Oui Maîtresse

J’ai rencontré Paco dans une bodega branchée de Madrid, un soir de pleine lune, suite à un rendez-vous fixé sur un chat de rencontres. Paco et moi entretenons de très bonne relations amicales depuis. Paco est un homme doux, tendre, attentionné. Pourtant il possède une particularité que tant d’autres personnes considèrent comme une tare ou un défaut chez un homme, et que je considère pour ma part comme un penchant idéal pour un homme : il aime être dominé. De mon côté, j’aime dominer les hommes dans les jeux de l’amour. Je suis une dominatrice née et j’entretiens ce penchant avec un grand intérêt. Nous nous retrouvons fréquemment, Paco et moi, dans un bar-club privé de Madrid pour des soirées dédiées à la domination. Je deviens alors Maîtresse Noria, Maîtresse absolu de mon esclave Paco, entièrement soumis à mes désirs les plus lubriques. Paco aime être traité comme une chose, recevoir des ordres, être humilié même. Je connais très bien mon esclave et je sais parfaitement jusqu’où je peux aller sans dépasser les limites de ce qui reste acceptable pour lui. Paco est mon ami avant d’être mon esclave et son amitié m’est plus chère que mes penchants lubriques. Arrivés dans le bar-club, nous nous isolons dans une pièce au décor de velours rouge. Je pose ma mallette de Maîtresse près du grand canapé rouge. Je l’ouvre délicatement et je donne mes premiers ordres à mon esclave.

« Tiens-toi debout, ici, et ôte tous tes vêtements. Montre à ta maîtresse que tu es un bon esclave. Si tu m’obéis comme je te le demande, tu pourras faire jouir ta Maîtresse. »

Je saisis un caleçon de cuir noir auquel est accrochée une laisse en fer blanc. Un orifice permet de laisser libres le sexe, les couilles et l’anus de l’esclave.

« Enfile cela, il faut que je te tienne en laisse car tu n’es qu’un chien à sa Maîtresse, un petit chien indiscipliné qui ne mérite pas qu’on lui ôte sa laisse. Tourne-toi, que j’attache à présent ton collier de cuir.

Tu as tout intérêt à bien faire jouir ta Maîtresse comme elle en a envie, ou bien je devrais te punir »

Je m’assois sur le canapé rouge.

« A genoux devant moi, ôte mes chaussures maintenant, voilà comme cela. Lèche les pieds de ta Maîtresse maintenant, et applique-toi. »

Ahhh.. j’adore qu’il me lèche les pieds, les puissantes chatouilles que cela me procure se propagent rapidement le long de mes jambes fines et musclées, pour atteindre ma chatte blonde.

« Continue de bien lécher mes pieds, pendant que ta Maîtresse se caresse la chatte. Je la prépare un peu avant de te la donner à laper. Regarde bien la jolie chatte de ta Maîtresse, j’écarte volontairement mes lèvres pour que tu puisses voir mon clitoris. Tu as envie de le laper comme un jeune animal assoiffé, n’est-ce pas ? »
« Relève-toi maintenant, dépêche-toi, allez. Obéis. Branle-toi, voilà, comme ça, plus vite, plus vite j’ai dis. Comme tu as bien léché mes pieds, je vais te montrer mes jolis petits seins, regarde »

Je continue à me branler tout en caressant mes petits seins sensibles sous le regard de mon esclave. J’ôte complètement ma petite culotte trempée et la jette au visage de mon homme-objet qui continu à se masturber en attendant un nouvel ordre.

« Aspire tout le jus de ta Maîtresse, lave bien la culotte avec ta langue. Je veux qu’elle soit propre. Est-ce que tu as bien compris ? voilà, c’est bien.»

J’att la chaînette de fer qui sert de laisse et tire pour ramener mon esclave plus prêt de moi.

« Mets-toi à quatre pattes comme un petit chien docile et viens laper le minou de ta Maîtresse. Oui, c’est bien, c’est ça, c’est un bon chien ça, Ahhhh…continu, laaape-moi ouiii… »
« Tu m’as bien fait jouir, tu as droit à une petite récompense de ta Maîtresse. Relève-toi, ta Maîtresse va te faire éjaculer dans sa bouche. »

Je suce goulûment mon esclave en lui massant les couilles. Il ne tarde pas à éjaculer dans ma bouche.
J’avale tout, c’est chaud et bon.

« A présent, assois-toi à mes côtés, installe-toi sur le canapé avec ta Maîtresse. »

Je me retourne pour lui présenter ma croupe, je suis à mon tour à quatre pattes.

« Enfonce le gode dans ma petite chatte blonde. Doucement, oui, comme cela. Accélère la cadence maintenant, accélère te dis-je. Je t’ai donné un ordre. Voilà, Ouii. Hhumm…encore, plus vite. Oh, je jouis. Att un autre gode, oui, celui-ci. Enfonce-le dans mon petit trou, sodomise ta Maîtresse, elle en a envie. Vas-y oui…plus viiiite. Ca y est, je jouis de partout. AAAHHhhhh…… »
« Voilà, ta Maîtresse en a assez. Range les instruments à présent. Et comme tu t’es bien comporté, je vais te branler jusqu’à ce que tu jouisses de nouveau. »

Je branle mon esclave qui éjacule de nouveau rapidement. Je sais qu’il en a envie, qu’il serait frustré si je ne le faisais pas. Paco est repu, moi aussi. Nous avons encore assouvi nos fantasmes respectifs avec brio. Nous nous rhabillons et quittons la boite pour aller écouter de la musique à la terrasse éclairée d’un café. Je ne suis plus Maîtresse Noria et Paco n’est plus un esclave. Nous sommes deux amis qui discutent et rient de tout et de rien, de vrais amis envers et contre tout.

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