« Gwen » : Cette Jeune Ingénue Pudique Va-T-Elle Vivre Son Fantasme ? Partie 1/3.
Je me prénomme Gwen, jai 27 ans, je suis une jeune femme brune que lon peut considérer comme ronde avec mes 1m72, 83 kg, 95D, mais je suis bien dans ma peau. Dans la vie de tous les jours, je suis forte de caractère, assez fière et même un peu volcanique. Sexuellement parlant, je ne suis pas très ouverte sur ce sujet, ça ne m'attire pas beaucoup dautant plus que je trouve moche le sexe masculin et je naime pas les toucher encore moins les mettre dans ma bouche. Dans ma jeunesse, j'ai fait ma première fois vers 16 ans et cela ne mavait vraiment pas marqué, ce nétait pas top du tout.
Vous avez compris que je suis une femme très pudique avec une sexualité très classique et je bloque sur la fellation et toute sorte dacte sexuel sortant de la pratique usuelle. Les hommes que je connus jadis y sont probablement pour quelques choses car ils ne pensaient qu'à leur propre plaisir sans soccuper du mien. Tout avait commencé avec Laurent, javais vraiment des sentiments pour lui. Lorsque lon faisait lamour, sans aucun préliminaire, comme il était très résistant, il mettait un temps fou avant déjaculer. J'étais obligée de simuler pour qu'il finisse car il avait un énorme sexe qui me faisait mal, je navais donc jamais joui. Fièrement, il enlevait son préservatif et lorsquil épandait par saccades son sperme sur mon pubis ou sur mon ventre, javais envie de vomir.
Une fois quil avait pris son plaisir, il me quittait en me souhaitant un simple : « bonne nuit » pendant que je me précipitais à la salle de bain pour me nettoyer de ce liquide blanchâtre et gluant qui sentait mauvais. Il pensait que je lui appartenais, il me faisait beaucoup de chantage sexuel et me rabaissait auprès de ses copains. Il leur disait que je n'étais pas un bon coup que je ne savais pas sucer et se vantait de m'avoir déflorée et quil serait le premier à baiser ma bouche et mon cul. Il voulait mobliger à faire comme les actrices porno, en fait.
Pour les suivants, je me sentais obligée den faire un peu plus afin davoir droit à du plaisir en retour. Je mefforçais sans les sucer, en fermant les yeux, à les masturber longuement en leur massant les testicules avec délicatesse. Tout ce que je faisais avec mes partenaires était contraire à ma personnalité et à ma volonté. Le seul homme qui mavait fait jouir comme une folle, ce fut Sébastien mon compagnon actuel. Nous nous sommes rencontrés il y a 4 ans grâce à une application de rencontre et depuis nous sommes en couple.
Chez Sébastien tout me plaît, il est beau, sportif, il prend soin de moi et me fait l'amour comme personne. Surtout, il ne me force pas à faire ce que je n'aime pas. Pour tout vous dire, je ne l'ai jamais sucé lui non plus, à son grand désespoir. Ce qui ne lempêche pas de me procurer beaucoup de plaisir. Ses cunnilingus, ses feuilles de rose sont magiques. J'adore le chevaucher mais quil me prenne en missionnaire, à plat ventre ou debout contre un mur, son sexe remplissant parfaitement ma petite chatte, je nai jamais simulé mes orgasmes.
Aujourdhui, il aimerait que je sois beaucoup moins chaste et que je me laisse aller. Dans un premier temps, il désirerait que je le suce volontiers. Après plusieurs essais, je ny parviens toujours pas, dès que jai son sexe devant mon visage et que jouvre la bouche, je ferme les yeux et dès que je le sens contre mes lèvres, je le repousse, je ne parviens pas à poursuivre mon action. Je déteste toujours autant lorsquil éjacule sur moi, mais désormais, jai fait beaucoup defforts en acceptant quil le fasse sur mes fesses car je ne vois rien.
Mais son rêve le plus fou, serait de parvenir à me sodomiser mais pour le moment, il ninsiste même pas car la fois quil mavait parlé de ce sujet, je métais mise en colère.
J'adore tellement ses caresses, ses doigtés et ses léchages que cela me suffit, néanmoins, lui voudrait me faire l'amour tous les jours, seulement, avec mon travail d'ingénieur assez stressant et mon réveil très matinal, je ne lui laisse pas le choix, nous le faisons que pendant le week-end. Je ne sais pas sil se masturbe, je nose pas lui poser la question mais une chose est sûre, moi je nai ni lenvie, ni le besoin de le faire, je préfère de loin que ce soit lui qui me fasse jouir.
Je suis donc une petite ingénue, plutôt fermée en amour comme le diraient certains. Pourtant je ne comprends pas, car moi aussi jai un fantasme de soumission, j'aimerais subir un chantage et que l'on de moi. Que cet homme me fasse des choses que je ne connais pas ou que je ne ferais pas en temps normal, même quil mhumilie. Ce fantasme mest venu adolescente, pendant une réunion familiale.
Chez-moi depuis ma jeunesse, je fus toujours très intimidée par le compagnon de ma tante Isabelle. Fabrice était un homme pas très grand mais trapu, assez poilu et basané de peau. Je ne le trouvais pas beau avec son visage mince et allongé. Ce qui mimpressionnait chez lui, cétait son regard sombre, avec ses yeux profonds, surmontés de sourcils épais et fournis, sans interruption au-dessus de son nez.
Il était très bien considéré dans la famille car on le voyait toujours souriant, charmant, séduisants, adorable avec les autres. Il fascinait ses beaux-frères par son charisme, les rendant quelque peu jaloux par son intelligence, il semblait tout connaitre sur tout. Ses belles-surs étaient subjuguées et en admiration devant ce séducteur.
Pourtant il nétait pas toujours tendre avec ma tante, avec ses critiques en public tout en finesse, sur son léger surpoids ou ses maladresses orales ou physiques. Il nhésitait pas de lui passer la main aux fesses ou en lui pelotant la poitrine en disant à ses beaux-frères et belles surs : « Regardez ce que jai acheté ! » En présentant en détail la lingerie fine, très sexy quil venait de lui offrir. Isabelle semblait être sa victime en se faisant manipuler, il ne lui laissait que très peu la parole, elle manquait de confiance en elle. Je trouvais cet homme pervers narcissique, je détestais Fabrice mais pourtant quelque chose chez lui mattirait et je ne savais pas quoi.
Je me souviens lorsque jétais adolescence, à seize ans javais déjà une forte poitrine. Ce dimanche, avec mes parents, nous étions reçus chez Fabrice et Isabelle. Lorsque je sortis des toilettes, je lavais croisé et me retrouvais face à lui dans le couloir. Il sarrêta me fixant droit dans les yeux, il posa sa main gauche sur mon sein droit en le soupesant longuement avant de venir me caresser le téton qui pris immédiatement du volume sous ses doigts. Puis il mavait dit calmement :
Avec des nibards pareils, tous les hommes vont être à tes pieds.
Jétais estomaquée, pétrifiée cet homme me faisait peur, je navais rien pu faire. Néanmoins, je culpabilisais car je navais esquissé aucun geste pour me défendre et javais même ressenti un certain désir sous cette délicate caresse. Lorsquil continua son chemin, je suis restée debout contre la porte des WC encore quelques minutes sans réaction, je suis retournée à ma place et navait rien ne dit à personne, surprise de me rendre compte que javais mouillé ma petite culotte. Depuis ce jour, lors des repas de famille, jhésitais de croiser son regard, pourtant il sarrangeait toujours pour se trouver face à moi et je ressentais ses yeux me déshabiller sans aucune pudeur, là encore mon corps réagissait et mon intimité shumidifiait.
Depuis ce jour, jhésitais à venir à ces repas mais je ne pus les éviter tous. Il y a deux ans, cétait à la communion dune nièce, pendant le repas, il était passé derrière moi mavait posé sa main innocemment sur mon épaule dénudée et en la caressant tendrement, il se penchant à mon oreille :
Tu dois être une bonne coquine toi, jaimerais bien être à la place de ton mec. Me dit-il en me soufflant sur le visage.
Une nouvelle fois, je navais pu dire ou faire quoi que ce soit. Javais même apprécié malgré moi la douceur de sa main et de la cyprine sétait écoulée à lextérieur de mon vagin. Son souffle sur ma figure mavait quelque peu dégouté, je fus bouleversée mais en y réfléchissant plus tard, jen avais trouvé une certaine fierté car personne ne mavait fait cela. Fabrice avait fini par quitter Isabelle, il sétait remis en couple avec une femme beaucoup plus jeune et docile et depuis je ne lai jamais revu.
Pourtant dans le cadre de mon travail, lors dun séminaire, je devais me rendre à Toulouse trois jours. Mon collègue étant malade, jétais la seule de mon agence et ne connaissait personne. Dans la salle de réunion, les tables étaient disposées en U devant le bureau de notre formateur et consultant. À lopposé, face à moi, se trouvait un homme qui mavait fait penser tout de suite à Fabrice. Pas avec son physique car il était grand et costaud mais la forme de son visage, ses sourcils et son regard sombre et profond me fit penser à lex-compagnon dIsabelle.
Ce fut le cas aussi dans la prise de parole, il avait réponse à tout et nattendait pas que le formateur lui demande pour la prendre. Toute la matinée, il navait pas arrêté de me dévisager. Sen était presque gênant mais javoue que javais très apprécié que quelquun soccupe de moi. Lorsquil avait commencé à me sourire, javais compris de suite que jétais sous son contrôle, je me refusais de le croire mais je ressentais le besoin de le regarder puis de lui sourire timidement.
Lors du déjeuner, javais choisi de le prendre avec cinq de mes collègues féminines et je maperçus que je nétais pas la seule à avoir remarqué cet homme dà peine la quarantaine dannée sûr de lui. Le sujet de conversation de mes voisines tourna autour de lui pendant tout le repas et je métonnais den être jalouse. Cela se poursuivit laprès-midi, il ny avait rien à faire, jétais comme ma mère et mes tantes avec Fabrice, je buvais ses paroles et plus je le regardais, plus il me semblait moche mais je ne pouvais pas faire autrement que de ladmirer, ce type me fascinait malgré moi.
Le soir avant de quitter létablissement, ce type mattendait en bas des quatre marches du perron et me demanda.
Je suis Nicolas, toi cest Gwen si jai bien compris. Je te trouve très sympa. Il est encore tôt, on prend un verre ensemble ?
Non merci ! Je dois joindre mon mari au téléphone. Lui ai-je répondu sans sourire.
Jespérais quil ait compris et me laisserait tranquille repartir vers mon hôtel mais ce ne fut pas le cas, il persista. Il commençait à ménerver et je voyais quil ne me lâcherait pas. Sous son insistance, je cédai et le suivi jusquà la brasserie sur la place. Nous étions tous les deux assis côte à côte quand un homme sortit son portable pour faire une photo.
Nicolas me mit la main autour de mes épaules sans que je puisse len dissuader, il était trop tard le flash nous illumina et le type avait rangé son téléphone puis était parti :
Tu le connais ? Qui est ce type ? Lui demandais-je
Tinquiète, cest le fils du patron, il aime afficher sur un grand tableau à létage les photos damoureux qui passe dans leur établissement. Il a dû te trouver super, il na pas tort.
Nous avons un peu parlé de notre séminaire, je finis mon café et nous nous sommes séparés gentiment. Aussi attentionné quil pût être, autant Nicolas me portait sur les nerfs, tellement il était imbu de sa personne.
Le soir dans ma chambre dhôtel, javais longuement téléphoné à mon homme avant de me coucher. Dans mon lit seule avec mon bouquin, javais des difficultés de lire, je vous avoue que je me suis surprise à penser à Nicolas et javais même eu lenvie de me masturber. Ce que je ne fis pas, cela me répugnait de le faire, surtout en pensant à ce type qui finissait par me dégouter.
Le lendemain, nous devions travailler en sous-groupes, je me trouvais avec mes voisins, un homme et une femme, nous disposions deux tables face à face, lorsque Nicolas vint sinstaller avec nous et se mit assis à côté de moi. À lui tout seul, le travail que lon devait rendre fut terminé bien avant les autres. Il nous posait des questions et y répondait lui-même, nous étions à son écoute, apportions deux ou trois arguments pour finir à être tous les trois daccord avec ce quil avait avancé.
Il mavait chargé de retranscrire tout par écrit, au fur à mesure de notre exposé. Une demi-heure sétait passée quand il avait passé sa main sur ma cuisse au-dessus de ma robe. Surprise de son geste, mon premier réflexe fut de lui enlever en le regardant fâchée. Malgré ma colère, je navais pas osé crié par peur dalerter toute lassemblée. « Qui ne dit rien, consent. » Sétait-il dit, il renouvela quelques minutes plus tard, mais cette fois, sa main sétait glissée sous le tissu et sa longue caresse sur ma peau fut très agréable, je dois dire. Comme avec Fabrice, mon corps avait réagi en humidifiant ma petite chatte.
Jétais très gênée, je ne savais pas sil fallait intervenir de la voix mais quauraient pensé les autres ? Là encore, je lui pris la main discrètement sous la table et je lui avais retiré sans même le regarder, je me retrouvais comme quelques années plus tôt avec Fabrice, javais honte de moi davoir eu du désir ainsi. À midi nous avions terminé notre exposé et le formateur nous dit de revenir quà 15 heure pour le débriefing, le temps que tous les groupes puissent terminer leur travail.
Nous avions convenu au départ tous les quatre, de déjeuner ensemble et de visiter la ville mais ce couple ne nous avait pas rejoint à la brasserie. Javais appris plus tard que Nicolas leur avait dit que nous avions prévu de déjeuner en tête à tête. Pendant le repas, il navait pas renouvelé son geste mais sétait arrangé pour renverser du vin sur ma robe. Je fus donc contrainte de retourner à mon hôtel afin de me changer. Il sétait empressé de maccompagner et je navais pu le lui refuser.
Je lui avais demandé de mattendre dans le salon du hall dentrée mais celui-ci monta avec moi dans lascenseur. Jétais tétanisée, javais peur de cet homme que je navais pas osé remettre en place. il dût me prendre pour une fille facile car javais deviné ses intentions et je le laissais faire. Javais pris ma décision, lorsque les portes de lascenseur sétaient ouvertes, je lui dis de redescendre. Il me repoussa fermement dans le couloir sans me faire mal et je fus bien incapable de lui résister.
Devant la porte de ma chambre, je nosais pas louvrir, je ne voulais pas quil rentre de force. Lorsquil comprit que je ne céderais pas, il sortit son téléphone portable et me montra la photo :
Tu veux que ton mari tombe là-dessus ? Me dit-il en prenant mon pass que javais dans la main et ouvrit la porte.
Jétais terrorisée, je ne savais plus quoi faire, javais très envie de me retourner et de menfuir mais il me prit la main et mattira à lintérieur sans aucune résistance de ma part. Je ne voulais pas que Sébastien apprenne que javais rencontré un autre homme alors que je navais absolument rien fait de tout cela. Nicolas ferma la porte derrière moi et me plaqua contre le mur.
Je vous raconterai la suite dans un autre récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, jaimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous.
Si comme Gwen, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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