Souvenirs De Jeunesse (Partie 1)

Chers lecteurs !

Certains d’entre vous auront compris que l’épisode « Nadia, la mère de Virginie », récit écrit que très récemment n’est qu’une pure fiction, un fantasme. Cela est vrai ! Il n’y a rien eu d’autre entre Nadia et moi qu’une relation habituelle entre sa (future) belle-mère et son gendre. Excepté que je l’ai vu bel et bien toute nue en sortant de son bain, un jour où elle ne s’attendait pas que je sois là (voir ce récit écrit il y a quelques mois).

A vrai dire, ma relation avec Nadia a souvent été froide, et, elle l’est toujours aujourd’hui. La mère de Virginie avait peur en effet que je lui vole sa fille, qu’elle voulait garder tout entière pour elle. Depuis sa séparation avec le père de ma chérie, la belle vivait seule dans sa maison. Sa fille, était sa seule distraction. A l’exception de certains week-ends où elle recevait un peu de famille, il n’y avait en semaine, aucune autre présence humaine dans la maison, pas même un homme de temps en temps pour venir troubler ses nuits ou celles de sa fille.

Nadia avait aussi un peu de jalousie envers sa fille. Cette dernière, en effet, était jeune et jolie et, à vingt, pétillait la forme et une joie de vivre sans pareille que Nadia elle-même avait oublié depuis longtemps. La belle en arriva avec un tempérament souvent exécrable ; mais, à ses heures, elle savait aussi être douce avec sa fille, et avec Bob également. Cependant, cessons de parler de Nadia car le sujet que je souhaite aborder ici est tout autre.

Cette histoire que je veux vous conter maintenant, c’est l’histoire d’une après-midi passée chez ma dulcinée, Virginie. Une après-midi pas comme les autres où Nadia était à son travail, en ville. Virginie avait invité chez elle une amie de longue date qu’elle connaissait depuis le lycée, Célia. Célia est une fille timide, un peu coincée. C’est du moins ce que je croyais jusqu’à ce jour-là. Pourtant rien ne laissait présager ce qu’il advint.

Virginie avait invité Célia sans arrière-pensée, uniquement pour passer du temps ensemble parce que cela faisait un moment que les deux amies ne s’étaient pas vues.

En arrivant chez Virginie, Célia apporta des chocolats, comme cela, pour faire plaisir. Je me souviens encore de ces deux gourmandes qui ont tout boulotté en pratiquement toute une après-midi. Virginie avait proposé de mâter un bon vieux film. Malheureusement, je ne me souviens pas du titre. Mais, rien de pornographique en tout cas. Pas cette fois-là ! Non, c’était un classique du cinéma qui était sorti un an ou deux plus tôt et qu’on retrouvait désormais sur le petit écran. Manque de bol, la télévision du salon ne voulut pas se mettre en marche ce jour-là, ce qui commença par nous attrister. Virginie eut l’idée soudaine d’aller voir le film dans la chambre de sa mère parce qu’il y avait une autre télé, le seul endroit de la maison où il y avait une autre télé, d’ailleurs.

- « Ça marche ! s’exclama Virginie. On peut regarder le film dans la chambre ! »

A l’annonce de cette bonne nouvelle, Virginie s’allongea sur le lit de sa mère devant la télé allumée. Je m’installais à côté d’elle après une certaine hésitation :
- « C’est le lit de ta mère, ce n’est pas très respectueux ! » dis-je, un peu gêné, à Virginie.
- « Oh ! ce n’est pas grave. On ne lui dira rien ! au pire, je remets le dessus du lit en état et tout ira bien ! » répondit Virginie.

Virginie était confiante et Célia vint naturellement nous rejoindre. Sans m’y attendre, je me retrouvais au milieu du lit entre de deux jolies filles : Virginie à ma droite et Célia à ma gauche. Nous étions tous les trois allongés devant la télé prêt à mater le début du film.

A l’arrivée de Célia dans le lit, j’ai dit sans réfléchir :
- « Humm, c’est trop bien, j’ai deux gonzesses pour moi tout seul ! »
Célia me regarda et me dévisagea puis ajouta :
- « Bats les pattes, si tu me touches, je m’en vais ! »
- « Je plaisante, Célia.
C’est pour rire que je dis ça. »
- « Je sais bien mais quand même ! pense que ta chérie ce n’est pas moi mais Virginie. Elle est là, de l’autre côté de toi. » Célia montra Virginie du doigt.

- « C’est vrai que notre position est assez suggestive ! » renchérit Virginie, en constant la situation.
- « Tu ne vas pas t’y mettre toi aussi ? » rétorqua Célia.
- « Bah pourquoi pas ? Finalement on est bien ici tous les trois ! » ajouta Virginie.
- « Je n’y crois pas ! » s’exclama Célia.
- « Après tu fais comme tu veux ; mais si tu veux, je te prête mon homme ! mais pas trop quand même, il ne faut pas r ».

J’étais au milieu de ces deux nanas qui parlait de moi ainsi. Et au milieu de ces deux nanas, à écouter leur petite conversation, je me mis à bander illico. Virginie fut la première (après moi) à s’en apercevoir. Le film venait à peine de commencer. Célia ne broncha plus et tenta de se concentrer sur le film. Pendant cinq minutes, nous restâmes alors tous les trois tranquilles comme cela devant la télé. Moi, dans mon futal, je ne débandais pas. Je m’imaginais déjà ce que deux filles, chacune un côté de moi, pouvaient me faire. Il est évident que je ne pouvais pas perdre mon érection. Célia s’en rendit compte et me dévisagea de nouveau. Je lui fis un grand sourire pour lui dire « désolé, chérie ! je n’y peux rien, c’est la nature ! ». Après cinq minutes de plus, Virginie qui avait sa tête contre mon épaule commença à me caresser. J’étais halluciné par son comportement :
- « Ma belle, qu’est-ce que tu fous ? pensai-je. Il y a ta copine là juste à côté de moi. T’es sérieuse ou quoi ? »

Virginie ne se gêna pas pour me caresser en présence de sa copine. Certes, les caresses se faisaient par-dessus mon futal. Je vis Célia regarder la scène sans rien dire puis détourner le regard en focalisant sur le film comme si de rien n’était. Je fus étonné que Célia ne disait rien. Virginie leva la tête comme pour regarder Célia par-dessus moi puis me caressa de plus belle.
Mon sexe était tellement dur que je n’avais qu’une envie, qu’on le libère de ce cachot étroit qu’était mon futal.

En un temps, trois mouvements, Virginie continua à me caresser. Je la laissai faire, essayant de me concentrer sur le film. Ma belle, en revanche, était davantage concentrée sur mon sexe. Délicatement, de sa main experte, elle défit ma braguette et plongea dans mon slip sous le regard quais-médusé de Célia :
- « Bah, Célia, tu ne dis rien ? » m’étonnais-je dans ma tête.

Célia faisait vraiment comme si de rien n’était. Elle voyait, elle savait tout mais ne voulait pas intervenir et se concentra donc sur le film, difficilement il faut l’avouer.

Virginie farfouillait mon slip. Elle extirpa ma queue de sa cachette sous les yeux de Célia puis approcha tout doucement sa tête qu’elle posait sur mon bas-ventre comme pour prendre mon sexe dans sa bouche. Là, j’aurais pu dire :
- « Célia, il faut que tu réagisses ! tu ne vas pas laisser faire ça ? »
Ma belle intervint avant même que je m’y attende :
- « Célia, si tu veux, tu peux me rejoindre ! » dit-elle.
Puis d’ajouter :
- « J’ai trop envie de partager cela avec toi. Bob est d’accord ! N’est-ce pas tu es d’accord Bob ? » renchérit Virginie.
- « Euh, oui, oui ! » fis-je, sans trop savoir ce que je devais dire.

Célia aimait beaucoup Virginie et Virginie aimait beaucoup Célia. Les deux filles étaient les meilleures amies du monde. A la vérité, Virginie n’avait pas beaucoup d’autres copines. A peine quatre ou cinq ; mais Célia était de celles-là, et sans m’y attendre, je vis Célia s’approcher de moi et de mon sexe comme pour regarder Virginie en face à face. La sensation étrange, que je me souviendrais toujours ne se fit pas tarder : je vis ma chérie Virginie de profil en face à face avec Célia de profil de l’autre côté de moi. Toutes les deux étaient en face à face avec ma queue au milieu.

L’image fut tellement merveilleuse que j’ai cru que j’allais jouir tout de suite.
J’ai poussé un soupir et j’ai fermé les yeux en laissant retomber ma tête en arrière. Là, bien plus que dans mon imagination, j’ai senti une bouche se poser délicatement sur mon sexe et l’envelopper tout entier tout doucement jusqu’à sa base. Aujourd’hui encore, je ne sais pas si c’est Célia ou ma chérie qui me prodigua cette belle caresse car depuis ce jour, ni ma belle ni Célia n’a voulu me dire qui de l’une ou l’autre avait commencé à me sucer.

Toujours est-il, quand je repris mes esprits et que je vis ma queue entourée de ces deux divinités, j’ai senti que j’étais l’homme le plus heureux du monde. Sur l’instant je ne pensais même pas à me dire que Célia était une petite coquine qui s’ignore. Je profitais, je regardais, je contemplais. Ma belle me suça doucement comme elle sait faire. Sa langue caressait mon gland, la hampe, c’était divin. Célia fit exactement la même chose. Je vis mes deux déesses se partager mon sexe à tour de rôle. Je lâchai un :
- « Oh ! vous êtes belles mes princesses ! »

J’aurais pu prendre mon sexe en main, me branler pour aller plus vite et jouir sur le visage de l’une d’elle ; ou des deux, mais non je ne l’ai pas fait. Je laissais les choses se faire. C’est un merveilleux souvenir.
Voilà, j’espère que cette histoire vous a plu. A bientôt.

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