamment courtes pour dévoiler ses jolis genoux ronds, des collants fins qui galbent élégamment ses jambes effilées et des talons hauts sans lesquels elle ne quitte jamais sa maison.
Cette année, la belle Monique a hérité de la classe la plus difficile du lycée polyvalent. La Terminale G3 est en quelque sorte le déversoir où l'on envoie les cancres pour éviter de degrader encore plus les statistiques du chômage. C'est un vrai concentré des difficultés scolaires les plus symptomatiques de l'école républicaine. Un élève notamment l'inquiète particulièrement : Youssouf n'Gambi, dont la famille d'origine guinéenne s'est installée quelques mois plus tôt dans le village voisin. Youssouf est un colosse athlétique qui aura 19 ans au mois de janvier. Avec sa peau d'un noir de jais, et sa taille d' 1m88, il dénote particulièrement parmi ses camarades.
À cette époque, les jeunes issus de l'immigration ne sont pas légions dans la région et C'est la première fois que Monique a un élève originaire d'Afrique noire dans une de ses classes de terminale. Elle suspecte d'ailleurs la proviseure du lycée avec son look de bigote de lui avoir fait ce cadeau empoisonné. Jusqu'alors la professeur d'anglais était abonnée aux sections classiques et leurs contingents d'élèves généralement polis et respectueux et elle était toujours parvenue à tenir ses classes sans difficultés particulières.
Mais Monique pressent en dispensant son premier cours de l'année aux TG5, que les choses se passeront différemment cette fois et que ce Youssouf va sans aucun doute lui poser des problèmes. Le jeune noir a tout du mâle alpha en devenir et bien qu'il n'ait pas encore 19 ans, il dégage une puissance animale qui perturbe Monique plus que de raison. Sans qu'elle s'en rende même compte, son corps est particulièrement réceptif aux phéromones libérées par le jeune mâle. C'est pourquoi le soir de cette première journée, elle a du mal à s'endormir et n'a d'autre alternative pour retrouver son calme que de se donner du plaisir en profitant du sommeil de plomb de son mari.
Les semaines passent et Monique ne peut ignorer les signaux émis par son corps et son inconscient depuis qu'elle a rencontré Youssouf le jeune mâle alpha, élève de TG5. Elle se remémore notamment cette nuit particulièrement agitée pendant laquelle elle se réveilla en sueur à cause d'un rêve fort révélateur: elle était alors prisonnière dans un village perdu de la brousse. Face à elle une dizaine de grands guerriers nus et noirs comme le jais s'apprêtaient à lui faire subir les pires outrages.
Monique qui dort habituellement sans culotte vêtue d'une simple chemise de nuit decouvrit alors la large tâche humide qui avait souillé son drap au niveau de son entre jambes pendant son rêve. La situation qu'elle avait imaginée l'avait excitée au plus haut point. Et pour évacuer sa tension sexuelle elle s'était masturbée en plantant ses doigts dans son vagin et en les utilisant comme l'aurait fait un mâle bien doté avec son large pénis.
10:00 du matin ce mardi. Le cours d'anglais vient de débuter. Monique interroge un de ses élèves dans la langue de Shakespeare. Le garçon fait partie des éléments les moins turbulents de la classe. Et malgré ses lacunes criantes il essaie de construire des phrases sensées en répondant à sa professeur. Le grand Youssouf s'en fiche. Il gesticule et finit par attirer l'attention de Monique.
Cela fait près d'un mois et demi que l'année scolaire a débuté. Alors que Monique regagne sa Peugeot après avoir dispensé son dernier cours de la journée à sa classe de seconde 3, elle reconnaît Youssouf adossé à sa voiture. Inquiète, elle s'arrête et le fixe sans bouger. Bonsoir madame, je t'attendais lâche le jeune type dans un grand sourire lorsqu'il aperçoit sa professeur. Bonsoir Youssouf répond Monique interdite. Que veux tu ? J'avais envie de te voir répond simplement le collégien. Ah bon ? S'étonne la belle brune. Les copains m'ont dit que tu étais super canon aujourd'hui et j'ai voulu juger par moi même poursuit Youssouf avec aplomb. Monique sent qu'elle devrait s'insurger et envoyer une réponse cinglante au jeune impudent mais elle en est incapable. C'est vrai que tu es vraiment bonne ce soir avec ton chemisier décolleté à moitié transparent confirme l'adolescent. Les potes n'ont pas menti. On devine très bien ton joli soutien-gorge à travers le tissu. Dans un réflexe pudique, Monique s'apprête à resserrer les pans de sa veste mais elle interrompt son geste. Elle ne va pas se renier devant ce jeune coq arrogant. Je suis ravie que tu te sois bien rincé l'oeil déclare t'elle d'un ton qu'elle aurait souhaité plus assuré mais à cette heure je souhaite rentrer chez moi. Alors si tu veux bien me laisser accéder à la portière de ma voiture.
Pour Monique la corvée hebdomadaire des courses a lieu le jeudi, jour où la professeur d'anglais finit ses cours à 15:00.
La semaine suivante, Monique a décidé de profiter de l'après-midi réservé aux activités extrascolaires pour aller faire des emplettes à Mulhouse la grande ville la plus proche de son domicile. Elle estime en effet que sa garde-robe a besoin d'un peu plus de fantaisie. Elle n'a après tout que 35 ans et elle s'estime encore bien jeune pour mettre sa féminité entre parenthèses. Elle sait d'ailleurs qu'elle ne fait pas son âge et que de nombreux hommes rêveraient de coucher avec elle.
Il est environ 13:30 ce mercredi lorsqu'elle qu'elle se trouve à l'arrêt au feu rouge situé à la sortie du bourg. On cogne à la fenêtre passager. En tournant la tête Monique reconnait Youssouf son élève qui lui fait signe de baisser la vitre. Malgré sa contrariété, la professeur accepte d'ouvrir. Bonjour madame commence le noir, je dois aller faire une course à Mulhouse, tu ne veux pas m'emmener dans ta belle voiture. Monique hésite: comment sais-tu que je me rends à Mulhouse s'étonne t'elle. S'il te plaît insiste le jeune, j'ai surpris hier la conversation que tu avais avec la prof d'histoire. Je te demande juste de me conduire là bas et rien de plus. Je me débrouillerai pour rentrer en stop. C'est bon finit par céder Monique. Monte et attache la ceinture de sécurité. C'est super sympa de m'emmener avec toi déclare Youssouf une fois installé. Puis il ajoute : pour une fois qu'une bourgeoise blanche canon joue les chauffeurs pour un jeune black pauvre. Mon père me croira jamais quand je lui raconterai. Ou alors il pensera que tu en pinces pour moi. Cette remarque embarasse Monique dont le visage s'empourpre légèrement. Youssouf se rend compte de la gêne ressentie par sa voisine. Il l'examine alors attentivement s'attardant longuement sur ses jolies cuisses gainées de nylon et sur ses bottes à talons aiguilles sans se soucier de l'inconvenance de son attitude. Monique fait comme si elle n'avait rien vu mais le picotement naissant dans son bas ventre lui confirme l'importance qu'elle accorde malgré elle aux manifestations d'intérêt du jeune noir. Elle choisit à ce moment de s'abstenir de tout commentaire préférant se réfugier dans un mutisme distant pour masquer son trouble. Désireux de ne pas braquer davantage la belle bourgeoise, Youssouf se focalise alors sur le paysage commentant à sa manière imagée les sites et les panoramas plus ou moins remarquables. La stratégie porte ses fruits puisque la belle brune se détend peu à peu et finit par sourire aux blagues du jeune noir qui ne boude pas son plaisir en voyant sa professeur se décontracter.
Après avoir déposé son élève, Monique se rend dans le parking souterrain proche de la zone commerçante. Elle profite de la journée ensoleillée pour faire le tour des grandes enseignes avant de s'arrêter un moment au rayon lingerie d'un grand magasin. Alors qu'elle examine avec attention une parure noire composée d'un ensemble slip SG, d'un porte-jarretelles et de bas nylons, une voix puissante la fait sursauter : tu as raison madame, sur une belle peau blanche comme la tienne, il n'y a pas mieux que le noir. En se retournant vivement elle découvre Youssouf hilare qui se tient à un mètre d'elle. L'aurait il suivie sans qu'elle s'en rende compte. Ou est-ce le hasard qui les fait se retrouver ici. Agacée Monique apostrophe le jeune homme. Je t'emmène gentiment dans ma voiture et tu en profites pour m'espionner ? Youssouf se rend compte que la femme est fortement contrariée. Alors il se dresse fièrement et lui jette un regard sombre. Tu me prends pour qui répond-il d'un ton cassant. Arrête de prendre tes désirs pour des réalités. Malgré tes beaux diplômes tu ne comprends pas qui je suis. Quand je le déciderai je saurai te le montrer. Et je te garantis que tu me mangeras dans la main. Monique rougit violemment et se met à trembler de colère. Elle cherche une riposte cinglante pour recadrer le jeune noir mais celui-ci disparaît dans la foule avant qu'elle ait pu réagir. Il faut une bonne minute à la jolie femme pour se remettre de la tirade agressive du lycéen. Toutefois malgré son émotion, elle parvient à suivre la démonstratrice jusqu'à la cabine pour essayer la lingerie que cette dernière est allée lui chercher entre-temps dans la réserve du magasin.
La tension accumulée lors du coup de sang de Youssouf finit par s'évanouir.
En retirant sa jupe dans la cabine Monique découvre étonnée la tâche humide qui macule son slip beige au niveau de sa vulve. Serait ce une conséquence de son échange tumultueux avec le jeune mâle? Troublée par la réaction de son corps, elle vérifie la fermeture du rideau avant d'enfiler rapidement le tanga noir de la parure au dessus de son slip. Puis elle retire son chemisier et son soutien gorge avant de prendre ses seins à pleines mains et de se regarder dans le miroir de la cabine. Satisfaite, elle enfile le Soutien Gorge et le porte jarretelle de l'ensemble en dentelle noire et termine par les bas avant de remettre ses bottes. Monique se trouve extrêmement désirable. Elle se rend alors compte à la marque qui apparaît sur le slip noir que son sexe n'a pas cessé de lubrifier. Elle n'a pas le choix et décide donc d'acheter les dessous se laissant même convaincre par la vendeuse, juste avant de rejoindre la caisse, d'ajouter une paire de bas coutures rétro à sa collection d'articles. Alors qu'elle s'apprête à payer ses achats, la superbe trentenaire remarque un bel homme en costume. Le type aux cheveux poivre et sel lui fait un grand sourire et s'approche d'elle. Bonjour Madame déclare t'il théâtral. Permettez moi de vous féliciter pour votre choix de lingerie ajoute t'il avec naturel. Je suis moi même un grand amateur de bas et je ne manque jamais une occasion d'en offrir à ma femme... Et à ma maîtresse qui est toutefois loin d'avoir votre jeunesse et votre beauté detaille t'il avec un grand clin d'oeil à l'adresse de Monique. La belle brune rougit ce qui fait rire le type. Je n'ai malheureusement pas le temps de vous offrir un verre car Edwige m'attend mais j'espère avoir bientôt le bonheur de vous revoir. Le type disparaît avant que Monique ait pu prononcer la moindre parole. Quelque peu déstabilisée, elle décide d'aller passer un petit moment dans son salon de thé favori. Elle en profitera pour parcourir d'un oeil distrait les revues qu'elle a acheté pendant son shopping. En sirotant son Perrier, Monique remarque un homme basané frisé et moustachu non loin d'elle. Le type porte un costume beige et une chemise rouge largement ouverte sur son poitrail velu. Il tient compagnie à une blonde décolorée trop maquillée et court vêtue. Le gars taillé comme un videur de nightclub jette de fréquents coups d'oeil vers Monique lui souriant de toutes ses dents blanches lorsqu'il croise le regard de la belle brune. L'homme porte une grosse montre chronographe au poignet gauche qu'il montre à la cantonnade lorsque il prend ses aises dans la banquette, cuisses largement écartées, sa jambe droite posée sur son genou gauche. Son pantalon moule ses cuisses et son énorme paquet permettant à Monique de distinguer les contours de son cep aux veines saillantes et de son gland gros comme une clémentine. La découverte de ces attributs volumineux procure un grand trouble à Monique qui sent une chaleur de plus en plus familière envahir son bassin. La Jolie brune est perturbée par cette nouvelle manifestation de sa libido. Que signifient ces pulsions dont la fréquence semble augmenter sur un rythme soutenu ? Monique comprend alors qu'elle est sexuellement frustrée et que les rares rapports qu'elle a avec son mari sont loin de la satisfaire. Elle hésite à en tirer les conséquences mais l'éventualité d'un amant s'insinue dans son esprit. Monique termine rapidement sa boisson avant de se diriger vers les toilettes des femmes. Après avoir verrouillé la porte la belle brune baisse sa culotte trempée de cyprine. Une odeur de femelle en chaleur emplit les wc. Monique ne peut s'opposer à cette pulsion qui la gagne et finit par s'asseoir sur la lunette. Les yeux clos, jambes écartées au maximum, prenant garde à maîtriser au mieux sa respiration la fière bourgeoise se met à titiller son bouton intime. Il ne faut que quelques minutes pour qu'un violent orgasme la submerge. Lentement elle reprend ses esprits puis rajuste sa tenue avant de se laver les mains et de regagner la salle pour payer sa consommation. Enfin elle se décide à rejoindre sa voiture. Il n'est pas encore 18:00. Tout en roulant vers sa confortable demeure, la belle brune ne peut réprimer les pensées sulfureuses qui se bousculent dans sa tête.
Le lendemain après midi avant d'entrer sur le parking réservé aux professeurs, Monique avise la grande silhouette de Youssouf qui lui fait un grand signe de la main. Le jeune attend que la belle brune verrouille sa voiture avant de se diriger vers elle. Bonjour Madame, commence t'il en s'adressant à sa professeur qui le toise avec une méfiance non dissimulée. Je voulais m'excuser pour hier déclare le jeune noir. Je n'aurais pas dû prendre ce ton avec toi. Et comme je n'ai pas eu l'occasion de te te remercier de m'avoir conduit à Mulhouse je tenais à le faire maintenant pour dissiper tout malentendu. Bien que surprise, Monique se détend. Allez fais moi un beau sourire demande Youssouf avec douceur en posant sa main sur le bras de sa professeur. Charmée malgré elle par le regard volontaire et pénétrant du lycéen elle cède et le gratifie d'un large sourire. Tu es très belle comme ça déclare t'il alors avec sincérité en serrant légèrement le bras de Monique. La belle brune est troublée par le compliment. Elle doit faire un effort de volonté pour se libérer de l'étreinte du garçon et marcher vers le lycée alors qu'une douce chaleur se diffuse à l'intérieur de ses cuisses.
Plusieurs jours ont passé et la dispute entre Monique et Youssouf est oubliée. Le cours d'anglais vient de prendre fin. Alors que Monique se dirige vers la salle des professeurs, son élève la ratt. Excuse moi commence-t-il. Je dois retourner au plus tôt voir mon cousin à Mulhouse. Et je me demandais si tu n'avais pas l'intention d'y aller à nouveau mercredi prochain. Monique le regarde amusée. Tu ne manques pas d'air toi lâche t'elle en souriant. Le noir plante son regard dans le sien et de nouveau une douce chaleur envahit le bassin de la femme. Alors c'est oui ou c'est non? insiste le jeune homme. Monique se reprend et finit par répondre. Tu as de la chance, j'ai besoin de nouvelles chaussures. Je trouve que tu sais très bien choisir tes chaussures déclare alors Youssouf. Tu ne voudrais pas me laisser t'accompagner.
Monique ignore la remarque avant de reprendre : je pense que je partirai vers 13:15. Tu n'auras qu'à m'attendre à l'arrêt de car situé à la sortie du village. Génial madame répond Youssouf. Pour un peu je t'embrasserais. Puis il s'éloigne aussi vite qu'il est venu.
Monique est une fois de plus extrêmement troublée par cet échange avec Youssouf. Comme elle a une heure de libre avant son prochain cours de l'après midi, elle décide de regagner directement sa grande maison distante de quelques kilomètres. Elle a en effet largement le temps de passer chez elle et de retourner au lycée après sa pause. En regagnant sa voiture sur le parking elle aperçoit à nouveau Youssouf en grande discussion avec Marjorie une des élèves de la première L que Monique connait après l'avoir eue en cours lorsque elle était en seconde. Marjorie est une blonde de 17 ans plutôt délurée aux formes généreuses. Elle semble en pamoison devant le colosse noir qui fait des effets de musculature pour l'encourager à vérifier la fermeté de ses biceps et de ses abdominaux. En voyant Monique Youssouf lui fait un signe de la main, le pouce levé vers le haut. La femme brune doit reconnaître que la stature imposante du jeune noir l'impressionne plus qu'elle ne le devrait. Une chaleur prégnante embrase son corps. Elle se jette dans sa voiture persuadée que son vagin coule comme une fontaine. Puis elle démarre sans se retourner et fonce jusqu'à sa maison où elle se gare en quelques secondes avant de se ruer dans sa chambre. N'y tenant plus, elle se déshabille intégralement et s'allonge sur le lit pour se caresser. Elle jouit vite et fort et reste immobile jusqu'à ce que le feu qui la consumme s'apaise. Le temps de se rhabiller après avoir choisi une culotte propre et la voilà repartie pour le lycée.
Le soir suivant, Monique qui s'est attardée dans la salle des professeurs s'apprête à regagner sa voiture quand elle entend des cris en passant devant le vestiaire du gymnase.
Inquiète elle regarde autour d'elle mais ne voit personne à alerter. Elle décide donc le cur battant d'aller découvrir seule la source de ce chahut. A sa grande surprise la porte du vestiaire n'est pas fermée à clef. Elle la pousse discrètement et entend distinctement des râles en provenance d'une petite salle servant au stockage du matériel. Intriguée elle profite de la faible luminosité de la nuit tombante pour s'approcher et jeter un coup d'il par la porte entrebâillée de la pièce. Stupéfaite elle découvre Marjorie couchée sur le dos. Elle a les yeux clos et les jambes nues jusqu'à la taille. L'adolescente est allongée sur une pile de tatamis d'un mètre de hauteur. Ses mollets pendent dans le vide. A côté d'elle traînent en boule son slip et son jean moulant. Debout face à l'adolescente blonde, Monique reconnait sans mal Youssouf dont le pantalon baissé jusqu'aux chevilles lui permet de découvrir ses superbes fesses musclées. Le jeune coq est en train de besogner sa copine qui gémit bruyamment appréciant sans aucune retenue la mentule noire foncée qui fouille son intimité. Monique regarde subjuguée le pieu incroyablement large qui parvient pourtant à coulisser dans le vagin écartelé de l'adolescente. Elle remarque malgré tout que la blonde ne peut accueillir la partie la plus épaisse de la hampe du jeune étalon mais que le morceau qui la remplit suffit largement à son bonheur.
Tout à coup Marjorie cesse de gémir et se met à crier son plaisir en se tendant comme un arc. Youssouf a lui aussi cessé son pilonnage alors que ses fesses sont bandées à l'extrême et que manifestement il est en train d'éjaculer dans la chatte de sa jeune conquête. Monique que ce spectacle a fortement émoustillée doit faire un effort pour retrouver toute sa lucidité. Puis elle s'éclipse le plus discrètement possible.
Une fois dans sa voiture, elle peut constater en touchant son slip trempé dans quel état l'a mise la scène à laquelle elle vient d'assister. Et elle espère qu'elle aura le temps de se changer avant que son mari rentre.
Le soir venu, Monique peine à s'endormir. Les images du sexe monstrueux de Youssouf en train de sauter Marjorie la hantent.
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