Goût De Printemps
Sebastopol, Ukraine, soirée du 23 mai 2000.
Le soleil a tapé fort toute la journée. Mes deux jeunes cousines, Ernestine et Sonia, sont venues dOdessa pour passer la semaine à la maison. Je mappelle Alessandro, nous avons tous les trois le même âge avec mes cousines, 20 ans. Mes parents sont partis quelques jours en voyage daffaire à Istambul, en Turquie, ils nous ont laissé la maison pour nous, ce qui est un beau cadeau. Mais le deuxième beau cadeau quils nous aient laissé est loncle Roger. Un soi-disant vieil oncle dune cousine éloignée qui vit à Zagreb, en Croatie, cousine que nous navons jamais vu et que nous ne verrons sans doute jamais. Le vieux Roger, lui, était bien là, et ses 72 ans aussi. Nous étions chargés de lhéberger pour la semaine. Il logeait dans la chambre damis et mes deux cousines avaient planté leur tente dans le jardin. Cela faisait déjà trois jours que loncle Roger dormait chez nous. Il était plutôt discret, sortait se promener la journée dans la ville et rentrait le soir pour le repas. Il parlait relativement peu, mais nous appréciions tous les trois son sens de lhumour et sa décontraction. Aujourdhui, les filles et moi, nous avons passé la journée à la plage. Les filles étaient particulièrement excitées, elles ont pas cessé de jouer aux voyeuses, reluquant les mecs, se moquant avec humour de leur corps trop bronzé, trop musclé, trop maigre ou trop huilé. Les commentaires sur les tailles des sexes ont fusé toute la journée, trouvant celui-ci minuscule, celui-là à leur goût, tout ceci entrecoupé de rires aux éclats. Elles prenaient également plaisir à comparer leur poitrine à celles des autres femmes sur la plage.
« Celle-ci a les seins tombant, celle-là a de beaux seins plantureux, mais moins beaux que les miens, quen penses-tu Alessandro ! » me dit Sonia, en empoignant ses seins nus des deux mains, les faisant remonter vers le ciel.
Ernestine riait des propos sans gêne de sa cousine, tout en enduisant ses seins de crème solaire.
« nous navons encore fait aucun commentaire sur le sexe dAlessandro » dit Sonia en souriant à Ernestine
« Jai, sans aucun doute, le plus beau sexe de toute la plage, nest-ce pas les filles ! » dis-je, pour tenter de désamorcer les possibles railleries de mes cousines
« Je nen doute pas, bien quen général je ne croie ce que je vois » dit Ernestine en riant.
Javais échappé au pire, mais cette remarque ne mavait pas quitté jusquà notre retour chez nous. En arrivant à la maison, loncle Roger était assis sur le canapé, entrain de lire. Ernestine et Sonia se sont rendues directement à la salle de bain pour se nettoyer du sable et du sel qui tapissaient leur peau. Je racontais, sans ajouter de détails, notre journée paisible à loncle Roger. Nous entendions les deux filles rire depuis la salle de bain. Elles étaient si heureuses aujourdhui, si pleines de vie, cela les rendait splendides. La table basse du salon était remplie de bonnes choses à déguster et à boire. Roger avait passé la journée à préparer tout cela, je commençais à apprécier mon vieil oncle. Les filles venaient enfin nous rejoindre autour de la table chargée de victuailles.
« Bonsoir oncle Roger, avez-vous passé une bonne journée ? »
« parfaite, merci, la votre semble avoir été joyeusement rempli à en juger par votre bonne humeur »
« nous avons passé la journée à mater les hommes sur la plage, cest une de nos activités favorites » répond Sonia, sans détour
«
et à faire des commentaires de toutes sortes » rajoutais-je Loncle Roger ne sen trouvait pas choqué, il esquissait un sourire dapprobation.
Elles étaient magnifiques. Sonia portait un caracco minuscule qui cachait savamment sa poitrine que je savais parfaite pour lavoir vu toute la journée. Son ventre était dénudé. Une jupette fleurie, presque transparente, laissait entrevoir un string rose lorsquelle passait à contre jour, avant de venir sasseoir à gauche de loncle Roger, croisant ses longues jambes fines.
« que ne donnerais-je pas pour avoir 20 ans comme vous trois, vous êtes de ravissants jeunes gens, beaux, remplis dénergie et de joie de vivre » dit avec sincérité loncle Roger.
« vous êtes encore jeune et fringuant, et vous avez su garder un esprit jeune à 72 printemps oncle Roger» dis-je.
« 73 mon jeune ami, 73 ». « vous mavez dit vous-même, il y a trois jours de cela que vous aviez 72 ans ».
« cest exact, mais jai 73 ans aujourdhui même ». « cest magnifique, cest quelque chose qui se fête » senthousiasment les filles.
Mangeant et buvant à la santé de loncle Roger, latmosphère se détendait et les inhibitions perdaient du terrain. Les filles racontaient sans pudeur à loncle Roger leur activité de la journée, et dans le moindre détail.
«javoue que jaurais bien apprécié de glisser ma main à lintérieur de quelques maillots de bain, on peut deviner à travers les étoffes que certains hommes sont bien membrés. Je me demande si certains hommes ne font pas exprès de déambuler sur la plage, au milieu de tout le monde, lorsquils ont une érection naissante ! » dit Ernestine.
« pour ma part, jaurais bien enduit quelques corps dhuile solaire » reprend Sonia en mimant laction sur ses propres jambes.
Je me sentais quelque peu gêné vis à vis de mon vieil oncle, je renvoyais aux filles :
« vous exagérez les filles, votre franc-parler peut choquer oncle Roger.
« pas du tout, pas du tout, je ne me sent pas gêné le moins du monde. Vous avez bien raison den profiter temps que votre jeunesse vous accompagne, car ensuite vient lheure où elle vous abandonne, emportant avec elle tout un cortège de petits plaisirs. Profitez, aimez-vous, caressez-vous, faites lamour, humez, touchez, goûtez, regardez, accordez votre confiance à vos désirs tant que vous êtes bénis de la grâce de la jeunesse » déclamait loncle Roger avec un certain émoi dans la voix, nous laissant comprendre que pour lui ce temps sacré était révolu, pour toujours.
Mes deux cousines regardaient à présent le vieux Roger dun regard attendri. Loncle Roger avait dû avoir beaucoup de femmes dans sa vie, il savait parler. Sonia prenait soudain une étrange initiative.
« vous semblez triste oncle Roger, et ce que vous dites me touche. Il doit être si difficile de se passer de tous ces plaisirs »
« je donnerais tant pour retrouver mes vingt ans, pour pouvoir toucher, sentir les envoûtantes flagrantes des corps des belles femmes »
Sonia, tout en écoutant attentivement loncle Roger, avait glissé une main sous sa jupette à fleur pour frotter délicatement son sexe, puis a fait glisser sa petite culotte rose le long de ses cuisses lisses et galbées avant de sadresser à loncle Roger :
« Oncle Roger, laissez moi vous offrir un cadeau dun genre un peu particulier si vous le permettez. Je voudrais que vous acceptiez ma petite culotte que vous pourrez sentir à votre guise »
Une lueur de bonheur brillait de tout éclat dans les yeux de mon oncle. Ernestine rajoutait à son tour.
« cest si triste, laissez moi vous offrir à mon tour un petit présent » dit-elle en déboutonnant son chemisier à demi transparent jusquau nud.
Elle écartait les pans de son chemisier pour laisser apparaître deux magnifiques seins plantureux.
« Touchez » dit-elle dune voix langoureuse.
Roger avait à présent la culotte de Sonia dans une main, quil portait à son visage pour en savourer le parfum. De lautre, il faisait glisser une main rude et calleuse sur la poitrine tendue dErnestine qui semblait prendre du plaisir à cela.
« humm, jaime le contact de cette main mûre et expérimentée, des frissons envahissent mon corps de toutes parts » commençait à haleter Ernestine.
Sonia faisait glisser sa main sur le torse de loncle Roger avant de la faufiler sous son pantalon de toile, commençant à masser son pénis. Puis, elle dégrafait sa braguette pour faire surgir le vieux sexe érigé de loncle Roger. Malgré son âge, il ne semblait pas avoir perdu lénergie. Sonia continuer à se laisser caresser les seins. Roger avait à présent logé la culotte de Sonia entre les seins dErnestine. Il y portait ses lèvres et commençait à lécher délicatement.
« oui, vas-y oncle Roger, goûte bien mes gros seins mélangés avec lodeur de chatte dErnestine,
humm, vas-y, lèche
»
Sonia branlait avec application la queue de mon oncle tout en lui caressant lintérieur des cuisses. Puis elle se pencha pour enfourner son sexe dans sa bouche, massant délicatement ses couilles pendantes. Je regardais ce spectacle étonnant avec intérêt, javais une telle érection que je commençais à ressentir une vive douleur. Il fallait que je libère de la place pour mon sexe. Tout en continuant à pomper Roger, Sonia madressait un regard avant de le porter sur la bosse de mon pantalon. Lentement, elle tendait sa jambe jusquà moi et posait son pied nu sur mon sexe encore emprisonné. Elle massait ma queue, je faisais glisser la fermeture, elle infiltrait ses orteils vernis de rouge sous mon slip et continuait à masser à même la peau. Quel plaisir intense, humm, ce que cest bonnnn
Roger léchait maintenant sans retenue les seins dErnestine qui, elle, avait subtilisé la culotte trempée de sa cousine et la frottait sur son visage.
« Oh, Sonia, ma chérie, je me régale de lodeur de ta culotte, je sens bien le parfum de ta petite chatte fraîche, hummm
tout ça mexciiiiite
. » suffoquait Ernestine.
Puis elle se levait brusquement, lâchait la culotte de Sonia et fit glisser à la vitesse dun éclair son petit short jusquau sol avant de le ramasser. Elle se tournait vers moi et me lancait son mini short. Sonia avait retiré son pied de ma queue pour se placer à quatre pattes entre les jambes de loncle Roger et continuait à le sucer. Je me masturbais en mâtant le joli petit cul cambré de Sonia, encore recouvert de sa jupette à fleur. Je rajoutais maintenant une dose de plaisir en me délectant du short trempé que mavait lancé Ernestine.
« Il faut goûter mon gros cul maintenant mon oncle » dit soudain Ernestine en escaladant le canapé pour venir placer ses volumineuses fesses galbées juste au dessus du visage de Roger.
« Ouiiii
comme ça,
oh oui, cest bon, quelle langue experte oncle Roger, tu as dû en lécher des chattes dans ta longue vie
hummmm
»
Je continuais à me masturber avec un troisième élément de plaisir, ceci de voir à présent le gros cul dErnestine, bouffé par la bouche avide de loncle Roger. Ernestine avait pris à nouveau la culotte de Sonia, elle sen barbouillait avidement le visage. Sonia ôtait brièvement la queue de Roger de sa bouche, se retournait vers moi, soulevait sa jupe jusquen haut de ses jolies petites fesses et me dit :
« Alessandro, viens me prendre, jai envie de ta queue dans ma chatte, viens »
La vision de ce petit cul sublime manquait de me faire éjaculer. Je mapprochais, saisis ses hanches et commençais à mintroduire. Son antre brûlante communiquait sa chaleur à lensemble de mon corps. Avant de replonger sur la queue de Roger, elle arrachait le petit short dErnestine de mes mains et se remis à pomper le membre tout en lastiquant à laide du mini short. Je caressais alternativement le cul de Sonia et celui dErnestine qui se faisait toujours lécher par Roger. Jeffectuais des va-et-vient de plus en plus rapides dans la chatte de Sonia. Soudain, je sentais léjaculation approcher. En même temps, Sonia poussait un long cri dorgasme. Je ne pouvais plus me retenir. Je me retirais et jéjaculais sur les fesses sublimes de ma cousine. Loncle Roger allait éjecter sa semence quelques secondes après moi. Sonia retirait la queue de sa bouche, et un puissant jet de sperme senvolait pour venir décorer les fesses dErnestine qui semblait prise de convulsions sous les coups de langue de loncle Roger. Un deuxième jet montait au ciel pour retomber à nouveau sur les grosses fesses dErnestine. Sonia, surexcitée par ce spectacle, se ruait fougueusement sur le cul dErnestine pour lécher le sperme et rejoindre Roger. Deux langues léchaient avec frénésie le sexe dErnestine.
« léchez-moi encore, je sens venir un immense orgasme, Aaaahhhhhhh
» suppliait Ernestine en malaxant vigoureusement ses gros seins avant dêtre prise de secousses violentes, accompagnées dun cri puissant.
Nous étions tous les quatre dans un état de semi conscience hébétée. Drôle de soirée atypique, et pourtant nous étions bien. En reprenant nos esprits, loncle Roger ajoutait ceci :
« Grâce à vous jai senti à nouveau le parfum du printemps de la vie. Ce souvenir maccompagnera encore longtemps à présent. »
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