Terma 88 : Ma Femme Russe Et Son Employée De Compagnie (2) :

Je suis Tarik, 55 ans et ma femme Russe, 45 ans, nous sommes revenus il y a 5 ans de Russie où nous avons laissé nos s chez leur grand-mère, pour terminer leurs études. Ayant trouvé un poste de cadre au pays, cela m’obligeait à m’absenter trop souvent de chez moi, pour missions, parfois des semaines et j’ai du délaisser ma femme, seule à la maison avec une employée de 40 ans, engagée pour lui tenir compagnie et l’aider dans son ménage. Mais cette employée, vicieuse et enragée du sexe masculin, a réussi à faire tomber ma femme, sa patronne, dans l’adultère. La première fois, alors que j’étais absent pour une semaine, l’employée qui baisait depuis longtemps et chaque nuit avec son amant dans la loge du jardinier, a réussi à exciter ma femme à l’adultère. Elle l’a persuadé des plaisirs du sexe de son amant et ma femme est tombée dans le piège. Ainsi, et de 21h à minuit passée, l’employée, qui rejoignait son amant, entraina ma femme avec elle, pour baiser tous les trois, dans la loge du jardinier. Et cela allait continuer pendant toutes les nuits de la semaine. Ma femme bien accrochée au gros zeb brun de l’homme, s’est totalement engagée dans l’adultère. Normal car le zeb de son amant était au moins deux fois plus gros et plus long que le mien, et l’abondance de son sperme ont amené ma femme à se donner à fond. Cette semaine allait se répéter au grand plaisir des deux femmes, à chacune de mes multiples absences. Elles ont bien calculé leurs séances et ce ne fut qu’après six mois que j’ai découvert l’affaire et que, sous mes menaces sévères, elle m’ont avoué, en détails exigés, leurs aventures sexuelles. Mais continuons leurs séances de sexe après la première semaine.

A mon retour de mission, l’employée informa leur amant de ne plus venir jusqu’à nouvel ordre de sa part. Elle sortait souvent pour acheter des provisions au marché, parfois avec ma femme ou avec le jardinier, mais souvent seule et c’est ainsi qu’elle pouvait contacter son amant.

Elle pouvait même aller avec lui pour baiser pendant une heure ou deux, puis et revenir à la maison avec ses achats. Pendant les dix jours de ma présence, j’ai quant même couché et baisé avec ma femme, mais seulement deux fois, puis je suis reparti en mission pour encore deux semaines. Le même soir de mon départ, les trois complices se retrouvèrent, bien nus, dans la loge pour passer une folle nuit sexuelle, presque jusqu’à l’aube, tellement ils étaient affamés depuis plusieurs jours. Surtout ma femme qui a été baisée trois fois par l’homme, alors que l’employée n’a eu droit qu’à une seule baise. Ma femme a exigé d’être baisée une fois par devant et une seconde fois par derrière, et toujours affamée de zeb, elle a eu droit à une troisième baise, bien assise et dansante sur la grosse queue de l’homme couché sur le dos. Elle aimait cette position pour remuer à sa guise sur le zeb debout, vertical, et se tortiller le derrière pour se faire toucher tous les coins et recoins de sa chatte. Et cette nuit là, elle a obtenu une dizaine d’orgasmes abondants et toujours bruyants et elle à sucé et aspiré plusieurs fois le gros zeb de son amant. Enfin, vers les quatre heures de l’aube, rassasiée, elle a rejoint la maison, avec sa complice radieuse de leurs succès. Et, exténuée de plaisirs sexuels, elle s’endormit tout de suite en réglant son réveil pour les 11h. Et ce fut ainsi pour chaque soir, pendant les dix jours de mon absence, presque avec les mêmes scène et les mêmes exigences de sa chatte avec le gros zeb de l’homme. Ce dernier, à la force de l’âge était emballé par ce beau corps blond et bien rempli de ma femme russe, ses ressources sexuelles étaient suffisantes et son gros zeb et ses couilles lui firent honneur.

Enfin, après dix jours et nuits d’absence, je suis revenu de mission et ce fut ensuite, pour ma femme quelques jours de repos sexuel, sauf une fois où je l’ai baisée et éjaculé en vitesse comme d’habitude, sans comparaison avec les prouesses du zeb de son amant.
Après une semaine, j’ai du repartir encore en mission pour dix jours. Et comme prévu, dès le même soir, les deux femmes, affamées de sexe, ramenèrent leur amant pour une nuit pareille aux précédentes, et elles ont baisé jusqu’à l’aube, ma femme ayant toujours eu la priorité et un surplus du gros zeb et de sperme. Mais, au début de la quatrième nuit, il y a eu un problème entre l’amant et l’employée puis avec ma femme. Dès son entrée dans le jardin et avant de rejoindre la loge des plaisirs, l’homme, pensant que les deux femmes étaient devenues les esclaves consentantes de son zeb, a informé l’employée qu’il désirait, ce soir, baiser ma femme dans la maison, sur le lit conjugal. Comme l’employée a refusé, il est entré dans la loge et exigé de ma femme qu’elle l’amène dans la maison, mais elle a refusé, alors il ya eu des mots de part et d’autres et l’homme est reparti. Il a du penser que les deux femmes allaient l’implorer de revenir, mais l’employée referma derrière lui la porte extérieure du jardin, en l’insultant et exigeant de ne plus revenir. Et c’est ainsi que les deux femmes se trouvèrent à jeun de zeb pendant le reste de mon absence. Ma femme, qui s’est habituée aux grandes baises ne pouvait plus accepter d’en manquer. Elle supplia puis exigea de son employée de trouver, en urgence, une solution, un zeb à la hauteur.Et l’employée, qui était bien au courant du monde sexuel de la région, réussi assez vite dans sa mission. En effet, le lendemain même, très tôt, elle alla voir une amie, pratiquante des zeb comme elle et qui lui donna une information. Et ainsi, le jour même, elle alla au marché pour, soi disant acheter des layâtes chez le vieux marchant des épices qui, comme prévu, l’a envoyée en chercher dans son hangar de stockage, situé dans un autre quartier et qui était gardé par un africain, un homme de couleur dans la force de l’âge. Son amie l’avait informée que ce dernier, étranger, vivait au fond du hangar où il a installé ses effets pour cuisiner, se laver et dormir et aussi y amener des femmes le cas échéant.
Elle alla le voir pour les layâtes mais aussi pour voir s’il pouvait faire leur affaire, à elle et à sa patronne. Elle lui donna le reçu des produits et ils pénétrèrent le hangar, et rapidement l’homme fouilla dans les grands sacs et lui remit les layâtes. Ils étaient seuls dans le hangar et la femme en profita pour observa l’africain, soupesa sa puissance et connaissant les qualités des zobs africains, son regard insista surtout sur la braguette de l’homme qui remarqua cela rapidement. Et ce qui devait arrivait, arriva, le zeb se réveilla et gonfla la braguette qu’l poussa pour former un gros et long chapiteau bien visible dans le pantalon. La femme continua à regarder la braguette gonflée et cela encouragea l’africain. Rapidement, il ferma le hangar et enlaça la femme qui se colla immédiatement au ventre de l’homme.

Et en quelques minutes, ils furent nus et couchés sur une large couverture étalée dans un coin du hangar. Et la femme vit le gros et long zeb de l’africain, conforme aux qualités qu’elle espérait et sa chatte le recueillit avec halètements emballés et gémissements de désir et de plaisir. L’Africain la baisa longuement en enfonçant son zeb jusqu’aux couilles et par des dizaines de vas et viens vigoureux. Malgré que la chatte de la femme avait une grande expérience, elle eu quelques douleurs à accueillir le gros et large zeb de l’africain, mais rapidement, sa chaleur et sa mouille s’habituèrent au volume de ce pieu de chair. Ils baisèrent pendant deux heures et par trois fois par devant et par derrière et la femme eu plusieurs orgasmes hurlants et l’homme éjacula aussi par trois fois sur les poils de la chatte, sur le ventre, les seins et les fesses de la femme. Plus tard, quant elle sortit du hangar, comblée sexuellement, la femme savait qu’elle avait trouvé le remplaçant de son ancien amant. Le lendemain, elle revint le voir vers 16h et, nue après deux baises et éjaculations, elle l’informa de son plan. Elle désirait qu’il vienne, ce soir même, vers 20h pour la baiser encore, ainsi que sa patronne, jusqu’à 23h ou plus à son aise, avant de retourner se coucher dans son hangar.
Il accepta avec plaisir, pensant déjà à cette Russe blonde aux larges fesses, dépeinte par l’employée. Et cette nuit même, il était devant la porte extérieure du jardin.

L’employée avait, entre temps, hier et aujourd’hui, expliqué et convaincu ma femme qu’elle avait trouvé l’homme d’une nouvelle expérience et discret. Et c’est ainsi qu’à 21h30, ma femme fit la connaissance d’un Africain et de son gros, large et très long zeb noir, aux nervures gonflées. Il l’affola tout de suite et sa chatte explosa de mouille avant même de la pénétrer. Comme l’employée avait déjà gouté ce zeb le jour même, elle laissa la priorité à sa patronne qui commença par empoigner et sucer l’engin qui était déjà gonflé. L’Africain, dès qu’il a vu cette grande blonde au corps épanoui et aux fesses larges et dodues, était prêt à la violer si nécessaire. Pendant qu’elle le suçait, il lui pelota et malaxa les larges fesses blondes et les gros seins épanouis et en bonne tenue tut en suçant leurs boutons roses. Il était excité, au bord du viol, alors il l’enlaça tout contre lui pour bien sentir son corps, et il la reposa le dos sur le lit, les jambes et les cuisses levées bien haut et largement écartées. Un tableau affolant, ce mont de vénus gonflé et surtout cette chatte rosâtre et bien épilée. La Russe était aussi excitée à la vue et au touché de ce gros et long zeb noir, aux veines saillantes et gonflées et sa chatte palpitait déjà et brillait de sa mouille Il empoigna son zeb pratiquement horizontal et le glissa entre les lèvres roses de la chatte, d’abord doucement, avec précautions, sachant son volume et son épaisseur. Mais dès que la grosse tête du zeb est entrée dans la femme, et qu’elle a ressenti sa chaleur et son volume, elle hurla de plaisir et ses jambes poussèrent les reins de l’homme pour la pénétrer. Alors l’homme, encouragé et excité, poussa son zeb avec énergie. Le gros pieu de chair noire s’enfonça en vitesse et jusqu’aux couilles, dans la chatte de ma femme qui hurla à s’. Sa chatte ne résista pas, elle explosa immédiatement son premier orgasme abondant et bruyant et elle colla son bas ventre contre celui de l’Africain et s’immobilisa pour mieux gouter à fond sa jouissance. Puis, presque étourdie, elle s’affaissa, le dos sur le lit. L’Africain s’étant arrêté un court instant, surprit par l’explosion rapide de la chatte pénétrée, démarra alors ses mouvements de vas et viens de plus en plus violents et accélérés. Maintenant, son zeb, malgré sa grosseur, glissait facilement à l’intérieur et dans le chaleur de la chatte et, excité, il se gonfla encore plus. Ce gonflage du zeb dans son intérieur agit directement sur ma femme et affola sa chatte. Elle profitait maintenant de ces pressions alternatives du zeb à l’intérieur de ses entrailles. Le zeb de son mari et même celui de son premier amant n’avaient pas cette force de frottements et d’écartement interne de sa chatte et c’était merveilleux, comme un nouveau dépucelage. Elle n’avait jamais gouté un aussi gros et large plaisir et les jouissances remplirent tout son corps de frissons agréables. Et ainsi, pendant une bonne heure, les deux amants baisèrent en continuité, avec de petits arrêts, pour permettre à ma femme de souffler, durant les trois autres orgasmes qu’elle a eu durant cette première baise. Enfin, les couilles de l’homme annoncèrent leur jus. Alors, l’Africain accéléra ses coups de zeb avec douces violences qui firent hurler de façon continue ma femme. Le bruits de sussions des deux sexes mouillés pendant ces vas et viens amplifièrent leurs jouissances jusqu’à amener l’Africain au top. Pour ne pas juter dans la chatte, il retira son zeb. Et, l’empoignant il se branla face à la chatte de la femme et aboutit à quatre éjaculations abondantes qui vont le faire hurler autant que la femme. Ses jets de sperme aboutirent sur les lèvres de la chatte, sur son bas ventre et même loin devant sur ses seins. Ensuite, en maître du corps de ma femme, il s’essuya le zeb sur le mont de vénus, sur le bas ventre et sur les lèvres de la chatte, puis il s’allongea à coté, sur le dos, le zeb, légèrement courbé vu sa longueur. Mais il était encore lourd et gonflé et brillait de sperme et de mouille Il était splendide. Par cette seule première baise Africaine, ma femme semblait épuisée.

Mais dès qu’elle vit, à coté d’elle, le zeb encore presque vertical , elle se redressa et ne put s’empêcher de l’empoigner. Il était encore assez dur pour la pénétrer de nouveau, alors elle se coucha sur l’homme et positionna son zeb sur sa chatte. Elle fit quelques balancements des fesses et du ventre, et le zeb qui frottait son entre cuisses trouva tout seul l’entrée de la chatte. Alors, ma femme, d’une poussée graduellement volontaire, enfonça le gros zeb tout au fond de sa chatte. Quant elle arriva au fond, ventre contre ventre, elle hurla encore une fois et plongea dans les extases des jouissances. Elle se tortillait le bassin et sa chatte se branlait sur le zeb qui se regonflait de plus en plus. Elle joua avec ce gros zeb noir pendant un long moment jusqu’à obtenir un nouvel orgasme, puis, insatiable, elle continua et obtint un second fort orgasme et même un troisième plus faible, plus calme, mais si délicieux à désirer continuer indéfiniment avec ce merveilleux pieu de chair dans ses entrailles. Mais elle dut s’arrêter et dégager le zeb de sa chatte, car l’Africain lui signala qu’il allait bientôt juter. Elle se dégagea et recula sur les cuisses de l’homme, puis empoigna la merveilleuse queue et se mit à la sucer et à la branler vigoureusement jusqu’à ce que les éjaculations arrivent. Et par trois fois encore, l’Africain projeta abondamment sa semence, mais cette fois, en grande partie dans la bouche et la gorge de ma femme qui avala son sperme au maximum. Enfin, même quant le zeb se calma, elle continua à le sucer et à le nettoyer. Malgré qu’il avait fléchi et se courbait de fatigue, il était encore impressionnant par sa longueur et surtout sa lourdeur ensorcelante qui faisait frémir de désir ma femme. Elle venait de baiser par deux fois presque de suite et avait encore une folle envie de cette queue Africaine. Alors, tout en continuant à la caresser et à la branler doucement, elle s’allongea sur le ventre, à coté de l’homme. L’employé, nue et assise sur une chaise, face au couple bienheureux, se branlait la chatte, les cuisses largement écartées. Elle avait observé les deux baises sans un mot mais avec pas mal de gémissements de plaisir mais elle n’est pas arrivée à l’orgasme, fascinée par les prouesses du zeb africain. Ma femme se souleva sur ses coudes et fit signe à son employée qui vint s’allonger juste sous le visage de ma femme qui s’était mise à genoux, plongea sa bouche dans la chatte ainsi offerte. Et ma femme commença à lécher,sucer et parfois branler avec ses doigts la chatte de son employée qui fermait les yeux se laissant gouter le plaisir que lui donnait ma femme.

L’Africain, reposé, à coté de ma femme qui était à genoux, les fesses et le cul en l’air. Il observait le manège des deux femmes, mais ce qui retenait surtout son attention c’était le large cul de ma femme. Ses larges fesses blondes et bien en chair. Il allongea sa main pour caresser les et le cul de ma femme et cela eu pour effet immédiat à agir sur le désir de son zeb qui recommençait à gonfler et à s’allonger. En quelques minutes, son zeb redevint presque vertical, dur et totalement gonflé au plaisir. Alors, l’Africain se leva et se positionna derrière les fesses de ma femme. Il lui écarta les cuisses, souleva un son derrière, juste pour avoir la chatte de ma femme bien en vue, bien disponible pour une autre baise. Puis il s’installa de près entre les cuisses de ma femme et son zeb, glissé par-dessous, retrouva facilement l’entrée de la chatte et s’y enfonça rapidement avec un râle de désir. Ma femme ressentit le zeb qui la pénétrait et retirant sa bouche de la chatte de son employée, gémit longuement à cet enfoncement du gros et épais zeb africain. Alors, elle souleva et gonfla encore plus son derrière, pour permettre au zeb de bien faire ses mouvements de vas et viens. Puis elle recommença ses sussions et branles sur la chatte de l’employée. Et ainsi, pendant qu’elle donnait du plaisir à sa complice, elle offrait aussi sa chatte, par derrière au gros zeb de l’Africain. Celui-ci, presque hypnotisé par ces larges fesses si blondes et si douces, se lança dans une série de vas et viens vigoureux et accélérés qui chauffèrent en vitesse son zeb et ses couilles. Il s’accrochait aux hanches de ma femme et à chaque enfoncement de son zeb, il hurlait comme un forcené. Cela eut des conséquences sur ma femme qui s’excita aussi de plus en plus et négligeait ses mouvements sur son employée. Heureusement cette dernière arriva, à ce moment opportun, à son orgasme et sa chatte explosa sa mouille abondante dans un hurlement de jouissances qui éclaboussa le visage de ma femme, puis elle s’écarta du couple pour aller se rassoir sur la chaise. Pendant ce temps, l’Africain, continuait avec puissance à pilonner la chatte de ma femme, la tête sur le lit et le cul en l’air. L’Africain, fasciné par le tableau excitant du derrière de ma femme, gonflé devant ses yeux, osa même glisser un doigt dans le sillon des fesses et commençait à le frotter sur l’anus du cul de ma femme qui réagit par une augmentation de ses gémissements. Encouragé, l’Africain, toute en baisant la chatte, mouilla son doigt et le glissa de nouveau, doucement dans l’anus et à l’intérieur du cul de ma femme qui gémit encore bruyamment. Et par la suite, pendant tout le reste de la baise qu’il continuait sans fléchir de vitesse, il s’accrochait d’une main aux hanches pendant que le doigt de son autre main branlait l’intérieur du cul de ma femme. Baisée par un gros zeb d’un coté et légèrement enculée par un doigt de l’autre, ma femme sentait ses jouissances s’amplifier et s’accélérer. Et rapidement elle obtint un puis deux orgasmes et inonda le lit de sa mouille. Et surprise, comme elle se concentrait sur les mouvements du doigt dans son cul, et ayant presque oublié le zeb dans sa chatte, elle obtint un troisième orgasme inédit, provenant des poussée du doigts dans son cul. Elle était agréablement étonné d’obtenir un orgasme par le cul et commençait à penser à cette perspective pour le futur. Elle désirait aussi recevoir enfin du sperme chaud en elle, et ce ne pourrait être que dans son cul. Mais, surprise, c'est à ce moment là que l’Africain arriva à son top et retira son zeb de la chatte, tout en laissant son doigt à l’intérieur du cul féminin.

Ensuite, il se branla un peu avec son autre main, en vitesse et énergie et éjacula par trois fois sur le dos de ma femme, sur ses fesses mais aussi vers leur sillon et sur son doigt bien placé. Ensuite, il retira son doigt, le lubrifia de sperme et l’enfonça de nouveau dans le cul de ma femme. Puis il se mit à branler avec son doigt le cul de la femme, pour l’exciter. En plongeant son doigt, il constata que la pénétration s’est effectuée avec tellement de facilité qu’une bonne partie du sperme entra avec dans le cul de ma femme. Encouragé par les gémissements de la femme et son non opposition à son enculage digital, il essaya et réussi à forcer un second doigt dans le cul ouvert de ma femme qui gémit un peu de douleur mais resta en position. Plus tard, elle elle avouera que le plaisir obtenu au-delà de la gêne et de la petite douleur d’écartement de son anus, ce plaisir là était différent mais aussi agréable et jouissant que celui de sa chatte. Et sans se forcer, elle décida que plus tard, elle acceptera de se faire dépuceler le cul pour gouter et s’initier aux plaisirs des sodomies. Elle en avait entendu parler, mais jamais son mari n’avait essayé de la toucher de ce coté là. Elle décida d’en discuter avec son employée et, peut-être avec cet Africain qui semblait s'intéresser déjà à son cul. Enfin ils se séparèrent et s’allongèrent pour se reposer. L’homme avoua à ma femme que ces trois baises ont été un délice et que son zeb est capable de continuer à honorer sa chatte toute la nuit si elle le désirait. Mais elle lui rappela qu’il fallait aussi penser à la chatte de son employée. Mais l’homme avait d’autres intentions, il continua à lui parler de son large derrière et de son cul si chaud et si doux sous ses doigts et qu’il aimerait bien le faire gouter à son zeb. Il lui donnera autant de plaisir, sinon plus qu’avec sa chatte. Ma femme accepta le principe mais pour une autre fois. Alors ma femme se retira et son employée prit sa place sur le lit. Elle empoigna le zeb de l’Africain et pendant un long moment, elle le lécha, le suça et le branla vigoureusement jusqu’à ce qu’il redevienne aussi dur qu’avant, vertical et bien gonflé. Alors, elle s’allongea sur le lit, le dos sur le matelas et écarta ses cuisses pour offrir sa chatte au gros zeb de l’Africain, toujours prêt au plaisir.

Ma femme, assez fatiguée et aussi pour leur permettre de baiser à leur aise, quitta le couple pour aller prendre son diner puis se doucher et se coucher. Ce n’est qu’une heure plus tard, elle entendit son employée rentrer. Elle dina en silence et se doucha sans trop faire de bruit pour le pas réveiller sa patronne. Mais après, quant elle vint contrôler que ma femme dormait, celle-ci était bien éveillée. Elle attendait sa complice car elle désirait coucher avec elle, dans le même lit, toutes nues. Alors l’employée enleva son peignoir de bain et soulevant le drap, elle se colla sur le corps de ma femme et ainsi, elles s’endormirent, comblées de sexe et sans penser un instant au mari absent. Cette aventure allait continuer avec l’Africain pendant tout le reste de la période de mon absence. Chaque soir, il venait bien armé de son gros, long et épais zeb noir, gonflé de désir et honorait les deux femmes, au moins trois fois la mienne devant et derrière et une à deux fois l’employée. Par la suite, un soir, ma femme accepta d’être dépucelée du cul et commençait à s’initier aux sodomies. Son employée, malgré ses multiples baises ici et ailleurs, depuis des années, n’avait jamais été enculée. Mais, encouragée par sa patronne et l’Africain, elle sera donc aussi dépucelée du cul et les deux femmes vont, ensuite, se plonger dans les plaisirs des baises et des sodomies. Je vous raconterais cela par la suite.

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