Sans Dessus-Dessous

Ma compagne Consuela et moi-même, Enrique, sommes de grands amateurs de manèges forains qui produisent des sensations fortes. Nous vivons en Espagne, non loin de Barcelone. Nous nous rendons régulièrement, les week-ends, au parc d’attractions du Tibidabo. Nous nous offrons quelques moments de montées d’adrénaline. Nous portons une affection toute particulière au manège qui porte le doux nom d ‘Ejector. Il s’agit d’un simple siège biplace, relié, à chacune de ses extrémités, à deux bras métalliques de 50 mètres de hauteur par deux gros élastiques. Le principe est simple, au départ du manège, le siège est maintenu au sol grâce à un puissant aimant. Là, les élastiques se tendent progressivement pendant que le siège est toujours maintenu au sol. Lorsque la tension est suffisante, le forain actionne une commande qui désactive l’aimant. Le siège est propulsé vers le haut à plus de cent cinquante kilomètre/heure en moins de deux secondes … avec ses passagers ! Le siège monte et descend ainsi comme un Yo-Yo jusqu’à ce qu’il perde progressivement de sa vitesse et s’arrête. Après notre premier tour dans cette machine diabolique, Consuela m’a avoué qu’elle avait ressenti une sensation proche de celle de l’orgasme.

« Dès la première ascension, j’ai senti une chaleur envahir mon bas-ventre, ma culotte se mouiller abondamment et mon clitoris gonfler sous l’effet de l’accélération. J’ai bien cru que j’allais jouir sans que rien ne touche mon sexe. J’aimerais que tu me fasses jouir lors d’un prochain tour, Enrique. J’aimerais que tu branle mon clitoris pour me faire jouir»
« Oui, OK Consuela »
« Si tu le veux, je te branlerai aussi »
« OK, c’est une expérience qui me plaît. »

La semaine suivante, nous nous sommes rendus de nouveau au parc du Tibidabo, très excités par notre décision de nous « envoyer en l’air en nous envoyant en l’air ». En voiture, sur la route qui mène au parc, nous avions un comportement très libidineux.

Consuela s’excitait, et m’excitait, en parlant de sexe avec ses mots crus, en jouant sur son corps avec ses mains.

« Je suis impatiente de vivre cette expérience peu commune, mon corps est déjà tout tendu et mon cœur s’accélère. »

Elle avait soulevé son tee-shirt pour faire apparaître ses jolis petits seins pointus et les malaxait fermement. Je comprenais qu’elle était particulièrement excitée.

« Si je continu à mouiller ainsi, je vais être obligée de me masturber avant d’arriver au parc »

C’est précisément ce qu’elle a fait. Elle a soulevé sa minijupe mauve, écarté sur le côté sa petite culotte de satin mauve avant de frictionner son sexe avec une main.

« J’ai mis ma culotte la plus ample et la plus douce pour que tu puisses bien glisser tes doigts dessous, lorsqu’on sera projetés vers le ciel…Humm…ma chatte est gorgée de plaisir aujourd’hui… ».

Elle était en train de se faire jouir d’une main pendant que son autre main s’aventurait à baisser la braguette de mon pantalon. Je bandais déjà depuis un moment. Elle extirpa mon sexe pour le branler pendant que je conduisais.

« Tout à l’heure, je vais te faire jouir dans les airs, comme tu n’as jamais joui d’une simple branlette. En attendant, je vais jouir en me masturbant….. Ohh…, hum…, je vieeeens…. »

Nous étions arrivés enfin au parc d’attraction. J’avais retenu mon éjaculation dans la voiture. Je préférais garder mon sperme pour le grand moment. Consuela s’était faite jouir mais restait toujours autant excitée. Nous étions munis de nos tickets, nous faisions la queue parmi les candidats aux sensations fortes et attendions notre tour pour le septième ciel. Consuela était devant moi, me tournant le dos, ses petites fesses fermes blotties contre mon sexe. Elle se dandinait légèrement pour mieux s’exciter et m’exciter. Elle tournait la tête pour susurrer dans mon oreille.

« Passe ta main sous ma jupe et caresse ma chatte, je veux être surexcitée au moment du décollage.
»

Mon pantalon formait une grosse bosse maintenant. Nous avons pris place enfin sur le siège biplace du manège. Consuela était dans un état second qu’elle avait pris soin de faire savamment mûrir. Harnais attachés, les immenses élastiques commencaient à se tendre, nous pulsations cardiaques s’accélèraient. Je caressais discrètement l’intérieur des cuisses de ma compagne en m’approchant de son sexe. Elle mouillait abondamment. De nombreux spectateurs sétaient là pour voir le manège fonctionner et observer les visages de ceux qui osent s’aventurer dans l’Ejector. Certains se sont aperçu de notre comportement et mataient maintenant les cuisses de Consuela qui n’hésitait pas à écarter les jambes pour que j’atteigne son sexe. Elle n’a pas attendu non plus que nous ayons décollé pour descendre la braguette de mon pantalon et plonger une main pour agripper mon sexe turgescent.

« Dès le décollage, je sors ta queue pour bien te branler. »

L’homme aux commandes de la machine a lancé quelques phrases toutes faites pour faire monter le suspens et la pression.

« Attention au grand frisson, décollage immédiat pour le septième ciel. Trois…Deux… Un…DECOLLAGE. »

Le siège a été propulsé instantanément à près de cent mètres de hauteur en moins de deux secondes. J’ai senti la main de Consuela extraire ma queue de son fourreau et me branler énergiquement. J’ai senti aussi un jet fulgurant de cyprine envahir mes doigts qui la branlaient.

« Ouiiii…c’est boooon…, masturbe moi…je vais te faire cracher ton elixir dans le ciel… Ouiii…ça y est….je jouiiii…….. »

Le siège qui nous emprisonnait tournait encore dans tous les sens, nous ne savions plus où était la terre, où était le ciel. Consuela avait soulevé son tee-shirt et se caressait les seins avec fougue. Malgré la vitesse de mouvement de la machine, certains spectateurs en bas pouvaient nous voir agir.

« Je vais éjaculer, Je vais éjaculer maintenaaaant….
Aahhr… »
« Fertilise le ciel mon chéri, ouiii, voilà, oh oui, je sens des giclées de ton sperme venir sur moi, sur mes seins…Ouiiiii…. »

Le manège a commencé à perdre de la vitesse pour s’immobiliser quelques instants plus tard. Consuela est descendue, vaporeuse, flageolante. Nous étions à peine capable de tenir sur nos jambes. J’ai pu observer quelques regards complices parmi les badauds qui avaient assisté à la scène. Nous sommes ensuite allés nous allonger sur une pelouse pour reprendre quelques forces. Nous nous sommes regardé en souriant.

« On recommencera ? »
« On recommencera ! ! »

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