Un Soir D'Été
Un soir alors que Jean sortait, assez tardivement il faut le reconnaître, son labrador « Gourou » il a rencontré dans le grand jardin derrière la résidence, une voisine qui sortait elle aussi son chien. Le jardin était suffisamment éclairé pour lui permettre de la reconnaître.Cette jeune voisine prénommée Valérie avait environ 25 ans, et habitait avec son mari, deux étages en dessous de chez lui. Ce soir là, elle était vêtue dune robe légère et assez courte qui s'expliquait par la température élevée de cette nuit d'été. Il était avec Gourou dans un coin du jardin lorsquelle est arrivée.
Gourou sest presque instantanément précipité vers elle, et Jean la donc suivi, marchant tranquillement entre les allées.
Sa voisine semblait tout particulièrement surveiller sa chienne labrador prénommé «Melba », qui dordinaire était sortie par son mari, ne la laissant pas se promener librement dans le parc, mais la gardant sagement en laisse.Sa voisine finit par lui expliquer que sa chienne était en chaleur en ce moment. Gourou le savait déjà car malgré les efforts de Valérie, il revenait systématiquement vers elle. Devant ce problème, et ne parvenant pas à calmer son chien, Jean décida qu'il valait mieux quitter le parc.Comme il sexcusait du comportement de son chien auprès de sa voisine, elle lui demanda de rester.
- « Non, ne partez pas. Je naime pas être seule dans ce parc. Cest pour cela que dordinaire cest mon mari qui la sort. Mais ce soir il est à Paris. Restez, cela me tranquillise. Et, de toutes façons, c'est la nature. »
Il l'entendit également ajouter pour elle même, tout bas
"il faut bienquil y en ait une qui prenne son pied aujourdhui".
Elle a retiré la laisse de sa chienne, qui sest aussitôt précipitée vers Gourou. Ils se sont reniflés mutuellement. Comme Jean lui demandait pourquoi elle avait fait cela, elle lui a répondu :
- « Visiblement, ils en ont envie tous les deux alors pourquoi les priver ? Et puis cela me serait agréable davoir des petits chiots.
Cette dernière phrase le laissa perplexe, et pour éviter le sujet, il sest mis à regarder les animaux. Cétait la première fois quil voyait son chien sapprêter à ce genre dactivités et mine de rien, cela lintéressait. Gourou ne se contentait plus de sentir Melba, mais il lui léchait allégrement larrière train. Valérie dit alors dun ton badin :
- « Et bien dites donc, je ne sais pas comment il a été éduqué, mais au moins, lui, il soccupe de sa partenaire.
- Que voulez-vous dire ?
- Oh, tout simplement, que votre chien pourrait apprendre certaines techniques à mon cher mari. »
Cette dernière remarque a particulièrement surpris Jean qui nosait plus rien dire. Cela devait se voir car dun air taquin elle lui dit :
- « Allez, ne soyez pas gêné, cest la vérité. Ceci dit, vous, vous vous en occupez comment de votre copine ?
- Euh. Cela dépend. dit til pas très assuré et de plus en plus gêné
- De quoi ? A moins que cela ne dépende de quelle copine ?
- Cela varie selon la façon dont elle soccupe de moi, voilà ! a-til lancé pour tenter de la déstabiliser mais aussi pour essayer de se sortir dune conversation qui commençait à partir vers des sujets très personnels..
- Oh oh. Une caresse mutuelle. Comme celle quils se font en ce moment dailleurs ! Je trouve pour linstant que vous êtes bien en phase avec votre chien. »
Il navait pas fait attention aux animaux, mais en effet, Melba, le museau glissé sous le ventre de Gourou, lui léchait allégrement sa queue rosée qui gonflait petit à petit et sortait de son fourreau. Gourou haletait tout en gratifiant la vulve et lanus de sa compagne de grandscoups de langue. Jean trouvait la pine de son chien plutôt imposante lorsquil la vit complètement sortie du fourreau.
- « Et bien, il semble bien membré comme animal. Melba a de la chance,elle.
Cette fois-ci Jean ne releva pas lallusion sur la taille de ce sexe qui sérigeait fièrement, même si elle confortait son impression. Il se demandait cependant si cette dernière remarque concernait également son mari ou si elle se posait des questions sur la taille de son membre. Elle ne la pas laissé longtemps dans le doute.
- « Non non, ne vous inquiétez pas, je parle encore une fois de mon époux. Ce nest pas quil ait un petit sexe, mais jaimerais quil soit un peu plus gros.
- Vous savez, on en dit beaucoup, mais il me semble que la taille ne fait pas ment tout.
- Certes. Mais si en plus il y a la taille, alors je pense que cela doit être super. En tous les cas, votre chien semble aux anges. »
Les coups de langue de Melba semblaient mettre Gourou en grande forme. Sa queue enflait presque à chaque fois que la langue de Melba venait senrouler autour. Gourou tirait la langue et avait de plus en plus de mal à lui lécher larrière train.
- « Dites donc, il apprécie vraiment cette caresse. Le mimétisme entre le maître et le chien irait til jusque là ?
- Je le pense. Et concernant votre chienne, le mimétisme est til aussi poussé ?
- Ah ah ! Bien joué. Me voilà prise à mon propre piège. Et bien oui, je dois avouer que j'adore ces caresses.
- Pardonnez-moi si je vous ai choqué. » dit-il un peu penaud poursexcuser.
Elle a éclaté de rire. Après de longues secondes nécessaire pour reprendre son souffle, elle lui a caressé la joue en disant :
- « Quil est mignon ! Je le taquine depuis tout à lheure avec des questions très personnelles et lui sexcuse à la première quil ose me poser. »
Un peu vexé par ce quil prenait vraiment pour une moquerie, il sapprêtait à lui répondre sèchement quand elle ajouta :
- « Allons, ne boudez pas. Je vous taquine, mais vous me plaisez bien. Pour vous donner la preuve que je vous aime bien, est-ce que lon peut se tutoyer ? Cela nous rendrait les choses plus agréables.
- Euh
Oui, daccord. On se tutoie.
- Alors pas trop fâché ? Jespère car au stade où en sont nos animaux, je crois que cela va être dur de les séparer. Vous allez devoir me supporter encore un bon moment. » dit-elle en souriant et en me gratifiant dun superbe clin dil.
Jean navait plus prêté attention aux deux chiens, mais ceux-ci ne sétaient pas arrêtés aux préliminaires. Gourou était perché sur la croupe de Melba et sactivait en elle. Doù il était, on pouvait voir la queue rose entrer et sortir de la vulve sombre de sa partenaire. Les coups de reins étaient vigoureux et il pilonnait la chienne avec une fréquence impressionnante. Comme subjugués par le spectacle, ils sont restés là, sans bouger, en train de regarder les deux chiens en plein accouplement. Jean ne parvenait pas à détacher son regard de ces deux sexes mêlés.
Comme deux bons spectateurs, ils se sont assis sur un banc tout proche, éclairés par une lampe disposée juste en face, entre deux buissons du jardin. Il a prêté un peu plus attention à sa voisine. Elle était plutôt mignonne avec ses cheveux châtains courts et bouclés. Son petit nez en trompette lui donnait un air plutôt fripon et espiègle. Au bout de quelques instants, alors quil sétait de nouveau concentré sur les animaux, un mouvement perçu du coin de lil, lui a fait tourner la tête vers Valérie. Il a alors vu quelle avait défait deux boutons du bas de sa robe et glissé une main entre ses cuisses.
Elle se caressait lentrejambe. Poussé par la curiosité, il sest penché en avant, pourtenter de savoir si elle portait une culotte. Se rendant compte de sacuriosité, elle a écarté un peu plus ses cuisses, lui a sourit en disant:
- « Approches toi au lieu de te pencher. »
Et elle a défait deux autres boutons. Il a pu ainsi découvrir sa culotte de dentelle bleue. Lorsquil sest approché delle, elle lui a pris la main pour la plaquer entre ses cuisses.
- « Caresses-moi » a telle soufflée à son oreille.
Il entendait Gourou qui haletait de plus en plus fort prés deux. Sentir cette culotte soyeuse sous ses doigts ainsi que les quelques poils qui avaient réussi à se glisser entre les trames du tissu le mettait complètement en émoi. Il la doucement caressée, tout en gardant le visage penché sur son entrejambe. Au bout de quelques instants, elle lui a relevé le visage en disant :
- «Regarde les aussi, tout en continuant à me caresser. Il ne faut pasque tu rates le grand moment. Je suis sure que cest la première foisque tu vois ton chien baiser. Je me trompe ?
- Non, cest vrai. Cest bien la première fois. »
Gourou sactivait toujours aussi fébrilement. Les efforts quil produisait faisaient presque peine à voir. Heureusement quil sagissait pour lui de prendre son pied. Son sexe apparaissait encore plus rouge et plus gonflé quau début de leurs ébats. Jean nen continuait pas moins de caresser Valérie. Il pouvait sentir désormais les lèvres de son sexe qui se gonflaient de désir. Alors quil tentait de glisser quelques doigts sous le fin tissu, elle dit :
- « Montres-la moi !
- Pardon ?
- Montres-la moi ! Je suis sure que tu bandes.
- Euh oui, comment ne pas bander dans de telles circonstances ?
- Alors sors là et montres-la moi ! Je veux voir la taille de ton désir.
- Mais là, ici ? Des gens peuvent nous voir ! Nimporte qui, des fenêtres qui nous entourent peuvent nous voir.
- Et alors ? Cela ne te gêne pas quand tu me caresses. Alors !Jattends ? »
Que pouvait -il faire ? Ne pas lui obéir alors que les choses paraissaient si bien engagées et la nuit prometteuse ? Prendre le risque que lun des voisins le voit ? Finalement, les promesses du plaisir ont eu raison de sa pudeur et de sa timidité.Toujours à coté delle, il a commencé à défaire, un par un, les boutonsde sa braguette, tout en essayant de garder un il sur les deux animaux, toujours en train de forniquer.
Lorsquil a eu défait tous les boutons,tout en gardant la ceinture bouclée, il sest attaqué à ceux de son caleçon. Valérie avait les yeux rivés sur son bas-ventre, attendant impatiemment de voir la taille de la verge qui allait en sortir. Inconsciemment, elle se passait la langue sur le bord des lèvres. Une fois les trois boutons défaits, Jean a extrait sa verge. Elle est alors apparue à lair libre, tendue, gonflée de désir. Sans hésitation,Valérie a avancé sa main gauche et de son index, elle en a apprécié les contours.
- « Bel engin. Jusque là je ne suis pas déçue. » Dit-elle
Et elle a commencé à le caresser. Jean a alors timidement glissé un doigt sous sa culotte et il est parti à la rencontre de sa fente. Aubout de quelques secondes, elle sest levée pour retirer sa culotte.
- « Comme cela tu ne seras plus gêné ! » lui dit-elle
Avant de se rasseoir, elle a ouvert un peu plus sa robe, en défaisant les boutons jusquau-dessus de son nombril. Jean pouvait admirer sa toison pubienne bien rasée. Elle sest de nouveau installée à ses cotés et ils ont repris leurs caresses mutuelles. Ils en étaient là lorsque Gourou a éjaculé. Ils sen sont aperçus car il a brutalement arrêté de sactiver frénétiquement pour ne plus donner que de longs coups de reins. De plus, son corps semblait secoué de spasmes. Melba, elle, ne bougeait pas, mais haletait. Valérie tenait toujours la bite dans sa main, mais ne la branlait plus. Gourou sest finalement retiré, et a abandonné la croupe de Melba. De sa queue toujours en érection sécoulait un peu de liquide blanchâtre.
- « On va pouvoir aller à la maison maintenant. Tu es daccord ? ditelle
- Chez toi ? On peut aussi aller chez moi, mes parents sont absentsjusquà demain soir.
- Non, je préfère chez moi si cela ne tennuie pas trop.
- Pas du tout. Alors allons-y. dis-Jean en commençant à se rhabiller.
- Non, non, on y va comme cela. Ne te rhabille pas.
- Mais, mais
Si on croise quelquun. Je sais bien quil est tard, mais il va nous falloir marcher sous les arcades pour rejoindre lentrée de limmeuble.
- Et bien, voyons
Dans ce cas, je me jetterais dans tes bras. Et lesgens ne sapercevront de rien.
- Hummm. Cela ne me plait pas trop, mais bon, daccord. »
De toutes façons, ce soir elle pouvait faire ce quelle voulait, Jean ne pouvait plus lui résister. Chacun a remis la laisse à son chien et ils sont partis. Elle avait gardé sa robe ouverte sur le devant, ne cachant rien de sa toison à l'air libre. Quant à Jean, il avait la verge pointée hors de son pantalon. En sortant du jardin, ils ont débouché sous les arcades abritant de nombreux magasins. Cette allée, quils devaient remonter sur une centaine de mètres, était largement éclairée par des tubes néons. Ils avaient franchi environ la moitié du parcours et il ne leur restait plus quà passer devant une entrée dimmeuble avant datteindre le leur quand un groupe de jeunes gens est apparu à une dizaine de mètres deux. Valérie sest aussitôt jetée dans ses bras et elle la embrassé goulûment.
Alors quils attendaient que ces 5 jeunes montent dans leur voiture, elle a, à sa grande surprise, de nouveau saisi la verge de Jean et sest remise à le branler. La crainte dêtre vu associée à lincongruité de la situation ont mis ce dernier dans un bel émoi. Quand enfin ils sont partis, il avait à nouveau une superbe érection. Ils ont franchi les quelques mètres restants en courant et en riant. Elle a ouvert la porte dentrée de limmeuble et ils se sont précipités à lintérieur. Ils ont pris les escaliers pour aller au second étage, et elle la fait entrer dans son appartement. Jean sy est engouffré en soufflant.
Lappartement était meublé avec goût, les meubles étant de style ancien, mais sans être trop chargé.Elle a retiré le collier de Melba et il a fait de même avec Gourou.Melba sest tout de suite dirigée vers une pièce sur la droite pour se précipiter vers son écuelle et se désaltérer, buvant sans doute pour se remettre de ses émotions. Gourou la suivi et a fini par limiter. Valérie avait pendant ce temps traversé tout le couloir et se tenait à lentrée dune pièce. Elle fit signe à Jean de la rejoindre.
- « Viens dans le salon. On sera plus à laise. Tu veux boire quelquechose ?
- Oui, je veux bien. Aurais-tu quelque chose de frais ?
- Un panaché cela tirait ? Je dois en avoir au frigo.
- Cela ira très bien. Va pour un panaché »
Elle est partie vers la cuisine, a ouvert le frigo et elle est revenue avec deux cannettes bien fraîches. Ils ont commencé à boire, debout,lun en face de lautre.
- « Dis donc, il y a du laisser aller, lui dit-elle en regardant sa verge.
- Désolé.
- Ce nest pas grave, je vais men occuper »
Elle sest agenouillée devant lui, a posé sa cannette sur le sol et a saisi la verge dans sa main, glacée. Elle a commencé une caresse lente et douce, puis a approché son visage et elle a commencé à le sucer. Sa bouche sest ouverte et elle a englouti la queue. Jean trouvait cela doux et bon. Elle a titillé son gland de sa langue experte puis a ressorti sa bite. Elle la caressée de nouveau, un peu, puis la reprise en bouche. Elle a recommencé ce manège, jusqu'à ce que cette tige de chair redevienne bien dure. Elle a alors bu une gorgée de panaché et sans lavaler, a remis la verge dans sa bouche.
La sensation fut sans doute très étrange car Jean se raidit quelque peu. La sensation provoquée par la boisson froide et pétillante ne devait pas être si désagréable car il sest rapidement détendu. Elle a eu quelque mouvementde va et vient, puis a avalé la gorgée de liquide. Elle a ensuite recommencé plusieurs fois, finissant son panaché de cette façon. Au cours de cette fellation, elle a débouclé la ceinture du pantalon de son partenaire, puis a défait le dernier bouton. Elle la fait glisser jusquaux chevilles, puis sest attaquée au caleçon, qui na pas tardé à rejoindre le pantalon.
Jean était désormais debout devant elle, nu de la ceinture jusquau chevilles, la bite bien dressée. Elle avait répandu, volontairement ou non, une partie du liquide sur sa robe et notamment entre ses seins. Il a pu sen rendre compte lorsquelle sest relevée. Alors, sans lui demander son avis, Jean a commencé à retirer chacun des boutons de sa robe qui a fini par souvrir. Ses seins étaient emprisonnés dans un mignon soutien-gorge bleu à balconnets, sans bretelle. Son ventre plat semblait une invitation aux caresses. Alorsquil voulait dégrafer lattache de son soutien-gorge, elle la repoussé.
- « Tut tut tut. Dabord tu te déshabilles complètement !
- Oh non ! Tu es dure là.
- Sans doute, mais je veux dabord te voir à poil. Après tu pourras disposer de moi.
- Promis ?
- Euh
Bon daccord. Juré. Je serais à toi. »
Devant une telle promesse, il a rapidement entrepris de se dévêtir totalement. Valérie sest assise dans un fauteuil lui faisant face, les jambes écartées, sa vulve rose offerte au regard. Une fois nu, il sest approché delle et sest penché pour lui retirer son soutien gorge. Elle na pas bougé, tournant seulement la tête pour suivre chacun des gestes. Il a retiré le morceau de tissu, dégageant sa poitrine.
Ses seins nétaient pas très gros, mais dune taille suffisante, avec une auréole fine et un téton bien dressé. Il a envoyé le soutien-gorge rejoindre ses affaires posées à même le sol. Saisissant ses seins à pleine main, il acommencé à la caresser. Elle a repris dans sa bouche la verge qui se situait juste à la bonne hauteur et sest mise de nouveau à le sucer. Jean s'est dégagé, se souvenant de ses paroles dans le jardin, il s'est agenouillé et, sans attendre, il a plongé son visage vers son pubis, tandis que de ses mains, il lui écartait les cuisses.
Elle na absolument pas résisté. Il a tout dabord senti son odeur, se remplissant les narines de ses senteurs intimes. Puis, avec sa langue,il est allé à la rencontre de sa chatte. Il a commencé à en écarter ses lèvres, glissant sa langue entre elles pour rechercher son petit bouton damour. Ses mains pétrissaient ses fesses, les passants entre les lobes, glissant vers son anus. Elle commençait à frissonner et à se raidir, puis repoussa sa tête avec ses mains en disant :
- « Allonges toi sur le dos. Je veux te sucer pendant que tu toccupes si bien de moi. »
Presque à regret, il a abandonné cette chatte si douce et il sest allongé à même la moquette. Elle sest installée au-dessus de lui, lui offrant une vue superbe sur sa chatte et sur son cul. Il la amenée lentement vers sa bouche alors quil sentait la sienne prendre possession de sa bite. Il a senti sa chaleur envahir son membre alors quil lui écartait les lèvres de la chatte avec ses doigts avant dy glisser la langue. Elle mouillait vraiment comme une folle et cétait autant dindication sur le plaisir quil lui donnait. Elle le suçait divinement bien, lui pétrissant les couilles tout en lui mordillant le gland.
- « Viens, prends-moi maintenant. Mets-la-moi par derrière.
- Jai vraiment envie de te sodomiser. Tu es daccord ?
- Non, surtout pas de ça. Non, prends-moi comme ton chien a pris Melba. En levrette ! »
En disant cela, elle sest relevée et sest mise à quatre pattes, juste à coté de lui. Il voyait ses seins pendre dans le vide. Elle la regardé alors quil navait toujours pas bougé.
- « Tu ne veux pas me baiser ?
- Si bien sur. Mais tu ne crois pas que tu exiges beaucoup et demandes peu ? Je croyais que je pouvais faire de toi ce que je voulais. Ce nest plus vrai ?
- Si bien sur, mais jai tellement envie de sentir ta bite en moi. Sil te plait !
- Ah, cest déjà un grand pas de franchi. Mais dis-moi, avec les petites réflexions que tu me faisais sur ton mari, je suis à peu près sur que tu as des outils pour pallier ses défaillances non ?
- De
de quoi parles-tu ?
- Tu naurais pas un petit gode par ici ?
- Euh.. Si, jen ai bien un dans mon sac. Mais pourquoi ?
- Vas le chercher, sil te plait. Jai envie de faire quelque chose avec toi ce soir. Et tu mas bien dit que tu mappartenais.
- Bon daccord. Mais tu ne me fais rien de douloureux hein ?
- Cest juré. »
Elle est allé dans lentrée et est revenue avec un objet daspect métallique dans les mains. Jean, pendant ce temps, sétait mis à genoux et elle lui a donné lobjet avec un petit air inquiet. Celui-ci, assez fin, devait bien faire dans les 25 centimètres de long. Elle sest remise à quatre pattes.
- « Viens sil te plait. Viens en moi maintenant.
- Daccord. Je ne vais pas te faire attendre plus longtemps. »
Il sest présenté derrière elle et, en saidant de la main droite, il a posé son gland à lentrée de sa chatte. Elle était bouillante et humide à souhait. Dune petite poussée il a fait entrer sa bite, sans forcer. En se cambrant légèrement, il regardait sa queue disparaître lentement dans cette fente. Il la ainsi pénétrée jusquà la garde. Valérie soufflait et poussait des petits « hum » tout au long de lintroduction de cette verge ce qui semblait en dire long sur le plaisir et les sensations que cela lui procurait. Une fois entièrement en elle, Jean acommencé à sactiver. Il sest penché en avant et a saisi ses seins, un dans chaque main. Il était en train de la bourrer de coups de reins, entrant et sortant de son corps lorsque il a remarqué les deux chiens assis sur leur postérieur qui les regardait.
- « Et Valérie, regardes les. Ils inversent les rôles et ce sont eux qui nous regardent maintenant.
- Oh les voyeurs. Bof, ils nont pas vraiment tort et on ne peut pas leur en vouloir. Quavons-nous fait tout à lheure dans le parc ?
- Oui, cest vrai. Et en plus cela mexcite. Pas toi ?
- Si terriblement. Oh ! Continue à me baiser comme cela. »
Il a poursuivi ses coups de reins, la bourrant de plus en plus. Lâchant ses seins, il sest redressé et a pris le petit gode en main. Tout en continuant à la baiser, il la approché de son anus tendu et offert. Alors, cessant de sactiver en elle, il a posé lengin fin et brillant sur son illet. Elle sest mise aussitôt à crier.
- « Non, pas ça. Je ten prie. »
Sans répondre, il sest retiré de sa chatte et il a remplacé sa bite parle gode. Elle sest détendue et il la masturbée ainsi quelques instants avec cet objet, le faisant sortir pour mieux la pénétrer ensuite. Puis,il a retiré le gode et a posé sa bite a lentrée de sa chatte. Lorsqu'il a commencé à s'enfoncer de nouveau en elle, il a rapidement posé le godemiché humide sur son anus et il la enfoncé sur quelques centimètres avant quelle nait le temps de réagir. Elle sest brutalement contractée.
- « Non, arrêtes ! Je naime pas ça du tout.
- Laisses-toi aller sil te plait. Tu mas dit que tu mappartenais et je tai dit que je ne te ferais pas mal. As-tu eu mal ?
- Euh, non, mais ce nest pas le problème. Je ne veux pas que tu me sodomises.
- Et moi jen ai envie. Reviendrais-tu sur ta promesse ?
- Je ne sais pas. Jai vraiment peur. Arrêtes sil te plait.
- Je tai juré que je ne te ferais pas mal et je ne le ferais ni physiquement, ni psychologiquement. Jarrête. »
En disant cela, il a retiré le gode de son cul. Valérie a frissonné alors que lobjet quittait son fondement. Jean a posé lobjet sur le sol et il a continué à la baiser, en lui embrassant le cou et en reprenant ses seins en main. Au bout dun moment, il sest retiré pour aller sasseoir dans un fauteuil.
- « Viens. Viens sur moi. Tournes moi le dos et viens tempaler sur ma queue. »
Elle la rejoint et sest tournée pour lui montrer ses fesses. Puis elle a descendu son bassin pour amener sa chatte à la rencontre de sa verge. Elle sest empalée dessus et a commencé à sactiver, montant et descendant le bassin, faisant coulisser son membre dans sa chatte. Pour laider, Jean a posé ses mains sous ses fesses et la soulevée en rythme pour lui faciliter ses allées et venues. Il a fini par glisser un doigt vers sa fente et a commencé à lui titiller le clitoris.
Elle a rapidement jouit en criant. Ces petits cris ainsi que les contractions de son con nont pas permis à son amant de tenir plus longtemps. Il sest lâché dans son con, répandant son sperme dans sa chatte, en donnant de grands coups de reins, senfonçant le plus loin possible en elle.Ils se sont écroulés sur le sol, vidés mais heureux. Jean était toujours en elle, mais sa queue ramollissant, elle a fini par sortir de sa chatte. Valérie sest tournée vers lui et sest blottie dans ses bras. Ils sont restés ainsi, de longues minutes, allongés à même le sol, en sembrassant tendrement.
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