La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1401)
Lesclave salope au Château (Suite de l'épisode N°1400) -
Cest sur Ses mots que le Noble sen va à me laisser ainsi attachée, à baver et souillée pleine de boue et je lavoue encore, très excitée de la situation... Dun seul coup, je me trouve seule avec les bruits des feuilles légèrement secouées par le petit vent et celui des oiseaux gazouillant qui se font entendre
Doucement la boue sèche sur ma peau nue et agit comme une sorte de cuirasse ou cataplasme géant. Etre attachée ainsi mexcite et si le sentiment dabandon commence à poindre, je ne doute pas de la parole du Maître qui a dit quIl allait déjeuner et revenir, ainsi je me rassure et japprends à patienter
Mais mes muscles des bras me font mal car ils sont tendus à lextrême sous le poids de mon propre corps
Une heure sécoule quand le Châtelain revient. Et sans un mot, il me caresse le visage et passe sa main sur la boue séchée sur mes épaules :
- Humm, voici une bien belle statue dargile ! Vois-tu Ma salope, Durant des siècles, dans la région on a exploité des carrières dargile à côté des vignobles, et cette terre jaune on en trouve un peu de partout dans les sols, comme ici !
Cette boue séchée donc est tout simplement de largile et est réputée pour ses vertus réparatrices pour la peau
Alors je vais te détacher et te faire prendre encore une bonne dose dargile, tu vas apprécier, tu verras dans quelle conditions, ton bain dargile va se passer, Ma salope esclave de chienne
Le Maître me détache de toute contraintes (liens et bâillon) et je tombe à terre sur les genoux, emportée par mon propre poids car mes muscles se détendent qui sous leurs engourdissements accentuent la douleur quelques instants. Le Noble exige malgré tout ça, que je me mette debout, jambes écartées, mains derrière le dos, tête baissée. Jobtempère avec difficulté, la boue séchée qui craquelle ne maidant pas à me déployer en position debout. Ensuite, Monsieur le Marquis sort de sa poche un uf vibrant avec une télécommande et commence à fouiller ma chatte de sa main sans préambule.
- Tu vas sauter dans la fosse, il y a environ 30 centimètres dargile au fond. Je veux que tu te roules dans cette boue mais quen même temps tu te branles uniquement ton clitoris de salope. Je ne veux pas que tu te doigtes, juste te branler ton clito. Luf vibrant que je tai mis, dans ta chatte de chienne en chaleurs, est prévu parfaitement étanche et donc fonctionnera sans souci, je le mettrai en marche quand bon me semblera. Et je tinterdis de jouir tant que tu ne seras pas autorisée. Tu es autorisée à Me supplier de taccorder la jouissance, mais ce sera selon Mon bon vouloir, ou pas, que je taccorderai la délivrance jouissive
Ensuite quand tu sortiras de la fosse sous Mon ordre, tu auras une puissante et invraisemblable humiliation qui tattend, humiliation laquelle tu as tant besoin, et qui durera jusquà demain matin
Ainsi tu passeras une nuit laquelle, tu nes pas prête doublier, crois-Moi bien
De quelle méga humiliation parle-t-il ? Ceci dit, je ne sais pas quoi faire car malgré mon excitation, je nose pas sauter dans la fosse, même si elle est peu profonde, la boue nest quà 1 mètre du sol, ce qui doit faire, avec lépaisseur dargile, une fosse dune profondeur d1,30 mètre. Voyant ma crainte, le Maitre me pousse alors et mon cri de surprise va jusquà que mes pieds touchent le fond mou de la fosse faisant guise damortisseurs.
- Tu vas timmobiliser et te coucher sur le dos dans ces 30 centimètres de boue en écartant largement tes cuisses et tu pourras jouir uniquement quand tu hurleras le plus fort possible et toujours en te branlant Je suis une sale souillonne, une grosse cochonne, une sale truie qui se branle dans la boue. Je veux que tu répètes cela sans tarrêter. Et quand je changerai la vitesse des vibrations de luf dans ta chatte, à ce moment-là et uniquement à ce moment-là, tu pourras jouir à volonté, cest-à-dire laisser éclater tes multiples orgasmes sans tarrêter, salope de chienne
Je mexécute, ny tenant plus, lenvie de jouir étant trop forte, et même si jai un peu honte de clamer de tels mots, je reconnais quils mexcitent autant que la situation, alors je me mets à crier et à rabâcher dune voix forte et bon nombre de fois à tue-tête Je suis une sale souillonne, une grosse cochonne, une sale truie qui se branle dans la boue tout en accentuant frénétiquement ma masturbation de mon clito, les cuisses largement écartées, couchée dans la boue. Luf mapportant une excitation supplémentaire. Et quand ce dernier change de vitesse, sous la télécommande du Maître, mais seulement au bout de longues minutes, je peux enfin laisser éclater mes multiples orgasmes explosifs qui senchaînent sans discontinuité, je ne peux plus maitriser mon corps qui de soubresauts en soubresauts, explose littéralement de jouissances, Des spasmes intenses, violents menvahissent et mes cris orgasmiques doivent sentendre jusquaux fonds de la forêt
Le Châtelain reste silencieux et me laisse me reprendre, retrouver mes pieds sur terre, retrouver mes esprits et il faut de longues minutes avant de refaire surface, tellement jai grimpé au plafond des jouissances
- Parfait, Mon esclave, jai rarement vu et entendu une esclave jouir de la sorte.
Que veut dire le Maître ? Javoue ne pas deviner quel genre dhumiliation Il va me faire subir, mais je me connais jaime être humiliée, jen ai besoin, profondément besoin, le Maître le sait plus que tout. Et sIl a décidé de mhumilier, cest de Sa part comme une sorte de cadeau et donc je sais que je vais très certainement adorer
Toujours dans la fosse, je vois le Noble sortir son portable de sa poche et appeler une personne.
- Félix ?
Oui comme convenu
tu attends derrière la clairière ? OK
Oui tu peux venir maintenant par le chemin des Marronniers, avec ton véhicule, jai une livraison pour toi
Oui, oui comme dhabitude, tu lui feras le même traitement habituel
En effet, tu me la ramènes demain matin, pas de souci
A demain, Félix
Monsieur le Marquis raccroche, range son portable, me regarde et me dit :
- Je vais te laisser entre les mains de Félix qui a ordre de ne pas te prendre dans aucun de tes orifices. Dailleurs, les femelles ce nest pas son truc, car il est homosexuel et seuls Mes soumis mâles, je les lui offre de temps en temps. Il va thumilier dune manière inattendue pour toi et il te ramènera au Château demain matin dans son véhicule. Je te laisse, il ne va pas tarder darriver. Je te dis à demain matin, et bonne humiliation ! Mon esclave salope de chienne
Sur ces mots le Noble me tourne les talons et sen va dans une démarche emplie de prestance et délégance. Je nai pas à attendre longtemps car jentends assez rapidement le bruit dun moteur et je vois arriver une camionnette, mais à y regarder de plus près, il sagit en fait, dune bétaillère à bestiaux. Je renifle tout de suite la puanteur du véhicule qui sent fortement le porc, ce qui me fait comprendre que des cochons sont à lintérieur, et cela est confirmé quand jentends les grognements des cochons.
- Tient, vla la salope qui faut qujemmène ! Vient par-là, toi, la souillonne
me dit-il en me tendant son gros bras avec sa main sale pour me faire sortir de la fosse.
Je lui prends rapidement la main et je me sens soulever comme une plume pour me retrouver hors de la fosse. Et cest sans ménagement et sans un mot de plus quil matt par la chevelure pour mapprocher de larrière de la bétaillère quil ouvre de son autre main, tout en me tirant fermement mes cheveux. Je suis pétrifiée de stupéfaction quand je vois la dizaine de cochons à lintérieur et je comprends à ce moment-là quil va me mettre avec les cochons pour le trajet lequel je ne sais pas où il va memmener. Quand jai vu la bétaillère, je pensais tantôt être passagère à ses côtés, mais il en nest rien, cest bel et bien avec les porcs quil va me faire voyager. Tout dun coup, je me sens fermement maintenue par les hanches et soulever pour me retrouver à lintérieur de la bétaillère et sans que jai le temps de réagir la porte arrière se refermer derrière moi. Les cochons viennent près de moi et me reniflent de partout en grognant paisiblement et je maperçois vite quils ne sont pas agressifs, ils ne tardent pas à ne plus faire cas de moi quand jentends la bétaillère redémarrer. Je me tiens à une barre pour amortir les cahots du chemin puis cest un peu plus stable quand on arrive sur la route que japerçois entre les barreaux de la paroi du véhicule. On roule environ une bonne heure. Je suis surtout incommodée par la puanteur excessive des cochons et paradoxalement excitée par cette humiliation qui me rabaisse à létat animal.
Quand la bétaillère sarrête, je vois un grand bâtiment et je comprends vite quil sagit dune porcherie industrielle. Félix me descend du véhicule et me traine en me tirant par les cheveux jusquà lentrée de la porcherie, il me fait entrer et me jette dans un des nombreux enclos à lintérieur qui sont tous accolées les uns aux autres. Il doit y avoir environ plusieurs centaines de cochons au total et une vingtaine dans lenclos où je suis enfermée. Pareillement à ce qui sest passé dans la bétaillère, les cochons viennent me renifler de longs moments pour vite moublier, je me replis et recroqueville dans un coin de lenclos quand jentends Félix me dire :
- Monsieur le Marquis ma dit de tenfermer ici jusquà demain matin et après de te ramener au Château avec ma bétaillère. Tu passeras donc le reste de la journée et la nuit, ici. Tu peux faire tes besoins comme les cochons, cest-à-dire à même le sol dans la paille. Et tu peux manger et boire à volonté en mangeant la nourriture nutritive des cochons, en passant la tête entre les barreaux de lenclos pour avoir accès aux mangeoires et abreuvoirs... A demain la salope cochonne souillonne
Puis je le vois partir et je me retrouve seule avec les cochons qui puent fortement. De ma vie, je nai jamais été autant humiliée
(A suivre
)
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