Maîtresse Patricia: La Rencontre.
Mes échanges virtuels avec "maitresse Patricia" continuent,très distante aux premiers échanges elle m'interroge finalement sur mes fantasmes et saura très bien en jouer par la suite.
Elle m'envoie parfois des photos de ses pieds avec ordre de me masturber en les regardant,ce qui je l'avoue n'est pas vraiment une contrainte.
Un jour, lui ayant raconté que ma femme appréciait que je "m'occupe de ses pieds", elle m'envoya un nouvel ordre par mail: "à partir de maintenant,quand tu t'occuperas de ses pieds je veux que tu n'aies que les miens en tête!"
C'était à la fois amusant et excitant de jouer le jeu mais j'avais vraiment envie de la rencontrer.
Je n'avais toujours pas vu son visage mais son corps de déesse, ses formes, ses diverses tenues que je voyais en photo, tout ça me suffisait amplement pour avoir terriblement envie d'elle.
A cette époque je venais d'effec une reconversion professionnelle dans l'aide à la personne.
J'avais subi un échec suite à une création d'entreprise et me retrouvais à devoir faire moi même ce pourquoi j'étais censé payer d'autres personnes.
Un mardi matin je suis convoqué à un entretien d'embauche dans une très grande maison située à quelques kilomètres de chez moi.
Le travail consisterait à m'occuper d'une dame de quatre-vingt six ans, malade depuis la mort de son mari et de son fils simultanément,à l'aider dans la vie de tous les jours, lui tenir compagnie.
la personne qui s'occupe du recrutement est sa belle fille venue habiter dans la demeure après le décès de son mari et de son beau père et qui dirige l'entreprise familiale de fabrication de pochettes en plastique.
Une secrétaire me guide jusqu'à la pièce ou se déroulent les entretiens,elle m'accueille sans bouger de derrière son bureau, c'est une belle femme approchant la cinquantaine, brune avec des lunettes lui donnant un air sexy.
Elle m'invite à m'asseoir pendant qu'elle cherche mon cv et ma lettre de motivation.
au bout de quelques instants, les yeux rivés sur son ordinateur et semblant parler toute seule elle dit simplement: "ha! Bah d'accord!"
Relevant alors les yeux , elle me dévisage avant de s'adresser à moi: "vous savez qu'aujourd'hui on peut apprendre beaucoup de choses sur les gens grâce à Internet? rien qu'avec une adresse mail par exemple.
- Oui et alors?
-Mathilde vous pouvez nous laisser un instant s'il vous plaît ?, dit elle alors à la secrétaire.
A peine la secrétaire sortie de la pièce, elle tourne l'écran de son ordinateur vers moi et commente ce qu'elle y voit: "alors,de James a maitresse Patricia:je serais prêt à tout pour être votre esclave blablabla,je rêve de vous,j'aimerai tant voir votre divin visage blablabla,Je veux me jeter à vos pieds blablabla,je continue?"
Je ne sais pas quoi dire, je me demande comment elle a pu accéder à ces échanges mais je me dis surtout:"bon bah c'est cuit pour le travail" quand elle m'interrompt:"bon maintenant que tu as vu mon visage tu es toujours prêt à tout pour satisfaire ta maîtresse?"
Je suis abasourdi! Est ce possible que je me retrouve par hasard devant "maitresse Patricia"?
Je ne sais pas quoi répondre, j'ai honte, je me dis que ce n'est pas elle et que je viens juste de me "faire griller" par une inconnue dans le cadre d'un entretien d'embauche quand elle me sort de mes pensées en claquant des doigts:
"écoute moi bien, me dit elle d'un ton sévère,à partir de maintenant tu m'appartient!
Dès demain il faudra que tu sois ici à huit heures trente pour t'occuper de ma belle mère.
quand elle n'aura pas besoin de toi tu seras à mon service.
Je vais voir avec ma secrétaire pour ton emploi du temps et pour rédiger ton contrat de travail, moi de mon côté je vais préparer ton contrat d'esclave.
Il va de soi que ce n'est pas une proposition mais un ordre!"
J'hallucine, c'est trop beau!
Sans me laisser le temps de dire quoi que ce soit, elle m'intime de sortir de la pièce: "Mathilde va te présenter ma belle mère et t'expliquer ses besoins et après tu lui demande de te reconduire ici" me dit elle sèchement.
A l'extérieur de la pièce, je demande à la secrétaire de me conduire auprès de la dame,elle s'appelle Geneviève, elle a l'air sympathique.
Finalement elle est assez autonome, elle a juste besoin de compagnie et d'un peu de rééducation musculaire.
Je bavarde avec elle mais je ne peux m'empêcher de penser à la situation, connait elle vraiment sa belle fille?j'en doute, quoi qu'il en soit c'est très excitant!
Alors que je cherchais à payer pour être esclave d'une dominatrice il semblerait que ce soit la dominatrice qui va me payer pour réaliser mes fantasmes!
j'ai encore du mal à y croire.
Après m'avoir tout expliqué,Mathilde la secrétaire me reconduit auprès de "ma maîtresse".
La suivant dans les couloirs de l'imposante demeure, je l'observe.
Elle est jolie mais s'habille mal et n'a pas l'air très futé,elle se fond dans le décor.
Arrivé devant le bureau ou j'ai passé mon entretien, j'ai comme une appréhension,la secrétaire frappe à la porte et entre pour m'introduire, "laisse nous seuls" lui lance alors "maîtresse Patricia".
Mathilde repasse alors timidement devant moi avant de fermer la porte.
Sans un mot,Patricia se lève et vient s'appuyer face à moi, jambes croisées contre son bureau.
quelle belle femme! Elle est vraiment grande.
Elle porte un tailleur gris assez chic qui cintre littéralement ces formes plus que généreuses.
ces jambes sont magnifiées dans des bas noirs,malheureusement ses pieds sont cachés dans des chaussures à talons "classiques", elle me fascine.
D'un claquement de doigt suivi d'un geste de son index indiquant le sol, elle "m'invite" à ses pieds,auxquels je me précipite à genoux.
dans un haussement de sourcil, elle m'interroge: "qu'est ce qu'on dit?"
j'ose alors un "merci maîtresse "
-Oui tu peux me dire merci vu le nombre de fois ou tu m'a supplié de te laisser être à mes pieds!
-merci encore maîtresse .
-tais toi!,et baisse la tête!
Je ne discute pas, je suis excité par la situation.
Elle remue ses pieds devant moi,"tu les veux hein?
-Oui maîtresse."
Elle continue de remuer ses pieds tout en enlevant ses chaussures,elle approche un pied de mon visage "tu bouge pas!" ordonne t-elle.
son pied est sous mon nez, je le sent, elle repousse alors violemment mon visage en arrière"je ne t'ai pas autoriser à le sentir!"me dit elle d'un ton agacé.
Elle remet ensuite ses chaussures et me dit en souriant: "tu vas rentrer chez toi et réfléchir à tout ça,si tu veux mes pieds ou autre chose il va falloir le mériter.
-Oui maîtresse .
-ha, et pour toi ce sera "madame",si tu veux avoir l'honneur de m'appeler "maîtresse" il faudra le mériter.
-d'accord madame.
-voilà, tu peux t'en aller,sois la à huit heures trente demain."
Acquiesçant, je me relève et me dirige vers la porte que je franchis sous son regard amusé.
De retour chez moi, ma compagne est heureuse que j'ai retrouvé un emploi, moi je suis heureux pour d'autres raisons.
Je suis impatient d'aller travailler comme jamais je ne l'ai été auparavant.
cette nuit là j'aurai du mal à trouver le sommeil.
En me réveillant le lendemain je me demande si je n'ai pas rêvé, cela paraît tellement improbable.
A huit heures vingt je suis déjà devant la propriété, tout est éteint, je sonne, c'est Mathilde la secrétaire qui ouvre,l'air pas trop réveillé.
Avant de me mener à Geneviève elle me remet mon contrat dont je verrai les modalités avec la "patronne" ce midi.
Pour cette première matinée, je prend mes marques, j'apprend à connaître un peu la vieille dame mais aussi la "dépendance", un grand bâtiment de la demeure dans laquelle elle loge.
Midi arrive, Mathilde viens me chercher pour aller voire "ma maîtresse".
Sur le chemin vers son bureau j'ai le coeur qui bat fort, je suis excité.
elle me laisse à la porte, je frappe,elle me dit d'entrer et de refermer la porte derrière moi.
elle est encore plus belle qu'hier,les cheveux attachés en chignon,ses lunettes sont différentes, elle porte un chemisier laissant entrevoir ses formes et une longue jupe fendue.
Cette fois elle ne porte pas de bas et ses pieds sont sublimés dans de belles chaussures ouvertes sur ses orteils vernis de rouge.
Elle me fait signe d'approcher jusqu'à elle,je n'ai pas le temps d'ouvrir la bouche qu'elle m'arrête:
"à genoux!"
Je m'exécute, elle me regarde comme si elle attendait quelque chose,je tente un "merci madame", elle me dit avec regard satisfait:
"écoute moi bien, je n'aime pas me répéter! Quand tu entre dans une pièce ou je suis présente tu te met à genoux,quand je t'invite à mes pieds tu me remercie.
De la même façon quand je te donne un ordre tu me remercie d'être autorisé à me servir,oui madame,merci madame c'est tout ce que je veux entendre de ta bouche quand tu es ici sauf si je te pose des questions ou si ça a un rapport avec ma belle mère mais en général je délègue à Mathilde, c'est clair?"
-Oui madame!
Elle prend alors le contrat dans mes mains et m'explique: "je déclare que tu viendras ici dix heures par jour mais avec deux heures de libres à midi, normalement ça aurait dû être du mi-temps, tu seras donc payé un peu plus mais tu passeras ton temps libre à me servir"
me tendant le contrat sur une pochette cartonné et un stylo elle m'ordonne d'un ton sec: "signe, tu liras chez toi!"
J'obéis, il faudrait être fou pour refuser.
elle repose le contrat sur la table et se saisit d'un autre papier.
"Passons à ton contrat d'esclave,me dit elle d'un ton amusé.en fait c'est plutôt une attestation sur l'honneur,ça par contre tu vas me le lire à voix haute avant de le signer."
Je découvre le document et en commence la lecture:
"je soussigné esclave James, déclare par cette présente attestation,et à compter du ##/##/####,renoncer à ma liberté afin d'appartenir corps et âme à maîtresse Patricia.
Je m'engage à obéir et à servir maîtresse Patricia sans conditions."
Je m'engage également à accepter toute punition ou sévices que maîtresse Patricia jugera juste de m'infliger.
Je remercie maîtresse Patricia de m'accepter comme esclave.
Fait à#### le ##/##/####
Lu et approuvé. Signature"
Je signe rapidement le document tout en la remerciant,elle le range avec mon contrat et me tend la pochette.
"Vas voir Mathilde si tu veux manger ici et elle t'expliquera pour les repas de Geneviève.
ce midi tu es libre de rentrer chez toi si tu veux, mais à partir de demain tu me serviras avant d'aller manger et tu aura parfois l'honneur de rester à mes pieds pendant mon repas."
-merci madame, dis je tout en me relevant.
Je franchi la porte et rejoint Mathilde dans une espèce d'office, elle prépare à manger pour la patronne, sa belle mère et, ce jour ci, également pour moi.
Je constate qu'elle n'est pas que secrétaire dans la maison mais un peu la "bonne à tout faire".
Après avoir apporté le repas de Geneviève je décide de rester manger avec elle.
Vers quatorze heures,"maîtresse Patricia" vient me chercher pour, dit-elle me montrer quelque chose.
Je la suit dans les couloirs au bruit de ses talons hauts,je ne peux détacher mes yeux de ses grosses fesses, si ce n'est pour regarder ses belles jambes.
nous arrivons devant une grande porte fermée à clé,je ne suis pas près d'oublier ce qu'elle renferme.
La première chose que je vois en franchissant la porte c'est un trône finement décoré siégeant sur un petit piédestal haut de deux marches au fond de cette grande pièce, entouré de candélabres et autres chandeliers.
Sur le mur à gauche du trône,divers accessoires sont accrochés,du fouet au Martinet en passant par la laisse et les menottes.
Juste à côté,un dressing contenant des tenues de cuir ou de latex et pas mal de chaussures et de bottes.
et une grande cage dont la fonction ne laisse aucun doute.
A la droite du trône,une table munie d'entraves pour les bras et les jambes,un carcan semblant tout droit sorti du moyen-âge et enfin une croix de saint André sur le mur derrière.
C'est un véritable "donjon" de dominatrice installé dans la grande demeure.
Je réalise qu'elle n'est pas n'importe qui, que c'est une "vraie".
"Comme tu peux le constater je ne prend pas ça à la légère.
-c'est ce que je vois.
-néanmoins je sais faire la part des choses, c'est un "jeu de rôles",et ceux qui y jouent sont consentants,si ça ne te convient pas ne reviens pas demain et je déchire tes contrats."
Je ne répondais pas, comme si je pouvais renoncer à tout ça.
"C'est bien ce que je pensais"dit elle tout en se dirigeant vers le trône.
elle gravit les deux marches , s'installa sur le trône jambes croisées et me désigna le sol avec son index,je me mis à genoux devant elle et la remercia.
Me regardant d'un air amusé elle me dit: "avant de retourner t'occuper de ma belle-mère je t'accorde l'honneur de masser mes pieds!
-merci madame.
-sous la table il y a un petit repose pieds, vas le chercher!
-Oui madame.dis je en m'exécutant."
Pendant que je place le repose pieds devant le trône, elle sort un long fume-cigarette en ivoire de l'un des accoudoirs, y place une cigarette tout aussi longue et l'allume à l'aide d'un gros briquet également sorti de l'accoudoir.
elle défait alors son chignon, balance sa tête en arrière, ferme les yeux, et tout en recrachant la première bouffée de sa cigarette, elle étend ses jambes toujours croisées sur le repose pied.
Je la remercie,elle sourit.
Fébrilement je lui enlève une chaussure, puis la deuxième,ses divins pieds,sur lesquels j'ai fantasmé des semaines durant sont à ma portée,j'ai envie de me jeter dessus pour les embrasser, les sentir, les lécher!
mais pour l'instant je n'ai le droit que de les masser, ce qui, je l'avoue,est déjà bien excitant.
Je décide de lui masser comme je le fais à ma compagne,assez fortement, en appuyant sur certains points en espérant que ça lui fera le même effet, et apparemment elle apprécie!
Elle remue ses orteils quand je touche des points sensibles, elle a des petits spasmes, je suis fier de moi.
Elle relève la tête,"là tu marques des points,me dit elle en écrasant sa cigarette dans un cendrier incrusté dans l'accoudoir,tu as le droit à un baiser sur chaque pied avant de me rechausser!
-merci madame.
-aller, ,tu peux même les sentir si tu veux"
Je la remercie encore une fois tout en embrassant son pied droit.
Je remet ensuite délicatement sa chaussure avant de prendre son pied gauche entre mes mains,je pose ma bouche sur sa plante, le nez dans ses orteils,j'inspire très fort tout en lui déposant un baiser très appuyé,puis je la rechausse tout aussi délicatement.
Elle se lève et se dirige vers la porte," je te ferai faire un double de la clé de cette pièce, parfois je t'appellerai ou t'enverrai un message et tu viendras m'y attendre, à genoux, cela va de soi,sauf ordre particulier de ma part,c'est compris?
-Oui madame, merci madame, lui dis je encore avant qu'elle me fasse signe de me lever et de sortir.
-et cache moi cette trique devant ma belle mère! Ajoute t-elle encore avant de fermer la porte et s'en aller."
C'était difficile de maîtriser cette érection après le moment que je venais de passer et auquel j'ai repensé tout l'après midi.
En fin de journée je suis rentré chez moi sans même la revoir.
Le lendemain, rien de notable, elle ne me fait pas demander de la matinée, c'est Mathilde qui lui a apporté son repas à midi,je suis donc rentré chez moi pour revenir à quatorze heures.
l'après midi s'est déroulée de la même façon, j'allais partir quand Mathilde me demande d'aller la voir.
"Enfin!"me disais je intérieurement.
Mathilde m'ouvre la porte, je vais me mettre à genoux à "ma place".
sans un mot, elle se lève et vient se placer devant moi.
Elle porte un autre tailleur, toujours aussi classe, des bas marrons et des bottines.
tendant un pied devant moi elle m'intime: "enlève mes chaussures!", je suis déjà excité!
Pendant que je fini de la déchausser elle relève légèrement sa jupe et passe ses mains au dessous, je m'aperçoit que c'est un collant qu'elle porte.
Voyant qu'elle commence à le descendre je me permet de fantasmer sur la suite des événements.
Arrivé au genou, elle lève alors un pied pour me faire comprendre que c'est à moi de terminer de l'enlever, je m'exécute délicatement,elle repose son pied puis lève l'autre pour que je finisse de lui retirer.
J'ai son collant dans les mains,elle me le prend,"remet mes chaussures! m'ordonne t-elle."
Je suis un peu déçu, je pensais "avoir le droit" de m'occuper de ses pieds.
Je lui remet ses chaussures, elle secoue son collant devant mon nez,"aujourd'hui j'étais occupée mais demain tu es à moi pour la journée! Geneviève pars pour le week-end chez son autre fils dans le Sud, donc tu viens à partir de quatorze heures et tu partira plus tard.
ça c'est ton "doudou" pour ce soir,je veux que tu le sente dans le lit à côté de ta femme! me dit elle en me tendant le collant.
-merci madame.
-et range le bien pour que les bonnes odeurs de ta maîtresse ne s'évaporent pas!"
Retournant derrière son bureau elle me montre la porte du doigt, je sors en la remerciant, mon "cadeau" en poche.
Sur le retour vers chez moi je ne peux m'empêcher de me garer pour sortir son collant de ma poche.il est humide à l'entrejambe, je l'approche de mon nez,il sent "le cul", un mélange d'odeur de son anus, d'urine,et de son sexe, comme si elle avait "mouillé" dedans.
Je devine qu'elle l'a porté toute la journée sans culotte,c'est excitant!
Au deux extrémités du collant ou étaient ses pieds, une odeur très agréable due certainement au fait qu'elle portait des bottines.
Quelques instants me suffisent pour avoir une érection! Il n'y a pas de doute, elle sait comment s'y prendre avec moi.
Je remet le collant dans une poche et redémarre pour rentrer chez moi,impatient d'être au lendemain.
en arrivant chez moi je profite d'être seul pour glisser le collant sous mon oreiller après l'avoir encore reniflé.
j'attendrai que ma compagne soit endormie pour le sentir avant de m'endormir, conformément aux ordres de ma maîtresse .
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