Trois Copines Et Un Gode

Charlotte et Fanta me rendent souvent visite, principalement les jeudis après-midi.
Avant de se rendre à leur séance de step au club Moving, à deux pas de ma rue, mes deux amies viennent boire le thé chez moi, dans mon appartement. Nous papotons de choses et d’autres comme trois copines peuvent le faire. Elles me parlent avec passion de leur prof de step qui exerce sur elles une sorte de fascination empreinte de charme et de fantasmes. Je leur raconte mes aventures avec les hommes que je rencontre lorsque je suis en tournée. La semaine dernière, Charlotte et Coralie passèrent juste après leur cours, nous prenions comme chaque semaine le thé dans mon salon, assises toutes les trois sur le canapé, ce jour-là inondé de soleil. Nous discutions une fois de plus du beau Gil, leur prof de gym, quand Coralie me dit :

« regarde dans mon sac, j’ai une photo de Gil que j’ai réussi à lui subtiliser, il ne sais pas que je l’ai »

J’attrapais le sac de Coralie, Je l’ouvrais et commençais à chercher la photo en question. Mais mon attention fut vite détournée par un autre objet qui se trouvait dans le sac.

« tu as un godemichet dans ton sac Coralie, tu te sers de ce genre d’ustensile ? je n’aurais jamais imaginé que tu puisses posséder un tel objet »

Les joues de Coralie prirent une teinte rosée sous ses cheveux bruns. Charlotte laissa échapper un soupir d’étonnement.

« oui, je m’en sers assez souvent pour ne rien vous cacher. Ce petit objet possède des vertus merveilleuses, il dispense beaucoup de plaisir à qui sait s’en servir. Quand on l’utilise, très vite on ne peut plus s’en passer. »


Je le sortais du sac, je l’observais attentivement sous tous les angles. C’était la première fois que je tenais un godemichet dans mes mains. Je laissais courir mes doigts le long de l’objet, découvrant une matière souple et moelleuse étonnement agréable au toucher. Je le portais machinalement sous mon nez pour le sentir.

Un parfum suave et musqué caressa mes papilles olfactives. Je trouvais cette sensation plutôt captivante et déroutante à la fois. Je me demandais s’il s’agissait du parfum des effluves de Coralie ou de l’odeur produite par cette matière que je ne parvenais pas à définir avec précision ? J’avais très envie de poser ma langue sur cette verge postiche pour en connaître le goût. Coralie se rendit compte de ma curiosité pour cet objet des plaisirs solitaires.

« tu peux y poser tes lèvres Fanta, si tu le désires ! » dit Coralie comme pour me donner le feu vert et me permettre de faire ce que je n’aurais pas osé faire sans son aval.

Je posais alors ma langue à la base de l’objet et remontais lentement vers l’extrémité haute du membre factice. Je sentis sous ma langue, à la fois un goût délicieux et douceâtre, et une rugosité proche de celle d’une véritable verge. Sentant que Coralie et Charlotte ne semblaient nullement gênées par la situation, je laissais libre cours à mes instincts et fit coulisser mes lèvres le long du gland, détectant sous ma langue la protubérance du frein, jusqu’à sentir l’objet buter doucement contre le fond de mon palais. Je sentis de chauds frissons parcourir mon corps.

« tu sembles y prendre un certain plaisir Fanta » me dit Charlotte.
« je dois avouer que cet objet exerce sur moi une certaine fascination, son goût, son parfum, sa consistance produisent une réaction d’excitation en moi. Pourtant, il manque une chose à cet engin. La matière est froide, et ce que j’aime dans une bite, c’est aussi la chaleur qu’elle dégage. »
« oui, tu as raison Fanta, répond Coralie, …il faut d’abord chauffer le godemichet, il y a une manière de faire particulière pour en tirer le maximum, il ne faut pas s’y prendre n’importe comment. Voulez-vous que je montre sur l’une d’entre vous comment on doit s’en servir ? »

La situation nous paraissait des plus étranges, mais l’atmosphère n’était nullement coincée et je me portais volontaire pour cette expérience originale.


« je veux bien que tu essaies sur moi, si tu es d’accord Charlotte »
« je suis d’accord, dit Charlotte…je suis curieuse d’en savoir un peu plus sur les fameuses vertus de cet objet du désir. »

Coralie pris le gode dans ces mains, fit aller et venir plusieurs fois la paume de sa main droite le long du manche comme pour le préchauffer, avant de me donner les premières recommandations.

«il faut d’abord que tu agisses sur ton esprit et détendes tout ton corps, comme s’il s’agissait d’un massage façon asiatique. Chaque parcelle de ta peau devient réceptive, toutes tes pensées focalisent sur le seul plaisir que tu t’apprêtes à recevoir… »

Je suivais attentivement les instructions que me donnait Coralie. Je parvenais à me détendre et je sentais progressivement chaque muscle de mon corps lâcher prise. Je me laissais faire. Soudain, je perçu le contact de cette queue synthétique qui effleurait l’intérieur de mes cuisses, juste au dessus de mes genoux. Une onde puissante courue le long de ma cuisse, pour s’insinuer sur mon sexe que je sentis gonfler sous ma jupe.

« lorsque tu en ressens l’envie, tu ôtes lentement tes vêtements,» continua Coralie.

Elle actionnait le gode délicatement le long de mes jambes nues, soulevant ma jupe pour s’immiscer en dessous et atteindre ma chatte qui se gonflait toujours plus, revenant le long de mes cuisses, repartant en direction de mon ventre, s’attardant autour de mon nombril sensible, poursuivant sa course sous mon chemisier, glissant entre mes deux seins voluptueux. Je sentais avec précision les moindres variations de mouvements que Coralie, d’une main experte, infligeait à son godemichet qui courait maintenant sur mon corps. Les yeux mi-clos, je matais la bosse que formait l’objet se promenant d’un sein à l’autre, frottant tour à tour mes bouts érigés sous les stimulations. Je dégrafais un à un les boutons de mon chemisier et laissais surgir ma poitrine. Je me débarrassais de ma jupe et de ma petite culotte, puis j’écartais largement les jambes, pour signifier à Coralie que j’étais prête à recevoir le membre en moi.
Elle retarda pourtant ce moment en faisant remonter le gode jusqu’à mon visage.

« suce cette queue », me dit-elle d’une voix charnelle.

Je m’exécutais et pompais sensuellement ce chibre qui me paraissait de plus en plus réel. Coralie descendit enfin vers ma chatte inondée de plaisir. Elle s’attarda quelques instants sur mon pubis, massant mes grandes lèvres, caressant mes fesses, remontant le long de ma raie après avoir titillé mon petit anus accessible. Je sentis enfin le gode pénétrer dans ma chatte jusqu’à la garde. Je ne pus retenir un immense soupir de jouissance.

« Aaahhh….Oouiii….. »

Coralie accéléra son va et vient, j’étais en extase, je me caressais les seins et cambrais mes reins jusqu’au maximum. Je prenais vraiment mon pied. A mes côtés, Charlotte qui restait silencieuse mais ne perdait pas une miette du spectacle, avait passé une main dans sa petite culotte en dentelle blanche et se masturbait sans gêne, son regard se promenant sur mon corps frémissant. Coralie aussi avait passé une main dans sa culotte et se masturbait tout en poursuivant sa démonstration. Je sentais le plaisir grandir encore, j’en étais à mon troisième orgasme consécutif, j’allais venir une dernière fois en un immense feu d’artifice. J’obligeais Coralie à retirer le gode, je me retournais, à quatre pattes, cambrant mes reins à l’excès, lui présentant ainsi mon cul et ma chatte ouverte.

« vas-y, mets-moi, vas-y, oui comme ça, plus vite, je vais venir… »

Un ouragan de plaisir m’emporta, j’avais rarement joui autant. A cet instant, Charlotte s’écria, comme si elle était entrée en état de transe.


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