Les Cheminées De La Centrale
Je mappelle Nari-Nary,
je suis une femme des plus normales qui soient, stable et équilibrée, tant affectivement que socialement parlant. De temps à autre, pourtant, un changement étonnant sopère en moi, comme si soudain je rentrais dans une seconde enveloppe charnelle, comme si une seconde personnalité prenait possession de moi. Alors, de femme rangée, je me métamorphose en femme lubrique. Un besoin impérieux dexhiber ma personne menvahit et je nai alors dautre choix que celui dassouvir mon fantasme : je madonne sans retenue à des actes délibérés dexhibition publique. Jai dabord commencé par mexhiber dans quelques parkings souterrains. Chaque fois, le scénario est le même. Je prends ma voiture, à la nuit tombée, je stationne à un endroit stratégique, je coupe le moteur, jallume la loupiote qui éclaire lhabitacle et je verrouille les portes de lintérieur. Lorsque je repère un homme à ma convenance, je lui adresse un appel de phare.
Attiré par la curiosité, les hommes sapprochent. Je leur offre alors un réjouissant spectacle de mon cru. Mes spectateurs nen reviennent pas et apprécient particulièrement mon manque de pudeur. Jai aussi fréquenté quelques aires de repos, quelques parkings de resto de routiers pour donner libre cours à mes penchants obscènes. Je sais bien que très peu de femmes sadonnent à ce genre de pratique, mais la tentation est plus grande que la culpabilité denfreindre les limites de lacceptable. Comme jen retire un plaisir incommensurable, je vis mon pleinement travers. Un soir, je décidais de me rendre à la centrale nucléaire implantée à quelque cent kilomètres de mon domicile. Les deux immenses cheminées crachant sans relâche ses jets blanchâtres montant jusquau ciel me donnent des idées. Jimagine quil sagit de deux énormes verges en érection, super puissantes, brûlantes. Japprochais de lentrée de la centrale. Je me doutais que les vigiles, en charge de la sécurité au poste de garde ne me laisseraient pas pénétrer dans lenceinte du complexe nucléaire.
Un des trois employés de la sécurité sorti de la boite de verre qui leur servait de poste de garde. Il sapprocha de ma vitre. Quelle ne fut pas sa surprise lorsquil me vit, un sein dénudé, une main glissée sous ma minijupe noire. Subjugué par mes agissements, le garde resta planté devant moi, comme sil sinstallait dans un fauteuil de salle de théâtre. Je reculais mon siège. Je me caressais, offrant à mon spectateur passif la joie de découvrir la beauté de mon anatomie généreuse. Je libérais mon autre sein que je massais à pleines mains. Je faisais rouler mes tétons bruns sous mes doigts, relevant par moments un sein vers ma bouche de manière à pouvoir en suçoter le bout. Je dégrafais mon chemisier, jenlevais mon minuscule string qui me servait provisoirement de cache-sexe, après avoir joué un peu avec. Lhomme me voyait alors vêtue de mes seuls bas blanc, spécialement et chèrement acquis dans un sex-shop de luxe, taillés de manière à laisser dégagé le minou et la moitié des fesses. Je portais ma culotte odorante jusquà mes narines. Lodeur de mes propres effluves transcendent ma libido, je léchais ma sauce. Je jetais quelques regards à ma proie qui paraissait de plus en plus excitée. Dans mon champ de vision, javais cet homme sur ma gauche qui sastiquait discrètement à travers la poche de son uniforme, japercevais clairement les deux autres gardes qui ne tarderaient sans doute pas à réagir, et juste en face, les deux majestueuses tours qui donnaient à plein régime. Oh, quel spectacle ! Jastiquais ma vulve à pleines mains, je léchais mes doigts pour exciter plus encore mon admirateur du moment. Je collais ma culotte sur la vitre qui nous séparait comme pour la lui donner à renifler, à lécher. Je la portais à nouveau jusquà mon nez.
Je voulais le voir devenir comme un chien fou, je me retournais sur mon siège et lui présentais mon joli cul que jappliquais contre la vitre.
« Ah bon, je suis une salope ! Alors regardez bien messieurs, vous navez pas tout vu », pensais-je intérieurement.
Je tournais le dos aux trois gardes, me positionnant à genoux sur le siège passager. Lentement, je commençais à me frotter contre le pommeau de vitesse en forme de verge maquillée que je métais également procuré en sex-shop. Je lintroduisais dans ma chatte brûlante et procédais à de sensuels mouvements de va-et-vient. Je tournais la tête pour voir la réaction des trois hommes mâtant mon cul, leurs yeux exorbités. Ils avaient chacun une main dans la poche de leur pantalon duniforme et se branlaient de concert. Je pensais quils devaient mourir denvie de sortir leur queue pour se branler énergiquement, mais la situation était trop risquée pour eux, lendroit était trop éclairé et quelquun pourrait les voir. Je mactivais toujours plus rapidement sur mon levier de vitesse quand je sentais un orgasme dune puissance atomique monter vivement en moi. Je fixais alors du regard mes trois proies du soir, et laissais échapper un véritable hurlement de jouissance :
« je Jouiiiiiii
..AaaHhhhhh
»
Jimaginais que leur slip devait être mouillé à présent, quune auréole de sperme apparaîtrait sûrement sur leur bel uniforme impeccable.
« vous nous avez offert un spectacle magnifique Madame, merci
vous pouvez repasser nous rendre visite quand vous le voulez, bien que lendroit soit quelque peu risqué. Par chance, personne ne sest présenté au poste de garde depuis votre arrivée. »
Je restais silencieuse. Jétais plutôt ravie et touchée de la délicatesse des compliments de ces hommes à mon égard. Dautres auraient rompu le charme en me souillant de propos injurieux. Je rallumais le moteur et quittais le lieu en pensant que je venais de vivre un merveilleux moment. Etrange, interdit, mais merveilleux. Sur la route du retour, je redeviens progressivement une femme des plus normales qui soient.
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