Reconfits
La semaine dernière, Paulo ma fait savoir quil allait bientôt rentrer, reconfinement oblige.
Dans la nuit de vendredi, sa clef dans la serrure me réveille. Je fonce sur lui, nu et me jette à son cou. Je lui ôte toutes ses fringues tout en lentraînant dans la chambre. Jai besoin de lui, jai envie de lui, jai besoin quil me réconforte. Je ne le laisse pas parler. Je veux dabord quil me fasse lamour. Paulo est comme les scouts « Toujours prêt ! ».
Paulo sent mon désespoir dans ma façon de me comporter avec lui. Une fois nu, il se colle à moi et me serre dans ses bras, à m. Comme sil voulait quon ne fasse plus quun. On reste un long moment ainsi. Je me sens si bien dans ses bras. Il saura parfaitement manier la rudesse, la délicatesse, la tendresse. Cette grande dépense dénergie va me calmer pas mal. Ma jouissance aussi.
Il va commencer par me couvrir de caresses, absolument partout. Puis, il va membrasser lentement, affectueusement, voluptueusement pendant un très long moment. Il va enchaîner sur une superbe fellation tout en commençant à me dilater délicatement. Un, puis deux, puis trois doigts.
« -Do you want to feel one last time Rémis cock ? ( Est-ce que tu veux sentir la bite de Rémi une dernière fois ?
-Yes, I do. Put me very deep ! » ( Oui. Mets la moi bien profond )
Paulo sempare du gode, réplique exacte de la bite de Rémi, lenduit de gel et commence à la présenter à mon trou. Très vite, il est dedans, à fond. Il commence à le faire bouger. Jessaie de mimaginer que cest la vraie bite de Rémi mais rien ne remplacera jamais la chaleur de loriginale...
« -Come inside me my baby. » ( Viens en moi, bébé )
Il me prend de face, cuisses écartées au maximum. Il ne variera plus de cette position jusquà lexplosion finale. Ses yeux plongés dans les miens, un sourire extatique aux lèvres. Il va ainsi me fourrer pendant un très très long moment - qui sen plaindrait ? -, alternant les périodes calmes et les séquences bien chaudes.
Je lui souffle des mots doux, il mimite en portugais.
Il ny a quavec Paulo que je ressens cette plénitude quand je fais lamour avec lui. Je me sens complètement comblé et apaisé. Après ces six années, je le désire comme au premier jour. Il me bouleverse toujours autant.
Maintenant, Paulo me pistonne régulièrement depuis un bon moment déjà. Je sens son membre de feu glisser en moi régulièrement. Dieu que cest bon ! Jai entouré son cou avec mes jambes croisées et je lui tiens les hanches ou les fesses fermement. On entend le chuintement de sa bite qui coulisse dans mon trou à chacun de ses coups de reins. Souvent, il baisse son torse et viens membrasser à pleine bouche tout en continuant à me pilonner. Jadore le voir ainsi rayonnant, prendre son pied avec moi. Il a encore accéléré ses coups de bite. Il se penche vers moi et me souffle :
« -Ooooh meu amor ! I cum ! « ( Oh mon amour, je jouis ! )
Je sens sa bite vibrer et minonder de nombreux jets de foutre brûlant.
« -Ooooh, meu Paulo ! Eu te amo tanto ! ( Oh mon Paulo ! Je taime tant ! )
Pour toute réponse, il membrasse longuement, langoureusement. On va rester ainsi enchassé longuement. Je le laisse récupérer. Jadore le garder ainsi en moi, après lamour. Surtout que Paulo ne débande pas vite du tout. Et cest seulement là quon se met à parler.
Paulo me pose un tas de questions sur ce qui sest passé. Je ne lui cache absolument rien - on a toujours été très franc lun vis à vis de lautre -. Il veut comprendre. Finalement, il me dit quil va lui téléphoner demain pour voir comment il va. Il pense quil faudra faire attention à lui quelques temps. Il me dit aussi que cest une immense preuve damour de sa part envers moi que de me laisser vivre notre histoire à deux.
Puis il en vient à parler de nous deux. Il sinquiète de mon moral. Il me promet quil essaiera de revenir plus souvent
Il me répète quil maime comme il na jamais aimé quelquun. Ca me fait fondre. Moi aussi, je lui dis que je ladore. Jai limpression quon est tous les deux dans une bulle de bonheur qui nous enveloppe.
On finit par sendormir un peu, lovés lun contre lautre. Au cours du reste de la nuit, je me réveillerai avec lenvie quil me refasse lamour. Par jeu - je sais quil adore ça avec son caractère très très joueur -, je me dis que je vais lui attacher les bras et les jambes et lui faire un film sado maso ( soft, bien sûr !). Le plus doucement possible, en essayant de ne pas le réveiller trop vite, je déplace légèrement ses bras et ses jambes pour le mettre en X, en lattachant aux montants du lit avec de fines cordelettes. Ce nest pas trop compliqué car, quand Paulo dort, il est souvent étalé sur le dos, bras et jambes en croix. Ca me facilite beaucoup la tâche.
Jai réussi à « lentraver » sans le réveiller. Je commence alors à lui titiller très très doucement, de lextrême bout de mes lèvres, son gland
Quelle belle bite il a ! Quel joli gland au bout de cette belle tige ! On dirait une glace au café à une boule ! Comme sucre dorge, je ne connais pas mieux ! Quelle belle paire de couilles juste en dessous ! On dirait deux petits kiwis. Parfaitement rasées. Par contre, sa toison est artistiquement travaillée. Rase mais pas trop, avec ses poils qui frisottent, bien taillée sur les côtés en trapèze resserré, avec des zébrures sans poils. Trop belle ! Jai envie de lengloutir mais je ne veux pas le réveiller trop vite. Paulo, même quand il dort, il bande pratiquement tout le temps. La demi molle, il ne connaît pas. Je lui titille le frein de son prépuce du bout de ma langue.
Je ny tiens plus, je pose mes lèvres sur son gland et je glisse doucement jusquà lavoir entièrement en bouche. De ma langue, je le caresse
Cette fois, il se réveille et veut savoir ce qui se passe. Il essaie de bouger et cest là quil saperçoit quil est entravé. Il me regarde et part dans un énorme éclat de rire.
« -Wooow ! I am your slave !!! Your sexual slave !!! I will do whatever you want, my master !» ( Je suis ton esclave ! Ton esclave sexuel !! Je ferai tout ce que tu voudras, mon maître !)
Au fait, javais oublié de lui bander les yeux. Alors, je farfouille dans son sac et lui mets sur ses yeux un masque davion. Il aime
Je me mets alors à le pomper du mieux que je peux. Cest un mélange de ce que je sais faire et de ce que Rémi et Paulo mont appris et appliqué surtout. Je lavale progressivement, centimètre par centimètre en une progression lente et continue. Il glousse. Puis, je me mets à califourchon au dessus de sa tête, en 69, pour quil puisse me lécher la raie et titiller la rondelle. Jenchaîne les gorges profondes. Je sais quil adore ça. Moi aussi, jaime sentir sa langue essayer de me fouiller. Trop bon ! Excité, il relève son bassin pour venir me baiser la bouche en cadence.
Il me vient lidée de lui passer un gode. Je choisis la réplique de la bite de Rémi, je lenduis copieusement et lui enfonce sans ménagement. Car je sais que Paulo aime autant se faire violenter que dorloter. Puis je me déplace à califourchon sur sa bite raide comme la justice. Je menfonce doucement, lentement, en me relevant puis en redescendant plus à fond. Trop coooool ! Jadore sentir son pieu me percer doucement. Il ouvre la bouche et sourit. Assez vite, je suis sur son ventre.
« Fuck me ! FUUUCCKKK ME !! »
Je sens son pubis venir me frapper le cul à chacun de ses coups de bite. Son dard me brûle le ventre. Je le sens coulisser parfaitement dans mon fourreau
.Sa cadence devient impressionnante. Il se déchaîne littéralement sur mon trou. Jencaisse. Aux anges.
« -E bom ! Que é booom !! » ( cest bon ! Que cest boon !! )
Il hurle. Il décharge violemment en moi en plusieurs coups de bite déments. Je sens la chaleur de son foutre menvahir.
Je ne lui laisse pas le temps de reprendre ses esprits et, aussitôt, je viens approcher ma bite de sa bouche. Il me titille, me gobe, me suce, me lèche, me pompe, mavale, me branle furieusement avec sa bouche. Je sens son sperme couler hors de mon trou et venir lui inonder la gorge, le torse.Je me mets à lui baiser sa bouche de plus en plus violemment. Excité comme un pou, je sens que je vais venir assez vite. Je me vide dans sa bouche longuement. Il avale tout.
Je le détache doucement, lui enlève son masque et me colle contre lui en me lovant dans ses bras. De temps à autre, très doucement, je fais coulisser le gode dans son trou puis je lui retire. On sendort ainsi.
La matinée est très avancée quand on émerge. Paulo mentraîne sous la douche et me dispense un « soin complet » très doux, très caressant. On petit déjeune copieusement et on va traîner dans lappart toute la journée, en slips, en se câlinant sans cesse. On ne peut sempêcher de repenser au premier confinement. Avec Rémi. Alors, comme promis, Paulo décide de lappeler. Il est surpris et content que Paulo lappelle. Il dit quil va à peu près bien mais, au son de sa voix, on comprend que ce nest pas tout à fait ça. Alors Paulo lui propose de passer quand il veut
Il nous dit que, pour linstant, il préfère nous laisser en tête à tête.
Comme Paulo est un hyper actif, il lui est bien difficile de ralentir et de rester des journées entières à lire, écouter de la musique, regarder la télé, rêvasser
Il lui faut toujours de laction. Alors, eux foi par jour - même si ce nest autorisé quune seule fois -, on va marcher ou courir dans le bois tout proche. Paulo, quand il court, il court. Un vrai lièvre ! Jai parfois du mal à suivre sa cadence
Alors, il mattend et on se met à marcher, côte à côte, en shorts de running et petits débardeurs, luisants de sueur. On a de trop bons souvenirs de sexe dans ce bois ! Souvent, quand il ny a personne à lhorizon, il me colle à un arbre et, vu la dureté de ce quil a dans son short, je sens bien quil aimerait bien remettre le couvert
Mais, on nest plus en été !
Après le repas du midi, cest traditionnel pour lui : la sieste. Enfin, quand je dis la sieste
Disons que ça commence souvent par une légère torpeur de nous deux. Il met aussi souvent de la musique brésilienne, en sourdine. On se colle ainsi lun contre lautre, en slips - à lappart, on passe nos journées en slips, hiver comme été -. On se raconte des trucs, on regarde par la fenêtre. On y voit nos voisins den face - Paul et Fabrice -, au lit eux aussi mais nus. Paulo leur fait un signe de la main. On les voit, ils nous voient. On est tous les quatre totalement exhibs et on aime ça. Parfois, lun de nous deux sombre un moment. Cest souvent Paulo qui relance, question sexe. Mine de rien, comme ça. Lair de ne pas y toucher. Il vient poser sa tête sur mon slip ou sa main ségare
Vous en connaissez beaucoup vous des mecs qui restent insensibles quand un superbogosse vient négligemment poser sa tête « endormie » sur votre slip ??? Hummm ? Moi, perso, ça me trouble un max. Et quand je suis troublé, ça se voit très vite là bas en bas
Dailleurs, lui aussi la ressenti quand il a senti son « oreiller » gonfler. Négligemment, je passe mes doigts dans son abondante chevelure. Il tourne légèrement sa tête pour poser sa joue contre mon slip gonflé. Ca fait à peine dix heures quon a fait lamour pour la dernière fois mais, avec Paulo, ça peut être plusieurs fois par jour, sans problème. Je sens que le reconfinement va très bien se passer de ce côté-là
Toujours lair assoupi, il fait mine de réajuster son oreiller - donc mon slip -, puis il souffle le chaud et, enfin, il passe ses doigts sous le tissu
Lentement, il glisse son corps pour venir moffrir son slip à ma bouche. Un 69, quoi. On passe ainsi un très long moment à se titiller, se caresser, se lécher, semboucher, se doigter sans jamais monter en pression. Cest ainsi quon voit la sieste : au ralenti. Très très agréable.
Après, cest variable. Soit ça monte lentement jusquà lexplosion finale, soit on explose sauvagement
Il ny a pas de règles. Cest selon linspiration du jour. Samedi, cétait plutôt cool de bout en bout. On a joui chacun dans la bouche de lautre. Avant de sombrer pour un moment, Paul et Fabrice, de leur lit, nous adresse un pouce levé. Ils ont liké !
Pour le moment, avec ce reconfinement, jai mon Paulo tout à moi, h 24
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