Un Plaisir Partagé Est Un Plaisir Double
Un plaisir partagé est un plaisir double (2)
Trois semaines se sont passées depuis que nous avons reçu André et Annie, aujourd'hui nous sommes invités chez eux. Entre temps j'ai téléphoné à ma meilleure amie pour savoir comment s'était passé son retour à la maison. Je voulais savoir comment son mari s'était comporté de voir que son épouse avait retiré sa petite culotte chez nous et aussi comment il avait réagit de nous avoir retrouvés tous les trois pratiquement nus dans la chambre. [Voir Un plaisir partagé est un plaisir double (1)] mais elle m'a répondu qu'elle me l'expliquerait plus tard. Comme pour moi tout s'était bien passé à mes yeux je décidais de mettre un body résille sous une petite jupe courte et une petite veste noire par-dessus pour cacher mes seins qui étaient visibles au travers les mailles de mon body pour aller chez eux.
Dès notre arrivée je fus déçue de voir que ma copine portait une robe longue jusqu'au bas des pieds, alors que d'ordinaire elle est toujours sexy (jai pensé que cela n'avait pas été aussi bien que je l'avais imaginé). Nous nous sommes embrassés puis André a invité Bob pour aller au jardin pendant que nous mettons la table pour prendre le café et le gâteau. J'en ai profité pour demander à mon amie :
- « Alors comment André a trouvé notre petite soirée très intime chez nous ? il n'a pas parlé beaucoup et je pense qu'il n'était pas très content de nous retrouver pratiquement tous à poil dans la chambre »
- « Tu sais ma chérie André est assez renfermé et il ne parle jamais beaucoup, mais rassures toi il était content de t'avoir dans ses bras toute nue et de te baiser, depuis le temps qu'il me dise que tu dois être bonne. »
- « Lorsque je t'ai vu dans cette robe longue, j'ai pensé que tu avais eu des reproches de ton chéri »
Je n'avais pas vu que sa robe était fendue jusqu'en haut de ses cuisses, elle écarta un pan de sa robe, pris ma main et me la posa entre ses cuisses, elle n'avait pas mis de culotte.
- « J'ai eu peur de devoir garder ma veste toute la soirée pour cacher mes seins, alors je voulais être sexy et coquine pour André. »
Je me suis donc mise à l'aise en retirant ma veste avant d'appeler nos hommes pour boire le café.
Le plan de table avait changé, nous n'avions plus les mêmes places que nous avions auparavant, Annie avait mis André était à côté de moi et en face d'elle et elle avait mis mon mari à sa droite. Nous venons de retrouver notre amant et nos hommes leur maîtresse en toute liberté libres de faire ce que l'on veut devant nos maris et de leurs femmes. André qui venait de voir mes nichons au travers mon body résilles, s'est mis à me les peloter en me disant :
- « J'adore tes petits seins et mes mains peuvent te servir de soutien gorge c'est juste ta taille ».
Nous avons tous rigolé de son commentaire bien que ce soit vrai mes seins étaient enserrés dans ses grosses paluches comme dans les bonnets de mon soutien gorge. Bob lui avait bien vu que la robe de ma copine était fendue très haut et il avait déjà sa main sous la table et devait déjà lui caresser les cuisses. En buvant le café, nous parlons plus souvent de cul qu'avant c'était un sujet tabou que l'on évitait d'aborder. Nous avons une question à vous poser à tous les deux nous dit André :
- « Nous avons beaucoup discuté ensemble après la bonne soirée que nous avons passée chez vous, mais nous avons été surpris que vous n'ayez aucune marque de maillots sur le corps, vous avez bronzé nus dans votre jardin pendant la période de confinement ? . »
- « Oui, mais pas seulement, nous allons aussi sur les plages naturistes » répliqua Bob.
Voilà qui était fait nos amis sont maintenant au courant que nous sommes des culs nus, il ne reste plus qu'à leur annoncer que nous sommes aussi un couple libertin mais cela sera pour une autre fois.
- « Aimeriez-vous avec nous accompagner cet été pour bronzer nu à la plage ? »
- « Moi non, répliqua Annie encore à la rigueur dans votre jardin qui est bien entouré et à l'abri des regards, là je serais partante, mais me mettre nue sur la plage à la vue de tout le monde avec mes grosses tototes, n'y pensez pas. »
- « Mais arrête avec tes gros nichons, ils sont adorables tes seins mon chéri les adore et je suis sur que tu plairais à beaucoup d'autres hommes. »
- « Et toi André ? »
- « Pourquoi pas, j'aime bien la couleur pain d'épice de la peau de Chantal. »
- « C'est pourtant toi qui me disait que chez une femme bronzée c'est comme chez le poulet, c'est le blanc qui est le meilleur »
- « Tu serais partant alors, tu n'as plus qu'à convaincre ta femme. »
- « Moi aussi j'ai une question pour toi, comment se fait-il que tu ne m'as pas bouffé la chatte lorsque je te l'ai offerte lorsque nous avons fait un 69 tous les deux ? »
- « Pouaaah!!! Je n'aime pas cela, on dirait que je vais consommer une huître baveuse, gluante, coulante d'un mélange de pisse, de mouille et de sperme. »
- « Dis donc, tu es bien content lorsque l'on te suce la queue, et pourtant tu pisses aussi avec. »
- « Du calme vous deux, on a bien le droit d'aimer ou de ne pas aimer. »
Annie voyant que la discussion allait mal tourner changea la conversation
-" Nous pourrions jouer avec le jeu de carte coquin que nous avons acheter, c'est très simple chacun prends une carte et doit réaliser ce quest écrit dessus, les cartes rouges sont pour les femmes et les bleues pour les messieurs" Aussitôt dit aussitôt fait, la table fut débarrassée rapidement, Annie augmenta le chauffage, nous a mit un éclairage d'ambiance et un fond de musique, tandis qu'André a installé sur la table de la salle à manger son tapis qui lui sert pour faire sa muscu.
Tout le monde a pris une carte alors à toi Chantal de commencer, lit nous ce que te dit ta carte
- « Vous serez une femme objet et vous abandonnerez votre corps à tous les participants présents.
J'ai retiré ma jupe et je me suis allongée sur la table. C'est André qui commença, il se positionna entre mes cuisses, fit sauter les pressions de mon body, baissa son pantalon et son boxer, il bandait déjà à l'idée de pouvoir me baiser devant son copain. Sans aucun préliminaires, il entra son gros nud dans ma chatte baveuse et me baisa rapidement, en déversant un bol de lait chaud dans mon minou. Mais ce fût trop rapide, je n'ai pas eu le temps de prendre mon plaisir.
Puis se fût le tour de ma copine, elle s'est mise à genou, la tête enfouie entre mes cuisses, elle colla ses lèvres sur mon antre d'amour pour se délecter du mélange liquoreux de mouille et de sperme qui s'écoulait de ma foufoune. Ses caresses buccales étaient douces et exquises. Elle me titillait le clitoris avec le bout de sa langue en soulevant mon petit capuchon. Il n'y a pas à dire mais les femmes sont plus expertes, leurs caresses sont plus douces et plus délicieuses que celles des hommes. J'aurais voulu que cela dure et partir au septième ciel par ses attouchements et lui montrer combien elle me faisait du bien. J'appuyais sa tête contre mon pubis grand ouvert et accueillant pour que cela dure un peu plus longtemps. Mais malheureusement tout à une fin et j'espère bien renouveler cette expérience avec elle.
Cétait maintenant mon chéri qui devait s'occuper de moi. Il retira mon body pour que je sois nue sur la table, nous nous sommes embrassés longuement, une façon à lui de m'encourager à continuer à prendre du plaisir. Comme il est candauliste, il apprécie beaucoup de me voir prendre caresser et baiser par d'autres personnes, je dirais même que cela le fait bander. Il me pinçait doucement les tétons pour qu'ils prennent du volume. Ses doigts trifouillaient ma chatoune toute mouillée de cyprine après les caresses buccales de ma chérie. Il y entra deux doigts puis trois, quatre et toute sa main m'écartelant la chatte, il les fit pivoter dans mon vagin, je me suis cambrée sur la table en hurlant de plaisir.
C'était maintenant à André de lire sa carte
- « Vous avez fantasmé d'avoir plusieurs femmes rien que pour vous aujourd'hui ce rêve va se réaliser avec toute la gente féminine qui ne s'occupera que de vous »
Dommage pour lui mais comme gente féminine il n'y a que sa femme et moi. Nous l'avons déshabillé doucement en le caressant, il ne lui resta que son caleçon. Nos mains baladeuses se glissaient à l'intérieur, lui caressant ses fesses musclées et sa bite qui commençait à dresser sous nos attouchements. Je lui ai attrapé les couilles dans la main en les malaxant doucement, il bandait dur. Sa femme qui était derrière lui baissa son caleçon en bas des jambes d'un seul coup. Nous lui tripotons toutes les deux son pénis en le branlant. A genoux devant lui, à tour de rôle nous lui prenons la bite en bouche, pendant que l'une le suçait l'autre lui malaxait les testicules. Annie lui a même gober ses ufs, chose que je n'aurais pas pu faire avec les poils pubiens qui me donnent des hauts de cur si j'en ai un dans la bouche. C'est pour cela que j'ai demandé à Bob d'être parfaitement lisse. Son membre entrait au plus profond de notre gorge. Notre participation à bien duré dix minutes sans que nous ayons réussit à le faire éjaculer, il faut dire qu'il venait quelque temps avant de m'honorer de sa semence.
La carte d'Annie disait ceci :
- « Choisissez parmi les joueurs, une femme pour vous gouiner devant tous les autres qui resteront spectateurs »
Son choix fût vite fait car j'étais la seule femme du groupe. Ma copine a retiré sa longue robe et son sous soutien gorge et s'est allongée sur la table. J'en ai fait de même mais dans l'autre sens, tête à cul. Sentant la chaleur de ma respiration sur son pubis ses cuisses se sont ouvertes comme une belle de nuit qui s'épanouissait découvrant son pistil. C'était la première fois que je voyais sa jolie chatte de si près. Ses petites lèvres s'étaient épanouies comme des pétales de rose de chaque côté de ses grandes lèvres et je pouvais voir son couloir du plaisir bien ouvert. J'y ai glissé mon index dans cet oléoduc trempé de mouille. Annie s'était allongée sur moi, je lui ai ouvert mes cuisses comme sur une table d'accouchement. Sa tête plongea dans ma tranchée pour y déposer de doux baisers. Nos hommes debout se rinçaient lil du spectacle que nous leur offrons tout en se pignolant la queue. En même temps que deux doigts tournoient dans sa chatte, avec mes dents je lui mordillais ses étamines et ma langue lui chatouillait son petit bouton de rose. J'étais contente d'entendre des petits râles de plaisir de la bouche de ma copine qui gémissait de plaisir. Ses jambes se croisèrent autour de mon cou, je savais que je lui faisais du bien, son trou de balle s'était relâché, j'ai sorti mes doigts enduits de sa mouille pour lui enfoncer dans le fion. Sa réaction fût vive, enrôlant ses bras autour de mes fesses elle me bouffa la moule comme jamais, aspirant mes lèvres et mon clito. Quelques minutes plus tard tout était fini, nous avions jouis presque en même temps. Nous sommes restées un moment allongées toutes les deux sur la table complètement épuisées sous les applaudissements de nos maris.
C'est au tour de Bob de nous lire son texte
- «Vous êtes le roi et vous devez choisir une favorite parmi les personnes présentent et cocufier son mari devant toute la cour. »
-
(Il faut dire que chacun et chacune de nous sont cocu) Mon chéri n'avait pas trop le choix, il n'y avait que son mari à rendre cocu. Il prit la main d'Annie qui avait remis sa robe longue car elle avait un peu froid et l'emmena au bout de la table.
- « C'est une grande fierté et un grand honneur pour moi d'être déflorée par vous Mon Seigneur »
- « Belle Marquise votre cul me fait mourir d'envie »
Ils jouaient bien leur rôle tous les deux, on se serait cru à la cours du roi. Mon chéri demanda à sa favorite de se pencher à l'équerre sur la table en installa un petit coussin sous la tête de ma copine. Il lui remonta sa robe jusqu'au dessus de ses reins découvrant sa jolie lune. Il passa ensuite sa main le long de sa fente, Annie déserra ses cuisses pour se laisser gratouiller la pépette. Nous qui étions spectateurs nous entendons le bruit de succion de sa mouille au contact de ses doigts de mon mari. Bob qui bandait comme un ours séparait les deux hémisphères de son popotin pour y entrer sa bite. Un cri s'échappa de la gorge de ma copine qui n'était pas de jouissance celui là. Jai compris qu'elle venait de se faire sodomiser sans lubrifiant sauf par sa cyprine que mon chéri avait badigeonné sur sa petite rondelle brune. Je ne sais pas si André a réalisé que son épouse venait de se faire défoncer le fion. Bientôt son cri de douleur fût remplacé par des
- « Haaa...oui...Ouiiii...Ouuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiii »
Puis plus rien, elle venait de prendre sa dose de sperme chaud dans les entrailles de sa lune. Elle est restée un moment le cul à l'air pour récupérer.
Après notre petit jeu Annie qui avait reprise ses esprits nous dit :
- « Avec le couvre feu vous êtes obligés de dormir chez nous, mais comme nous n'avons pas un grand lit comme chez vous où l'on peut dormir à quatre chaque couple continuer notre soirée de trou de balle, j'ai pensé que nous pourrions échanger nos maris et que chaque couple s'enfermera dans sa chambre avec son amant ».
Aussitôt dit André m'a pris dans ses bras et comme une jeune mariée et il m'a déposé sur son lit, nue comme un ver. Je vous laisse deviner ce qui s'est passé ensuite dans chacune des chambres. Vous devez savoir que c'est toujours meilleur lorsque l'on retrouve un amant ou une maîtresse. Mais n'allez pas penser que cela a durée toute la nuit, nos chevaliers servants ayant déjà donné beaucoup de leur corps.
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