Mon Nouveau Collègue De Bureau . Partie 2
Avec Fred, nous n'avons pas reparlé de cette soirée pendant les jours suivants mais nos regards sont devenus plus complices.
Plus d'une semaine c'etait écoulé et je repense souvent au moment que nous avons passé tout les deux, à son corp d'athlète, ses muscles saillants et surtout à délicieuse bite proéminente.
Ce soir, comme d'habitude depuis de long mois ,nous sommes à la salle de sport et plus que jamais mon regard est porté sur lui. Plus je le regarde et plus je sent l'excitation monter en moi. L'envie de le prendre une nouvelle fois en bouche se fait pressante. Sa séance de muscu terminée, il m'informe qu'il part se doucher. Discretement, je lui fait comprendre de prendre son temps. Aussitôt la dernière la personne sorti de la salle, je me précipite au vestiaire. Fred est toujours sous la douche et je l'y rejoind après avoir vérifié que nous sommes bien seul. Face à lui, j'enduis mes mains de gel douche et je me dirige vers lui. Je frotte toutes les parties de sa peau d'ébène. Pendant que mes mains parcourent ses larges épaules, ses biceps, ses pectoraux et ses abdos en béton, il me regarde en souriant. D'un seul coup, il me retourne et commence à me savonner à son tour. Je commence à bander et il me branle lentement avec sa grosse main. Derrière moi, je le sent durcir lui aussi. Aussitôt, je passe une main derrière moi pour lui caresser les boules un moment. Contre mes fesses, son membre gonfle de plus en plus, un frisson parcourt tout mon corp et je le saisi à pleine main pour le branler à mon tour. Ses bras puissants m'encerclent et ses caresses sur mon torse sont plus appuyés maintenant. Son souffle sur ma nuque me fait frissonner.
Je me dégage de son étrainte, me retourne et je m'accroupis face à lui. Sur le champ, je le prends en bouche et je le suce avec avidité. En plaçant mes mains derrière ses cuisses, j'aspire sa grosse queue inlassablement. Ses râles de plaisir me donne confiance et j'y met encore une fois toute mon énergie.
Au fond de moi, je ressent une sensation de domination et curieusement j'aime ça. Je le force à accen ses mouvements de bassin en l'attirant vers moi avec mes mains qui sont toujours derrière ses cuisses. Il va et vient dans ma bouche pendant plusieurs minutes jusqu'à ce que des bruits dans la salle de sport nous interrompent. Nous nous écartons l'un de l'autre immédiatement, nous attendons quelques instants avant de retourner au vestiaire. Les femmes de ménages m'ont couper dans mon élan. C'est très déçu et surtout très frustré que je retourne m'habiller. J'étais prêt à aller plus loin avec Fred, lui laisser me faire découvrir d'autres plaisirs et le laisser me dominer entièrement.
Je compte me donner à lui et le lendemain, je lui fais savoir.
J'ai prétexté auprès de ma femme que j'avais une réunion après le boulot pour pouvoir rejoindre Fred chez lui.
J'arrive chez lui et je ne compte pas faire trainer les choses. Assis sur le canapé, nous buvons un verre, un rhum trois rivieres artisanal qui a pour effect de me mettre un coup de fouet. Je me rapproche un peu plus de lui et je glisse ma main sous son tee shirt. Avec la paume de la main, j'effleure ses muscles dessinés. Je caresse son buste avant de me diriger vers son ventre puis, plus bas vers son entre cuisse. Tout de suite il durci et une vague de chaleur m'envahit. Je lui hôte enfin ses vêtements. Il est nu, là assis proche de moi,le sexe tendu et je le regarde avec appétit. Il tente de m'embrasser mais je refuse.
Après se moment un peu hard, il se relève et se couche à côté de moi en 69. Chacun la bite de l'autre dans la bouche, nous nous faisons du bien jusqu'à se que j'ejacule le premier. Il est bien plus endurant que moi et bande toujours aussi dure.
Je suis venu pour prendre du plaisir et j'en ai pris mais cela ne me suffit pas. Je suis venu dans le but d'aller encore plus loin avec lui et je le lui dit ouvertement. Je le veux en moi. Son visage s'illumine après ma déclaration. Il se rapproche de moi, me tend la main et je me lève du canapé. Il m'attire vers lui. Nous sommes peau contre peau. Je le laisse faire, ses mains malaxant mes fesses pendant qu'il m'embrasse encore et encore. Son érection n'a pas perdu en force et nos deux sexe frottent l'un contre l'autre.
Il m'emmène dans sa chambre, sur la table de nuit, à portée de main se trouve préservatifs et lubrifiant. Il avait déjà tout prévu. Je le regarde un peu pétrifié par sa queue enorme bien tendu vers moi.
La douleur et la sensation de brûlure s'estompent petit à petit, des deux mains j'ecarte mes fesses et je lui indique d'y aller doucement. Sa queue s'enfonce lentement en moi, elle dilate encore plus mon anus, puis je lui demande de s'arrêter encore une fois. Il reste immobile le temps que la douleur disparaisse encore une fois.
Au bout de quelques minutes, je commence à faire aller et venir mon cul pour pouvoir gérer la profondeur de la penetration. J'ai encore mal mais l'excitation d'avoir son dard dans le cul et l'envie de me faire prendre par cet étalon prennent le dessus. bientôt, le plaisir remplace la douleur. Je cambre mon cul et je le laisse faire maintenant. Doucement mais sûrement sa queue s'enfonce au plus profond de moi. Je commence à gemir de plaisir et à bander. Il accélère légèrement ses coups de reins , je l'entend jouir derrière moi et le bruit de ses boules sur mes fesses décuple mon excitation. D'une main, il maintient mon bassin et de l'autre il me branle. Je ne tarde pas à éjaculer mais lui continue à me sodomiser sans arrêt.
Soudain, il se retire, att mes chevilles et les tire vers lui.
Il remet du lubrifiant sur mon anus et enfonce profondément son membre à l'intérieur. Cette fois ci je l'englouti sans trop de mal. Il s'allonge sur moi et me releve les bras au dessus de ma tête. Son buste sur mon dos et ses bras puissants le long des miens, je ne suis plus libre de mes mouvements. Dans cette position sa bite me remplit au maximum. Je sent son souffle sur ma joue. Ses coups de queue lent et fort me font gemir plus fort et je m'abandonne à lui.
Cela ne dure pas très longtemps, il se retire une nouvelle fois et enlève son perservatif. Debout devant le lit, il me dit qu'il veut jouir sur moi. Je m'assois et je lui dit d'approcher. Immédiatement, je suce intensément son gros bâton noir à la manière d'une salope jusqu'à l'ejaculation. Ses giclées de sperme inondent mon visage, sa semence coule sur mes lèvres et je la goute. Je ne trouve pas ça désagréable. Il me sourit, je lui rend son sourire et je reprend sa bite dans la bouche. Je ne m'arrête pas de sucer et de le lécher jusqu'à se qu' il reprenne de la vigueur. J'ai encore faim de lui, de sa bite, je le lui fais savoir et il a bien compris.
Il redurci très vite et m'attire vers lui. Nous échangeons quelques baisers, puis il me retourne dos à lui et me pousse contre un mur de la chambre avant d'enfiler un autre préservatif. Cette fois ci, cela se passe sans douleur, mon petit trou n'a pas eu le temps de retrouver sa taille normale. Le cul cambré, les bras levés contre le mur, je reçois sa grosse queue au fond de mes entrailles. Il entame des va et viens doux et lent encore une fois avant de hausser le rythme au fur et à mesure que mes gémissements se font plus fort. Il me fait jouir comme une petite chienne. Toujours plus fort, il m'aggrippe le bassin et me perfore l'anus. Ses coups de reins incessants me font presque hurler de plaisir et je m'en mords les lèvres. J'en perds la tête et je lui ordonne de m'enculer à fond. Ses couilles claquent de plus en plus derrière moi. Son membre me pilonne à un rythme effréné, il tape au fond de mon cul. Il me baise si fort que j'ai du mal à tenir sur mes jambes. Je ne m'étais pas tromper la première fois que j'ai vu ses abdos, ses coup de reins sont puissants, il est infatigable. Il reussi à me faire éjaculer sans me toucher tellement il me donne du plaisir. Inlassablement il me sodomise et je crie de plaisir maintenant. Le temps paraît si long mais j'encaisse et je joui encore et encore. Lui aussi d'ailleur, je l'entend au creux de mes oreilles.
Il achève de me baiser avec 3 ou 4 redoutables coups de bite avant d'éjaculer dans la capote toujours au fond de mon cul.
Quel étalon, quel bon baiseur je me dit dans ma tête. Pour ma première fois, que se fût bon,douloureux au début mais ça en valait la peine. Jamais je n'aurais cru que se faire enculer serai si bon. Si ma femme savait, elle serait peut être jalouse de cette grosse queue.
En tout cas Fred et moi nous avons passé du bon temps et ce n'est pas la dernière fois.....
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