La Belle Au Jardin Dormant
Séoul est une très grande ville, si palpitante par son activité bouillonnante et débordante de diversité et si stressante du fait de sa modernité. Je travaille dans un boite délectronique dans le cur de la ville, les affaires marchent bien et nous sommes débordés par la charge de travail. Dans mon équipe, nous sommes six ingénieurs et travaillons de concert sur un projet dautomatisation de machineries industrielles. Nous sommes sur le point daboutir et devons présenter notre travail à nos commanditaires dans les jours qui viennent. Lee-Anne est une collègue ingénieur de mon service. Hier matin, elle minterpellait pour me demander de lui rendre un service dans le cadre professionnel. Acculée par les exigences de notre direction, elle était tenu de rendre un travail écrit en fin de journée à notre patron. Lécrit en question était resté à son domicile, à quelque dix kilomètres hors de la ville. Il lui était impossible de sy rendre elle-même, faute de temps.
« Je suis bloquée ici, jai deux réunions de travail ce matin et je vois un client cet après-midi. Pour entrer, passe par la porte du jardin qui est toujours ouverte. Tu trouveras le dossier sur la tablette près de lentrée. Ma fille sera peut-être rentrée, mais ce nest pas du tout certain. Elle travaille beaucoup elle aussi en ce moment. Elle vient de terminer ces études, et en attendant de trouver un emploi dans sa branche, elle fait un petit boulot dans un restaurant. Parfois elle fait la journée continue, elle na pas vraiment le temps de se reposer, elle est exténuée. »
Jacceptais de rendre ce service à ma collègue. En réalité, je navais pas vraiment le choix, nous avions besoin de ce dossier dans la journée, coûte que coûte. Je traversais donc la ville, jarrivais près de la maison de banlieue de ma collègue, je trouvais le portillon qui permettait dentrer dans le jardin, jentrais. Il faisait très beau, chaud même. Lété est bien entamé et les températures commencent à monter de manière significative.
Je mapprochais de la maison. Soudain, je vois quelquun allongé sur le fauteuil de jardin, je suppose quil sagit de la jeune Xin, déjà de retour de son travail. Je mapprochais pour me présenter et pour ne pas leffrayer par ma présence. Tout à coup, je marrêtais dans mon élan sous leffet de la surprise. Xin, la fille de ma collègue, était là, devant loi, endormie, sa robe légère estivale relevée haut sur ses hanches fines, sans culotte, ses jeunes fesses nues exhibées sous mes yeux. Jétais stupéfié, là debout, à un mètre de cette jeune femme qui, sans le savoir moffrait le spectacle sublime de ses fesses rondes et charnues, je ne savais pas quoi faire, rester ou partir, jétais comme paralysé par ce que je voyais. Elle portait des bottines noires jusquà mi mollets sur des demi-collants blancs de lycéennes qui sarrêtaient au dessous du genou. Sa robe rouge légère à petites fleurs voletait doucement sous leffet du vent. Dans ses cheveux soyeux, un bandeau de chiffon relevait sa frange et lui donnait une allure d. Elle avait recroquevillé ses jambes et dormait dans une position ftale de côté, ses fesses offertes. Je remarquais quelle tenait à la main sa petite culotte blanche quelle avait ôté. Ce spectacle mensorcelait. Dans son sommeil, elle suçait son pouce par-dessus lequel elle avait enroulé sa petite culotte, comme une qui tient un vieux chiffon.
Mon désir cédait à ma raison, je décidais de retourner sur mes pas et récupérer le dossier qui mintéressait avant de reprendre la route. Je trouvais le dossier et me dirigeais vers la sortie. Au moment de repasser au niveau de la jeune femme endormie, je marrêtais à nouveau. Ma raison lâchait prise, mon désir prenait maintenant le dessus. Je me sentais irrésistiblement attiré. Je mapprochais cette fois très près de la demoiselle, en prenant toutes les précautions pour ne pas la réveiller. Quallait-il se passer si elle sortait soudain de son sommeil candide ? Comment allait-elle réagir en voyant un homme de cinquante ans à quelques centimètres au-dessus de son corps à moitié nu ? Jobservais maintenant de plus près encore sa petite culotte à hauteur de son visage. Je constatais quelle était souillée, une large tache humide colorait le tissu, la tache semblait se poursuivre sur la partie de létoffe quelle avait introduit dans sa bouche. De toute évidence, la jeune femme sétait donnée du plaisir avant de sendormir. Sous mon pantalon de flanelle, mon sexe raidissait de plus en plus à présent. Malgré ma crainte grandissante de la réveiller, je mapprochais de ces fesses. Ohh ! Quelle beauté ! Son sexe apparaissait, exposé, là, sous mes yeux.
Ce jeune sexe aux formes somptueuses, ces fesses rondes à la peau ferme, cet anus légèrement plus mât me faisaient leffet dune puissante drogue. Je voyais nettement une coulée de ses effluves de jouissance qui, sous leffet du vent, avait séché le long de sa cuisse. Une coulure abondante qui me laissait penser que son excitation avait été forte. Je portais mon visage à moins de cinq centimètres de son sexe, je prenais le plus grand soin de ne pas effleurer ses poils pubiens. Humm ! Quelle odeur envoûtante, je navais pas humé de parfum si enivrant depuis de nombreuses années. Machinalement, je glissais une main dans mon slip et je commençais à me masser énergiquement.
Je chavirais, là, sous lodeur de sa jeune chatte souillée, odeur dont je devais me contenter, sans pouvoir ni toucher ni goûter. Mon cerveau subissait un véritable orage électrique, comme un homme que lon affame avant de lui présenter un repas somptueux auquel il ne peut pas goûter. Javais envie de plonger ma bouche entière dans son sexe, lécher, lécher encore, laisser courir mes mains sur ce cul charnu, malaxer, compresser, écarter. Je me retenais au prix dun effort insupportable. Javalais ma salive abondante, je sentais monter mon sperme, ma respiration se faisait de plus en plus insistante. La belle dormait toujours dun sommeil profond, Hhhhhhhhh
je répandais ma semence dans le creux de ma main.
Javais gagné le combat contre moi-même. Je me relevais, je messuyais à une serviette de bain posée au pied du fauteuil et observais quelques instant cette jeune femme qui venait de moffrir un plaisir incommensurable, sans même le savoir. Je rejoignais enfin ma voiture, étourdi, flageolant, à la fois gêné et apaisé. La jeune femme nen saura jamais rien. Personne nen saura jamais rien. Je veux que cette aventure étrange reste une douce parenthèse, un joli cadeau de la vie, sans passé ni futur, un simple instant de bonheur qui métait accordé.
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