La Queue De La Mascotte De L'Équipe De Rugby
La mascotte de léquipe de rugby.
Les rugbymans sortent des vestiaires, me passent vite fait une main entre les cuisses pour toucher leur patte de lapin, ou plutôt la queue de leur mascotte.
Cela fait déjà douze matchs sans défaites, neuf gagnés et trois match nuls.
Mais il faut que je retourne en arrière pour vous expliquer pourquoi je suis devenu leur « mascotte ».
Il y a quelques mois de cela, mon équipe et moi jouiions juste avant léquipe première. Notre club étant équipé dun grand sauna, les équipes ont lhabitude de sy retrouver après chaque match pour détendre les muscles endoloris.
Ce jour là, je ne sais pas pourquoi, repu de fatigue, je me suis endormi et, quand les copains sont partis, ils ne mont pas réveillé. Des songes érotiques berçaient le repos du guerrier, interrompu par la rentrée bruyante de léquipe première.
Des colosses pesant deux fois mon poids, complètement nus, viennent denvahir le sauna, lun deux, sans douceur, me bouscule et me pousse pour prendre place sur le banc de lattes. Mais ses grosses fesses coincent ma serviette qui se défait et je me retrouve dans la même tenue queux.
Je ne sais comment réagir, surtout quune barre de chair quasiment tendue apparait au regard de la brute, entièrement chauve, qui ma bousculé. Instant de doute, de silence. Il me regarde, et sans plus attendre, pose son bras sur ma cuisse gauche et sa main sur mon chibre. Je ne moufte pas, dun revers de main, il pourrait massommer.
Sa grosse paluche sert ma verge, mais malgré sa taille, ses doigts ont de la peine à en faire le tour.
Je suis assez timide et encore aucune fille, encore moins un garçon, na jamais tenu en main ma verge. Je ferme les yeux, je sens mon épi se gorger encore plus de sang et prendre une consistance ferrugineuse. Un silence incroyable règne dans le sauna.
Une bouche vient de prendre la place des doigts, gobant mon gland, puis senhardissant de plus en plus.
Pendant un temps que je ne saurais décompter, il me suce dune fellation très lente, pressant avec douceur mes burnes. Je rouvre les yeux et constate avec effarement que je suis le centre dintérêt de tous les joueurs, des dizaines dyeux regardent mon sexe. Chacun a en main sa verge et se branle en silence. Je passe en revu ces pieux érigés et constate, avec fierté, ma fois, et avec étonnement, que le mieux membré des rugbymans est encore loin davoir une pine aussi grosse que la mienne.
Certains sen approche question longueur mais aucun na un barreau du diamètre du mien.
Mon « tortionnaire » ma fait lever pour pouvoir me sucer plus aisément et le spectacle quon donne est plutôt hard.
Je ne suis pas PD et je suis sur queux non plus, peut-être à part celui qui sactive entre mes cuisses.
Le plaisir que je ressens est un peu douché par tous ces regards, ce qui fait quil a fallu très longtemps avant quil arrive à me faire jouir. Caque rugbyman arrivant à la jouissance se lève et vient se vider les couilles sur leur copain.
Mes grognements le préviennent de limminence de mon orgasme. Je ne peux plus me retenir et déverse mon foutre sur son visage en innombrables jets si copieux que je recouvre abondamment les trainées laissées par ses partenaires de jeu.
Linstant magique est passé, je me ceins de ma serviette qui a des difficultés à cacher ma matraque encore dressé, me précipite hors du sauna et me rhabille sans même prendre une douche avant de sortir de ces vestiaires pleins de testostérones.
Quelques jours après, je suis tombé sur lhomme qui ma sucé. Il ma demandé dêtre présent au sauna à la fin du prochain match. Jai hésité longtemps mais le jour dit, jétais au sauna.
Les semaines qui ont suivies, chaque fin de match, jattendais au sauna léquipe première, la queue dressée.
Petit à petit, quelques rugbymans sont venu relayer le premier, dabord timidement, puis de plus en plus franchement. Ça ne va jamais plus loin. Je me fais branler et les plus hardis me sucent.
Maintenant, je passe de lun à lautre, mon braquemard à lhorizontal, Il y a les timides qui ne font que me caresser la queue ou me pétrir les couilles, dautres plus audacieux qui gobent la tête de mon bélier, et les plus téméraires qui senhardissent chaque semaine un peu plus loin, appréciant de la langue la dureté de mon pieu. Quand je vais jouir, je les avertis et certains se sont mêmes reconvertis en « gouteurs », appréciant ma semence.
Je suis tellement devenu pour eux une mascotte, une patte de lapin, ou plutôt une queue dâne qui leur porte chance, quavant chaque match, je suis à la sortie des vestiaires et que chacun passe sa main entre mes jambes pour caresser ma pine.
Pourtant, en dehors des vestiaires, ces « mâles » plein de vigueur guerrière, se comportent avec moi comme avec les autres joueurs des équipes du club.
Jai ma place réservée dans le bus lors des matchs extérieurs, mais pas un, sorti du sauna, na de gestes déplacés ou de paroles vulgaires avec moi.
Depuis, jai pris de lassurance coté sexe et me suis trouvé une petite copine. A ses réflexions quand elle a vue mon sexe, jai eu la confirmation que malgré que je sois un petit gabarit dun mètre 65 et dà peine cinquante huit kilos, coté sexe, je suis un « étalon » hors du commun. Ça aurait pu la rebuter mais je crois que maintenant elle apprécie davoir comme petit copain le garçon le mieux membré du pays.
Comme toutes les filles, elle na pas pu tenir sa langue et ses copines, soit ne la croit pas, soit sont jalouses delles. Cette petite coquine nous a filmés un soir pour prouver ses dires et faire baver denvie ses copines. Malheureusement, (ou heureusement), ça a fuité. Je sais que la vidéo circule sur le net et le petit quon ne remarquait jamais, jouit maintenant dune reconnaissance aussi bien des garçons que des filles.
A quoi ça tient une renommée ? Dun somme au sauna et dune serviette trop lâche.
Mais aussi davoir été gâté, pourri par la nature !!!
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