L'Astronef De La Luxure

Pendant ce temps sur Anantapar, la planète tropicale aux vastes océans, située dans le Secteur Yarith ou s'était posé le Protée, assez loin du vaisseau suspect, Sariah, Jayline, Kaaref le sneevel se téléportèrent au pied de l'astronef. C'était un énorme cargo, Aussi haut que trois étages et presque aussi long qu'un terrain de football. Il fallait essayer d'aller voir, ce qu'il en était réellement, et ensuite faire un rapport au haut commandement.
La rampe d'accès était ouverte, aucun bruit ne troublait le silence environnant. Kaaref, s'engagea avec précaution dans la pente douce et déboucha ans le sas d'entré. Rien ne bougea, il fit signe aux deux jeunes filles de venir le rejoindre. Toujours sur leurs gardes, il suivirent un couloir qui les amena devant un ascenseur.
Sariah appuya sur le bouton d'appel, un léger chuintement la porte s'ouvrit.

— Tiens, dit-elle l’énergie n'est pas coupée, mais c'est étrange que ce soit désert ! Essayons d'aller voir au poste de pilotage.

L'ascenseur, les amena directement au cockpit, qui était désert lui aussi. Mais tous les voyants des appareils étaient allumés, et les instruments semblaient en état de fonctionner. La soufflerie de renouvellement de l'air tournait à plein régime, dispatchant une chaleur lourde et humide.

— Bizarre, dit Jayline, voyons voir !

La jolie technicienne s'approcha de l'ordinateur, chercha le journal de bord et lança la rétrospective des dernières 24 heures . Le plateau des images holographiques s'alluma.
Les cameras du second niveau étaient disposées dans une vaste soute, et balayaient lentement sans relâche des sortes d'alcôves fermées par du micavar, un métal complètement transparent, mais très résistant et incassable.
A l'intérieur se tenaient des humanoïdes, les images du troisièmes niveau se matérialisèrent à leur tour, le même spectacle mais des individus différents semblaient peupler les geôles.



— C'est quoi ça ? Pourquoi sont-ils enfermé ? Encore une entourloupe de Jélimar ? S'exclama Sariah. Jayline essaye d'en savoir un peu plus...
— Ce doit être ici, répondit celle-ci en ouvrant un fichier.

Une créature d'environ deux mètres trente se matérialisa sur le plateau. Il devait peser plus de
cent kilos. Sa couleur jaune orangée mettait en valeur ses muscles saillants. Sa peau luisante ressemblait à du caoutchouc boursouflé. D'énormes mains aux longs doigts terminés par des ongles acérés prolongeaient des bras extrêmement longs. Sa tête ronde comportait des yeux presque rouges, il n'avait pas de nez simplement deux petits trous à la place des narines. Il ouvrit la bouche découvrant ainsi deux rangées de dents extrêmement pointues. Sa langue, d'un rose prononcé descendit lentement plus bas que ses cuisses. Il se mit à genoux, la caméra zooma sur son phallus,
Son gland lisse rose foncé, de plus de trente centimètres de long, émergeait d'un fourreau granuleux de dix centimètres, il était terminé par une tête ressemblant au chapeau d'un champignon.
La longueur totale de ce sexe avoisinait les quarante centimètres.
Une monstrueuse paire de testicules se balançait doucement entre ses cuisses.
La voix de Jélimar, grinçante faisait le synopsis de sa création.

— Nous l'avons appelé Licker. C'est le résultat d'une expérience sur plusieurs sujets humains qui a mal tourné. L'objectif était avec le PPS de créer un super homme capable de d'éjaculer est de libérer son sperme sans discontinuer dans toutes les femelles de l'univers, cela aurait pu nous rapporter pas mal d'argent.
La répétition d'injection de drogue a donné ce résultat. Ce qui est étonnant c'est que sa salive transforme rapidement toutes les femelle en salopes, affamées de sexe. Par contre nous avons réussi en faisant produire à sa salive du PPS, sitôt qu'il lèche une femelle avec son immense appendice buccal, elle devient aussitôt accroc au sexe, de la même façon que si elle avait reçu un piqûre, et il peut alors jouir de son corps en toute quiétude, elle accepte entièrement son immense phallus.

Voici maintenant le second spécimen, nous avons utilisé 99. Sur les millions de clones créés sur Kamino, tous ne pouvaient pas être parfaits, son développement biologique fut défectueux. Comme ce clone était absolument inapte au combat, et plutôt que de le supprimer, les Kaminéens nous vendirent tout un lot de 99. Mais là aussi l’expérience fut un échec...

A ce moment la on entendit une explosion sourde, l'image et s'effaça, du plateau. Au bout d'un moment l'image de Jélimar ordonnant l'évacuation du cargo, apparut sur la plate-forme holographique, il expliquait que le stock de drogue venait d'exploser, et que c'était vraiment dangereux d'inhaler cette substance non diluée. La bande holographique se terminait ainsi.

— Ah, nous avons l'explication, dit Sariah. Ils sont tous descendus... Bien, nous allons visiter ce cargo, puisqu'il n'y a personne nous pouvons nous séparer. Mais ne trouvez-vous que l'on meurt de chaleur ici. Puisque c'est désert je vais me mettre à l'aise.

La jeune blonde, quitta sa veste, ôta son pantalon, elle ne portait plus qu'un minuscule string soutenu sur ses hanches par une fine cordelette, qui cachait tout juste la fente de sa chatte bien rasée, sur ses seins une toute petite bande de tissu nouée par des ficelles très minces, recouvraient à peine ses mamelons.

— Ouf, je me sens mieux...
— Je vais faire comme toi, dis Jayline,

Et elle se retrouva avec une sorte de body arachnéen qui lui enveloppait les seins, une étroite bande de tissu transparent descendait sur son ventre, voilait à peine sa chatte glabre et se terminait par une ficelle passant entre ses fesses qui remontait se fixer sur chacun de ses seins.

— Moi je suis déjà tout nu, ricana Kaaref, juste une question... comment trouvez-vous ma bite par rapport à celle de la créature...

Les deux jeunes filles pouffèrent de rire.

— Parfaite, dit Jayline, et si Abby nous en donne l'autorisation, il faudra qu'un jour on essaye tes anneaux !
— Trêve de plaisanterie.
.. allons-y, rendez vous ici à la fin de l'inspection. Ordonna Sariah. Je prends le troisième niveau du bas.
— Moi je reste ici fouiller dans l'ordinateur pour essayer de trouver des indices... dit Jayline.

Ils montèrent dans l'ascenseur, Kaaref descendit au premier arrêt, une courte descente et la porte s'ouvrit. Avec précaution Sariah sortit
le pistolet laser en avant. Elle s’avança doucement dans l'espace désert. Un léger bruit la fit sursauter.

— Il y a quelqu'un ?

Une porte était ouverte, elle entra, son arme pointée. Sur une table gisait un humanoïde inerte, dans un coin de la pièce une forme avachie, semblait prête à tomber. Elle les regarda fixement à tour de rôle.

— Hé, les gars vous êtes gentils et morts, la dernière chose dont j'ai besoin c'est de rencontrer ce Licker, pour me faire baiser.

Mais tout d'un coup l'espèce de zombie assis sur la chaise fit un pas en avant, il se redressa.

— Putain ce n'est pas Licker, c'est l'autre 99 !

Il était tout aussi laid, il mesurait lui aussi environ deux mètres, pour un poids de cent kilos. Sa musculature était vraiment impressionnante, mais c'était l'appendice sexuel de soixante centimètres et d'une grosseur de dix centimètres, qui se balançait entre ses jambes qui donna la chair de poule à Sariah pourtant habitée aux sexes gigantesques. Ses yeux noirs enfoncés dans leurs orbites fixaient la jeune blonde, d'un regard lubrique. Des mandibules proéminentes dépourvues de lèvres étaient ornées de dents acérées. Il n'avait que quatre doigts aux ongles démesurés.
Sariah se rappela les paroles de Jélimar, ces monstres avaient été créés pour baiser les femmes sans relâche ! Il approchait,

— Tu voudrais me baiser, sans doute !

Sariah fit feu, l'éclair bleu foudroya le monstre, mais la légère détonation se répercuta sur les murs. Elle entendit du remue ménage dans la pièce attenante, des pas semblèrent se rapprocher.


— Oh merde, la déflagration les a réveillé, j'aurais dû utiliser le couteau.

Mais c'était trop tard, six individus pénétrèrent rapidement dans la pièce, elle leur fit face, de l’adrénaline se répandit dans ses veines, sa respiration s’accéléra, prête au combat elle inspirait et expirait profondément et lentement. Sa tête tournait légèrement, une douce chaleur commençait à se répandre dans son ventre.

— Oh mon Dieu, le PPS...

Jélimar avait fait évacuer le vaisseau car le émanations du produit pur dispersé par l'explosion, étaient nocives pour celui qui les inhalait, cette drogue décuplait les pulsions sexuelles.

— Aïe, aïe....,la drogue, ça me prend.... trop vite, oh putain, pas maintenant, pas ici avec ces choses, nonnnnn !!!!!

L'un des humanoïde s'approcha, il lui entoura la taille d'un bras tandis que son autre main se posait sur la cuisse nue de la jeune fille. Un autre arriva, posa à son tour sa main sur sa cuisse gauche, Un de ses doigts se glissa sous la ficelle du string, il tira d'un coup sec, le mince cordon céda et le petit morceau de tissu s'envola.
Une douce euphorie, l'envahissait, elle ne réagissait plus, le pistolet laser tomba de sa main.

— Je ne peux pas résister ... j'ai besoin ta bite en moi, j'ai besoin de sperme...

Un des monstres la hissa sur la table, on lui écarta les cuisses, on lui tint aussi fermement les bras, une langue rêche lui lécha la fente, le bout s'insinua dans son vagin.

— Ouiiiiii, ouiiiiii ma chatte est en feu, baise moi, Oh putain oui, me lèche-moi, comme je n'ai jamais ressenti! J'ai picotements partout, j'ai besoin de ta bite, de ton sperme…

Ses épaules furent tirées en arrières, un gros doigt boudiné écarta les lèvres de sa chatte, il s'enfonça profondément et fit des allers et retours. Elle commença à mouiller abondamment, le mutant dut s'en apercevoir il en adjoignit un autre, Sariah gémit de contentement. Il fit sucer à la jeune fille son majeur couvert de son foutre, elle suça avec volupté.
Une autre créature, la fit mettre à genoux, son monstrueux phallus dur comme du bois, se frotta pendant un long moment pénétrant à peine la fente baveuse de la jolie blonde, Sariah de plus en plus excitée, attendait avec délice la pénétration en gémissant. Enfin, il se décida, le gros gland écarta les lèvres et s'enfonça doucement dans le conduit trempé. Il lui attrapa les poignets et la tira vers lui, elle cria de jouissance sentant glisser l'énorme cylindre dans ses entrailles. Elle écarta au maximum les cuisses et les cinquante centimètres de la bite colossale entrèrent entièrement en elle.
Son cœur battait la chamade, elle trembla et poussa un cri de plaisir, lorsqu'elle sentit qu'il lui dénouait les ficelles de son mince soutien gorge.
Libérés de leur soutient ses seins aux pointe brunes turgescentes se mirent à tressauter sous les coups de boutoirs de l'immense phallus, le morceau de tissu chut au sol, elle était complètement nue.
Toujours en elle, le monstre se débrouilla pour la positionner de dos sur ses cuisses, sa queue glissait ainsi encore plus avant dans le sexe écartelé et trempé.
Un de ses congénères monta sur la table et présenta son phallus en totale érection devant la bouche de Sariah, celle-ci desserra les dents et la bite envahit sa cavité buccale, elle la suça avec entrain, l'avala entièrement, au bout d'une vingtaine d'allers et retours, elle fut obligée d'avaler une énorme quantité de sperme. Il avait tout juste finit d'éjaculer qu'il fut projeté en bas de la table, par un autre
Qui enfila aussitôt son sexe dans la bouche gluante de Sariah. Il lui bloqua la tête son phallus s'activa a toute vitesse entre ses lèvres, elle ne pouvait pas bouger car deux créatures lui bloquaient les bras.
Il éjacula assez rapidement sa semence tiède et gluante, Sariah déglutit à nouveau le liquide translucide, dont elle aimait assez le goût, légèrement acidulé.
Il fut à son tour éjecté de la table, un autre se présenta devant la jolie blonde, du sperme coulait de sa bouche, et s'étalait autour de ses lèvres. Des coulées de liquide maculaient ses seins. Le nouvel arrivant la saisit par les cheveux lui tira la tête vers l'arrière, avec sa bite il ramassa le sperme épars sur son menton et le poussa dans la bouche grande ouverte. Elle voulut engloutir la bite, qui dansait devant elle, mais il lui fit comprendre qu'il désirait qu'elle lui lèche le gland de sa langue, ce qu elle s'appliqua à faire, elle l'entendit ronronner d'extase. C'était lui qui avait le sexe le plus long et le plus gros de ceux à qui elle avait fait une fellation. Puis il força ses lèvres et d'un seul coup entra la totalité de son immense gourdin au fond de sa gorge.
C'est à ce moment que deux autres mutants montèrent sur la table et se positionnèrent bites en érection totale de chaque côté de Sariah. Elle se saisit des deux phallus et commença à les masturber. Les grognements sourds des monstres, leurs cris lorsqu'ils éjaculaient sur ses seins et son torse, les hoquets de plaisir de Sariah, ses hurlements lors de ses orgasmes résonnaient sur les murs de la soute.
Cela dut leur donner des idées, car ils firent descendre de la table la jeune fille la couchèrent sur  une sorte de guéridon, jambes écartées, les pieds à plat sur le sol. Aussitôt celui qui avait la bite la plus volumineuse la pénétra à nouveau. Elle avait la tête penchée qui dépassait le bord du meuble, sa bouche se referma sur un sexe chaud, elle saisit dans chaque main les bites tendues vers elle, et les branla avec vigueur. Ils éjaculèrent rapidement sur son corps. Ils étalèrent sur les seins le liquide gluant.
Elle baignait dans un brouillard, de volupté, elle ne comptait plus les orgasmes qu'elle  avait eu, il lui semblait qu'au plus ils déchargeaient leur sperme en elle, au plus cela attisait sa libido et son désir de sexe. Elle hurlait sans discontinuer son plaisir.
Tous les six étaient insatiables, ils remplissaient parfaitement le rôle pour lequel ils avaient été créés, leur sperme ne tarissait pas, et Sariah en demandait encore et encore.
Le plus grand et le plus gros des six se coucha sur une sorte de matelas, son phallus éléphantesque d'au moins soixante centimètres dressé tel un obélisque. Deux de ses comparses amenèrent Sariah au-dessus, elle positionna son orifice vaginal, sur le gland décalotté et commença à plier les genoux, elle descendit lentement le long de hampe monstrueuse jusqu'à ce qu'elle soit entrée entièrement en elle, puis elle commença à faire tournoyer son bassin, avec des cris de plaisir gutturaux sortant de
sa gorge. Un monstre força ses lèvres avec un baiser, elle le lui rendit leur salive se mélangèrent. Un autre se mit à lui mordiller les tétons, le plaisir accentua les rotations de son bassin, elle jouit à nouveau en sentant les décharges chaudes du sperme qui coulait en elle.
Un autre se coucha, à quatre pattes elle l'enjamba, sa bite trouva naturellement sa place dans la chatte baveuse et écartelée, elle sentit qu'un mutant se mettait à genoux derrière elle, elle comprit ce qui allait arriver.
Celui qui était sous elle, lui attrapa les cuisses et les écarta, son copain appuya la tête de sa bite sur le petit trou de Sariah et poussa, les sphincters de la jeune blonde cédèrent le phallus glissa lentement dans le conduit anal.Un troisième lui présenta son mandrin à sucer, elle lui administra une fellation parfaite, il éjacula rapidement dans la bouche de la jolie blonde. Au même instant celui qui la sodomisait et le mutant qui emplissait sa chatte déversèrent leur semence simultanément.
Leur soif de sexe semblait inassouvissable, ils avaient été conçus pour faire l'amour et en plus ils avaient inhalé de la drogue pure.
Le sperme qu'ils injectaient à Sariah tant dans la bouche, que celui qu'ils étalaient sur son corps et celui qu'ils déversaient dans ses entrailles décuplait l'effet produit par l'intrusion des toxines ingérées, en se mélangeant à son sang. Elle était devenue une vrai salope affamée de sexe...
Elle subit deux par deux les pénétrations anales et vaginales des six mutants tandis que deux la prenaient ensembles, elle suçait un troisième et branlait les deux autres, qui éjaculaient toujours des quantités phénoménales de spermes sur son corps, le sixième se branlait son jus visqueux giclait sur son dos.
Elle nageait dans un nirvana de félicité, ses seins étaient durs comme du bois, ils avaient presque doublés de volume et lui faisaient mal à force d'être malaxés et triturés, ses mamelons saignaient à force d'être mordillés par les dents acérées, la douleur se mêlant au plaisir lui donnait des sensations exquises.
D'un seul coup, il cessèrent leur coït collectif, laissant la jeune fille étendue sur le sol, le corps couvert de sperme gluant et chaud, cela lui faisait une pellicule luisante sur toute la surface de sa peau en partant de son visage jusqu'à ses cuisses. Ils sortirent en titubant sans un regard pour celle qui avait satisfait leur soif de sexe. Sariah était épuisée, mais elle semblait sereine et comblée.

— Ohé Sariah ! Es tu là ?

Jayline entra dans la soute, elle se figea en voyant la jeune et jolie blonde étendue sur le matelas, trempé de sperme.

— Oh que t'est-il arrivé ?
— Oh putain, je suis couverte de sperme... dit la jeune fille semblant sortir d'un rêve...
— Oui ton corps en st couvert et du sperme coule de ta chatte...
— Un mutant ou même plusieurs, je me souviens qu'il y en au un qui m'a fait un cunnilingus, c'était bon... puis ensuite c'est le trou noir... mais je crois qu'ils m'ont baisé...
— Oui on dirait bien, mais rassure toi, les mutants ne peuvent pas procréer , du moins c'est ce que dit Abby...
— Je crois que j'ai inhalé de la poudre de drogue du sexe ! As-tu trouvé d'autres choses sur les ordinateurs ? Demanda Sariah qui retrouvait ses esprits.
— Oui mais....

Deux Lickers se précipitèrent sur les jeunes filles, l'un d'eux saisit Jayline et la jeta tel un sac sur son épaule. Le second se pencha sur Sariah passa ses mains sous ses aisselles et la releva.

— Sauve-toi Sariah hurla Jayline.
— Non, non... plus... nonnnnn.... s'entendit-elle crier.

A suivre...

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