La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1400)
Lesclave salope au Château (Suite de l'épisode N°1398) -
Son gros sexe se frottant déjà contre mes lèvres intimes
Ma chatte est déjà bien mouillée dexcitation que je ressens à toutes ces humiliations vécues depuis mon arrivée au Château. Ainsi le Maitre na pas besoin de me lubrifier mon minou avant de me prendre. Il enfonce donc Sa grosse bite dressée dans ma chatte de salope, et commence à me baiser tout en me fessant durement et fermement mon gros cul arrondi. Il me fesse en alternant parfois avec des caresses sur mon cul rougi avant de recommencer à le fesser, ce qui me fait donc comprendre que cest une volée de fessées de plaisir et non une punition.
Depuis mon arrivée au Château, je nai toujours pas joui, et toutes ces humiliations, tout ce que je subis depuis mon arrivée rend le manque dorgasme, et le fait de devoir se retenir, encore plus difficile. A chaque fessée et chaque puissant coup de reins de Monsieur le Marquis dans ma chatte de salope, jai limpression que je vais exploser en jouissances. Et je ne sais pas comment je peux me retenir. Cest quand je nen peux vraiment plus, que je supplie le Noble dêtre magnanime envers moi et de maccorder enfin un orgasme, pour ne pas fauter... Cest après un long silence tout en continuant à me pilonner profondément à grands coups de boutoirs que le Châtelain moffre enfin un orgasme. Un orgasme libérateur, salvateur, un orgasme atomique, explosif qui me fait tellement de bien après ces deux semaines d'abstinence. Et cest à ce moment-là que je comprends, sans le vouloir, pourquoi le Maitre ma laisser pendant autant de temps sans jouir : Tout simplement pour rendre cette orgasme, par tant dabstinence, encore meilleur, puissant et qui me remonte toute mon échine. Monsieur le Marquis continue de me pilonner la chatte à une cadence soutenue, me maintenant fermement par les hanches. Malgré le fait que je viens de jouir, lenvie est encore bien forte, due au plaisir dêtre prise par le Noble.
Soudain le Châtelain se retire de ma chatte, et pénètre mon cul, dans des va-et-vient rapides, Ses couilles claque contre mon cul, je me sens être juste un simple trou à baiser, à enculer, un trou pour le Maitre, je me sens juste être Son objet à plaisir, pour quIl se vide les couilles tout à loisir et selon Son envie à se vider en moi. Et cette pensée, me fait encore plus mouiller de plaisirs et mexcite encore plus. Et comme si Monsieur le Marquis avait lu dans mes pensées, jentends Sa voix calme, sans élévation du ton et pourtant paradoxalement si autoritaire :
- Oui Ma putain, oui Ma chienne esclave salope, tu nes quune sale chienne, bonne à baiser, tu nes là que pour Mon plaisir, tu nes quune catin, juste trois trous que jutilise comme bon me semble quand je le veux, et où je le veux. Ton corps mappartient tout autant que ta chatte, ton cul, et ta bouche de salope. Tu es à Moi, Ma chienne salope esclave, ma propriété la plus absolue
Entendre ces mots de la bouche du Maitre pendant quil mencule, ces mots que je pensais quelques secondes avant quil ne les dise me fait grimper lexcitation encore plus fortement. Surtout que tout en commençant à parler le Noble a fait glisser Sa main vers ma chatte et à commencer à me branler, à me doigter énergiquement avec Ses doigts. En plus davoir Sa grosse verge dans mon cul, je sens, là, que je ne vais pas tarder à de nouveau perdre pied... Le Châtelain augmente la puissance de Ses va-et-vient dans mon cul dans cette saillie qui devient maintenant bestiale, animale, car il me prend sauvagement, à grands coups virils et profond, mon fondement. Et cest après lavoir supplié un nouvel orgasme, quIl me laccorde. Je jouis alors dans un orgasme explosif en même temps que le Maitre se vide en moi dans un concert de râles, de plaisirs, de cris gutturaux, orgasmiques
Il me faut du temps pour me remettre, mécroulant au sol, mes jambes ne me tenant plus, mon corps tremblant de la tête aux pieds, des spasmes qui me secouent, mes cuisses pleines de ma cyprine abondante
A peine remise de mon orgasme, le Maitre écroulé sur moi au sol, sort de mon cul et matt par les cheveux pour me retourner face à lui et menfonce Son noble Vit, dans ma bouche.
- Nettoie Ma grosse et noble Queue de ta langue la chienne, je veux quelle soit aussi propre que si je sortais de la douche, et applique toi, Ma putain en chaleurs
Les mots du Maitre, me faire insulter et rabaisser mexcitent toujours autant. A chaque fois que je suis avec Lui, je suis étonnée par ma capacité à être encore excitée même après plusieurs orgasmes. Comme Monsieur le Marquis me le dit souvent, je suis une chienne en chaleurs et Ses mots deviennent encore plus réels quand je suis en Sa présence... Ma langue sactive le plus possible à nettoyer comme il le faut le noble Joyau du Maitre, et pendant que je mactive à ma tâche, Il pose Sa main sur ma tête et finit par la caresser délicatement, puis Il descend petit à petit, sur mon cou, ma nuque jusquà finir par arriver sur mes seins, et mes tétons quil commence à travailler de délicates caresses avant me les pincer. Une fois la queue du Châtelain propre, ma langue lui a procuré un début dérection à nouveau. Le Maitre att alors ma laisse quil mattache à mon collier. Dun claquement de doigts, je comprends lordre silencieux et je me mets à quatre pattes par terre, prête à Le suivre
Apres quelques secondes dattente dans cette position à sentir Son regard Dominant sur moi, à le sentir mobserver, Il commence à avancer tout en tirant sur ma laisse pour que je le suive. Le Maitre sort dans la cour du Château, avec moi derrière qui le suit. Nous traversons limmense cour puis nous enfonçons dans la forêt du Château. Malgré le fait dêtre dans la forêt, le Noble a fait carrosser un chemin avec une douce moquette synthétique dextérieur pour pouvoir évoluer à quatre pattes en toute sécurité, sans se blesser les genoux ou les mains.
Le Maitre sarrête proche de deux immenses marronniers à lévidence multi-centenaires. Je vois proche, de ces hauts et majestueux arbres, des cordes, un bâillon écarteur, une chaine, ainsi quun martinet posés dans une sorte de cabane de jardin sans porte.
Monsieur le Marquis commence à tourner autour de moi, à scruter attentivement mon entre-jambes ainsi bien exposé à Son regard. Je ne sais depuis combien de temps je suis comme ça, mais je commence à avoir mal aux bras tendus en lair, ainsi quà la mâchoire car ma bouche est contrainte de rester grande ouverte. Ne pouvant fermer ma bouche pour avaler ma salive, je commence aussi à baver, sur mon menton, salive coulante jusquau sol. Le Maitre finit par s'arrête derrière moi, il fouille d'abord mon sexe qui sans surprise et bien humide, il me titille un peu le clitoris aussi et commence à me branler, je gémis et jessaie de bouger mais étant bien attachée, je ny arrive pas. Jai envie de jouir et je ne sais pas comment le faire savoir au Maitre, comment lui demande la permission. Après ce qui me parait des heures à r mon sexe de plaisir sans pouvoir jouir, et à gémir de plaisir comme une chienne, le Châtelain matt par ma chevelure et me tire la tête en arrière, il me tient fermement par les cheveux bien fort pour ne pas que ma tête retombe par la courte chaine, avant dapprocher Sa bouche de mon oreille pour me dire :
- Oui petite putain, petite chienne en chaleurs, cest bon quand les mains du Maitre te touchent, te donnent du plaisir.
Sur ces mots, le Châtelain relâche ma tête qui retombe en avant. Et Il commence à me fesser le cul, et à jouer avec mes seins. De sentir les mains du Maitre sur moi qui me fessent, qui me touchent, ça mexcite tellement que je sens ma mouille couler de nouveau le long de mes cuisses
Tout dun coup, je ne sens plus les mains du Noble sur moi, je ne sens même plus Sa présence derrière moi, la chaine attachée à mon collier ne me laisse pas la possibilité de tourner assez ma tête pour lapercevoir. Cest après quelques secondes que jentends des pas derrière moi, et que je revois les pieds de Monsieur le Marquis devant moi. A Ses pieds, il pose un gros seau plein. Et cest seulement quand il commence à m'étaler, avec un gant sur Sa main, le contenu du seau sur mon corps que je comprends quil s'agit de boue. Le Maitre démarre par un de mes seins, une bonne quantité, quand Il décide de prendre le seau et de juste me jeter le contenu au-dessus de ma tête. Alors, ça tombe sur mes cheveux, mon visage, et sur mon corps aussi car il en jette aussi sur mes épaules, puis Il repart chercher un deuxième seau et le verse sur tout mon corps cette fois. Je me sens tellement humiliée, souillée, sale, que jai limpression de n'être rien, d'être une moins que rien, et cette humiliation, cette réalité tout comme tout ce que je viens de subir depuis mon arrivée au Château mexcite tellement. Le Châtelain ayant sûrement remarqué ma mouille le long de mes cuisses, me relève à nouveau la tête en tirant bien fort sur mes cheveux boueux, ce qui me fait gémir de douleur, puis Il me retourne une claque, et prend la parole :
- Silence grosse chienne, je fais de toi ce que je veux, tu es Mon esclave, Ma propriété la plus absolue, et il est normal que je fasse ce que je veux de ce qui mappartient. Regarde-toi grosse souillonne, cochonne, tu mouilles comme une chienne en chaleurs. Tu aimes ça, te faire humilier, te sentir comme une merde. Eh bien sache-le, tu as raison de te sentir comme une merde car cest ce que tu es, une petite merde qui a donné sa vie au plaisir du Maitre, et qui prend plaisir à se faire humilier ainsi. Moi aussi, je prends plaisir à thumilier, salope, jen bande même, sale chienne en chaleurs, jai besoin de thumilier autant que tu as besoin de que je le fasse. Maintenant, tu vas gentiment rester ici, et attendre le retour du Maitre, il est lheure pour moi daller déjeuner
Cest sur Ses mots que le Noble sen va à me laisser ainsi attachée, à baver et souillée pleine de boue et je lavoue encore, très excitée de la situation...
(A suivre
)
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