Marianne Et Encore

Un samedi après-midi, j'étais en train de regarder du foot à la télé quand quelqu'un a sonné à la porte. Je n'ai pas beaucoup d'amis qui arriveraient sans s'annoncer, donc ça devait être un représentant. J'ai regardé par le judas et j'ai cru que j'avais vu juste. C'avait l'air d'une adolescente quelconque. J'ai ouvert la porte. La fille avait à peu près dix huit ans, jolie, grande, cinq pieds six pouces, de longs cheveux blonds, des seins bien formés. Elle portait un short et un petit haut à fines bretelles. J'ai reconnu Marianne, une fille qui habitait plus bas dans la rue.

- Bonjour. Je récolte de l'argent pour l'équipe de cheerleaders. On place des abonnements à des magazines, et nous avons des rabais intéressants.

Elle a essayé de me coller une brochure dans la main.

- Est-ce qu'il y a quelque chose qui vous intéresse ?

Oui, il y avait, mais ce n'étaient pas les abonnements. A part ça, je savais que ces trucs étaient des escroqueries, qui rapportaient deux fois plus à l'éditeur des magazines qu'aux filles.

- Je ne crois pas que j'aie besoin d'un abonnement. Mais si vous voulez, je peux faire un chèque directement pour l'équipe.
- Vraiment ? Ce serait très cool pour nous.
- Rentrez. Attendez que je trouve mon carnet de chèques.

Elle est rentrée dans la maison, et j'ai fermé la porte. J'ai pris mon carnet de chèques dans la cuisine et je suis retourné dans l'entrée.

- C'est une belle maison.
- Merci.
- Vous devez être riche ou bien ... , non ?
- Vous pouvez dire ça.

Je me suis assis sur le sofa et j'ai ouvert le carnet de chèques. Je l'ai posé sur la table basse pour écrire.

- Cinquante dollars, ça vous va ?".

Elle a fait des yeux ronds.

- Cinquante dollars, vous allez me donner cinquante dollars ?
- Je préfère vous les donner à vous, plutôt qu'à l'entreprise qui vous emploie.


- Merci beaucoup. Vous ètes sûr qu'il n'y a pas quelque chose dont vous avez besoin et que nous pourrions faire. Laver votre voiture ou quelque chose comme ça ?"

Je lui ai souri, en la regardant de haut en bas, avec un arrêt sur sa large poitrine.

- Je crois qu'il y a quelque chose que vous pourriez faire pour moi.Elle m'a rendu mon sourire.

- Quoi par exemple ?
- Montre-moi tes seins.

Ses yeux se sont élargis de surprise, et elle s'est mordu les lèvres pour s'empêcher de sourire davantage.

- Je vous montre juste mes seins, et vous me donnez cinquante dollars ?
- Oui. Elle a eu un petit rire nerveux.
- Okay."

Elle a passé son petit haut par dessus sa tête, révélant un soutien-gorge de dentelle blanche, qu'elle a dégrafé une seconde après. Elle a jeté le tout sur le sol. Ses grands seins étaient fermes et ronds, pas tombants du tout.. Ses tétons étaient petits en proportion, mais ils se tenaient bien droits sous mon regard. Marianne a fait un pas ou deux vers moi, en effaçant ses épaules pour mettre les seins encore plus en relief. Je pouvais voir la rougeur de l'excitation envahir sa poitrine.

- Combien si j'enlève aussi le bas ?

Je me suis enfoncé négligemment dans le sofa, comme si je l'évaluais.

- Si on considère qu'il y a un bar à striptease pas loin d'ici, où je pourrais voir dix filles à poil pour dix dollars d'entrée plus deux consommations ... mettons soixante-quinze.

Elle a déboutonné lentement son short et l'a descendu. Dessous, elle portait une petite culotte en coton blanc uni. Elle s'est arrêtée un instant ou deux, pour reprendre courage, avant de la descendre aussi jusqu'en bas.Sa toison blonde était taillée court, sans doute pour aller avec sa tenue de cheerleader. A travers, je pouvais voir les grandes lèvres qui commençaient à rougir et à gonfler d'excitation. Elle a fait un pas de plus vers moi, puis a tourné lentement sur elle-même pour me montrer son petit cul, dur et musclé par toutes ses heures de répétitions.


- Joli.
Elle a souri nerveusement.
- Merci.

Elle a posé un pied sur la table basse, et s'est un peu ouverte pour me laisser mieux regarder. Je pouvais voir les petites lèvres qui se montraient déja, et la rosée qui commençait à les couvrir.

- Qu'est-ce que je pourrais faire pour cent dollars ?
- Approche-toi. Laisse-moi regarder tout ça de plus près.

Elle a grimpé sur le sofa, à cheval sur mes jambes. Elle a posé ses mains sur mes épaules. J'ai mis les mains sur ses hanches musclées et j'ai commencé à remonter. Elle est restée immobile quand j'ai atteint ses seins, et elle m'a laissé les prendre dans mes mains. Ses nichons étaient comme du pain frais, élastiques et fermes. Je les ai pris dans le creux de mes mains, soupesés, remués. J'ai saisi les petits têtons durcis entre mes doigts, en les faisant rouler gentiment. Marianne a fermé les yeux, sa respiration est devenue irrégulière. J'ai glissé une main vers le bas pour caresser ses fesses dures, jouer avec ses muscles. Ma main a commencé à faire le tour; arrivée entre ses jambes, elle m'a arrêté brusquement.

- Cent vingt-cinq.
- C'est bon.

Elle a libéré ma main, et je l'ai glissée entre ses cuisses. Elle était déjà chaude et mouillée quand j'ai pris sa chatte blonde dans ma main. J'ai introduit un doigt pour goûter sa moiteur. Elle a gémi, ses hanches sont parties en va et vient pendant que je la masturbais. J'ai joué avec son clito, gentiment. Je sentais son haleine tiède et humide sur mon visage.

- Qu'est-ce que j'ai pour deux cents ?
- Tout. Elle haletait doucement.
- Tout ? - Et si ça faisait deux cent cinquante, alors ?
Elle a retenu son souffle un instant.
- Okay.

Aussitôt, elle a passé ses bras autour de moi, et m'a embrassé avidement. Elle s'est reposée sur mes genoux, et s'est frottée elle-même contre mon érection pendant que je lui maniais les seins.
J'ai retiré ma chemise, et elle s'est penchée pour me lécher les mamelons. Je l'ai laissé faire un instant, avant de la pousser plus bas. Elle a sorti mon zob du pantalon et l'a pris entre ses mains.

- Je n'ai jamais fait de pipe. Je ne sais pas comment faire ça bien.
- Je suis sûr que tu as compris l'idée générale.

Elle a souri et s'est penchée pour me lécher. Elle a fait courir sa langue sur le gland une ou deux fois avant d'essayer de se le mettre dans la bouche.. Je tenais sa tête blonde entre mes cuisses en essayant de guider ses mouvements. Elle a fait simple, mais sa bouche était tellement chaude et humide que je n'ai pas fait attention. Je l'ai laissée se balancer au-dessus de moi jusqu'à ce que le jus commence à bouillir dans mes boules. Je l'ai relevée. Quand elle a été debout, je l'ai prise par la taille et je l'ai assise sur le sofa. Je suis monté entre ses cuisses et j'ai poussé en avant, plongé dans sa fente étroite. Elle a miaulé et m'a mordu l'épaule.

- Il faudra que tu te retires avant de jouir. Je ne prends rien.
- Je vais jouir dans ta bouche.
- Bon Dieu, Okay.

J'ai enfoncé mon gros bâton de sept pouces en elle, j'ai grogné de plaisir en la sentant si chaude et humide. Elle a enroulé ses jambes autour de mes fesses et enfoncé ses ongles dans mon dos. J'ai pompé avec vigueur, en pressant son clito contre la base de ma bitte. Elle était déjà tellement partie qu'il a suffi d'une minute pour qu'elle se mette à trembler d'extase sous moi. Elle a poussé de petits cris, elle a de nouveau mordu mon épaule pendant que je travaillais son jeune corps élastique. Ses seins ont commencé à se balancer avec mes secousses, et elle les a agrippés en pinçant les mamelons. Voir ça me suffisait pour y aller. J'ai lancé un dernier assaut avant de me retirer brusquement. Elle n'avait plus besoin de guide, elle s'est aussitôt laissée tomber à genoux sur le sol, elle a gobé mon érection. Je râlais, en agrippant sa tête et en bourrant sa bouche pendant qu'elle têtait aussi fort qu'elle pouvait.
. Mon foutre a bouillonné dans sa bouche, un jet après l'autre, et je l'ai sentie déglutir à mesure. Elle a massé mes boules et la base de ma bitte pour faire venir lers dernières gouttes. Quand j'ai repris ma respiration, je l'ai contemplée. Elle continuait de sucer doucement, en attendant la permission de me lâcher. Je me suis retiré et je me suis assis sur le sofa en face d'elle.

- C'était comment ?
- Terrible. Je haletais.
- Deux cent cinquante ?
Elle a ri.
- Deux cent cinquante.

J'ai rédigé le chèque pendant que Marianne se rhabillait, et elle est partie. ------Je n'espérais pas la revoir après, me disant qu'elle enregistrerait ça comme un bref moment d'expérimentation audacieuse et de gros délire. Mais deux jours après, alors que j'étais dans mon salon à regarder une rediffusion de Seinfeld sur le câble, on a de nouveau sonné à la porte. J'ai trouvé Marianne sur le seuil, en bustier de satin stretch et en jean.

- Salut.
- Salut. Qu'est-ce que tu vends ce soir ? Elle a souri et baissé la tête.
- Moi, encore.
- L'équipe devrait être pleine aux as.
- En fait, j'ai tout dépensé en fringues. De toute façon, ça serait difficile d'expliquer où j'ai trouvé tout ce fric. Bon, est-ce que ça vous intéresse ? Deux cent cinquante pour me baiser, comme on avait fait l'autre fois.

Je l'ai parcourue lentement du regard. Elle se faisait valoir, les seins en proue. A moins que je n'y connaisse rien, elle n'avait pas mis de soutien-gorge, et le bout de ses seins tendait le tissu de son haut.

- Amène-toi. Elle a marché vers la salle, en regardant autour d'elle et en me souriant.
- Ou voulez-vous qu'on le fasse ?
- Là haut.
- Dans un vrai lit cette fois-ci ?
- Ouais.Elle m'a suivi jusqu'à la grande chambre, en regardant l'ameublement au passage. J'ai fermé la porte derrière nous. Elle a ordonné :
- Allonge-toi sur le lit.

Je me suis allongé. Elle s'est mise au pied du lit et a ouvert lentement son bustier, en tirant les boutons pression un par un et en gardant ses seins couverts. Puis elle l'a laissé tomber de ses épaules, en rejetant ses longs cheveux blonds derrière elle. Elle a levé ses seins dans le creux de ses mains, en roulant les mamelons entre les doigts. - Enlève ta chemise et ton jean. J'ai obéi, en ne gardant que mon boxer. Elle m'a regardé, en souriant au mat de tente dressé dessous. Elle a rampé sur le lit, a incliné son visage pour mordre mon zob à travers le tissu. Il a glissé hors de la braguette, Marianne a remonté le côté dos avec sa langue, et l'a enroulée autour du gland. Elle l'a pris dans la bouche, en aspirant fort, et a chatouillé juste le sommet avec ses lèvres et sa langue. J'ai tendu les mains vers ses seins, je les ai pris dans mes mains et j'ai pincé les têtons, doucement. Elle a continué de me sucer avec ardeur, en balançant la tête de haut en bas. Elle m'a souri.

- Est-ce que tu aimes ? J'ai tout lu dans un livre au rayon sexe de Barnes and Noble.
- Tu fais des progrès.
- Merci.

J'ai attiré un têton dans ma bouche, et je l'ai sucé avec énergie. Elle m'a fait balancer d'arrière en avant, en changeant de sein, jusqu'à ce que ses mamelons se dressent, tout rouges d'excitation furieuse. J'ai commencé à déboutonner son jean, mais elle a pris l'affaire en main aussitôt, et s'en est débarrassée, du slip aussi, en quelques secondes. J'ai pris son petit cul dur dans mes mains et j'ai amené la fourrure de sa chatte blonde vers ma bouche. Elle a miaulé, s'est agrippée à la tête du lit et a commencé à chevaucher ma langue, que j'ai baladée sur ses grandes lèvres et son clitoris, en humant sa moiteur chaude. Elle a balancé ses hanches au-dessus de ma bouche.

- Oh merde, oh merde, putain de merde.J'ai fourré ma langue en elle, je l'ai baisée avec, j'ai sucé son clito. Ses cuisses écrasaient mes oreilles, elle a gueulé de jouissance en se jetant en travers du lit. J'ai retiré mon boxer pendant qu'elle reprenait sa respiration, et j'ai roulé sur elle. Elle a mis ses mains sur les hanches pour me guider.

- Tu vas jouir dans ma bouche, d'accord, pas en moi ?
- D'accord.

Je l'ai enfilée lentement, en prenant mon plaisir dans sa merveilleuse vulve de grande fille. Elle était ruisselante de mouille et me serrait presque à faire mal, avec ses muscles entrainés pour les parades. L'autre après-midi j'avais été pris par surprise, cette fois je voulais prendre tout mon temps pour en profiter. Je bougeais en elle à un rythme lent et régulier, en regardant monter son excitation. Je mordillais les oreilles et les seins. En réponse, elle pouffait et me faisait des baisers mouillés sur le cou et la poitrine. Je me suis enfoncé en elle aussi loin que je pouvais. Je sentais les tendons de ses cuisses ouvertes en dessous de moi, alors qu'elle soulevait son bassin à ma rencontre. Elle a poussé de petits cris, mordu mon épaule, pressé ses grands seins contre mon corps. Je me suis redressé et j'ai accéléré mon attaque, en faisant balancer ses seins à chaque poussée. Elle a jeté ses bras en arrière pour se retenir à la tête du lit, et s'est propulsée elle même vers moi à chaque retour. Elle a joui de nouveau avec un hurlement, en se débattant sous moi. Il fallait que j'arrête pour ne pas jouir en elle, et je me suis retiré pour la laisser récupérer de son orgasme. La crise passée, j'ai recommencé à baiser doucement ce corps si chaud. Je me suis de nouveau collé contre elle, et elle s'est enroulée autour de moi. Elle a miaulé "Baise moi, baise moi."J'ai senti qu'elle essayait de me presser plus fort dans son con, de se faire encore plus serrée. J'y allais avec plus d'attention maintenant, en contact étroit avec elle. Elle se tordait sous moi comme un serpent, en me murmurant des mots cochons à l'oreille. Ses mouvements sont devenus brusques, elle a enfoncé ses ongles dans mes fesses, et elle a sursauté dans un nouvel orgasme. Mon zob commençait à me faire mal, d'avoir arqué si longtemps sans débander, et j'ai lâché les freins, en la baisant de toutes mes forces. Elle a joui une quatrième fois, ses jambes battaient l'air en dessous de moi. Dès que son orgasme s'est calmé, j'ai tout lâché, je me suis retiré et je me suis allongé à côté d'elle. Un instant après, elle m'avait repris dans sa bouche, et pompait tout ce dont elle était encore capable. Elle m'a avalé le plus loin qu'elle pouvait, en tenant ma bitte bien serrée dans sa main libre. Sa langue a massée la tige avec ardeur et je suis parti dans sa bouche, en envoyant de grands jets de foutre au fond de sa gorge. Elle a avalé à mesure, en trayant d'une main.. Elle a ralenti son attaque quand mon orgasme s'est calmé, mais elle a continué à me têter gentiment pendant une minute avant de s'allonger elle aussi sur le dos.

- Waouh.
- Ouais.
- C'était une bonne baise.
- Tu as de l'expérience. Elle a haussé les épaules.
- Je l'ai perdu il y a deux ans. Tu es le cinquième type avec qui je l'aie fait.
- Tu as un copain en ce moment ? Elle a fait une grimace.
- Ouais. Mais il ne sait pas baiser comme toi. Il ne me fait jamais partir si je ne l'aide pas d'un bout à l'autre. Elle s'est assise et a ramené ses cheveux blonds par dessus sa tête. - Tu as de la bière ?
- En bas dans la cuisine.
- Je peux en avoir une ?
- Bien sûr. Elle a enfilé son slip et son haut et elle est descendue au rez de chaussée. J'ai pris mon chéquier et je lui ai signé un chèque de 275 dollars. Elle est revenue avec une bouteille de Sam Adams et s'est laissé tomber sur le ventre près de moi, en attrapant le chèque.

- Merci. Et puis ses yeux ont brillé. "Ouah..."
- Une prime. C'était meilleur que la dernière fois.
- Ben, merci. - Est-ce que tu prévois d'en faire une habitude ?
Elle m'a souri, en pliant la jambe et en agitant son pied d'avant en arrière.
- Tu as le fric pour ça ?
- Bien sûr.
- Tu as envie de continuer à baiser avec moi ?
- Oui.
- Alors moi aussi. Et tu sais quoi ?
- Quoi ?
- Je ne suis pas seule dans l'équipe. Je parie que deux ou trois autres filles pourraient le faire aussi.
- Tu crois ? Elle a souri encore.
- Peut-être. Je vais poser la question. Elle a fini sa bière et elle est partie quelques minutes après. ------(à suivre)

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