La Nuisette De Noémie
Noémie me tournait le dos. Elle mavait dit, moi, pour dormir je relève mes genoux car jai mal au dos si je ne suis pas ainsi en chien de fusil. Alors viens-t-en contre mon dos contre mes fesses. Serre moi, cest bon cest chaud, jaime.
Jaime quand un garçon ainsi me tient.
Noémie portait pour dormir ce soir-là, dans mes bras, une nuisette de coton fin.
Une nuisette, cest une sorte de chemise sans manches qui couvre à peine le thorax jusquau haut du pubis.
Une nuisette, cest une sorte de prétexte comme quoi la fille nest pas entièrement toute nue mais quasiment presque.
Mes bras lembrassaient et mes mains étaient posées sur sa poitrine, sur ses petites excroissances. Tandis que mes mains se posaient sur eux ses petits tétons pointaient. Magie de poitrine de jeune fille ingénue.
Je mendormis ainsi et me réveillai matin en même situation de ses pointus affûtés au creux de mes paumes. Miracle de tendresse partagée. Et penser quelle avait bandé toute la nuit durant... Moi, en eus-je été capable ? Enfin sur une autre échelle, il est vrai.
Car bander je ne vivais que cela contre ses fesses chaudes et cela mempêchait de mendormir à fond, moi.
Ma bite était tantôt rigide tantôt comme bâton de bois. Enfin pour vous dire, je navais aucun répit.
Et cétait bon. On ne le dit jamais assez mais, pour un gars, il ny a rien de meilleur que bandaison. Faudrait enseigner ça aux jeunes filles en éducation civique au lycée, elles sauraient alors mieux mener leur affaire avec leurs petits copains.
Les mercredi après-midi entre amis sur des lits de circonstance en tripotages et touche pipi. Enfin, souvenirs souvenirs... Je ne vous dis pas, vous avez connu ça vous aussi. Sûr. De troisième jusquen classe de première.
Les fesses de Noémie étaient douces à la main. Je descendais par dessus la nuisette depuis son cou et ses petits cheveux jusquau sacrum en longeant doucement sa colonne vertébrale et les multiples os pointus.
Mon équipe exploratrice avait trois doigts et une large paume.
Noémie aimait ce moment où ma paume balayait ses fesses. Non seulement elle remontait les genoux au menton mais encore elle cambrait son postérieur pour venir à la rencontre de la caresse.
Moi, mon moment sublime était quand ma paume embrassait les deux petits charnus de bas de fesses qui couvrent les ischions et mes trois doigts découvraient le creux velu et trempé et tout ouvert tout accueillant du fond delle.
Alors ses chairs compliquées sagitaient doucement comme pour engloutir mes bouts de doigt en sables mouvants de villosités préhensiles. Une phalange, deux phalanges et jétais capturé prisonnier dune contraction puissante qui me voulait garder, ambassadeur émissaire de paix, estafette porteur de dau blanc, comme invite à visite plus protocolaire ultérieure.
Un moment de calme sen suivait, toujours.
Tu étais, Noémie, chaude dans mes bras et javais alors entre les cuisses un énorme sentiment de tendresse.
Ma main droite à lintérieur de toi et mon bras gauche qui te tenait serrée, main posée sur ton petit sein dont le téton tout dur disait ton accord à notre union, ta détermination à laboutissement de nous deux.
Noémie était douce, Noémie était dure, musculeuse contre moi. Les petits cheveux fins de la nuque de Noémie sentaient bon et menivraient lors que je me shootais à les respirer de profondes inspirations.
Ma main la quittée et mon ventre a remplacé.
Ses fesses contre moi ouvertes et reculées cherchaient à menfoncer plus profond encore au creux delle.
Alors mon extrémité abutée au col dur delle sest mise à hoqueter lâchant de puissantes envolées karchérisant le fond de son intimité pour lui dire la sincérité de mon amitié.
*
* *
Au soleil levant, quand les tourterelles se sont mises à chanter dans le grand arbre devant la fenêtre ouverte, Noémie a quitté mes bras et a sauté hors du lit.
Noémie était une vraie blonde à chevelure en tignasse épaisse. Aussi, en concordance, son intimité était-elle couverte dune toison presquaussi claire presquautant blonde mais encore plus touffue qui cachait pudiquement ses secrets.
Seule différence, les cheveux sur sa tête étaient longs et raides lors que les poils de son creux étaient courts et frisés.
Moi, je matais, en contre-plongée depuis le traversin, et je me régalais. Sa petite boulette séchappait den bas du dindon, tête rose presque décalottée comme gland miniature de garçon.
Je pensais, je lamène à la douche et je lui bouffe la chatoune tandis quelle me lave les cheveux au shampoing ultra lisse de Garnier.
Tandis que je sortais de dessous la couette elle a tiré la nuisette sur ses hanches sur son ventre, fille pudique.
Elle a vu mon zob dressé, glorieux comme souvent le matin au réveil.
Elle a dit, je taurais volontiers engoulé dune bonne petite pipe mais franchement ton engin est hors norme, bien trop gros pour ce genre de prestation daube.
Alors, comme le corbeau de la fable, je ne me sentais plus de joie.
Sous la douche, après avoir pendu sa nuisette à la patère, elle a oint ses deux mains de Sanex 0% et entrepris un pompier de légende sur ma tige dressée. Il ma fallu toute ma détermination pour ne pas mépanouir dans ses paumes et garder quelques réserves pour la suite des opérations.
Car Noémie était laînée dune fratrie de filles. Trois surs, quasiment du même âge. Et blondes lune et lautre comme elle.
Elle mavait dit, tu verras, mes frangines, bien que jeunettes, sont chaleureuses avec les garçons. On est comme ça dans notre famille.
Heureusement que nous navons pas de frère, il aurait été baptisé le queutard par tout le quartier au grand dam de nous trois, ses frangines.
Ou alors, el Caliente... Ça sonne bien, El Caliente pour un gars un peu chaud, non ?
Les deux gamines étaient entrées dans la chambre en rigolant et sautaient sur le lit en chahutant dans leurs pyjamas bleus jumeaux. Et moi, sous la douche, bandant comme un âne dans les mains habiles de la grande sur, je me sentais pris au piège dune embuscade de trois filles.
Les deux frangines se pourléchaient déjà les babines en matant le beau spécimen, moi tout nu sous la douche, qui plus est en bonnes mains, ramené à la maison par leur grande sur ce jour-là.
Enfin, la veille au soir plutôt.
Lune dentre elles avait une bouche géante, une gueule à enfourner les pains dits de campagne.
Moi je pensais, à la ville, nous on se contente modestement de baguettes mais à la campagne les filles sont bien plus voraces.
Enfin, pour tout dire jétais tout à fait enthousiaste devant la cadette et son gosier béant à la Béatrice Dalle, avec des lèvres de fellatrice prédatrice en totale appétence.
On sest séchés, Noémie et moi, en se frottant mutuellement dune grande serviette éponge et on est revenus amoureux à la chambre, tous nus, main dans la main.
Les deux gamines étaient dans le lit cachées sous la couette et, pour bien marquer leur détermination, avaient posé leurs pyjamas bleus, haut et bas deux fois, sur le couvre-pied.
Noémie a dit, cest tradition chez nous, tu te dois.
Le king size sy prêtait. On sest glissés à notre tour dans le lit, tous frais tout propres, et les deux petites mont fait fête, lune plongeant sur ma quique pour la bouffer jusquau trognon, lautre membrassant de palot mouillé french kiss la langue aux amygdales et de lautre côté un doigt mouillé profond dans mon cul à peser sur ma glande prostatique.
Enfin, pour vous dire, cétait vraiment sympa.
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