Un De Mes Fantasmes Se Réalise

C’est l’été, nous nous rendons au bord de la plage pour un spectacle en public. Celui ci étant gratuit la foule est assez dense. Malgré tout nous réussissons à nous infiltrer au milieu non loin de la scène. Le son est assez puissant ce qui nous oblige à rester sur le coté. Avec cette chaleur nous sommes habillés assez léger et mon épouse a mis sa mini jupe qui lui arrive à peine mie cuisse. Mon bras est posé sur ses épaules elle est tournée légèrement vers moi. Elle ne porte pas soutien gorges du coup je ne peux résister à l’envie de lui toucher les seins. Je passe ma main par l’échancrure du chemisier et plonge pour atteindre le gauche. Je le tiens maintenant, je sens son poids, son volume, la douceur de cette peau oh combien agréable. Je reste un moment ainsi mais peu à peu d’autres envies montent en moi. C’est l’endroit rêvé pour faire une exhibition, j’approche mon autre main et je commence à défaire un à un les boutons, bientôt j’aperçois par l’entrebâillement l’objet de ma convoitise. Quelle vue, quel plaisir, ce galbe que j’aime, cette beauté féminine inégalable. Tout ce - ci excite mes sens et réveille mes fantasmes les plus secrets, alors je pousse lentement les bordures du tissu et peu à peu ils apparaissent. Je me sens de plus en plus excité et je ne peux résister à l’envie de les extraire de derrière ce dernier bout de voile. Délicatement mes doigts agrippent le col et je tire par l’arrière, l’étoffe fini de glisser, les bords s’écartent, l’encolure s’ouvre et bientôt voilà cette poitrine au grand jour, pointe en avant à la vue de tout le monde. En fait les regards sont tournés vers le spectacle mais la situation est très chaude car à tout moment elle peut être aperçue. Afin de mieux dégager ces seins, je prends les deux pans du chemisier et les bloque dans son dos, son torse est entièrement découvert. Là nul doute ils sont à l’air libre, bien exposés, si quelqu’un se tourne il ne peut que les voir. Une petite bousculade nous pousse et sa poitrine touche malencontreusement la personne de devant qui n’a aucune réaction.

Je m’aperçois qu’elle a les bras nus, il me vient une idée folle. Pour tester sa réaction j’effleure son avant bras avec mon doigt, mais elle ne réagit pas, alors je prends un sein dans la main, le rapproche et commence à le frotter furtivement sur cette peau, le mamelon se tend, soudain une main apparaît et commence discrètement à palper, caresser puis devient plus insistante. Je sens mon sexe gonfler, prêt à éclater. Je pense que mon épouse ne se doute pas que c’est n’est pas moi qui la pelote. Elle est animée de petits soubresauts et je l’entends gémir, pousser des soupirs de plus en plus rapides. L’action devient très chaude j’empoigne un sein, gratte le bout du second, entre les doigts experts de l’inconnu l’autre pointe s’étire, se tord, tournoie, s’allonge, il la serre de plus en plus, elle retient des petits cris mais son désir est trop fort au bout d’un moment quelques gouttes de liquide s’échappent du mamelon, elle se raidit, se fige, la tête en arrière, haletante, et s’abandonne. Elle reste comme ça un moment, malheureusement la fin du spectacle fut annoncée, dernier morceau de musique, denier assaut sur la poitrine encore à demi vêtue. Elle referme rapidement son chemisier et la foule se disperse. Notre compère a disparu, mon épouse se frotte contre moi comme une chatte en chaleur, elle est tout excitée, nous partons dans un coin isolé de la plage, sa vulve est noyée, mon sexe encore bien dur la pénètre, glisse au plus profond et nous nous unissons comme des bêtes.
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