Le Jeune Confiné 5

Et voilà rebelotte le confinement. Je vais donner de leçon à personne mais à mon âge (18 ans, vous vous rappelez), j’ai fait partie de ces jeunes qui ont fait la fête.
Le confinement m’arrange me direz vous, car depuis la fin de la saison 1, je ne voyais plus beaucoup Corinne et devait souvent me branler en pensant à elle.
Son commerce avait bien repris, donc moins de temps pour la récréation.
Mais quand j’ai vu, confinement et petit commerce fermé, je ne pensais qu’a elle et à son canapé dans la réserve (voir autre épisode).
Un quart d’heure après l’allocution de Mister Président, je regarde le téléphone.
Message C.Vidal. Que je m’empresse d’ouvrir.
« Week-end confinement avec moi et ma belle fille dans notre villa, ça te dit ? »
Les doigts fébriles, je répond « donne moi l’adresse »
L’idée qu’il y avait sa belle fille me refroidit tout de suite, et je me dis qu’importe, je trouverais bien un moment seul à seul avec elle.

Me voilà donc parti, direction sa villa, à une petite cinquantaine de km de chez moi. J’arrive dans une petite villa, pas énorme mais un vrai havre de paix.
Corinne vient m’accueillir, en basket blanche simple, un petit jean, et un petit t’shirt.
Lorsqu’elle arrive, elle m’embrasse passionnément en se collant à moi, je sens qu’elle n’a pas de soutien gorge et elle pointe. Je comprend avec son regard que c’est un premier cadeau avant nos retrouvailles.
« Je te présente Anne, elle est au courant pour nous deux »
« Je comprend mieux le baiser »
Anne arrive et au lieu de me faire la bise m’embrasse à son tour. On ne parlera pas ici des gestes barrières hein !
Interloqué, je me laisse volontiers faire pour un baiser comme ça.
« Bonjour Guillaume »
Devant mon sourire béat, mes deux hôtesses rigolent et m’invitent à rentrer. Anne est une jeune femme de 28 ans, blonde les cheveux bouclé pour environ 50 kilos, un 90B en poire.

Habillé de la même manière que Corinne.
Toute la journée, mes hôtesses s’amusent à venir m’asticoter quand je ne m’y attends pas.
Anne m’embrasse et glisse sa main dans mon caleçon quand Corinne met la table.
Corinne renchérit en me suçant sous la table.
Anne me fait manger sa chatte quand sa belle mère est sous la douche pour qu’elle voit le plaisir que je lui donne.
Un concours s’est fait entre les deux femmes, et c’est moi le grand gagnant.

Le soir venu on se met tous les trois devant la télé sur un grand canapé d’angle, elle sont toutes les deux en nuisette avec aucun dessous, mais ce soir, je sais qui je veux.
Je veux Corinne, refaire jour Corinne comme au 1er confinement.

Je me colle contre elle, et passe ma main sur son ventre, le caresse doucement, un tissu extrêmement doux et qui donne cet envie de continuer la caresse, on s’embrasse délicatement.
Anne à l’autre bout du canapé, absorbé par la télé ne nous remarque pas ou peu.
Le baiser prend plus d’ampleur et ma caresse aussi. Ma main soupèse son sein pour et je sens le teton à travers le tissu. Avec le plat de la paume, je caresse délicatement le téton pour le faire durcir. Il devient bien dure, et la seule envie qui me passe par la tête, c’est de sortir ce sein et le prendre dans ma bouche.
je le pince à travers le tissu et pour éviter un petit cri, Corinne m’embrasse, nos langues dansent dans un balai incessant. Notre baiser qui était cinématographique se transforme en pornographique.
On se calme un peu et je pose une main sur sa cuisse, puis Corinne pause son pied sur le bord du canapé. Ce qui pour effet de cacher la vue à Anne et m’offrir son sexe.
On se regarde et se sourit nos baiser reprennent de plus belle et ma main caresse doucement la cuisse pour remonter doucement. A un moment j’arrive sur ses lèvres et les caresses de bas en haut du bous des doigts. Elle est trempé et son souffle s’accélère.
Anne nous regardent furtivement et voit que nous nous embrassons mais pas plus. Alors qu’en fait, je caresse allègrement Corinne, et j’ai la main pleine de cyprine.
Je bande comme un fou et Corinne passe sa main dans mon caleçon et me branle délicatement, entre deux baiser, elle me dit, « retire moi cette nuisette, j’en peut plus »
« Devant Anne ? »
« Je m’en fiche, donne moi du plaisir »
Je lui retire la nuisette, et Anne nous mange du regard, et moi je peux enfin manger son teton.
Corinne regarde Anne d’un air triomphant en me caressant la tête et se branlant avec ma main sur son sexe.
A présent, Corinne écarte bien les cuisses, elle enlève ma tête de son sein, m’embrasse en descendant mon caleçon.
Le sexe dressé face à elle, elle soulève ses jambes, et tout en regardant Anne, pose ses mains sur mes hanches et me dirige vers son sexe.
Sans que nous regardions, nos deux sexes se rencontrent, nous sentons mon gland qui sépare doucement ses lèvres en deux pour rentrer en elle.
Nous regardons Anne se mordre les lèvres, la main sur son sexe entrain de se caresser.
Nos corps en fusion sur le canapé, les va et vient se font dans un doux rythme, on écoute nos corps et nous nous laissons porter par le plaisir de chacun.
Corinne pose alors ses mains sur mes cuisses et avec nos bassins, impriment un rythme plus soutenu.
Notre souffle s’accélère, nos gémissement sont de plus en plus bruyant.
Je sens son sexe qui coule sur moi, ce m’excite beaucoup et choses qui m’excitent aussi, nous avons Anne qui nous mate sans vergogne. Avec deux doigt en elle à présent.
« Oh lala Guillaume, cette position, on bouge pas, je la sens tttTTRRROOOppppp bien là hummm »
« Guillaume, il faudra que tu me prennes comme ça aussi hein?! »
« J’avoue que cette position est fantastique, hummm je frotte de partout, et je te prendrais où tu veux Anne »
« Allez fais moi jouir espèce de cochon »
Les mains de Corinne aident Guillaume à aller plus vite et les mouvements de son bassin à aller plus au fond encore.
« Ohhh ouiiii les fillles vous me faites monnnnteerrrr »
« Oui oui t’arrêtes pas ohhhhh ouiiiii »
Anne qui accèlere pour jouir également avec dans un concerto de cri de plaisir .
Le corps de Guillaume s’écroule sur les seins de Corinne. Elle att ses fesses et bouge son bassin pour aller chercher les dernières gouttes de sperm dans les couilles de Guillaume.

Anne les rejoins tous les deux, repus, pour un câlin à trois.
Ils se regardent tous les trois, rigolent, et se roulent une pelle pornographique ensemble.

Quelque chose me dit que le weekend est encore long.