C'Est Dans La Boite
Je m'appelle Enjan, je travaille comme secrétaire dans une agence de photographes de mode.
Mon travail n'a rien de passionnant en soi, répondre au téléphone, passer les communications, essuyer les mécontentements des uns et les sautes d'humeur des autres, classer des papiers dans des dossiers, classer des dossiers dans des armoires, prendre des rendez-vous pour les clients de l'agence, voilà à quoi ressemble une journée type. Rien de passionnant en soi jusqu'à un certain après-midi du mois dernier. La boite venait de décrocher un gros contrat avec un magasine de prêt-à-porter masculin et devait rendre le montage photo le lendemain avant midi, pour une parution le surlendemain dans les kiosques. Nous n'étions pas nombreux dans les bureaux ce jour-là. Je voyais mon chef en grande effervescence, cherchant en vain une solution à son problème. Trois des cinq photographes de l'agence étaient en congés, les deux autres en déplacement. Il n'y avait plus un photographe disponible, ni dans la boite, ni chez nos confrères. Mon chef devait, quant à lui, partir dans l'heure sur un autre gros contrat, dans une ville voisine. Dépité par la situation inextricable dans laquelle il se trouvait, il demanda aux seuls employés encore présents:
"qui sait se servir d'un appareil photo parmi vous?", Sans la moindre hésitation, je saisissais l'occasion.
"je pratique un peu en amatrice, je développe quelques clichés en amateur, je pense que je peux dire que je connais les ..."
Je n'avais pas même eu le temps de termeiner ma phrase dans laquelle je risquais fort de m'enliser que mon chef me coupa.
"Enjan, vous prenez cette commande, il nous faut les cent clichés commandés pour demain matin. Vous avez trois heures de prise. Les modèles arrivent dans un quart d'heure, tout est expliqué dans le dossier qui est là. Voici l'appareil et voici les pellicules. Vous prenez le studio 4, le background est installé. Vous n'avez qu'à prendre les photos; après la séance, vous remettrez les pellicules au monteur.
"bonjour messieurs, Enjan Verham, je suis la photographe. Veuillez entrer je vous prie, nous allons commencer. Voici les articles que vous devez porter pour la séance, vous vous changerez dans le vestibule qui se trouve au fond du studio."
Les mecs n'étaient pas modèles par hasard. La beauté plastique de leurs corps les prédestinait sans doute à exercer cette profession. Ils sortirent tous les cinq du vestibule, vétus dans leur plus simple appareil. La vision que j'avais de ces cinq corps paradisiaques provoqua en moi un choc violent que je m'efforçais de ne pas laisser tranparaître sur mon visage. Je restais de marbre et ordonna:
"bien, nous allons commencer par vous, quel est votre nom? Marcial. Très bien Marcial, placez vous ici, voilà, comme cela, déanchez vous légèrement, voilà comme ceci ...[CLIC]..., maintenant veuillez vous tourner légèrement vers la gauche, oui très bien ...[CLIC]..., remontez l'élastique de votre sous-vêtement légèrement vers le nombril, oui, non!, un peu plus vers la gauche, vers la droite maintenant, non, ce n'est pas bon, j'ai un refllet dans l'objectif, vous me permettez?..."
Je m'approchais pour placer l'élastique de son slip noir comme je le souhaitais.
"bvoilà, parfait! ...[CLIC]..., ...[CLIC]..., c'est très bien Marcial, à vous à présent, quel est votre nom? Tommmy! Bien, approchez je vous pris..."
Tommy était aussi beau que le premier, son sexe remplissait généreusement le sous vêtement rouge sexy-sexy qu'il portait. Il s'agissait d'un stip qui embrassait à peine les couilles de ce belâtre et se poursuivait vers l'arrière par un simple fil rouge qui passait entre ses deux fesses rondes et musclées. Je ne touchais pas avec les yeux, je dévorais littéralement ce corps de rêve.
"décalez légèrement votre verge vers la droite je vous prie Tommy, un peu plus, voilà ...[CLIC]..., ...[CLIC]..., relevez-la un peu , oui, c'est très bien, vraiment très bien."
Les trois autres modèles, Ernesto, Anky et Jules n'avaient rien a envier à Marcial et Tommy concernant le degré de gâterie que la nature avait bien voulu consentir à accorder à leur corps. ...[CLIC]..., ...[CLIC]..., je mitraillais ces beaux gosses, je mitraillais leur bite, leur culs, je les faisais avancer, reculer, tourner, se déhancher à ma guise comme cinq merveilleuses marionnettes obeissant aux moindres de mes exigences.
"enculez-moi, je ne peux plus me contenir, j'ai envie de vos queues qui m'excitent depuis deux heures, j'ai envie de jouir"
j'écartais largement mes cuisses, leur offrant le spectacle de ma culotte oréolée d'une belle tache de cyprine chaude. J'ai de suite faufilé une main dans ma culotte pour me masturber sans retenue. Je regardais avec avidité ces cinq hommes à moitié nus, j'attendais qu'ils s'approchent pour me baiser tous ensemble. Je matais leur slip qui se déformait. Je m'engonçais dans mon fauteuil, écartant le tissu de ma culotte au niveau de mon anus trempé de mon jus de plaisir.
"sort ta queue de son fourreau, que je la vois enfin...et viens l'introduire dans mon joli petit trou, j'ai envie de jouir du cul, allez, viens maintenant, viens..."
Il vint se positionner debout entre mes jambes écartées, fit lentement glisser le tissu de son slip vers le bas, de manière à ce que je puisse fixer son sexe apparissant au jour par petits bouts. Je fixais ce bout de chair claire qui sortait lentement. Je continuais à astiquer vivement mon vagin avec délectation. Les quatre autres beaux gosses s'étaient également rapprochés et m'entouraient maintenant. Deux à ma droite, deux à ma gauche qui avaient ôté leur slip et m'offraient le spectacle des bites bien dures. Ils étaient là, tout près de moi, je bougeais insensiblement mes deux bras et j'atteignais leur quatre paires de couilles, leur quatre tiges érigées. J'y allais à pleine main.
"hummm, toutes ces couilles à la fois, et ces verges au garde à vous que je peux branler."
Je crachais dans mes mains et je les passais énergiquement sur leur tige, roulant mes doigts autour de leurs bourses, glissant jusque dans la raie de leur jolis petits culs de mecs musclés. Je passais d'une queue à l'autre sans marquer la moindre pose. Entre mes cuisses brûlantes, Marcial s'affairait à bien préparer mon anus, agenouillé, il le léchait et le malaxait avec adresse.
"Oh oui, c'est booonn... je commence déjà à jouir du cul, hummm... oui, met-moi maintenant, met ta queueee...eeAaahhhmmm...oui, voilà, oui ça rentre, je la sents rentrer en moi..."
Je me lachais totalement, je m'activais nerveusement sur les quatre bites qui m'encerlaient. Ils se rapprochèrent juste au dessus de mon visage pour que je puisse les branler et les sucer en même temps.
"Hum toutes ces queues, tout ce plaisiiiir...Ouiii."
Marcial me bourrait tendrement le cul, puis céda la place chaude à Tommy, puis vint le tour de Anky, Jules et enfin Ernesto. J'avais toujours quatres queues autour de mon visage et de mes seins. Ernesto était le dernier à me bourrer, il était le meilleurs, je sentais que j'allais bientôt orgasmer du cul. J'avais lâché les quatres queues pour me caresser les seins d'une main et me branler énergiquement de l'autre. Les quatre mecs se branlaient, frôtant leur queue excitée sur mes seins, sur mes joues dodues, sur ma bouche humide, le cinquième m'astiquait l'anus avec savoir-faire. Je sentais venir l'explosion.
"je vais jouir dans quelques secondes, je veux voir sortir votre sperme, je veux le voir se rependre sur mon corps en feu, OOOuuuiiii...."
J'explosais soudain de la chatte, suivi de près par une seconde explosion du cul. Je hurlais.
"maintenaaaaannnnnt, je jouiiiiis.....Aahhhhhhh....."
Ernesto retira sa queue de mon anus, et je vis cinq lance d'incendie propulser leur dose de sperme chaud. Il en venait de partout, je fleurtais avec l'état de transe. Je reçus leur liqueur partout sur mon corps, sur mon visage, sur mes seins, mon ventre, mon pubis. Le calme revînt lentement, je me relevais, mes jambes vacillaient.
"merci messieurs pour votre professionnalisme, la séance est terminée, c'est dans la boite. Vous pouvez vous rhabiller."
Je me dirigeais vers les toilettes du studio puis je me rhabillais à mon tour. Les modèles me remercièrent à leur tour à la manière de cinq gentlemen. Je remis les pellicules au monteur dans les temps. J'avais terminé le boulot qui m'avait été confié. Je gardais jusqu'au couché la sensation daouce et étrange de flotter dans les airs.
-Enjan-.
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