Collection Black. Dépucelée Par Un Black (2/2)

Aujourd’hui, j’ai 18 ans, c’est mercredi et avec mes quatre copines, Mado et Olga étant des sœurs jumelles, Lucie et Luce nous nous rendons à l’hypermarché de notre ville.
Pour mon anniversaire, elles me lancent un défi de mettre un imper qu’elles ont trafiqué.
C’est comme un bizutage, pour que je leur prouve que j’en suis capable, devenir membre à part entière de leur groupe.
Cet imper possède, une poche isolant des antivole du système de protection aux caisses.
Elles me placent un string à l’intérieur et m’achètent un short qui doit servir de leurre en le payant à la caisse.
Là, elles s’arrangent pour que je me retrouve la dernière.
Contre toute attente, alors que j’avais confiante en elles, l’alarme sonne.
Perfidement elles m’ont placé un soutien-gorge qui plus est, trop grand pour moi dans mon sac à main.

Emmené au service de sécurité, un énorme black me prend ma carte d’identité pour appeler la police.
Je me vois embarquée entre deux gendarmes me retrouvant devant le procureur collègue de travail de papa qui est juge d’instruction.
Il me met le deal en poche en sortant une queue gigantesque, soit le sucer soit me retrouver, embastiller.
Mon choix est vite fait, je viens d’avaler pour la première fois le sperme de ce black.

• Aujourd’hui comme je vois, tu es majeure, tu fais fort pour ton anniversaire.
Cette pipe, c’est un début pour toi, attends-moi ce soir à 21 heures à la porte du magasin.
J’aurais fini mon service, je vais t’emmener chez moi où tu récupèreras ta carte d’identité.
• Ce soir, mes parents ont invité quelques amis pour mon anniversaire et nous avons un repas.

Il est vrai que papa a invité un copain, autre juge d’instruction et sa femme.
Ils étaient à l’école de la magistrature dans la même promotion.
Gilles est mon parrain et Nouma sa femme jolie black de Martinique avocate elle aussi comme maman.


Ils s’étaient connus lors d’un voyage qu’il avait fait dans son île, pour fêter son diplôme et l’avait ramené en France.

• Je comprends, alors vendredi soir, si tu sais être convaincante, ta carte d’identité te sera rendue.
En attendant, elle restera dans ma poche, à 21 heures vendredi.
• Bien monsieur Amadou, je serais devant le centre commercial.
• Je vois que tu es raisonnable, on va bien s’entendre.
Mets ce petit short, je sens que je vais bander simplement à te regarder.
Pour le haut évite ce soutien-gorge, il est trop grand pour ta jolie poitrine.
• Monsieur Amadou, je suis encore vierge.
• Ta bouche l’était certainement à l’hésitation que tu as eue.
Ta chatte, je te promets de faire le nécessaire si tu es consentante bien sûr, je suis tout sauf un violeur.
Tu aurais refusé la fellation tout à l’heure, tu aurais déjà rejoint tes copines.

J’ai un instant de vague à l’âme, mais après réflexion, je suis loin de regretter l’expérience.
Ça me fera un souvenir pour mes vieux jours,

• Allez file je dois aller aider mon collège, je vois qu’il a du mal à s’en sortir, il faut que je fasse tout ici.

Je suis trop contente de m’en sortir avec du sperme dans l’estomac pour la première fois de ma courte vie.
Sur le parking, les salopes sont là à m’attendre, elles sont mortes de rire.
C’est Olga qui prend la parole.

• Jennifer, on avait oublié de te dire, chaque initiation a une connotation sexuelle.
Pour Luce, certes, elle a remonté cette rue dont nous t’avons parlé nue, mais au bout, il y avait un clodo qu’elle a dû sucer.
Un jour, je me suis servi de mon imper pour venir voler un disque dont j’avais envie.
J’ai loupé ma manœuvre et je me suis retrouvé dans la salle où tu as dû te rendre.
Le grand noir et le petit gros m’ont proposé soit une sucette soit la police.
J’ai très vite choisi et je pense, toi aussi puisque te voilà après le temps nécessaire pour une fellation.

D’ailleurs essuie le coin de ta bouche.

Je le fais.
Elles éclatent de rire, c’est normal, j’avais bien tout avalé.

• Vous m’avez fait prendre des risques, vous connaissez la situation de mon père.
• Nous écoutions si la police arrivait.
S’ils les avaient appelés, nous serions venues leur expliquer le petit jeu idiot auquel nous t’avons fait jouer et où nous t’avions entraîné.

Bande de connes et moi qui ai laissé ma carte d’identité.
Le vendredi venu, je suis anxieuse quand j’arrive à la sortie du personnel.
Que va-t-il m’arriver, bien que j’en aie une vague idée ?
Pas tout à fait, anxieuse d’avoir mal, voyant là l’aubaine de me faire dépuceler par un garçon aussi bien monté qu’un taureau et d’une beauté sans égale.
Aubaine d’avoir le souvenir de cette soirée gravée en moi à jamais.
Là encore souvenir pour mes vieux jours.
Je sais qu’Olga s’est fait dépuceler dans les chiottes de notre bahut.

Qu’aura-t-elle retenu de ce moment si spécial pour une jeune fille ?
Un lieu glauque puant l’urine.
Comme il me l’a dit, ce sera moi qui aurais le choix de mon avenir sexuel.
Sois le risque de hurler quand son pieu entrera dans ma grotte vierge.
Sois de reculer et de rentrer après avoir récupéré ma carte d’identité.
Il est là, un sac sur l’épaule, beau comme un dieu.

• Jennifer, aimes-tu le Mac Do ?
• Oui, pourquoi ?
• La cuisine et moi ça fait deux et en plus, ma piaule est si exiguë qu’à part un café, je serais bien en mal de te nourrir.
• Pourtant, l’autre jour, tu as su le faire quand j’ai bu ton sperme.

Il rit, tout en marchant à cent mètres du Mac Do où nous nous rendons sur cet espace commercial.
Je passe mon choix et heureusement que c’est lui qui régale, il prend tout en double exemplaire dans la gamme Big Mat.
Erreur, Maxi Big Mat.

• Dis-moi, il t’arrive souvent de te faire sucer par des jeunes filles vierges de surcroit.

• Souvent ?
• Ma copine Olga cheffe de notre groupe de fille, m’a dit que vous l’aviez attrapé avec ton collègue et qu’elle vous avait faite des fellations.

Nouvel éclat de rire à faire retourner les têtes des clients avec leurs s.

• Olga, je me souviens, c’est ta copine qui est votre cheffe, une madeleine, une vraie madeleine.
• Une madeleine, que veux-tu dire ?
• À peine entrée, elle s’est jetée à nos genoux pleurant toutes les larmes de son corps.
Au début, j’ai eu l’impression qu’elle nous faisait un cinéma, mais j’ai vu qu’elle tremblait de tous ses membres.
On a récupéré le disque qu’elle avait volé et elle est repartie sans que nous insistions.
• Tu m’as pris pour une pute, en me faisant avaler ton sperme.
• Non, Jennifer, je m’excuse de m’être fait sucer, mais tu m’as énormément plus et j’ai craqué.
Je t’ai pris pour une jeune fille de notre époque, je vais te ramener chez toi.
• Je vois que monsieur a d’un seul coup des principes.
Il me promet une soirée dans sa tanière et devant ma virginité, il prend peur.
Pourtant dans ton bureau, tu bandais ignorant que pour moi ce serait la première fois.
Tu vas laisser un inconnu faire le travail et après si tu le veux, je reviendrais vers toi et là je pourrais goûter à ton sexe dans le mien.

J’ai monté le ton, on commence à nous regarder.
Que m’arrive-t-il, je devrais être contente qu’il me respecte, mais peut-être que j’en ai réellement ras le bol de ma virginité et que du jeudi au vendredi, donc la nuit dernière j’ai fantasmé sur comment se passerait ce moment.
Nous tombons dans les bras l’un l’autre.
Ses grosses lèvres prennent possession des miennes.
Sans prendre le temps de finir nos Macs et de jeter les plateaux, il me prend la main si petite dans la mienne et m’entraîne dans sa tanière.
Par chance, il réside tout près de son travail et dès que la porte est refermée, nos vêtements s’envolent plus vite que jamais.

Il me prend dans ses bras puissants et me porte sur son lit, impeccablement fait.
Pour ma venue, il a dû tout briquer, surtout pour un appartement de célibataire.

• Je peux !
• Oui.
• Si je te disais que je t’aime.
• Aie !
• As-tu eu mal ?
• Un peu, mais continu, je te veux complètement en moi.
• Tu es présomptueuse, pour une première fois contente toi de mon gland et d’une dizaine de centimètres.

C’est ainsi que j’ai perdu mon pucelage.
Ce soir, c’est ma nuit de noce, nous sommes dans l’hôtel ou mes parents nous ont loué une chambre.
Quand il me prend sans enlever ma robe blanche, simplement en m’arrachant ma culotte, je le ceinture sentant la totalité de sa verge au fond de moi.
Dans sa mansarde, il m’avait dépucelé une première fois, ce soir il a fini le travail, je suis cent pour cent à lui.

• Amadou, nous sommes fières de vous.
En plus de notre petit-fils, adorable bambin, je suis fière de vous compter parmi les gens travaillant dans la magistrature.
Travailler dans un supermarché et le soir faire des cours par correspondance pour avoir le droit de porter votre robe d’avocat, c’est rare.

Voilà, comme mon père vient de le dire, Amadou mon mari prenant des cours pour passer son droit et devenir avocat.
C’est fait et moi j’espère le devenir bien vite.
À oui, le club des salopes qui ont failli me faire envoyer en prison, je les ai quittés.
Être dirigé par une cheffe, se trainant pour éviter les ennuis, très peu pour moi.
Vous m’excuserez, c’est l’heure de la téter pour Junior.
Mes seins me font tellement mal, vu le lait qu’ils contiennent, qu’ils me font plus souffrir que ma chatte lors de mon dépucelage.

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